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Lutte à l’Alzheimer : une nouvelle race de super-rats est créée

Quelle nouvelle intéressante que celle rapportée par The National Library of Medicine, voulant que des chercheurs soient parvenus à créer une nouvelle race supérieure de rats!

Bien entendu, cette démarche ne s’est pas faite par pur plaisir, mais plutôt dans le cadre de la recherche et de la lutte à la maladie d’Alzheimer.

On voulait parvenir, du côté de ces chercheurs californiens, à tester des traitements sur des rongeurs qui s’apparentaient davantage aux humains touchés par la maladie que ceux qu’ils avaient déjà sous la main.

Une version « miroir », en somme, qui permet de mieux comprendre, étudier et lutter contre cette terrible maladie.

« Premièrement, le rat typique, qui est cinq millions d’années plus près de l’homme que la souris, est un meilleur modèle pathologique que la souris. Avec les modèles de souris, il est possible de les guérir avec plusieurs choses, mais aucun traitement n’a été transférable chez les humains. On croit maintenant que l’on peut réduire l’écart avec ces rats », explique le professeur Terrence Town, de l’University of Southern California.

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La nouvelle souche de grippe aviaire ne serait pas une menace

Des experts américains viennent de faire le point dans le dossier de cette nouvelle souche de grippe aviaire qui semble vouloir se développer, explique The National Library of Medicine.

On parle ici de la H7N9, une souche qui a frappé la Chine avec violence ces derniers temps, faisant au moins 7 morts. Vingt-quatre personnes au total auraient été infectées sur le territoire chinois, ce qui inquiète les diverses organisations de la santé dans le monde.

Rien ne sert de céder à la panique du côté de l’Amérique du Nord, croient les experts américains, d’abord parce qu’on croit que la souche H7N9 n’est pas transmissible d’homme à homme, et ne serait donc pas contagieuse.

« C’est vraiment très tôt dans le processus d’identification des cas humains », explique le Dr John Midturi, du Texas A&M Health Science Center College of Medicine.

Son homologue de Memphis, Richard Webby, en dévoile davantage : « On voit ce genre de choses chaque année avec la grippe aviaire. Ce qui semble rendre les gens un peu plus nerveux, c’est qu’en regardant la séquence du virus, on observe certaines mutations qui pourraient indiquer que le virus pourrait avoir amélioré ses capacités à se répliquer chez les humains ».

Un vaccin serait en préparation, mais il semble qu’il ne faille pas s’inquiéter outre mesure de notre côté de l’océan.

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La musique pourrait bientôt être considérée comme un traitement

Top Santé rapporte que de plus en plus de chercheurs et spécialistes commencent à croire aux bienfaits réels de la musique sur la santé, notamment en ce qui concerne le système immunitaire et les troubles anxieux.

Une équipe de chercheurs québécois basés à l’Université McGill se sont donc penchés sur la question, épluchant plus de 400 recherches effectuées précédemment sur le sujet.

Après avoir consulté et compilé tous ces documents, les chercheurs croient maintenant que la musique peut effectivement agir en tant que traitement pour certains problèmes, entre autres grâce à sa capacité à faire baisser le niveau de cortisol dans l’organisme, une hormone à l’origine du stress.

Bien entendu, on parle ici de musique relativement douce, et non agressive. La musique classique s’inscrirait parfaitement dans ce type de traitement.

On découvre que l’impact de la musique peut parfois s’avérer plus efficace que certains médicaments comme le Valium! En plus de détendre, la musique permettrait de solidifier le système immunitaire, et certaines personnes ressentiraient même une motivation générale accrue.

La super-étude en provenance de McGill ne permet pas de conclure à une cause à effet, mais elle entérine les précédentes théories en la matière.

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Les écoles peuvent jouer un rôle primordial sur la santé

The National Library of Medicine rapporte les conclusions d’une étude qui met en relief l’importance et l’impact des écoles sur la santé de ses étudiants.

Pas seulement pour les plus jeunes, apprend-on, mais aussi au niveau universitaire. Selon les chercheurs américains en tête de cette nouvelle recherche sur l’obésité et la nutrition, les écoles qui usent de politiques très strictes en matière d’alimentation permettent à leurs étudiants de se maintenir en bonne santé et dans les moyennes de poids jugées « normales ».

« Je crois que c’est une preuve que les écoles plus “santé” ont un impact positif, mais c’est une preuve préliminaire. C’est loin d’être définitif », tient à préciser Anne Barnhill, qui commente l’étude sans toutefois y participer.

Du côté de l’auteur de l’étude, le Dr Daniel Taber de l’Institute for Health Research and Policy situé à l’Université de l’Illinois (Chicago), il croit fermement que les étudiants qui se font servir des repas moins onéreux, donc moins nutritifs, affichent des taux d’obésité plus flagrants.

On note également l’impact de l’absence des infâmes machines distributrices, dans lesquelles abondent sandwichs de seconde zone, croustilles et chocolats, sur la santé des corps étudiants.

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Les troubles mentaux seraient influencés par les saisons

Deux choses étonnantes ressortent de cette étude sur la santé mentale rapportée par Santé Log. D’abord, les troubles psychologiques et les maladies mentales seraient influencés par le cycle des saisons. Ensuite, l’étude en question est une publiée par Google!

Basée sur une compilation de recherches et de données issues du célèbre moteur de recherche, cette étude est tout de même écrite et endossée par un spécialiste, le Dr John W. Ayers de l’Université de San Diego.

On y apprend donc que les saisons sont un facteur d’influence sur le développement et la férocité de certains troubles psychologiques et psychiatriques.

Cependant, on ne peut placer toutes les maladies et tous les problèmes sous le même arc ou le même graphique, chaque trouble ayant visiblement sa propre courbe saisonnière.

Ainsi, après avoir compilé toutes ces données virtuelles, le Dr Ayers conclut que les recherches sur les troubles alimentaires sont en baisse de près de 40 % en hiver, alors que la schizophrénie serait quant à elle moins « populaire » en été (40 % aussi).

Les recherches en ligne concernant les troubles obsessionnels compulsifs, la dépression et le suicide ainsi que le déficit d’attention sont en baisse durant la saison estivale.

Les chercheurs qui ont pris connaissance de ces résultats croient maintenant qu’il est envisageable de mieux cibler le public en utilisant ces données lors des campagnes de sensibilisation et de prévention.

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La journée idéale serait loin de la réalité du quotidien

Deux chercheurs, un Allemand et un Américain, se sont penchés sur la question du bonheur, et plus particulièrement sur la journée idéale, rapporte Top Santé.

Le premier constat issu de cette recherche originale est que les clés et les éléments d’une journée parfaite ne sont pas si complexes qu’on pourrait le croire, et qu’ils vont un peu à l’encontre de nos principes modernes et de notre obsession de la performance et de l’aspect financier.

Les deux chercheurs, Sebastian Pokutta et Christian Kroll, ont donc fractionné en détail cette fameuse journée parfaite, dans une théorie qu’ils ont baptisée « méthode de reconstruction de journée ».

À la minute près, donc, la journée parfaite moyenne serait constituée de 106 minutes de sexualité pour seulement 36 minutes de travail! 82 minutes seraient octroyées à la pure socialisation, soit du temps pour prendre soin de ses proches et amis et échanger avec eux.

On prendrait ensuite près de 70 minutes pour manger et méditer, et moins de 50 minutes pour les tâches ménagères. 48 minutes seulement devraient être allouées à l’ordinateur, le même nombre que pour la sieste.

Puis, comme si ce n’était pas assez, on ajoute du temps consacré à la relaxation… On peut donc dire que si ces conclusions sont le reflet des besoins humains, nous sommes dans une direction qui va à l’encontre de notre nature même.

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Les Japonais s’attaquent à nos rêves

Top Santé rapporte que des scientifiques japonais se sont penchés sur les rêves humains et auraient mis au point une nouvelle méthode de décryptage et d’analyse pour mieux les comprendre.

Les chercheurs asiatiques ont décidé d’utiliser une technique d’essais et erreurs afin d’en venir à un système de décodage fonctionnel des rêves. En effet, l’équipe japonaise a analysé les phases de sommeil de trois sujets, et a dû les réveiller à chacune d’elles afin que ceux-ci racontent leurs histoires.

En associant chacun de ces rêves à des thématiques et des descriptions, les chercheurs ont pu en venir à un genre de « dictionnaire » des rêves ultrasophistiqué.

« Les rêves sont représentés par des schémas d’activité cérébrale qui fournissent un moyen de découvrir leur contenu », résume l’un des chercheurs de l’équipe en tête de l’étude.

Puis, afin de vérifier l’efficacité de la méthode, ils ont ensuite essayé de deviner les rêves des sujets, en analysant ces fameux signaux cérébraux précédemment déterminés.

S’ils n’en sont qu’à un taux de succès de 60 à 70 %, ce qui n’est pas mauvais, les chercheurs croient qu’ils sont sur la bonne voie et qu’ils pourront bientôt analyser et « archiver » les rêves, ce qui permettra aux gens qui le désirent de savoir, se souvenir et mieux comprendre les rêves qui hantent leurs nuits.

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Le débat sur les ondes électromagnétiques se poursuit

Une nouvelle étude viendrait confirmer certains effets des ondes électromagnétiques sur l’organisme, selon Top Santé. À tout le moins sur celui des rongeurs, car l’effet démontré ne l’a été que sur des rats, et non sur des humains.

Si la France parle des antennes-relais, il en va de même au Québec, avec nos fameux nouveaux compteurs d’électricité, en plus de tous les appareils émetteurs d’ondes retrouvés dans nos maisons.

Donc, ces appareils producteurs d’ondes dans notre environnement peuvent-ils avoir un effet sur notre santé? Oui, répond l’équipe de chercheurs de l’Université d’Amiens et de l’INERIS.

Les chercheurs, dont les conclusions sont publiées dans le magazine Environnement Science and Pollution Research, croient qu’on peut parler d’effet sur l’équilibre énergétique, ce qui pourrait mener à certains problèmes de santé.

Perte de sommeil ou insomnie et prise de poids feraient partie des « symptômes », des phénomènes observés chez les rongeurs-tests.

Plus précisément, certains rats ont démontré des baisses de température, une faim supérieure, un sommeil fractionné et une certaine anxiété. Plus encore, la queue de certains rats a carrément été modifiée!

Les chercheurs tiennent mordicus à ce que d’autres études sur le sujet soient produites, afin de voir si cette corrélation peut s’étendre et s’appliquer à l’humain.

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Les filles sont moins bonnes en mathématiques : un mythe

Il existe un mythe tenace concernant la gent féminine et les mathématiques, soit celui que les filles soient moins bonnes dans cette matière que les garçons.

Selon une étude américaine rapportée par Santé Log, les filles peuvent se démarquer tout autant que leurs camarades masculins en maths, et les raisons qui expliquent les succès ou les échecs relèveraient plutôt d’autres facteurs que le simple sexe de la personne.

On parle entre autres de l’estime de soi, qui serait primordiale pour exceller dans les chiffres et les nombres. Cette qualité est par ailleurs utile pour une multitude d’autres sujets dans la vie en général, mais particulièrement dans les matières comme les mathématiques, apprend-on. L’envie de réussir est aussi un facteur important, selon les chercheurs.

Publiées dans la prochaine édition du Psychology of Women Quarterly, ces recherches confirment donc que les filles de ce monde n’ont aucune crainte ni aucun complexe à avoir, et qu’elles peuvent envisager des carrières en mathématiques et en sciences, à l’égal des garçons.

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Retour sur le lien entre la longévité et la reproduction chez l’homme

On apprend via Santé Log qu’un lien peut être tracé entre la longévité chez l’homme et ses comportements reproducteurs, un lien qui viendrait d’être aussi observé chez les oiseaux.

D’abord, revenons sur celui du mâle humain. Plusieurs études auraient démontré un lien direct entre les hormones sexuelles et la longévité chez l’homme. Ainsi, plus un sujet possède de ces hormones, moins il vivrait longtemps.

On comprend de ces études plus ou moins bien expliquées que l’homme qui « conserve » ces cellules risque de vivre moins vieux!

Or, on vient de tirer des conclusions en ce qui concerne les oiseaux qui tendent à prouver celles concernant l’homme.

Cette toute nouvelle étude, en provenance de la Suède, explique que ce sont les télomères qui influenceraient ce processus de longévité. Les télomères sont des « couvercles » de protection des chromosomes. Ils sont définis par une longueur, et cette dernière serait gage d’une longévité accrue ou moindre.

Même si le débat est lancé depuis fort longtemps, et que ce lien observé n’est pas récent, il est clair qu’il faudra encore plus de recherches et de patience pour arriver à des conclusions précises et plus faciles à expliquer.

Pour l’instant, ces récentes recherches ont été publiées dans le magazine BioMed Central Evolutionary Biology.