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Effets bénéfiques de la mer sur la santé

Lors de la conférence de l’American Geophysical Union, les chercheurs anglais de l’Université d’Exeter ont dévoilé les résultats obtenus lors de leur dernière étude sur le sujet.

La recherche a porté sur les résidents de diverses régions d’Angleterre. Bien que les personnes vivant sur les côtes soient généralement moins nanties, leur santé s’est révélée meilleure que ceux vivant en campagne ou en ville.

Le phénomène s’expliquerait par deux éléments clés, soit la réduction du stress et la plus grande tendance à faire de l’activité physique lorsqu’on vit près de l’eau.

Bien que les citoyens au statut socio-économique avantagés n’étaient pas en aussi bonne santé, il a néanmoins été démontré qu’ils étaient prêts à payer plus cher pour des vacances sur le bord de l’eau que n’importe où ailleurs. Cela prouve qu’il s’agit d’un élément important quand on cherche à fuir le stress.

Selon l’équipe, il s’agit là d’importantes données qui pourraient aider à mettre sur pied un nouveau style de thérapie basé sur l’exposition à l’océan. La prochaine étape, qui est déjà en cours, sera d’évaluer l’effet apaisant de la vue de l’océan chez des sujets en situation stressante, comme lors d’un rendez-vous chez le dentiste.

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Le thé vert contre la dépression

Voilà ce que révèle une étude chinoise conduite à l’Université du Shandong publiée par Top Santé. Il suffirait de consommer 4 tasses de thé vert par jour afin de voir les symptômes dépressifs disparaître.

C’est à l’aide d’un test psychométrique, qui récompensait les participants avec de l’argent lors d’une bonne réponse, qu’a pu être évalué leur sentiment de bonheur.

L’observation a été rendue possible grâce à l’analyse de la stimulation des circuits nerveux liés au plaisir. Les sujets ayant consommé la posologie suggérée pendant plusieurs semaines se sont montrés plus heureux lors des tests que ceux n’ayant bu qu’une seule tasse.

Ne sachant toujours pas exactement comment expliquer les bienfaits du thé vert sur la dépression, les chercheurs soupçonnent une intervention des polyphénols contenus dans la plante sur la dendritogénèse, c’est-à-dire le processus de connexion des neurones entre eux.

Chez les personnes dépressives, ce serait apparemment des dérivés retrouvés dans l’oxygène qui causeraient un mauvais fonctionnement de ce processus.

Voilà une très agréable solution plus douce que les médicaments chimiques qui, en soi, en fera sourire plus d’un! 

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Sclérose en plaques : S’en protéger par l’éducation

Une récente étude italienne publiée dans la revue Restorative Neurology and Neuroscience nous fait part d’un intéressant facteur pouvant contribuer à la minimisation des déficits cognitifs chez les patients de sclérose en plaques (SEP).

Des tests cognitifs ont été effectués sur 50 patients atteints de SEP et un groupe de 157 personnes non atteintes. Les résultats ont clairement démontré que les individus souffrant de SEP ayant un niveau d’éducation supérieur semblaient « protégés » contre les troubles cognitifs associés à la maladie. Ceux ayant reçu une éducation limitée démontraient un score beaucoup moins élevé.

Importante constatation, la réussite professionnelle et la fatigue n’ont démontré aucun impact sur la sévérité des déficits.

Le rôle de la fatigue a en effet aussi été évalué, car il était suggéré qu’elle avait un effet négatif sur les performances cognitives, qui ont été évaluées grâce à l’échelle PASAT (Paced Auditory Serial Addition Test), utilisée afin de détecter les déficits des patients de SEP.

Le compte-rendu final de la recherche est cité comme suit : « Une éducation limitée est donc un facteur de risque de déficience cognitive chez les personnes atteintes de maladies neurologiques telles que la SEP, alors qu’un niveau d’éducation élevé peut tout à fait être considéré comme un facteur de protection contre les troubles cognitifs associés à la maladie ».

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Le chocolat et le soda pour détecter le cancer

C’est une nouvelle assez surprenante qui est publiée dans la dernière édition du journal Nature Medecine.

On y explique que contrairement aux tissus sains, les tumeurs malignes consomment plus de sucre afin de nourrir leur rapide expansion. Cette découverte vient ouvrir de nombreuses portes concernant la détection et le traitement du cancer.

Comme la radiation est à ce jour nécessaire pour bien localiser les tumeurs, ce processus n’est pas recommandé pour les enfants et les femmes enceintes, étant donné les dangers qui y sont associés.

À ce propos, le professeur Mark Lythgoe, directeur du Centre d’avancement en imagerie biomédicale de l’University College London, a confié que la découverte était une grande surprise.

« Je n’aurais jamais cru possible qu’un simple ajustement du scan puisse le concentrer sur la recherche du glucose, et que le tout soit possible dans aussi peu que 18 mois. Mais nos résultats démontrent que c’est tout à fait possible », dit-il.

En effet, cette nouvelle méthode consiste simplement à faire consommer du glucose (sucre simple) au patient et lui passer un scan qui aura pour mandat de trouver une source qui en consomme une plus grande quantité.

Les tumeurs ayant consommé du sucre émettent apparemment une certaine brillance facile à reconnaître.

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Le truc le plus efficace et le moins dispendieux pour perdre du poids

Le Daily Mail (UK) rapporte une étude qui rappelle à tous et toutes l’existence d’un truc quasi infaillible pour perdre du poids, en plus d’être extrêmement peu coûteux.

Il s’agit tout simplement de boire de l’eau.

Ce n’est certainement pas la première fois que vous entendez le principe, mais une nouvelle étude sur le sujet vient corroborer ce fait : boire au moins un litre d’eau par jour permet de perdre du poids de façon appréciable.

L’étude en provenance de Virginia Tech démontre que les sujets ayant consommé deux verres d’eau avant les repas ont perdu jusqu’à quatre livres de plus que les autres. On explique le phénomène par plusieurs raisons, à commencer par une plus grande dépense énergétique et une sensation de satiété accrue.

N’oublions pas également que lorsque vous buvez de l’eau, un geste efficace en soi, vous n’êtes pas en train de consommer la tonne de sucre contenue dans les jus de fruits et les boissons gazeuses!

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Un lien est démontré entre la santé psychologique et la sexualité

Quelques études sur la sexualité paraissent aujourd’hui, dont une sur les effets d’une sexualité abondante, mais celle qui retient le plus l’attention est probablement cette autre qui trace un lien entre la santé psychologique et certains comportements sexuels.

C’est Santé Log qui rapporte cette étude, par ailleurs effectuée par des chercheurs de l’Université California State, voulant que les gens plus enclins aux aventures d’un soir ou uniques puissent présenter des signes d’instabilité psychologique ou d’anxiété.

Publiées dans le Journal of Sexual Research, les théories et conclusions avancées font état d’autres études précédentes sur le sujet, pas toutes concluantes, mais dont certaines avaient reconnu le lien entre le « vagabondage sexuel » et une faible estime de soi.

La présente tend plus à conclure que les gens plus stables sur les plans psychologique et émotif chercheraient moins les rapports sexuels constants avec plusieurs partenaires différents pour des histoires d’un soir.

Les chercheurs impliqués dans l’étude tiennent cependant à préciser qu’on parle bien d’un lien tracé, et non d’une cause à effet.

L’étude a été effectuée auprès de près de 4000 sujets.

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Les hommes obéissent, les femmes confrontent?

Une étude dévoile certains traits de caractère observés chez les hommes et les femmes qui s’unissent pour tenter la belle aventure du couple.

Les conclusions proposées par les chercheurs de l’Université de l’Arizona, et rapportées ici par Top Santé, font état d’un fait qui ne surprendra pas les foules et qui peut être interprété de deux façons, selon le terme utilisé.

Ainsi, selon les chercheurs américains, les hommes seraient plus « coopératifs » que leur compagne au sein du couple, c’est-à-dire qu’ils seraient plus enclins à choisir la même opinion que celle-ci afin d’éviter toute source de conflits.

Les femmes, quant à elle, seraient plus rapides à confronter le partenaire (ou qui que ce soit d’autre), peu importe la situation.

De bien beaux termes qui signifient, en vérité, que les hommes sont plus portés à la soumission, et les femmes au débat.

« La coopération est quelque chose de précieux et d’important dans une relation épanouie, mais les hommes et les femmes ne la vivent pas de la même manière. Cette étude donne une autre piste pour comprendre comment les émotions des partenaires peuvent être liées, mais de plus amples recherches sont nécessaires pour comprendre comment ces réponses émotionnelles peuvent au final contribuer à la longévité ou au terme d’une relation amoureuse », résume Ashley Randall, qui mène l’étude, par ailleurs effectuée sur 44 couples volontaires.

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Les hommes et le sexe : plus de mythes que de réalité

Une stupéfiante nouvelle recherche sur les hommes et leur relation avec la sexualité lève le voile sur plusieurs faits qui s’avèreraient en fait des mythes plutôt tenaces…

C’est ce qui ressort des conclusions proposées par des chercheurs de l’Université Duke et rapportées par le Daily Mail (UK), alors que l’on constate que les hommes ne sont pas toujours aussi obsédés par la sexualité qu’ils le prétendent.

En fait, selon l’étude, plusieurs mythes qui circulent autour des hommes seraient véhiculés par ces derniers eux-mêmes, notamment afin d’être à la hauteur du stéréotype.

Dans la même veine, les réponses obtenues sur l’échantillon de 101 hommes et de 101 femmes du groupe test révèlent que ce sont en fait les femmes qui seraient davantage attirées par la question sexuelle, et davantage que leurs confrères masculins!

Un point que les deux genres ont en commun, cependant, c’est qu’ils tendent à évaluer à la hausse le nombre de leurs rapports sexuels sur une base mensuelle. C’est donc à dire que tout le monde ment, consciemment ou pas, sur sa relation avec sa sexualité ainsi que sur la fréquence.

Les chercheurs terminent en rappelant que le désir et les performances sexuelles varient aussi beaucoup en fonction des humeurs, chez l’homme comme chez la femme.

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Petit ou moyen contenant? Ces étiquettes qui nous influencent

Le fait de prendre un petit, un moyen ou encore un grand format de votre repas favori influence-t-il votre façon de le manger? Serez-vous plus tenté de laisser quelques bouchées dans l’assiette en commandant le grand format?

C’est en tout cas la réaction humaine moyenne que rapportent des chercheurs de l’Université Cornell, après avoir effectué une étude révélatrice sur le sujet, explique le Daily Mail (UK).

Menée par les Drs Wansink et Just, la recherche avait pour but d’évaluer les habitudes et réflexes alimentaires des sujets, selon le type de format qui leur était présenté. Les conclusions de ce test ne semblent pas avoir été bien difficiles à définir…

Les sujets ont, en moyenne, mangé le double de la portion si celle-ci était qualifiée de « petite », et ce, même si elle semblait franchement démesurée à l’œil nu.

Par contre, ceux qui ont reçu l’exacte même quantité de nourriture dans un format qualifié de « large » ont laissé quelques bouchées.

L’étude, quoique légère et sympathique, en dit long sur notre façon de réagir aux étiquettes et aux informations qu’on nous donne, ce qui n’est guère une bonne chose dans la chasse aux kilos.

Les chercheurs croient qu’il serait préférable de songer à un système de quantification qui laisse moins place à l’interprétation du consommateur et à moins de confusion de la part du commerçant.

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La dépendance à la nourriture, un phénomène bien réel?

Peut-on être dépendant de la nourriture? C’est une question ou plutôt une information largement répandue en cette période où le surpoids et l’obésité sont devenus des problèmes de santé de type pandémiques.

Doit-on considérer que certaines personnes ou certains comportements relèvent d’abord de la dépendance avant de soigner ou de diriger les patients vers des pistes de solution? Pour des chercheurs américains basés à l’Hôpital pour enfants de Boston, la réponse est oui.

Ces conclusions sont par ailleurs publiées dans l’American Journal of Clinical Nutrition et rapportées par le Daily Mail (UK), entre autres.

L’auteur en chef de l’étude, le Dr David Ludwig, explique : « Au-delà de la récompense et du manque, cette partie du cerveau est aussi liée à l’abus de substances et à la dépendance, ce qui soulève la question à savoir si certains aliments peuvent créer une dépendance ».

Le Dr Ludwig fait bien sûr référence au fameux « centre du plaisir » du cerveau, qui réagit fortement face à certains produits. Les plus connus sont bien sûr l’héroïne et la cigarette, mais on découvre qu’une réaction similaire est observable à la suite de l’ingestion d’aliments à forte teneur glycémique comme le pain blanc, les pommes de terre et plusieurs produits considérés comme de la malbouffe.

D’autres études doivent être faites, alors que le sujet demeure hautement controversé.