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Le manque de sommeil mènerait à de mauvaises habitudes alimentaires

Les gens qui dorment trop peu ont plus de risques de se tourner vers la malbouffe que les autres, croient des chercheurs qui publient une étude sur le sujet.

Ainsi, les gens aux prises avec des troubles de sommeil, ou qui en manque, seraient plus enclins à se ravitailler dans les restaurants de fast-food et même commander de plus grosses portions!

Ce sont des chercheurs suédois qui arrivent à de telles conclusions, à la suite des tests et analyses effectués sur 16 sujets masculins de poids « normal ».

On a d’abord vérifié les habitudes et les envies de ces sujets après des nuits de sommeil réparatrices de huit heures, en moyenne, avant de répéter le stratagème à la suite de nuits blanches.

Étrangement, les participants ont automatiquement choisi des portions plus grandes que d’habitude, eux qui avaient préalablement reçu un petit déjeuner en plus.

On croit donc que le manque de sommeil crée un besoin calorique plus élevé chez l’homme, ce qui peut également mener tout droit à l’obésité.

Les résultats de ces recherches ont été publiés dans le journal Psychoneuroendocrinology.

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Les livres de croissance personnelle au secours des gens dépressifs

On apprend par l’entremise de The National Library of Medicine qu’une nouvelle étude redonne ses lettres de noblesse aux livres de croissance personnelle retrouvés sur le marché.

Ceux-ci sont souvent victimes de préjugés, à tort ou à raison, mais il appert qu’ils pourraient bien s’avérer bénéfiques dans certaines situations données.

Ce serait le cas notamment en ce qui concerne les gens aux prises avec des troubles liés à la dépression, croient les chercheurs britanniques qui publient leurs conclusions dans l’édition du 26 février du BMJ.

C’est après avoir analysé le cas de plusieurs patients dépressifs et leurs réactions face à ce type de traitement « doux », comme les livres de croissance personnelle, qu’ils se sont rendu compte que la méthode pouvait porter des fruits.

Peter Bowers, de l’Université de Manchester, croit donc que les thérapeutes et praticiens devraient songer à utiliser ces outils dans le cadre de la thérapie offerte aux patients.

On souligne également le coût très bas de ces livres, par rapport à celui de thérapies extensives et onéreuses.

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Plus de partenaires sexuels pourraient signifier plus d’alcool

Si vous êtes célibataire, que vous cumulez les conquêtes et que votre consommation d’alcool dépasse les posologies prescrites, sachez qu’il y a peut-être un lien à tracer entre les deux comportements.

C’est du moins ce que rapporte Top Santé, alors qu’une nouvelle étude néo-zélandaise sur le sujet fait son apparition. On y apprend que le nombre de partenaires sexuels aurait une incidence sur la consommation d’alcool, un fait qui serait vérifiable même chez la femme.

Surtout chez la femme même, si l’on croit les statistiques offertes par l’étude. Ainsi, les femmes seraient plus à risque de développer un problème de consommation d’alcool si elles vivent des relations sexuelles avec plus de trois partenaires entre l’âge de 18 et 20 ans.

Les chiffres explosent, se multipliant par sept, lorsqu’on analyse les données concernant les femmes de 21 à 25 ans. La courbe devient exponentielle chez les femmes de 32 ans, à tout le moins chez celles qui ont eu beaucoup de partenaires sexuels durant la deuxième moitié de la vingtaine.

L’étude croit que les deux comportements sont similaires à bien des égards, affirmant que « les personnes impulsives ont plus de chances de s’engager dans plusieurs activités et d’être dépendantes à certaines substances ».

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Un traitement contre le cancer de la prostate découvert à Sherbrooke

Radio-Canada rapporte que des chercheurs de l’Université de Sherbrooke et du CHUS auraient découvert un traitement pour venir à bout du cancer de la prostate.

Cette spectaculaire nouvelle aurait mené à une subvention de 1,2 million de dollars pour l’équipe de chercheurs, qui croit être en mesure de ralentir la prolifération des cellules cancéreuses en cause dans le développement du cancer de la prostate.

Ce dernier est un réel fléau qui touche de plus en plus d’hommes à travers le monde. Si l’explication du traitement est complexe, son implication n’en demeure pas moins claire : on pourrait bientôt traiter le cancer de la prostate efficacement.

« L’enzyme peut être considérée comme des ciseaux moléculaires. On utilise une molécule pour empêcher ce ciseau d’avoir son action. Les molécules, que nous avons produites, doivent être encore développées pour améliorer leur stabilité et leur accessibilité aux tissus chez les humains. Nous sommes présentement en train de développer ces étapes », résume Robert Day, de la Faculté de médecine de l’Université de Sherbrooke.

Après des essais fructueux sur des souris, les chercheurs se disent maintenant prêts à commencer les essais cliniques sur des humains. La planète entière se croise les doigts.

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Les Américains se lasseraient-ils de la malbouffe?

Un rapport aussi encourageant qu’improbable, en provenance des États-Unis, fait état d’une baisse de popularité de la malbouffe chez nos voisins du sud.

Pourtant reconnus comme capitale de la restauration rapide et des repas malsains dans le monde, les États-Unis voient leurs statistiques de consommation de malbouffe diminuer pour la première fois.

C’est Top Santé qui rapporte cette nouvelle étonnante, alors que l’organisation du NHANES (National Center For Health Statistics) constate certaines modifications dans la relation des Américains avec leurs chaînes de restauration rapide préférées.

« La baisse est significative, mais beaucoup d’efforts restent à faire », mentionne Cheryl D. Fryar, coauteure de ces recherches.

Cette dernière croit que la baisse enregistrée est en partie due à la sensibilisation massive effectuée au cours des dernières années en Amérique concernant les dangers reliés à la consommation de malbouffe.

Malgré tout, si on regarde les chiffres d’une autre façon, on constate que la malbouffe en général compte encore pour 11 % des calories ingérées quotidiennement par le peuple américain.

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Se priver de sommeil pourrait déranger vos gènes

Manquer d’un sommeil adéquat n’aurait pas que pour effet de vous fatiguer, mais pourrait aussi nuire et déranger vos gènes, lance une étude britannique sur le sujet.

Rapportées par The National Library of Medicine, ces conclusions sont pour l’instant primaires et ne répondent pas à toutes les interrogations.

On ne sait par exemple toujours pas comment le fait de manquer de sommeil pourrait jouer sur la génétique de votre organisme, mais les chercheurs de l’Université du Surrey croient néanmoins pouvoir observer le phénomène.

Pour y parvenir, les chercheurs ont recruté 26 volontaires qui ont d’abord passé une semaine en cycle de sommeil « normal », pour ensuite diminuer le nombre d’heures de sommeil alloué.

On a ensuite prélevé des échantillons sanguins sur les sujets, qui ont révélé que plusieurs gènes et éléments du métabolisme s’en trouvaient ralentis.

On aura encore besoin de plus de tests pour mieux comprendre le phénomène et ses impacts concrets sur la santé, mais il s’agit d’un pas.

L’étude a été publiée dans l’édition du 25 février des Proceedings of the National Academy of Sciences.

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Des experts déconseillent les suppléments de calcium aux femmes plus âgées

The National Library of Medicine rapporte qu’un groupe de spécialistes américains vient de publier une déclaration qui déconseille aux femmes plus âgées, spécialement celles en parfaite santé, de consommer systématiquement des suppléments de calcium.

Il s’agit d’un comportement populaire encouragé, puisqu’on accorde aux compléments alimentaires de calcium (ainsi qu’à la vitamine D, aussi retrouvée dans le lait) des effets protecteurs sur les os. On pourrait ainsi prévenir les fractures lorsqu’on prend de l’âge, croient plusieurs.

Rien n’est plus faux, martèlent maintenant les autorités américaines en la matière, qui y vont d’une dernière recommandation dans le cadre de ces études.

Pour les personnes en santé, un apport supplémentaire minime ou moyen en calcium n’aurait aucun effet, et les vertus d’un apport supplémentaire fort restent à démontrer.

Pour l’équipe de chercheurs, qui publie ces résultats dans l’édition du 26 février des Annals of Internal Medicine, aucune preuve concluante ne permet de prescrire ou d’encourager la prise de calcium en supplément chez les femmes de plus de 50 ans et en bonne santé.

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La stimulation cérébrale profonde : solution aux désordres obsessifs compulsifs?

The National Library of Medicine rapporte les conclusions obtenues à la suite des recherches sur les désordres obsessifs compulsifs et de la réaction des patients à des traitements par stimulation cérébrale profonde.

On parlait déjà beaucoup de cette façon de faire pour enrayer, ou à tout le moins prévenir, des troubles cognitifs ou dégénératifs, mais c’est la première fois que des spécialistes tentent vraiment le coup en ce qui a trait aux désordres obsessifs compulsifs.

Publiées dans l’édition du 24 février du journal Nature Neuroscience, ces recherches confirmeraient l’idée que ces désordres sont l’œuvre d’un dérèglement cérébral, et qu’ils sont donc réversibles.

À tout le moins de moitié, puisque les chercheurs hollandais en tête de l’étude révèlent avoir réglé 50 % du problème chez certains patients, grâce à la stimulation cérébrale profonde.

On définit un désordre obsessif compulsif par un comportement répété de la part d’un individu, qui ne peut y mettre un terme volontairement. On parle bien sûr notamment de certaines dépendances, mais ce trouble peut aussi se traduire par des gestes simples, comme placer les choses dans un ordre précis ou encore constamment s’inquiéter d’un geste que l’on a pourtant bien accompli, comme verrouiller une porte.

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Découverte d’un « chaînon manquant » cellulaire

Des chercheurs auraient franchi une étape importante en ce qui concerne les cellules souches, la moelle osseuse et le système immunitaire.

En effet, selon les travaux rapportés par Santé Log, on pense avoir découvert un nouveau type de cellule qui échappait jusqu’à maintenant aux plus éminents spécialistes.

Qualifiée de véritable « chaînon manquant » cellulaire, cette cellule permettrait de faire le pont entre les cellules souches de moelle osseuse et celles du système immunitaire.

Ainsi, il est permis de croire que l’on pourrait bientôt « manipuler » certains processus qui régulent notamment le bon fonctionnement du sang et de ses vertus protectrices (globules), et ainsi améliorer ou réparer le système immunitaire chez certains patients.

Même chose pour la moelle osseuse, qui pourrait elle aussi se voir manipulée ainsi, permettant à des patients jusqu’ici qualifiés d’incurables de retrouver possiblement le chemin de la santé.

Tous ces constats ont été imaginés par les chercheurs jusqu’à maintenant, mais plusieurs clés restent à trouver afin de passer de la théorie à la pratique. Cette percée semble jeter un vent d’optimisme au sein de la communauté scientifique.

L’étude a été publiée dans l’édition de février du magazine Nature Immunology.

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Le vin rouge et l’ouïe

Une étude américaine rapportée par Top Santé révèle que le vin rouge pourrait posséder des vertus cachées qui protègeraient l’ouïe.

En effet, les chercheurs de l’hôpital Henry Ford, à Detroit, constatent que certaines composantes du vin rouge seraient bénéfiques à l’audition chez l’homme, notamment le resvératrol, un antioxydant.

Ces conclusions étonnantes sont le fruit d’un travail en laboratoire de sept semaines, période au cours de laquelle les chercheurs ont observé les réponses auditives de rats, dont certains recevaient des doses de resvératrol.

Ceux qui étaient au contraire placés sous une simple solution saline voyaient leurs capacités auditives baisser de façon plus évidente que ceux qui recevaient l’antioxydant.

Le Dr Michael Seidman, de l’équipe en tête de l’étude, résume : « Notre dernière étude met l’accent sur le resvératrol et ses effets sur les réactions du corps à la suite d’un traumatisme. On pense que ces réactions sont la cause de nombreux problèmes de santé comme la maladie d’Alzheimer, le cancer, le vieillissement et la perte d’audition ».

Le constat va donc plus loin que l’impact du vin sur l’ouïe, car on ouvre la porte à un possible effet préventif des maladies dégénératives et cognitives.