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Le téléphone mains libres aussi dangereux que l’alcool au volant

Plusieurs théories, statistiques à l’appui, avancent que les automobilistes qui utilisent leur téléphone intelligent au volant se placent en danger de la même façon que ceux qui conduisent en état d’ébriété.

Après une foule de débats, voilà qu’une équipe de chercheurs en provenance de l’Australie et de l’Espagne s’est mise à la tâche de réaliser une étude sur le sujet, pour vérifier les dangers réels de ce comportement moderne.

Pour y parvenir, ils ont rassemblé 12 étudiants universitaires et leur ont fait passer des tests de simulation de conduite, rapporte The National Library of Medicine. Le premier test consistait à une simulation de conduite avec un taux d’alcoolémie dépassant la limite permise, et le second avec un téléphone mains libres.

Les sujets devaient maintenir une vitesse donnée, tout en gardant la voie du centre et en s’arrêtant chaque fois qu’un camion apparaissait.

Les chercheurs ont rapidement constaté qu’un message texte ou une conversation téléphonique, même avec un système mains libres, rendaient les conducteurs aussi distraits que lorsqu’ils avaient bu.

Le degré d’intensité ou d’importance de la discussion faisait également varier les « taux de distraction ».

Ainsi, lorsqu’on conduit, il vaut mieux se concentrer sur cette seule et unique tâche.

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L’effet préventif de la vitamine E sur le cancer

Plusieurs études laissaient penser que la vitamine E pouvait avoir des vertus préventives contre le cancer, mais cette récente recherche rapportée par Medical News Today tend à le démontrer de façon claire.

Si les résultats semblaient probants sur les animaux, les essais cliniques subséquents sur les humains n’ont malheureusement pas été couronnés d’autant de succès jusqu’ici.

Voilà toutefois que des chercheurs new-yorkais ont réussi à établir un lien entre les effets de la vitamine E sur le cancer de la prostate, plus particulièrement sur l’activation d’une enzyme responsable du développement des tumeurs. En coupant le processus d’activation, la vitamine E permet de « tuer » les cellules cancéreuses, ni plus ni moins.

« C’est la première démonstration d’un mécanisme unique qui permet à la vitamine E d’offrir des bénéfices en terme de prévention et de traitement du cancer », explique l’auteur principal de ces recherches, Ching-Shih Chen.

Chen poursuit en rappelant que les suppléments de vitamine E vendus en magasin ne permettent pas de reproduire ce phénomène, et que son équipe et lui aimeraient créer une pilule qui, en dose quotidienne, préviendrait le cancer.

Plusieurs tests et expérimentations sont encore à prévoir, mais il s’agit d’une autre belle nouvelle en matière de traitement et de prévention du cancer.

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Le thé vert et le café préviendraient la crise cardiaque

On vante maintenant les mérites du thé et du café comme moyen de prévention des troubles et crises cardiaques, rapporte The National Library of Medicine.

On le savait pour le thé, notamment le thé vert, mais les spécialistes s’entendaient moins en ce qui concerne le café.

Selon l’étude en provenance du National Cerebral and Cardiovascular Center à Osaka, les deux boissons sont effectivement excellentes pour le cœur et sa protection.

« L’action régulière et quotidienne de boire du café ou du thé vert serait un bénéfice en prévention des crises cardiaques. Si vous ne pouvez améliorer votre style de vie, essayez de prévenir les crises cardiaques avec du thé vert chaque jour », résume le Dr Yoshihiro Kokubo, chef du département de cardiologie préventive du centre.

Cependant, le Dr Kokubo et son équipe tiennent à spécifier que la cause à effet n’a toujours pas été établie, bien qu’ils soient convaincus de ce qu’ils avancent.

C’est d’ailleurs ce que souligne le spécialiste américain Ralph Sacco, l’ancien président de l’American Heart Association, qui croit qu’il est impossible de prouver la véracité de cette théorie.

Les résultats de l’étude japonaise ont été publiés dans l’édition du 14 mars du magazine Stroke.

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Le lait entier est déconseillé aux femmes en rémission du cancer du sein

Top Santé rapporte une étude américaine qui met en garde les survivantes du cancer du sein contre les produits faits à base de lait entier.

Pour l’équipe de chercheurs basés en Californie (Oakland), le lait entier renferme des propriétés qui augmentent les risques de rechute. On parle entre autres du fromage, de la crème glacée et autres dérivés des produits laitiers, qui sont à déconseiller pour les femmes en rémission.

« Les femmes qui ont eu un cancer du sein et qui doivent donc limiter leur exposition aux oestrogènes ont tout intérêt à cesser de consommer des produits laitiers à base de lait entier et leur préférer les produits laitiers allégés en matière grasse », résume la Dre Candyce Kroenke, auteure principale de l’étude.

Cette dernière s’est par ailleurs étendue sur le sujet durant 15 ans, ce qui rend ces conclusions difficiles à réfuter. Plusieurs centaines de femmes ont été observées durant cette période, et la Dre Kroenke croit qu’un autre avertissement s’impose.

« Il faut noter également que certaines femmes de ce groupe sont décédées, non des suites de leur cancer, mais d’une maladie cardiovasculaire. Or, une alimentation riche en matières grasses et toujours un facteur de risque supplémentaire pour les maladies cardiovasculaires. »

On suggère donc d’opter pour des produits laitiers allégés et une consommation modérée.

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Cesser de fumer est bon pour la santé cardiaque, malgré un gain de poids

Plusieurs sources, dont Top Santé, révèlent les résultats de cette étude qui compare les bienfaits liés à l’arrêt du tabagisme à ses inconvénients.

Sont principalement étudiés dans cette étude les effets sur le cœur ainsi que sur la masse corporelle. C’est que pour un bon nombre de fumeurs, la prise de poids liée à l’arrêt du tabagisme est suffisante pour les faire reculer et abandonner le projet.

« Certains fumeurs veulent éviter de grossir par souci esthétique », explique James Meigs, directeur de l’étude.

Pourtant, selon les chercheurs américains qui publient cette recherche, les bienfaits sur la santé cardiaque dépassent de loin les petits inconvénients d’une prise de poids. C’est ce qui est dévoilé dans la plus récente édition du Journal of the American Medical Association, qui publie les résultats de l’étude.

Après avoir suivi 3200 personnes pour le compte de cette recherche, le Dr Meigs est convaincu : « Oui, vous pouvez un peu grossir si vous décidez d’arrêter de fumer, mais vous divisez de moitié vos risques cardiovasculaires ».

Il est aussi possible d’éviter une prise de poids en accompagnant l’arrêt du tabac à un nouveau régime alimentaire et à un programme d’activité physique.

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Être conscient lors d’une anesthésie demeure un phénomène rare

C’est une peur bien ancrée dans l’imaginaire que d’ouvrir les yeux alors que l’on est encore sur une table d’opération! Des légendes urbaines circulent sur le sujet, et même quelques films ont traité de ce cauchemar éveillé.

Selon une étude rapportée par The National Library of Medicine, il s’agirait tout de même d’un phénomène très rare. En fait, les statistiques démontrées parlent d’un cas potentiel sur 15 000 patients, un chiffre minime, mais tout à fait réel.

Présentée par le Royal College of Anaesthetists et l’Association of Anaesthetists of Great Britain and Ireland, l’étude recensait les expériences vécues par des anesthésistes au courant de l’année 2011.

Cette compilation vient contredire les précédentes statistiques qui parlaient plutôt d’un cas possible sur 500 patients.

« L’anesthésie est une spécialité médicale qui se concentre sur la sécurité et l’expérience du patient. Nous avons enregistré des accidents du genre au cours d’anesthésies, ce qui a mené à des inquiétudes chez les patients et la communauté médicale. La communauté prend donc connaissance de cette étude majeure, afin de mieux comprendre le phénomène et d’ainsi réduire les chiffres démontrés », résume l’auteur en chef de l’étude, Jaideep Pandit.

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Des emballages verts qui créent l’illusion

On apprend via Science Daily qu’une manœuvre publicitaire pourrait bien mener inconsciemment les consommateurs vers des produits qui donnent l’impression d’être bons et sains pour la santé, alors qu’ils ne le sont pas du tout.

Rassurez-vous, il ne s’agit pas d’une pratique illégale ou de flouer directement le consommateur. C’est plutôt un choix dans la facture visuelle des emballages qui mènerait plusieurs consommateurs à faire un lien inexistant.

Le truc consisterait à vendre un produit dans un emballage vert, tout simplement!

C’est ce que rapportent des chercheurs de l’Université Cornell, qui en ont fait l’expérience. Même une barre de chocolat serait considérée plus « santé » lorsqu’elle est présentée dans un emballage vert!

« De plus en plus de tableaux caloriques et d’étiquettes des valeurs nutritives apparaissent à l’avant des emballages, incluant ceux des collations sucrées comme les barres de chocolat. Or, on ne prend pas toujours le temps de bien lire. »

« Nos recherches démontrent donc que la couleur de ces tableaux et étiquettes peut avoir un impact sur la perception que les gens ont d’un produit », résume le professeur de Cornell, Johanthon Schuldt.

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Des chercheurs tracent un lien évident entre le sucre et le cancer

Nutrition News rapporte que des chercheurs espagnols ont finalement déterminé avec plus de précision les liens entre le cancer, ainsi que d’autres problèmes de santé, et une consommation élevée de sucre.

Il semble que ce soit véritablement la dose consommée qui soit en cause, notamment dans le développement du cancer et du diabète.

Peu dangereux à petites doses donc, même qu’on confirme l’utilité du sucre pour l’organisme, c’est lorsqu’on abuse de la substance que les problèmes peuvent poindre à l’horizon.

« Nous avons été surpris de constater que les changements du métabolisme causés par le sucre avaient un impact sur les risques de cancer. Nous enquêtons maintenant sur les autres composantes du régime alimentaire qui peuvent influencer les risques de cancer », explique la Dre Custodia Garcia-Jimenez.

Les chercheurs de l’Université Rey Juan Carlos rappellent que l’on ignorait jusqu’à quel point les taux de sucre, ainsi que l’obésité due au sucre, pouvaient augmenter les risques de cancer.

On croit qu’un cancer sur trois pourrait être prévenu grâce à une amélioration du régime alimentaire et à l’activité physique.

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La prise d’aspirine pourrait prévenir du cancer de la peau chez la femme

La prise d’aspirine sur une base quotidienne est un comportement populaire, conseillé par certains spécialistes et décrié par d’autres. Si les théories sont mitigées à son propos, l’aspirine reçoit maintenant un autre appui, cette fois en ce qui concerne un certain type de cancer.

En effet, Top Santé rapporte que les femmes pourraient voir les risques de développer un cancer de la peau, ou un mélanome, diminuer grandement grâce à l’aspirine.

Ce sont des chercheurs de la prestigieuse Université Stanford qui avancent ces conclusions, en se basant sur leurs observations.

Ces dernières ont été effectuées sur près de 60 000 patientes, suivies sur une période de 12 ans. Ces femmes, âgées de 50 à 79 ans, ont vu leurs chances de développer un mélanome diminuer de 21 %, toujours selon les chercheurs de Stanford.

« Cette découverte suggère que l’aspirine pourrait avoir un effet préventif contre le développement du mélanome », termine le Dr Jean Tang, directeur de ces nouvelles recherches.

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La vitamine B pourrait aider certains patients atteints de schizophrénie

The National Library of Medicine rapporte les conclusions d’une étude qui laissent croire à la possibilité que la vitamine B puisse venir en aide à certains types de patients schizophrènes.

Malheureusement, ce ne serait pas un constat qui s’applique à tous et toutes. Le patient qui pourrait bénéficier de suppléments de vitamine B dans le cadre de son traitement est celui qui démontre des prédispositions génétiques préalables.

Car ne réagit pas qui veut à la vitamine B, révèlent les chercheurs du Massachusetts General Hospital.

« Il s’agit d’un gène qui contrôle la digestion de l’acide folique dans le sang », déclare le Dr Joshua Roffman, auteur principal de l’étude.

Il précise également que les changements observés chez les patients après avoir reçu des doses de vitamines B sont minimes, mais bien perceptibles, donc réels.

Roffman termine en indiquant que même si la publication est une recherche partielle, elle n’en demeure pas moins fort importante dans la quête de soins pour les patients atteints de schizophrénie.