Catégories
Uncategorized

La différence entre le cerveau des hommes et des femmes illustrée

Bien des blagues à caractère sexiste, que ce soit envers les hommes ou les femmes, trouvent leurs origines dans cette notion évidente qui veut que les deux sexes ne soient pas véritablement construits de la même façon.

Ce serait notamment vrai en ce qui concerne le cerveau, non seulement au sens propre, mais aussi au sens psychologique. Voici une nouvelle étude sur le sujet qui tente d’illustrer cet état de fait, et qui confirme par la même occasion qu’il existe bel et bien des différences notables entre les deux genres sur le plan cérébral.

D’abord, rapporte Daily Mail (UK), on constate que les femmes sont plus susceptibles de développer des troubles de démence et de dépression, alors que les hommes seraient plus souvent frappés par des troubles comme la maladie de Parkinson, par exemple.

Ensuite, l’étude confirme que les hommes possèdent un plus gros cerveau que leurs camarades féminines, mais que celui de ces dernières serait plus efficace en gestion de crise et en résolution de problèmes, notamment grâce à une meilleure performance du lobe frontal (aussi plus gros, en moyenne).

On note aussi une capacité accrue à « sentir le danger » chez l’homme, alors que la femme obtient quant à elle une sensibilité et une réponse au toucher accrues.

On avance également que le cerveau de la femme « n’est jamais au repos », alors que celui de l’homme « se repose souvent »… Des munitions pour la gent féminine lors des débats animés entre gens de sexes opposés!

Catégories
Uncategorized

Le jeu Tetris comme traitement de l’amblyopie?

Le jeu vidéo Tetris revient dans l’actualité, alors que des chercheurs canadiens lui attribuent des vertus thérapeutiques pour les yeux, rapporte Top Santé.

Ce sont les gens souffrant d’amblyopie qui pourraient gagner le plus à jouer à l’indémodable jeu de puzzle, car on croit que Tetris peut aider les patients qui souffrent de ce trouble de la vue à améliorer leur situation.

C’est une équipe québécoise de l’Université McGill, à Montréal, qui tire ces conclusions, après avoir observé plusieurs cas de strabisme, notamment, l’un des troubles de la vue associés à l’amblyopie.

Pour eux, et pour une fois, le fameux jeu ne nuirait pas à la vue des jeunes, comme le confirment les tests effectués afin de confirmer cette théorie.

On a demandé à deux groupes de neuf sujets de porter des lunettes spéciales qui faisaient travailler l’un et l’autre des yeux seulement, tout en jouant au classique jeu vidéo.

Les conclusions rapportées par les chercheurs semblent certaines : Tetris peut bel et bien être envisagé comme méthode de traitement contre certains troubles de la vue, même chez les adultes.

Une belle percée, divertissante de surcroît!

Catégories
Uncategorized

La dépression pourrait bien se transmettre d’une personne à l’autre

Top Santé rapporte une étude sur la dépression qui révèle des faits étonnants au plan scientifique, mais dont plusieurs personnes se doutaient probablement.

Selon les chercheurs américains qui se sont penchés sur le sujet, la dépression serait transmissible, ou « contagieuse », selon le type de personnes qui gravitent autour de la personne qui en souffre.

Ainsi, les personnes plus vulnérables à l’énergie des autres ou plus susceptibles de développer des troubles dépressifs elles-mêmes pourraient être influencées par une personne dépressive, et voir leur humeur changer radicalement.

L’étude, publiée récemment dans le magazine Clinical Psychological Science, parle de « vulnérabilité cognitive » et prétend que les jeunes sont particulièrement sensibles au phénomène.

L’environnement de ces derniers devient donc primordial pour assurer leur développement, le succès dans leurs études et sur le marché du travail, et pour éviter d’éventuels troubles dépressifs.

« Si vous incitez ces jeunes à s’entourer de personnes positives, vous éviterez à certains de sombrer dans la dépression. Alors que s’ils s’entourent de personnes moroses, ils ont de fortes chances de céder à leurs idées noires », concluent les chercheurs.

Catégories
Uncategorized

Le poisson-zèbre vient en aide aux humains

Top Santé révèle des études qui dévoilent des faits étonnants concernant le poisson-zèbre, qui pourrait bien venir en aide aux humains sans le savoir.

C’est qu’on attribue à ce poisson des caractéristiques qui permettraient de mieux comprendre certains phénomènes et le développement de certaines maladies chez l’humain, notamment grâce à un génome presque identique à celui de l’homme.

En fait, on estime que le génome du poisson-zèbre est à 70 % similaire au nôtre, selon la plus récente recherche publiée dans la revue Nature.

Les conclusions proviennent de chercheurs de l’Université de Cambridge, qui révèlent que plusieurs chercheurs à travers le monde travaillent déjà avec le poisson-zèbre dans leurs travaux.

Le poisson-zèbre, originaire de l’Inde, serait particulièrement efficace dans la compréhension des maladies génétiques.

« L’idée est d’utiliser un organisme modèle comme le poisson-zèbre pour essayer de voir exactement ce que ces gènes font (…), de passer en revue chaque gène du génome et de regarder ce qu’une perte de fonction provoque chez le poisson », résume le chercheur Ross Kettleborough.

Catégories
Uncategorized

Encore une percée majeure dans le traitement de l’Alzheimer

Les progrès de la recherche d’un traitement de la maladie d’Alzheimer sont nombreux depuis quelque temps, alors que les découvertes et avancées sur le sujet se multiplient.

Voici une autre percée qui sèmera sans doute un vent d’optimisme chez les personnes atteintes de la maladie ainsi que chez les proches de patients qui en souffrent.

En effet, Huffington Post rapporte que des chercheurs américains auraient réussi à inverser carrément le processus de la maladie chez des escargots, pavant la voie à un possible traitement chez l’homme.

Ce sont des chercheurs de l’Université du Texas basée à Houston qui annoncent la réalisation de cet exploit, après avoir constaté que leurs tests par stimulation nerveuse sur des mollusques avaient porté des fruits.

« Nos résultats suggèrent une nouvelle stratégie pour le traitement des déficiences cognitives. Les modèles mathématiques pourraient nous aider à mettre au point des thérapies combinant un protocole d’entraînement et des traitements médicaux traditionnels » conclut avec enthousiasme John Byrne, qui dirige ces essais innovateurs.

Catégories
Uncategorized

La gloire pourrait augmenter les risques de mourir prématurément

Une étude originale se penche sur un dossier intéressant, celui de la célébrité et de ses impacts sur la santé des individus qui en font l’expérience.

Des chercheurs canadiens, qui dirigent l’étude ici rapportée par Santé Log, ont cherché à comprendre les conséquences de la gloire sur la santé et la longévité, en plus de trouver des pistes d’explication à plusieurs décès de stars au fil de l’histoire.

On n’a d’abord qu’à penser à Amy Winehouse, plus récemment, et Jimi Hendrix ou Kurt Cobain, tous membres de l’illustre club des 27 (ils sont tous morts à 27 ans, et la liste est longue).

On parle d’abord de « comportements à risque », du côté des chercheurs, notamment une mauvaise hygiène de vie et alimentaire ainsi que l’usage d’alcool, de tabac et de drogues diverses. On croit qu’il est possible d’associer ces comportements à une mauvaise gestion du stress face à une pression souvent trop forte.

Les sportifs semblent eux aussi mourir plus jeunes, en moyenne, que les politiciens ou les hommes d’affaires, explique-t-on.

Finalement, l’étude semble corroborer une précédente recherche qui abondait dans le même sens, en concluant que le stress, la pression et de mauvaises habitudes de vie sont responsables de la plupart des décès prématurés dans l’industrie du spectacle.

Catégories
Uncategorized

L’attrait de la bière s’expliquerait par les hormones

Top Santé rapporte une étude qui avait pour but de démystifier l’attrait de la bière chez l’homme, un principe qui va beaucoup plus loin que le simple goût.

En fait, ce serait une véritable histoire d’amour hormonale qui se produit entre les gens et le houblon, notamment à cause de l’effet de la bière sur les récepteurs de dopamine.

Pour confirmer cette théorie, les chercheurs de l’Université d’Indiana en tête de l’étude ont regroupé 49 personnes et leur ont demandé de boire trois différentes boissons. D’abord de la bière, puis de l’eau plate et, enfin, une boisson destinée à désaltérer les sportifs, on devine de type Gatorade.

On a ensuite enregistré et analysé les réponses des sujets face à chacune de ces boissons, et on a remarqué immédiatement une vive réponse du cerveau pour la bière, qui libère immédiatement de la dopamine.

« C’est la première fois que les résultats d’une étude montrent que le goût d’une boisson alcoolisée sur l’être humain, sans l’effet de l’alcool sur le corps, peut déclencher la libération de dopamine dans les centres de récompense du cerveau », lance un certain Kareken, professeur et chercheur.

De plus, les scientifiques croient remarquer que certaines personnes produisent plus de dopamine que d’autres face à la bière, ce qui pourrait expliquer les variations de risque d’alcoolisme d’un individu à l’autre. Une percée fort intéressante.

Catégories
Uncategorized

Des reins artificiels prometteurs

Une première a été effectuée dans le monde médical, alors que des chercheurs américains ont réussi à transplanter un rein créé de toute pièce sur des rats.

Le résultat semble probant, puisque l’organe aurait immédiatement réagi à son nouvel environnement, entamant aussitôt ses fonctions.

Un essai qui rend les chercheurs de Harvard et du Massachusetts General Hospital fort optimistes, eux qui croient pouvoir répéter l’expérience sur des humains et enfin venir en aide aux patients qui souffrent de problèmes rénaux sérieux.

C’est The National Library of Medicine qui rapporte la nouvelle, en plus des propos de la Dre Mala Sachdeva, une spécialiste dans le domaine qui regarde les efforts de ses collègues à distance, sans participer aux essais.

« Ces résultats sont très impressionnants. Le tissu transplanté était fonctionnel. Il est tôt pour avoir des attentes élevées, car beaucoup de travail reste à faire, mais cela démontre un grand potentiel. »

S’il est vrai qu’une panoplie de tests, qui pourraient s’échelonner sur des années, restent à faire, les spécialistes s’entendent pour dire qu’il s’agit tout de même d’une base solide pour l’avenir.

Catégories
Uncategorized

Des cerveaux de souris « transparents » au service de l’homme?

Des chercheurs de Stanford auraient réussi à rendre des cerveaux de souris transparents, une technique inédite qui permettrait d’en savoir plus sur le cerveau de l’homme, selon The National Library of Medicine.

En parvenant à rendre le cerveau de ces rongeurs transparent, les chercheurs peuvent maintenant en étudier les composantes et observer les réactions face à divers traitements, sans devoir procéder à des techniques invasives complexes ou à la dissection de l’organe.

Décrite dans une publication par la revue Nature, la procédure s’effectue sur le cerveau d’un animal mort. On remplace les lipides du cerveau par un liquide, l’hydrogel, ce qui permet de le rendre translucide.

« Étudier des systèmes intacts avec ce genre de résolution moléculaire et être capable de voir les petits détails et le portrait global en même temps a toujours été un but ultime en biologie. Un but que nous commençons maintenant à aborder », explique avec enthousiasme le directeur de cette recherche, Karl Deisseroth.

Catégories
Uncategorized

Percée intéressante dans la lutte à l’Alzheimer et au Parkinson

Santé Log rapporte que des chercheurs ont réussi à décrypter une enzyme bien précise, qui serait en partie responsable du développement de certaines maladies dégénératives comme le Parkinson et l’Alzheimer.

Il s’agit de l’enzyme KMO, qui fait des ravages au cerveau, et que l’on se devait de mieux comprendre avant d’envisager d’aller plus loin dans les recherches de traitements.

Ce serait maintenant chose faite, des chercheurs de plusieurs universités (notamment en Europe) ayant uni leurs forces pour tenter de mieux comprendre et analyser l’enzyme KMO.

Le but est de réussir à stopper l’activité de cette dernière, et ainsi réussir à créer une barrière pour freiner le développement de ces terribles maladies.

Seule ombre au tableau, il faudra maintenant réussir à passer outre la barrière hématoencéphalique du cerveau humain, un défi de taille…

Malgré ce défi et le fait que cette récente découverte n’en soit qu’au stade préliminaire, les chercheurs semblent portés par un vent d’optimisme.

On attend déjà avec impatience les prochaines publications sur le sujet.