Catégories
Uncategorized

Le cerveau peut bel et bien se transformer au rythme des expériences

La Presse rapporte de nouvelles recherches sur le cerveau humain qui en surprendront plus d’un, à commencer par certains experts qui prétendaient que le cerveau humain ne pouvait se transformer ou évoluer physiquement.

Or, selon les conclusions de plusieurs éminents spécialistes, à commencer par les psychiatres Kandel et Daniel Siegel, le cerveau peut littéralement se métamorphoser au gré de nos émotions, des épreuves et de nos expériences.

On cite l’exemple du musicien qui permet des changements cérébraux en apprivoisant un instrument de musique, ainsi que l’étudiant qui travaille fort pour réussir un bac, par exemple.

Nos relations, nos efforts, nos désirs, nos liens avec nos proches, nos peines, nos joies, bref, à peu près tout ce que nous vivons influence physiologiquement le fonctionnement et l’évolution de notre cerveau.

Les neurones envoient des messages et prennent des virages selon nos décisions et nos émotions, comme l’indique Daniel Siegel : « Les connexions humaines forment les connexions des neurones ».

Il y a fort à parier que ces révélations ne sont que la pointe de l’iceberg, dans un domaine qui semble n’en être qu’à ses débuts et pour lequel plusieurs mystères demeurent encore entiers.

Catégories
Uncategorized

Régime nordique contre régime méditerranéen : une nouvelle rivalité est née

Amateurs de nutrition, d’alimentation, de santé ou encore simplement de bons débats houleux, vous voudrez sans doute découvrir cette nouvelle rivalité alimentaire.

On vous faisait découvrir récemment le « régime nordique », consistant de plusieurs aliments et ingrédients traditionnels et locaux scandinaves.

Auparavant, le monde entier avait été frappé de la vague du « régime méditerranéen », qui sévit d’ailleurs toujours en ce moment.

Ce n’était donc qu’une question de temps avant que des études viennent comparer et s’affronter les deux diètes, comme celle rapportée par Santé Log.

La rivalité est donc lancée, mais on ne pourra pas accuser les chercheurs d’avoir été chauvins dans cette histoire, puisqu’ils penchent du côté du régime méditerranéen dans ce premier affrontement… même s’ils viennent de Suède et de Finlande, notamment!

Leurs résultats placent la diète méditerranéenne bien en avant du régime nordique en terme de baisse de cholestérol dans le sang, de prévention du diabète et d’autres maladies, et sur la santé en général.

Par contre, d’autres bienfaits de la diète nordique semblent observables, mais on devra attendre les résultats de nouvelles recherches sur le sujet.

Une rivalité vient de naître!

Catégories
Uncategorized

15 h : l’heure fatidique au travail

Si vous devenez inopérant, obsolète dans vos fonctions professionnelles lorsque sonne 15 h, vous n’êtes probablement pas seul, rapporte Top Santé

Selon une étude britannique, 14 h 55 serait le dernier moment de productivité ressenti par les 400 travailleurs interrogés par les chercheurs anglais, ce qui démontre une tendance.

Il s’agit bien sûr d’une moyenne établie par l’équipe de recherche, qui a constaté qu’il serait certainement plus utile de prendre une pause pour se dégourdir ou pour se faire un café que de tenter de pousser la machine en milieu d’après-midi.

De plus, les chercheurs découvrent certains cycles de travail qui leur permettent de conclure deux choses : « La plupart du temps, si les personnes ont un élan d’énergie et abattent beaucoup de travail en une heure, ils ont tendance à être en sous-régime les deux heures suivantes. On recommande de prendre plusieurs petites pauses de cinq minutes pendant la journée ».

Michael Davies, qui dirige l’étude, croit donc qu’il ne faut pas lutter contre ce que l’on ressent, notamment lors des baisses de régime, qu’elles soient à 15 h ou ailleurs dans la journée.

Il termine en expliquant : « Nous connaissons tous des pics et de creux de productivité, mais l’astuce est de maintenir un niveau de travail constant plutôt que d’osciller d’un extrême à l’autre ».

Catégories
Uncategorized

Les sévices durant l’enfance visibles dans le cerveau

Une étude publiée le 1er juin dernier dans l’American Journal of Psychiatry and Behavioral Science a démontré une transformation dans la structure du cerveau chez les gens ayant souffert de sévices sexuels ou émotionnels.

L’étude Decreased Cortical Representation of Genital Somatosensory Field After Childhood Sexual Abuse a été menée en collaboration avec des scientifiques de l’Université Emory à Atlanta. Les résultats ont démontré une corrélation entre le passé des victimes et l’amincissement du cortex dans les régions affectées par les sévices.

Par exemple, le cortex somatosensoriel, qui est lié aux parties génitales féminines, est particulièrement mince chez les victimes de sévices sexuels. Dans la publication, le Dr Nemeroff, participant de la recherche, a dévoilé : « Il s’agit d’une des premières études documentant les changements à long terme du cerveau à la suite de sévices et de négligence chez l’enfant ».

Il ajoute : « Le constat que certains types de traumatismes en début de vie ont des répercussions discrètes et de longue durée sur le cerveau, qui sont de plus précurseurs de symptômes chez les adultes, est une étape importante dans le développement de nouvelles thérapies. Il nous sera éventuellement possible de réduire les effets psychiatriques et/ou psychologiques survenant plus tard dans la vie de ces gens ».

Catégories
Uncategorized

Pourquoi doit-on répéter sans cesse?

Ça fait 20 fois que vous répétez la même chose à votre petit, mais il ne semble jamais s’en souvenir, et ce, malgré les conséquences et réprimandes? C’est qu’il ne s’en souvient vraiment pas.

Tel que lu sur Famili.fr, selon le chercheur canadien Paul Frankland de l’hôpital pour enfants malades de Toronto, la mémoire des jeunes de 3 ans et moins est plutôt de court terme.

L’amnésie infantile, terme développé par le grand Freud, décrit les raisons tant physiques que psychiques. Comme les cellules nerveuses de bébé se développement à la vitesse grand V de la naissance jusqu’à l’âge d’environs 3 ans, l’énergie cérébrale y est si occupée que la mémoire s’en trouve négligée. Cela explique, entre autres, pourquoi nous avons si peu de souvenirs de notre jeune enfance.

Après l’âge de 3 ans, comme le développement neurologique ralentit considérablement, cette immaturité fonctionnelle fait place à la mémoire à court terme, qui se forge à son tour.

Le neuroscientifique a d’ailleurs démontré l’effet de l’amnésie infantile à l’aide de souris. En ralentissant leur développement neurologique, les souris ont démontré une plus grande capacité de mémoire à court terme.

Courage parents! Le tout devrait se résoudre vers 4 ans.

Catégories
Uncategorized

Plus de chance de survivre à son opération lors d’un jour ouvrable?

Santé Log rapporte un phénomène aussi surprenant qu’inquiétant, alors que des chercheurs britanniques affirment avoir décelé des variations de statistiques des chances de survie selon le jour d’une intervention.

Ainsi, les chercheurs de l’Imperial College croient pouvoir affirmer qu’il est plus risqué de se faire opérer durant le week-end. On parle même d’une hausse de 9 % des risques par jour, à mesure que la fin de semaine approche.

Les conclusions des chercheurs en tête de l’étude ont été publiées dans le fameux BMJ Open et risquent de faire jaser la communauté médicale ainsi que les patients.

Les raisons avancées pour expliquer « l’effet week-end » sont la réduction du personnel lors des fins de semaine en centre hospitalier, la baisse d’énergie et de concentration des médecins sur place, qui sont de surcroît souvent des praticiens avec moins d’expérience…

On croit donc que le lundi serait la journée idéale pour se faire opérer, alors que les chances de survie diminueraient à mesure qu’approche le vendredi.

Une équipe de médecins canadiens, basés à Toronto, vient de confirmer l’existence d’un « effet week-end », comme quoi le phénomène ne se limite pas à l’Angleterre.

Catégories
Uncategorized

Une surdose de café pourrait favoriser une prise de poids importante

Plusieurs études récentes et crédibles attribuent au café de nombreuses vertus santé, grâce à certaines composantes comme les antioxydants notamment, ce qui redonne le sourire aux amateurs de caféine.

On n’hésite pas également à cautionner une consommation quotidienne relativement élevée, c’est-à-dire jusqu’à trois tasses par jour.

Pour une équipe de chercheurs australiens, qui publient d’ailleurs leurs recherches dans le Journal of Agricultural and Food Chemistry, la limite pourrait bien s’établir à cinq tasses par jour.

Une limite quotidienne qui, lorsque dépassée, pourrait ouvrir la porte à certains problèmes de santé, à commencer par la prise de poids pouvant aller jusqu’à l’obésité, explique le Daily Mail (UK).

Cet effet inversé, car on attribue normalement le café à une plus grande facilité à perdre du poids, serait relié aux propriétés de l’acide chlorogénique. Lorsque consommée en trop grande quantité, la composante bloquerait certains systèmes qui favorisent la perte de poids, entrainant donc une prise de kilos plus facile.

On note, dans la même veine, une résistance à l’insuline inquiétante chez les sujets qui dépassent cinq tasses de café par jour.

Bref, comme la limite a déjà été élevée et que l’on peut maintenant consommer ce plaisir sans culpabilité, pourquoi ne pas le faire avec modération… et attention au sucre!

Catégories
Uncategorized

Un QI élevé permettrait une perception différente

Des chercheurs basés à Rochester, aux États-Unis, ont évalué la perception des gens face à leur environnement ou à des objets en mouvement, selon les quotients intellectuels de chacun.

Ils sont arrivés à des conclusions étonnantes, révèle le Daily Mail (UK), à commencer par la variation de la perception sensorielle.

Ainsi, les sujets au QI plus élevé ont démontré plus de facilité à faire abstraction d’un environnement afin de se concentrer sur un petit objet en mouvement. Cependant, contre toute attente, ces mêmes sujets ont été plus lents que les autres à détecter un objet plus large qui se trouvait directement en face d’eux!

Serait-ce la preuve que les gens brillants voient souvent beaucoup trop loin et s’avèrent parfois incapables de résoudre de petits problèmes de la vie quotidienne? Pas nécessairement, croit Duje Tadin, de l’Université de Rochester.

Il explique : « Il y a quelque chose chez les cerveaux au QI élevé qui les empêchent de voir rapidement un mouvement large, au contraire d’un plus petit. Cette habileté est toutefois très utile dans un monde rempli de distractions. Un cerveau efficace se doit d’être sélectif ».

Saviez-vous que la moyenne de QI général est de 100 et qu’elle augmente d’à peu près trois points par décennie chez plusieurs populations? C’est ce qu’on appelle « l’effet Flynn ».

Catégories
Uncategorized

La régénération des membres chez l’humain : science ou science-fiction?

C’est une nouvelle stupéfiante que nous rapporte le Daily Mail (UK), alors que des scientifiques croient avoir identifié les cellules vitales à la régénération des membres!

Les recherches, basées sur le comportement des salamandres et le phénomène de régénération qui les caractérise, concluent que la clé du mystère réside dans le système immunitaire de l’animal. Ce dernier permet non seulement à la bête de retrouver des membres externes, mais aussi de « réparer » sa colonne vertébrale, son tissu cérébral et même certaines parties du cœur.

Les cellules immunitaires capables d’offrir une telle protection seraient les macrophages, et les chercheurs australiens qui dirigent cette recherche fondent beaucoup d’espoir d’être un jour capable de reproduire le processus chez l’humain.

Les propriétés d’une telle avancée sont facilement imaginables, et même si on ne parvient pas à créer l’homme-salamandre, une simple percée dans le domaine permettrait probablement de soigner et traiter plusieurs patients.

Publiée dans le magazine Proceedings of the National Academy of Sciences, la recherche n’a rien d’un film de science-fiction, à la surprise générale.

Catégories
Uncategorized

Les friandises ne sont pas systématiquement mauvaises pour la santé

Le Daily Mail (UK) rapporte des conclusions tirées d’une étude en nutrition qui révèlent que le fait de manger des friandises, du chocolat et autres sucreries n’est pas toujours nécessairement déconseillé.

En fait, selon la National Confectioners Association, les gens qui consomment de façon modérée ce genre de plaisirs sucrés n’ont pas réellement de risques de maladies cardiovasculaires plus accrus que les autres, et ne doivent pas non plus s’attendre à prendre du poids de façon systématique.

Ce constat survient à la suite de l’analyse de 5000 Américains, dont les habitudes de consommations de friandises variaient en quantité et en intensité.

On a vite compris que les sujets qui mangeaient quelques sucreries presque quotidiennement n’avaient pas plus de risque de développer des problèmes de santé que ceux qui n’en mangeaient qu’une fois par semaine, par exemple.

Bien entendu, les spécialistes rappellent qu’il ne s’agit pas d’un feu vert vers l’excès, bien que les bonbons et chocolats de ce monde ne mèneraient pas directement à un gain de poids important.

Il est assurément rafraîchissant de lire de tels propos, dans une époque où la paranoïa alimentaire nous prive de tous les plaisirs ou nous fait à tout le moins ressentir une culpabilité quasi permanente.