Catégories
Uncategorized

Le smog pourrait causer des crises cardiaques

Une nouvelle étude en provenance de Houston, aux États-Unis, affirme qu’il y a un lien à tracer entre le smog retrouvé dans plusieurs grandes villes et plusieurs cas de crises cardiaques.

C’est ce que dévoile The National Library of Medicine, alors que l’étude parle d’un risque de crise cardiaque augmenté de 5 % dans les zones où l’air est le plus pollué.

Les niveaux d’ozone sont aussi une donnée importante avancée par les chercheurs américains. Les risques seraient d’autant plus vérifiables chez les hommes et les gens de plus de 65 ans.

« Le but ici est de sauver des vies. Nous aimerions contribuer à un système d’alerte plus raffiné pour prévenir les gens à risque lorsque l’air devient très pollué. Les alertes actuelles ne sont peut-être pas suffisantes. En même temps, nous voulons améliorer notre compréhension des coûts de la santé reliés à la pollution. », résume avec brio Katherine Ensor, professeur à l’Université Rice.

Pour en arriver à ces conclusions, les chercheurs se sont basés sur les chiffres analysés dans leur propre ville, Houston, et ont pu vérifier plusieurs liens entre les périodes de chaleur intense et de smog, et plusieurs cas de troubles cardiaques.

Catégories
Uncategorized

Un plan de plusieurs milliards pour étudier le cerveau humain

Les Américains sont de retour en force sur plusieurs tableaux depuis quelque temps, et ils risquent de marquer un grand coup en dévoilant les conclusions d’une super-étude organisée en secret par l’administration Obama.

Il s’agit de recherches visant à étudier le cerveau humain en profondeur, rapporte The National Library of Medicine.

Des travaux qui auraient nécessité plusieurs milliards de dollars et près d’une dizaine d’années de dur labeur de la part de plusieurs scientifiques.

Les résultats de cette super-étude pourraient donc être dévoilés aussi tôt que le mois prochain, selon ce que l’on comprend.

Le but de cette initiative était de réussir à créer un « mappage » du cerveau humain, et d’en comprendre le plus possible sur l’énigmatique organe. Les spécialistes et chercheurs de partout s’en réjouissent.

« L’initiative a le potentiel de révolutionner notre compréhension des circuits neuronaux, et d’offrir le savoir fondamental critique au développement de traitements contre plusieurs maladies. », déclare avec enthousiasme le Dr David Fitzpatrick, de la Max Planck Florida Institute for Neuroscience.

Catégories
Uncategorized

Un régime spécial pour ralentir la maladie d’Alzheimer

Santé Log rapporte une étude américaine qui fait état d’une découverte intéressante concernant la maladie d’Alzheimer.

En effet, des chercheurs de la USC Davis School of Gerontology(Université de Californie du Sud) auraient réussi à ralentir la progression de l’Alzheimer chez des souris, grâce à un régime alimentaire dit « hypoprotéiné ».

On commence par nourrir le sujet de façon normale, avant de le placer sous une diète stricte composée d’aliments forts en protéines et d’acides aminés spécifiques. On poursuit ainsi ces deux cycles alimentaires durant quatre mois.

Au final, les rongeurs observés lors de l’étude ont démontré des améliorations notables de leurs réactions cognitives, notamment lors du fameux test du labyrinthe. De plus, la protéine tau, caractéristique de l’Alzheimer, voyait son taux diminuer.

Il demeure bien sûr plusieurs essais cliniques à effectuer avant de parler de véritable découverte, car on ignore si le modèle peut se transposer chez l’humain.

Cependant, cette avancée permet de rester optimiste, surtout lorsqu’on combine celle-ci avec les autres percées récentes en matière d’Alzheimer.

Catégories
Uncategorized

Près du double du risque de cancer pour les amateurs de malbouffe

La malbouffe est au plus bas. Jamais sa réputation n’aura été aussi entachée que maintenant, et cette récente étude en provenance des Pays-Bas ne risque pas d’améliorer la situation.

Si on savait que la malbouffe était mauvaise pour la santé, il appert qu’elle augmenterait dramatiquement les risques de cancer, rapporte Santé Log.

Et pas de moindre façon, puisque selon les chercheurs de l’Université de Wageningen, on parle de risques de cancer qui se voient augmentés de 200 % chez ceux qui consomment régulièrement ce genre d’aliments et qui souffrent d’une condition héréditaire comme le syndrome de Lynch, par exemple.

Une bien mauvaise publicité pour les chaînes de restauration rapide, qui tentent par tous les moyens de redorer leur blason. Même chose en ce qui concerne les croustilles et autres grignotines, qui se retrouvent aussi au banc des accusés dans cette étude.

Les conclusions de cette dernière ont été publiées dans le magazine Cancer (American Cancer Society) et somment les gens aux prises avec des conditions héréditaires ou des problèmes de santé d’adopter sans attendre de nouvelles (et bonnes) habitudes alimentaires.

Catégories
Uncategorized

Êtes-vous un petit ou un grand rêveur?

L’INSERM était chargé d’analyser l’activité cérébrale chez les dormeurs en tout genre, et l’institut y va de quelques révélations intéressantes, rapportées par Top Santé.

Notamment cette distinction entre « petit » et « grand » rêveur, qui se définit entre autres par la capacité à dormir paisiblement et à se souvenir de ses rêves.

Alors que les petits rêveurs seraient plus susceptibles de dormir paisiblement, on apprend que les grands rêveurs peuvent être victimes de nuits plus agitées et se réveiller plus souvent au cours de la nuit, mais ont aussi la faculté de se souvenir plus aisément de leurs rêves.

Baptiste Eichenlaub et Perrine Ruby, chercheurs de l’INSERM, qualifient ces phases de rêves de « micro-réveil », période au cours de laquelle les dormeurs seraient plus sensibles aux perturbations extérieures ainsi qu’aux distractions environnantes.

On parle donc d’une phase qui frôle le réveil, au sens où les grands rêveurs sont conscients de l’environnement tout en dormant.

Les petits rêveurs enregistrent aussi ces phases de micro-réveil, expliquent les deux chercheurs, elles sont simplement plus courtes. On parle de cinq minutes de ce phénomène par nuit pour les petits rêveurs, et de 15 minutes pour les grands.

Catégories
Uncategorized

La consommation de fruits bénéfique pour la peau

Il existe plusieurs produits sur le marché afin de conserver la plus belle peau possible, mais une nouvelle étude qui nous arrive d’Écosse propose un nouveau truc beauté qui n’implique l’achat d’aucun produit particulier.

Sauf peut-être celui que vous ferez au rayon des fruits et légumes, rapporte Top Santé, puisque l’étude en question parle de l’impact de la consommation de fruits sur la peau.

Les chercheurs écossais s’avancent à parler de trois portions de fruits par jour pour une peau en santé, en plus de préciser l’impact des caroténoïdes. Ces derniers sont davantage retrouvés dans les légumes, dont les carottes et le chou.

Le kiwi et l’orange seraient également bénéfiques pour un teint éclatant, selon les résultats de cette étude. Celle-ci a analysé les impacts d’une prise quotidienne de fruits (et légumes) sur le teint de plusieurs sujets, sur une période de six semaines.

Photos à l’appui, le directeur de l’étude, Dr Ross Whitehead, croit fermement aux vertus des fruits sur la peau, affirmant même que d’en consommer trois portions par jour « constitue un moyen plus efficace de s’embellir ».

Catégories
Uncategorized

Plus de détails sur les menus de restaurant, une méthode qui fonctionne

On parle de plus en plus de cette volonté à obliger les restaurateurs à inscrire précisément ce que contiennent les repas affichés sur leur menu, afin de permettre au consommateur de faire des choix plus éclairés.

Voilà que The National Library of Medicine rapporte une nouvelle étude américaine sur le sujet, qui vante les mérites de cette approche.

On avance même que cette façon de faire, notamment d’indiquer clairement les apports caloriques des mets sur le menu, permettrait non seulement aux gens soucieux de leur santé d’être mieux servis, mais également de conscientiser ceux qui ne se soucient guère de leur santé.

Plus facile de faire une prise de conscience lorsqu’on a tous les éléments en main, croient les chercheurs du Jean Mayer USDA Human Nutrition Research Center on Aging qui publient cette recherche.

« C’est encourageant, car l’information pourrait bien aider ceux qui en ont le plus besoin », conclut Lorien Urban, qui étudie justement les impacts d’ajouter de l’information sur les menus de restaurant.

Les sujets de l’étude ayant eu accès à un menu détaillé ont baissé leurs apports caloriques de façon hebdomadaire, et ces changements, même minimes, peuvent avoir un impact intéressant sur la santé physique.

Catégories
Uncategorized

L’insomnie pourrait mener droit au suicide

C’est une nouvelle qui frappe, alors que Santé Log rapporte une étude de la Georgia Health Sciences University qui trace un lien possible entre l’insomnie et le suicide.

On parle plus spécifiquement d’un point de non-retour où la personne qui souffre d’insomnie perd carrément l’espoir de s’endormir un jour… et pourrait alors entrevoir que mettre fin à ses jours s’avère une « solution » efficace.

Publiée dans le journal Clinical Sleep Medicine, l’étude analyse les réactions en chaîne que peut causer une insomnie chronique.

« Il s’avère que l’insomnie peut conduire à un type très spécifique de désespoir puissant prédicateur de suicide », conclut le Dr W. Vaughn McCall, du département de psychiatrie de l’Université de Géorgie.

C’est après avoir analysé les cas de 50 patients âgés de 20 à 80 ans, souffrant de problèmes connexes à la dépression en milieu hospitalier, que les chercheurs sont arrivés à ce constat. On a ensuite établi des liens avec les problèmes de sommeil des sujets, qui peuvent finir par causer un effet de spirale.

Ceux qui commençaient à douter sérieusement de trouver le sommeil un jour démontraient des symptômes suicidaires alarmants.

Bien qu’il reste encore des preuves à faire pour parler de cause à effet, les chercheurs semblent convaincus de ce qu’ils avancent.

Catégories
Uncategorized

Autre bonne note pour la bière

Décidément, la bière est populaire auprès des chercheurs et des spécialistes en nutrition depuis le début de l’année 2013. Les recherches sur les produits du houblon pullulent, et plusieurs se contredisent, ouvrant ainsi la porte à un débat sain et rigoureux.

Et pourquoi pas, car après tout, les amateurs et buveurs de bière sont nombreux sur la planète et ils ont le droit de savoir quel impact leur boisson alcoolisée préférée aura sur leur santé!

Cette fois, rapporte Top Santé, c’est la nutritionniste Kathryn O’Sullivan qui publie une étude sur le sujet, intitulée Beer & Calories; A Scientific Review.

On y apprend notamment que la fameuse « bedaine de bière » ne serait qu’un vaste mythe, et que la bière ne fait pas réellement grossir, ou à tout le moins pas autant qu’on pourrait le croire.

« Malheureusement, la bière a cette image de boisson hautement calorique et riche en graisse. C’est très injuste. La consommation de bière en Angleterre est considérée par beaucoup comme un vice et non comme un composant d’un mode de vie équilibré et sain. Mais c’est contraire aux dernières preuves scientifiques », s’exclame O’Sullivan, en prenant soin de rappeler que ces conclusions sont valides en ce qui concerne une consommation modérée.

Catégories
Uncategorized

Le mauvais cholestérol serait-il un mythe?

Pour le professeur Philippe Even, le mauvais cholestérol pourrait bien relever du mythe et favoriserait plus la santé financière des industries pharmaceutiques que celle des citoyens.

On peut comprendre l’ampleur de la polémique qui se pointe à l’horizon avec ces propos, rapportés notamment par Top Santé.

Le professeur Even écrit dans son livre La vérité sur le cholestérol que certaines compagnies et certains individus auraient même été jusqu’à falsifier des rapports et mentir de façon éhontée afin de promouvoir la vente de médicaments et de traitements pour le cholestérol.

Du nombre, ces fameuses statines, qui prennent de plus en plus de place sur le marché et qui seraient si non inutiles, à tout le moins surprescrites.

De plus, il considère que les effets secondaires de ces traitements dépassent largement leurs effets bénéfiques, et que le public se fait avoir au final.

Il croit que plusieurs industries et compagnies pharmaceutiques font preuve de comportements irresponsables, et s’insurge contre de tels procédés.

Héros ou opportuniste, le professeur Even? Le temps nous le dira.

Le professeur Even est directeur de l’Institut Necker et biochimiste de formation.