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Un nouveau test pourrait mieux définir le traitement de la dépression

Les antidépresseurs demeurent une bonne avenue pour soigner certains cas de dépression, mais on constate de plus en plus que certains abus pourraient être évités.

De plus, beaucoup d’études commencent à démontrer, voire prouver, que la solution la plus efficace à long terme pour permettre une véritable rémission s’avère la bonne vieille psychothérapie.

Bien entendu, chaque situation commande une action différente, et c’est justement ce principe qui a mené des chercheurs d’Atlanta, en Géorgie, à mettre au point un test qui permet de mieux comprendre chaque situation et d’offrir le bon traitement qui s’y rattache, explique le Daily Mail (UK)

Le test, sous forme de numérisation, analyse différents taux et différentes fonctions du cerveau qui, sans entrer dans les détails complexes, permettent de poser un bien meilleur diagnostic que celui d’une simple dépression.

Un diagnostic plus précis signifie inéluctablement un traitement plus efficace.

« Ces nouvelles données suggèrent que si vous traitez un patient selon le type de cerveau (et de ces résultats d’analyse), vous augmentez les chances de rémission de celui-ci », confirme la Dre Helen Mayberg, professeure de psychiatrie et auteure principale de cette étude fort intéressante.

De plus en plus de spécialistes s’accordent pour dire que la hausse des prescriptions d’antidépresseurs représente un problème de société relativement inquiétant.  

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Les garderies à l’aide des mères dépressives et leur famille

Il est estimé que 30 à 40 % des nouvelles mamans souffriront un jour ou l’autre de dépression. Devant ces chiffres, des chercheurs canadiens ont effectué une étude afin de déterminer s’il était préférable d’envoyer les enfants de mères dépressives à la garderie.

Les résultats de la recherche publiés dans le journal JAMA Psychiatry se sont montrés fort concluants, alors que seulement 7 % des enfants suivis qui allaient à la garderie montraient des signes de problèmes émotionnels, contre 32 % pour ceux qui restaient exclusivement avec leur mère.

À la lumière de ces chiffres, Alan Kadzin, professeur en psychiatrie infantile œuvrant à la réputée Université Yale, a déclaré : « Le message principal à retenir est l’énorme différence qu’offre le service de garderie à ces enfants. Ce n’est pas anodin, mais il ne s’agit pas de simple gardiennage ».

Malheureusement, l’incidence de la dépression rend souvent les mères affectées moins engagées, consistantes et à l’écoute. Elles ont une tendance plus négative avec leurs petits.

En garderie, ces enfants jouissent d’un contact social important, de jeux, jouets et activités, pendant que les mères vivant le stress de la dépression peuvent se reposer.

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Les femmes possèdent-elles réellement une meilleure mémoire?

Une étude rapportée par Santé Log confirme la légende qui suggère une mémoire plus efficace chez les femmes que chez les hommes, ce qui risque de faire encore une fois bondir plusieurs mâles susceptibles.

En fait, selon les conclusions proposées par ces chercheurs de l’Université Cornell, la femme aurait une meilleure capacité à se souvenir de certains événements grâce à une performance accrue de ce qu’on appelle la « mémoire épisodique ».

Plus de données, de détails et de souvenirs reviendraient en tête plus facilement, mais aussi plus rapidement chez la femme que chez l’homme, toujours selon l’équipe de chercheurs.

L’étude, publiée dans la plus récente édition du magazine Memory, fait aussi état d’une organisation de la mémoire bien précise du côté de la gent féminine, en plus d’une meilleure capacité de codage et de conservation des données.

Les chercheurs avancent que cette différence notable entre la mémoire épisodique des hommes et des femmes pourrait expliquer en partie pourquoi les deux sexes semblent voir le monde et réagir aux événements souvent de façon bien différente.

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Une plante comestible qui allonge l’espérance de vie

Science Daily rapporte des conclusions stupéfiantes concernant la rhodiole, une plante bien connue des botanistes et des amateurs de produits naturels.

Des chercheurs (UC Irvine) avancent que cette plante permet à certaines espèces d’allonger leur espérance de vie, un fait qu’ils espèrent pouvoir confirmer ou implanter chez l’humain.

C’est d’abord et principalement la mouche du vinaigre (fruit fly) ou drosophile qui a mis la puce à l’oreille des chercheurs, alors que celles qui évoluent et se nourrissent de cette plante obtiennent une longévité accrue d’environ 24 %!

« On a découvert que la rodhiole augmente l’espérance de vie, et ce, même chez les sujets déjà en santé », se réjouit Mathab Jafari, l’un des deux meneurs de cette étude.

Plusieurs peuples connaissent les multiples vertus de cette plante et de ses extraits, notamment les Russes et les Scandinaves, qui l’utiliseraient pour faire baisser le stress, notamment.

Jafari et son équipe souhaitent maintenant maximiser les applications de cette plante, qui aurait le potentiel d’améliorer la condition des gens qui souffrent d’Alzheimer et même de détruire les cellules cancéreuses.

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Un lien entre la surconsommation de viande rouge et le diabète de type II est établi

Medical News Today rapporte les conclusions d’une étude traçant un lien entre la surconsommation de viande rouge et un risque accru de développer du diabète, notamment de type II.

Ce sont des chercheurs basés en Chine, à la National University of Singapore, qui publient cette recherche dans le prestigieux Journal of the American Medical Association.

Ces chercheurs asiatiques ont analysé le cas de près de 150 000 Américains en donnant suite à trois études sur le sujet, toutes concluantes.

Tout comme leurs prédécesseurs, les chercheurs en tête de l’étude ont constaté les effets à long terme d’une consommation élevée de viande rouge. On parle d’une durée moyenne de quatre ans avant de voir les risques de diabète de type II augmenter grandement à la suite d’une consommation accrue de ce type de viande.

En contrepartie, les sujets analysés qui avaient abaissé leur consommation de viande rouge ont vu leurs risques de développer ce type de diabète descendre de 14 %, toujours sur une période de quatre ans.

Les chercheurs confirment donc l’effet observable, mais rappellent que la viande peut apporter du bon, notamment du fer, mais que la modération est de mise.

Dans ce cas-ci, il semble que ce soit spécialement vrai!

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Déjeuner pour éviter le diabète

Voilà les trouvailles faites par la Dre Elizabeth Thomas de l’Université du Colorado lors d’une petite étude publiée par HealthDayNews.

Bien que les résultats de seulement 9 femmes d’âge moyen de 29 ans aient été analysés, ils ont montré une incidence directe. Les tests consistaient simplement en l’analyse des taux de sucre et d’insuline après le dîner.

Le premier jour, chaque femme avait aussi consommé un déjeuner. À ce moment, les taux se seraient montrés normaux. Le lendemain cependant, n’ayant pas ingéré de déjeuner, elles présentaient toutes une résistance à l’insuline, ce qui nécessiterait normalement une injection pour assurer l’équilibre du sucre dans le sang.

La Dre Thomas explique que bien que l’étude soit petite, les résultats sont très intéressants, même si le long terme n’a pas été observé pour le moment. En effet, si ces symptômes devenaient chroniques, les risques de souffrir de diabète augmenteraient.

Pour bien comprendre, il faut savoir qu’après un repas, le taux de glucose s’élève dans notre sang. C’est alors que notre système se met à libérer plus d’insuline, afin de convertir ce sucre en énergie. Si un déjeuner n’est pas consommé, le système aura besoin d’encore plus d’insuline pour gérer le prochain repas.

Alors que ces résultats sont en effet intéressants, ils ne démontrent qu’un lien, et non pas une causalité. De plus amples recherches devront être conduites afin d’approfondir celle-ci.

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Google propose son innovation en matière de nutrition

Les amateurs de bonne nutrition et d’une saine alimentation ont désormais accès à un tout nouvel outil en ligne, une gracieuseté du géant Google.

En effet, healthland.time rapporte que les internautes peuvent désormais compter sur des informations justes et précises concernant les valeurs nutritives et autres détails de vos aliments.

Jusqu’ici, rapporte aussi la même source, les informations obtenues en « googlant » un article ou un aliment étaient nombreuses, disparates et souvent incohérentes, compte tenu du nombre de sources proposées.

Désormais, c’est une véritable banque de données à laquelle auront accès les internautes soucieux de leur santé. Ce système doit également s’appliquer pour d’autres sphères de connaissances (voir la vidéo plus bas). 

« Ça va donner les réponses que les gens recherchent, rapidement et avec véracité. On souhaite que cela permette de meilleures décisions chez les consommateurs », lance Roya Soleimani, très proche du projet.

Les internautes peuvent donc dès maintenant tenter l’expérience en questionnant l’engin de recherche, en formule question comme auparavant.

Découvrez cette nouvelle façon de faire, grâce à cette vidéo promotionnelle et explicative proposée par Google.

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Abus d’alcool : un traitement pour les cheveux comme solution?

Les gens qui abusent de l’alcool et qui souhaitent arrêter ou abaisser leur consommation et ainsi reprendre le chemin d’un régime de vie plus équilibré pourront peut-être compter sur une aide supplémentaire, selon The National Library of Medicine.

En effet, un traitement utilisé en prévention de la calvitie et de la perte des cheveux pourrait présenter une deuxième utilité et permettre de boire moins d’alcool.

C’est ce qui ressort d’une étude proposée par des chercheurs basés à Washington, qui en sont venus à découvrir cette intéressante facette du Propecia, un traitement bien connu, après avoir reçu le mandat d’en vérifier les effets secondaires.

Malheureusement, les chercheurs ont aussi découvert que le Propecia comprend bien d’autres effets possibles, dont une perte de libido. Ce serait justement ceux-là qui admettent ressentir un moins grand besoin de boire, par la même occasion.

« Des hommes qui admettent des effets secondaires sur leur sexualité malgré l’arrêt du traitement, deux tiers de ceux-ci ont remarqué qu’ils buvaient beaucoup moins d’alcool qu’avant », explique le Dr Michael Irwig, de la George Washington University.

Il faudra donc voir quelle utilisation on pourra faire de cette découverte, par ailleurs publiée dans l’édition du 13 juin du magazine Alcoholism : Clinical & Experimental Research.

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Les hommes sont-ils à blâmer pour… la ménopause?

Le Telegraph (UK) rapporte une théorie des plus fascinantes voulant que les hommes puissent être à blâmer pour la ménopause que doivent subir les femmes de ce monde.

En effet, les chercheurs canadiens en cause dans cette recherche mettent de l’avant la théorie que c’est le comportement des mâles, qui recherchent subitement une partenaire plus jeune passé un certain âge, qui aurait provoqué le concept de ménopause dans l’évolution.

On sait que la ménopause est un phénomène typiquement humain, et une nouvelle étude pilotée sur ordinateur tendrait à confirmer la théorie en provenance de l’Université McMaster.

« La ménopause est unique aux humains, mais personne n’a encore apporté d’explication satisfaisante sur les raisons qui expliquent son apparition. Comment fait-on évoluer l’infertilité? C’est contraire au principe de sélection naturelle, qui cherche la fertilité, la reproduction », lance avec enthousiasme le professeur canadien Rama Singh.

Ce dernier a vu ses recherches et sa théorie être publiées dans le PLoS Computational Biology, et il donnera sans doute de nouvelles munitions aux femmes de ce monde qui aiment bien déjà taquiner leurs homologues masculins.

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La capacité d’empathie chez les bébés

Sur le site Medical Xpress, les résultats d’une récente recherche viennent démontrer la capacité d’empathie dès l’âge de 10 mois.

L’empathie est la capacité d’un individu à se mettre à la place d’autrui afin de comprendre leurs sentiments.

Il était précédemment dit qu’on ne pouvait pas démontrer ce type de sentiments chez les enfants de moins de 4 ans. En effet, une étude publiée en 2005, conduite par des neurobiologistes et des psychologues, prétendait que bien qu’ils puissent percevoir nos émotions, nous ne possédions aucune façon de déterminer le niveau d’empathie chez les enfants de moins de 4 ou 5 ans.

Or, une plus récente recherche a maintenant démontré que les bébés pouvaient démontrer de l’empathie dès l’âge de 10 mois.

Les chercheurs ont utilisé des clips vidéo montrant différentes interactions agressives entre des formes de couleurs différentes, une s’attaquant à l’autre.

À la suite des observations, les chercheurs ont conclu : « Les bébés de seulement 10 mois arrivent à différencier les victimes et les agresseurs dans les interactions, mais aussi à montrer de la sympathie rudimentaire envers la détresse. Cette préférence simple peut fonctionner en tant que fondement d’un comportement sympathique à part entière par la suite ».