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Une nouvelle façon de faire dans le traitement de l’AVC

Il serait possible de voir apparaître une nouvelle façon de faire en matière de traitement d’AVC (accident vasculaire cérébral), selon Santé Magazine.

Cette dernière source rapporte en effet que plusieurs études, dont une récente effectuée en Chine, concluent qu’un nouveau type de traitement pourrait s’avérer plus efficace que les méthodes utilisées en ce moment.

Pourtant, ce « nouveau » traitement utilise des éléments déjà bien connus par les patients et les professionnels de la santé. Il s’agit d’un mélange entre la bonne vieille aspirine et un anticoagulant.

Les chiffres avancés font état d’une baisse des risques de rechute après un accident vasculaire cérébral d’environ 30 %, un chiffre considérable.

Aujourd’hui, la plupart des prescriptions post-AVC se contentent d’aspirine et de suggestions alimentaires, mais la combinaison proposée ici permettrait de meilleurs résultats.

D’autres études du même genre sont en cours, notamment une aux États-Unis, dans le but de confirmer la théorie.

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De l’ocytocine pour aider à l’intégration sociale et la confiance personnelle

Voici une nouvelle qui risque d’en faire bondir plus d’un, à tout le moins ceux qui considèrent que la médication est une réponse un peu trop commune et facile aux maux de la planète.

C’est Santé Log qui rapporte une étude de chercheurs canadiens basés à l’Université Concordia, faisant état de la possibilité d’utiliser de l’ocytocine pour soigner les gens aux prises avec des problèmes d’intégration sociale.

La molécule permettrait d’augmenter la confiance d’un individu, de mieux contrôler et réguler ses émotions, tout en minimisant le stress. Tous ces facteurs permettent bien entendu une intégration sociale plus facile, et peut-être même une réduction des risques et des effets de la dépression.

L’étude fait état de 100 jeunes sujets testés à l’ocytocine, administrée à l’aide d’un simple vaporisateur nasal. Placés ensuite en situation de conflit ou de rejet social, ces mêmes sujets auraient mieux réagi grâce à l’ocytocine, ce qui laisse présager des traitements possibles pour les personnes aux prises avec des problèmes d’anxiété, de détresse ou psychosociaux graves.

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Obsession de la minceur : de précieuses minutes gaspillées chez les deux sexes

À moins que vous n’appréciiez vraiment vous en faire pour votre poids et culpabiliser dès que vous envoyez un aliment dans votre estomac, vous conviendrez que l’obsession de la minceur n’est pas le meilleur des passe-temps.

Pourtant, selon le Daily Mail (UK), cette obsession pour notre poids prendrait de plus en plus de temps dans une journée. Chez la femme, bien entendu, mais également chez l’homme, le phénomène n’étant plus du tout exclusif ou réservé à un genre.

Selon les statistiques rapportées par une équipe de chercheurs britanniques, une femme passerait jusqu’à 21 minutes par jour à penser à son poids, ce qui représente un nombre considérable. En fait, sur toute une vie d’une durée, disons, de 67 ans, cela signifie qu’une année entière aura été consacrée à l’obsession de la minceur.

Mais attention, les hommes ne sont pas loin derrière, avec une moyenne de 18 minutes par jour!

La pression devient de plus en plus forte, et même s’il s’agit d’une bonne chose de surveiller ce qu’on ingère, il faut aussi profiter de la vie et éviter de sombrer dans les troubles obsessifs. 

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Antibiotiques et eczéma chez le nourrisson

C’est une recherche britannique qui aurait mis en évidence la hausse de risque de souffrir de cette affection de la peau avec la prise d’antibiotiques.

Bien que plusieurs études aient été précédemment conduites sur le même sujet, les causes de l’eczéma sont encore bien mal connues. Elles s’étaient plutôt concentrées sur l’impact de la prise de ces substances chez les enfants de 12 ans et moins, en plus de n’avoir jamais vraiment pu prouver l’incidence qu’elles avaient.

Publiés dans le British Journal of Dermatology, les résultats découverts par les chercheurs du Saint Thomas’ Hospital de Londres démontrent désormais que l’administration d’antibiotiques aux nourrissons dans leur première année augmente de 40 % leurs chances de développer ce problème dermatologique.

Le syndrome d’eczéma est essentiellement l’apparition de peau sèche occasionnant des démangeaisons assez importantes et des rougeurs. Elle porte souvent les gens affectés à se gratter si intensément que les lésions peuvent aller jusqu’à s’infecter.

La plupart du temps, quand on parle d’eczéma chez le nourrisson et les jeunes enfants, on le qualifie plutôt d’eczéma atopique, qui relève plus d’une réaction allergique.

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Les médias sociaux en prévention du suicide

Les médias sociaux ont souvent eux-mêmes mauvaise presse et sont vus de haut par d’aucuns, parfois à tort ou à raison, mais il existe un phénomène qui semble difficile à contredire.

En effet, si les médias sociaux sont un lieu d’intimidation fréquent, et qu’il s’agit d’un problème de société flagrant chez la jeune génération, ces mêmes systèmes peuvent aussi sauver des vies.

De plus en plus de cas sont observés et rapportés, de jeunes (et moins jeunes) individus qui se tournent vers la toile et leurs médias sociaux favoris pour demander de l’aide en situation de crise et de détresse psychologique.

C’est le phénomène rapporté par le Daily Mail (UK), alors qu’une nouvelle étude fait état du réflexe des jeunes à se tourner vers les technologies pour partager leurs émotions les plus sombres et leurs idées suicidaires, plutôt que de parler à un proche ou d’appeler une ligne anti-suicide.

Des chercheurs de l’Ohio, auteurs de deux études sur le même sujet, croient qu’il faut concentrer les efforts de prévention du suicide vers le web et ce genre de plateformes, là où se trouvent véritablement les jeunes et les adolescents.

Ici, au Québec, plusieurs cas qui abondent dans ce sens ont aussi été rapportés.

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Perte de poids : Deux repas ou six, telle est la question

Plusieurs spécialistes avancent depuis un bon moment qu’il serait plus favorable de manger six petits repas au lieu de trois gros au cours d’une journée.

C’est même devenu une « norme » en termes de conseils nutritionnels, en grande majorité, mais voilà que le Daily Mail (UK) rapporte une nouvelle recherche qui ose défier le concept.

Cette dernière provient de l’Institute for Clinical and Experimental Medicine de Prague et est menée par Hana Kahleova.

La chercheuse a demandé à 54 sujets de suivre deux types de régime à tour de rôle, et ce, sur une période d’étude de 12 semaines (par type de régime).

Les deux diètes comprenaient bien sûr le même nombre de calories et d’éléments nutritionnels, et celle qui ne comprenait que deux repas par jour aurait mené à une perte de poids plus importante, par quelques points.

Cependant, tous ne sont pas convaincus, à commencer par Toby Smithson, porte-parole de l’U.S. Academy of Nutrition and Dietetics. Ce dernier croit qu’il s’agit d’une mesure irréaliste, parfois même impossible selon les individus.

Madelyn Fernstrom, spécialiste en nutrition chez NBC, croit que l’étude démontre qu’il est favorable de manger le moins souvent possible au cours d’une journée, tout en conservant les repas et calories nécessaires, car cela permet de manger moins.

Qui a raison?
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La « démence numérique » : un nouveau phénomène à prévoir?

Des spécialistes sud-coréens avancent une nouvelle théorie, rapporte le Daily Mail (UK), qui fait état d’un mal contemporain qui serait appelé à prendre de l’ampleur.

Il s’agit d’un phénomène baptisé « démence numérique » par les chercheurs, qui se définit par une perte des performances cognitives due à la surutilisation des technologies modernes.

C’est après avoir conduit des recherches préliminaires sur des groupes d’adolescents que les spécialistes sud-coréens ont constaté que la démence numérique n’était probablement pas qu’une théorie.

Ils ont en effet constaté que les sujets de l’étude les plus dépendants des technologies actuelles (les téléphones intelligents, les ordinateurs, les jeux vidéo et les médias sociaux, par exemple) souffrent d’une détérioration de leurs capacités cognitives.

En clair, plus on compte sur des objets et des technologies pour penser et se souvenir, moins on est capable de le faire par nous-mêmes.

Plusieurs sujets se sont révélés incapables de se souvenir de détails simples sans avoir recours à leur téléphone ou à un autre appareil.

Les chercheurs s’inquiètent particulièrement de la surutilisation de ces appareils par les enfants de 10 à 19 ans, dont le cerveau est en pleine formation et progression.

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Les raisons qui poussent les fumeurs à arrêter ne sont pas celles que l’on croit

Le Daily Mail (UK) rapporte des conclusions et des statistiques surprenantes et fort intéressantes en ce qui concerne l’arrêt du tabagisme, particulièrement en ce qui a trait aux véritables raisons qui poussent les fumeurs à arrêter.

Selon l’étude publiée dans le Health Education Journal, la santé et les risques de cancer ou de maladies cardiovasculaires ne sont étrangement pas en tête de liste des raisons qui poussent les gens à cesser de fumer.

Ce serait davantage la peur reliée à tout ce qui touche à l’apparence et aux performances sexuelles, selon l’étude britannique, qui frappe l’imaginaire des fumeurs.

Les femmes, par exemple, réagiraient plus fortement aux données qui font état de vieillissement prématuré, de problèmes cutanés, de rides et d’autres problèmes physiques et apparents. Même son de cloche du côté des hommes, mais avec en prime la peur de perdre de la puissance sexuelle ou de devenir carrément impuissant.

Voilà qui peut surprendre, compte tenu de la gravité des maladies connexes au tabagisme comme le cancer, mais en cette ère de superficialité, on comprend rapidement le phénomène.

Par ailleurs, les femmes de plus de 50 ans réagissent davantage à la peur du cancer et des maladies cardiovasculaires que leurs homologues plus jeunes.

Les chercheurs croient que l’étude permettra de mieux diriger les campagnes et les outils de prévention en fonction du public cible.

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Des objectifs moins précis pour une perte de poids plus efficace

Il est plus facile de gagner du poids que d’en perdre, une autre ironie de la vie, c’est bien connu.

Cependant, perdre quelques kilos pourrait s’avérer moins ardu ou en tout cas moins stressant, en se fixant des objectifs plus larges. C’est ce que croient plusieurs chercheurs américains, notamment un groupe formé de spécialistes de la Floride et de Saint-Louis.

Mené par Maura L. Scott et Stephen M. Nowlis, le conseil de chercheurs propose des conclusions en matière d’alimentation et de perte de poids dans une étude rapportée ici par Top Santé.

Pour une fois, les spécialistes ne font pas la morale et n’y vont pas de grands sermons, mais prônent plutôt une approche calme et réaliste de la perte de poids. Ils avancent qu’il serait plus facile de maigrir lorsqu’on se fixe des objectifs variables, en plus de permettre une plus grande satisfaction et une meilleure estime de soi.

Ainsi, au lieu de se dire « Je dois perdre 10 livres », il faudrait plutôt se dire « Je vais essayer de perdre de 5 à 15 livres ».

En coupant quelques sucreries et en améliorant nos habitudes d’exercice physique progressivement, sans se stresser davantage, il est fort probable qu’un palier sera atteint.

Par contre, avec un objectif trop rigide, il est plus difficile d’y parvenir et plus facile de se décourager, puis d’abandonner!

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Découverte sur l’anticipation des nourrissons

Un article paru sur le site de MedicalXpress parle de cette habileté des bébés à reconnaître quand ils seront soulevés par leurs parents.

Il s’agit d’une surprise pour les chercheurs, alors que l’on ne croyait pas que le développement nécessaire se produisait en si bas âge.

Les recherches du professeur Vasu Reddy de l’Université de Portsmouth ont révélé que les bébés aussi jeunes que 2 mois savent déterminer quand ils seront pris. Ils s’ajustent donc en raidissant leur corps et en cessant de bouger afin de faciliter la tâche.

Le professeur Reddy explique : « Nous ne nous attendions pas à obtenir des résultats aussi clairs. À la suite de ceux-ci, nous nous permettons de croire que cette aptitude pourrait même être observée encore plus tôt, possiblement peu après la naissance ».

« Les nouvelles données suggèrent qu’il faudrait revoir notre façon d’évaluer le développement des jeunes enfants, car ils démontrent une capacité de compréhension des actions des autres envers eux bien avant ce que l’on croyait jusqu’à maintenant. »

Autre bonne nouvelle, il est suggéré que ces révélations pourraient aussi être utilisées à type d’indicateur hâtif pour déterminer des troubles du développement chez les nourrissons, incluant l’autisme.