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Le thé serait aussi bénéfique pour le cerveau

Top Santé rapporte une étude en provenance de Singapour, effectuée en collaboration avec des chercheurs américains, qui donne une nouvelle raison de se mettre au thé.

Et spécialement si vous commencez à prendre de l’âge, puisque ces recherches démontrent l’impact significatif du thé sur le cerveau et la prévention du déclin cognitif.

Par déduction, on peut donc prétendre que le thé permet de contrer partiellement le développement de la maladie d’Alzheimer. Après tout, on rapporte que des 1500 hommes et femmes aux prises avec des problèmes cognitifs ou de la mémoire soumis à l’étude, plusieurs ont retrouvé des capacités cognitives étonnantes.

Du lot, ceux qui avaient bu plus de quatre tasses de thé par jour durant une période donnée ont vu leurs troubles de mémoire baisser de 75 %. Le chiffre tombe à près de 50 % pour ceux qui en consommaient trois par jour.

Publiée dans la plus récente édition d’Advances in Nutrition, l’étude confirme que tous les sujets ont démontré de meilleures réactions ou performances lors des tests cognitifs effectués.

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Des vies prolongées grâce à un virus modifié

Le magazine britannique Nature Medicine a publié un rapport qui relate certains tests concluants effectués sur des patients atteints du cancer du foie, qui ont vu leur vie être prolongée grâce à une nouvelle percée médicale prometteuse.

De fait, ce sont 30 patients en phase terminale de la maladie qui ont reçu le traitement, que l’on décrit comme un virus modifié capable de cibler les cellules cancéreuses.

C’est clairement la nouvelle approche de la communauté scientifique en matière de cancer, c’est-à-dire de créer des éléments qui peuvent « tuer » les cellules cancéreuses.

On a pu observer que les patients qui avaient reçu des doses importantes de ce virus modifié, appelé Pexa-Vec, ont prolongé leur vie de 7 à 14 mois en moyenne, selon les sujets.

« C’est la première fois dans l’histoire de la médecine que nous avons pu montrer qu’un virus issu du génie génétique pouvait améliorer la survie de patients atteints du cancer », lance David Kim, coauteur des recherches.

La chimiothérapie a ses limites, de l’aveu même des spécialistes, et de telles techniques permettraient de combattre sur plusieurs fronts et sur une période de temps plus longue.

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Découvrez la molécule TIC 10

Santé Log nous apprend l’existence d’une molécule qui s’avère une alliée de taille dans la lutte au cancer, selon des recherches publiées dans la plus récente édition du magazine Science Translational Medicine.

Appelée TIC 10, cette molécule « pousserait les cellules cancéreuses au suicide », une image dramatique qui explique bien ses méthodes de fonctionnement. Cette molécule TIC 10 favoriserait la création de la protéine baptisée Trail, qui lutte contre les cellules cancéreuses.

Le problème, c’est que la protéine Trailperd de son efficacité lorsque le cancer gagne du terrain. Il est donc primordial de lui redonner les outils afin qu’elle poursuive son combat tout au long de la terrible maladie.

C’est là qu’intervient la fameuseTIC 10, qui stimule les facultés et le rôle joué par la protéine. D’ailleurs, l’appellation « TIC » signifie « TRAIL-Inducing Compound ».

Le processus a été étudié sur des souris, et dans plusieurs cas, celui-ci s’est avéré efficace pour contrer les cellules cancéreuses, et ce, en moins de trois semaines.

D’autres recherches sur des rongeurs sont prévues avant de commencer les essais, cliniques, mais il s’agit d’une autre percée porteuse d’espoir.

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Moitié moins de risques de cancer de la prostate chez les hommes actifs

Santé Log rapporte une nouvelle étude concernant le cancer de la prostate qui risque de donner le goût à plusieurs hommes de se mettre à l’exercice physique.

Selon l’étude britannique, les hommes actifs verraient leurs risques de développer un cancer de la prostate être diminués de moitié, rien de moins.

Publiées dans la plus récente édition du magazine Cancer, ces recherches en provenance du Durham Veterans Affairs Medical Center ne sont pas complètes, mais apportent certains éléments qui tendent à prouver cette théorie.

Cette dernière parle de 50 % moins de risque concernant le cancer de la prostate, mais aussi d’une meilleure capacité de rétablissement en cas de cancer, en plus de risques atténués de subir des lésions graves lors des traitements ou du développement d’une maladie du genre.

L’étude semble controversée depuis sa sortie, puisqu’elle parle des bienfaits de l’exercice physique en matière de cancer de la prostate chez les hommes blancs seulement, ce qui fait bondir certains spécialistes et observateurs.

Il est clair que d’autres études sur le sujet sont à prévoir.

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Les gens généreux vivraient plus longtemps

Une nouvelle étude rapportée par Santé Log devrait rendre les plus généreux d’entre vous très heureux, alors que les plus pingres risquent fort d’être déçus.

Pour les chercheurs américains en tête de l’étude, la générosité et l’altruisme permettraient une plus grande durée de vie. Cette longévité serait observable assez facilement chez ce type de personne, notamment parce que les gestes de générosité abaissent le niveau de stress.

Ce fameux stress, outre les maladies graves à proprement parler, s’avère l’ennemi numéro un de la santé depuis plusieurs années.

Les chercheurs de l’Université de Buffalo croient que les actes de générosité sont un puissant contre-stress et permettent d’étirer la durée de vie chez ceux qui en pratiquent souvent.

En pratique, cela signifie que les gens stressés ont plus de risque de décéder avant le temps, mais que ceux qui sont portés vers les autres et aiment aider et faire preuve de générosité « récupèrent » ces années, ou font diminuer les risques créés par le stress.

Ce n’est pas la première étude à tracer un tel lien entre les comportements psychosociaux et la longévité, mais on commence à se rendre compte de plus en plus à quel point nos actions ont une véritable incidence sur l’avenir et notre santé.

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Boire jeune, boire trop

Il appert que plus un individu commence à consommer de l’alcool tôt dans sa vie, plus il a de chance de boire trop et d’éprouver des problèmes de consommation.

C’est Santé Log qui rapporte une étude sur le sujet, qui cible particulièrement ce phénomène moderne qu’on appelle binge drinking. Les recherches, publiées dans la plus récente édition du magazine Alcoholism: Clinical & Experimental Research, démontrent des statistiques qui en disent long.

Ainsi, les 39 000 dossiers analysés par l’équipe de chercheurs de l’Université de Washington tendent à démontrer que les sujets qui ont commencé à boire de l’alcool avant l’âge de 21 ans sont aussi moins portés à en consommer avec modération.

Le binge drinking est un phénomène défini par le fait d’une personne qui consomme des quantités abusives d’alcool sur une période de temps donnée, un comportement de plus en plus populaire et remarqué chez les jeunes, particulièrement les étudiants.

Ce comportement mènerait, dans bien des cas, à des problèmes qui suivent les individus jusque dans leur vie d’adulte.

Cette étude avait pour but de déterminer si le fait de permettre à des jeunes de 18 ans de consommer de l’alcool légalement était une mesure responsable.

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Les cas d’Alzheimer pourraient tripler d’ici 2050

Les cas d’Alzheimer pourraient tripler d’ici 2050, rapporte The National Library of Medicine, alors que des chercheurs américains publient une étude sur le sujet.

Il s’agit d’un constat alarmant s’il en est un, puisqu’on trace des prévisions sombres en matière d’Alzheimer dans les années à venir. 13,8 millions de personnes pourraient être atteintes de la maladie dans les prochaines décennies aux États-Unis seulement, une hausse explicable en partie par le vieillissement des baby-boomers.

« Notre étude attire l’attention sur le besoin urgent de plus de recherches, de traitements et de stratégies préventives pour contrer cette épidémie », croit la coauteure de l’étude et professeure associée Jenniver Weuve, du Rush University Medical Center de Chicago.

Plusieurs autres spécialistes, dont ceux du National Institute on Aging, croient qu’il s’agira en effet de l’épidémie de l’avenir, à mesure que la moyenne d’âge de la population augmente avec le temps.

Plusieurs traitements permettent de réduire les symptômes de la maladie d’Alzheimer, mais aucun ne permet d’en guérir.

Cependant, certaines percées encourageantes dans le domaine permettent d’entretenir l’espoir qu’un traitement sera finalement découvert ou mis au point.

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L’obésité et la vitamine D

Un lien de plus en plus évident se trace entre des carences en vitamine D et l’obésité, observent des chercheurs qui publient une étude sur le sujet.

Rapportées par The National Library of Medicine, ces recherches font état d’observations qui tendent à laisser croire que l’obésité peut provoquer un manque de vitamine D dans l’organisme.

On ne pourra taxer cette étude de manquer de rigueur, puisque les chercheurs britanniques ont analysé les données de pas moins de 165 000 patients pour tirer leurs conclusions.

Ainsi, une baisse de 4 % du taux de vitamine D serait observable avec un gain de 10 % de la masse corporelle.

À l’inverse, une déficience de vitamine D n’influencerait que minimalement la prise de poids. Pour les chercheurs, donc, la guerre à l’obésité permettrait aussi de régler plusieurs cas de carence en vitamine D, un autre phénomène commun observé.

Plusieurs autres études sur le sujet n’arrivaient pas à conclure de façon claire si une carence pouvait mener à l’obésité, ou si c’était plutôt l’inverse. Il semble que nous ayons maintenant un début de réponse.

La vitamine D est essentielle pour le bon fonctionnement de l’organisme et solidifie les os.

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Le cannabis augmente-t-il les chances de faire une attaque cérébrale?

Une nouvelle étude controversée sur le cannabis risque de faire jaser. Selon ce que l’on apprend via Santé Log, l’étude révèle des risques d’attaques cérébrales potentiellement à la hausse chez les fumeurs de cannabis.

La marijuana, pourtant prisée par plusieurs et même prescrite par certains médecins, comprendrait un dangereux revers de médaille pour ces chercheurs australiens en tête de l’étude.

Présentées lors de l’American Stroke Association International Stroke Conference 2013, ces recherches sont parmi les premières sérieuses à tenter de démontrer un risque accru d’AVC chez les consommateurs de la drogue douce.

Une drogue pas si douce, pensent les chercheurs, qui croient fermement à leur théorie. On parle du double, voire du triple, des chances d’AVC chez cette partie de la population, en comparaison aux non-fumeurs.

Cependant, plusieurs facteurs pourraient venir brouiller ces résultats. Notamment, l’usage de la cigarette chez les sujets observés, ainsi que leurs caractéristiques distinctes comme l’âge et leur état de santé préalable.

On s’attend à voir d’autres études sur le sujet être effectuées dans un avenir rapproché.

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Les scans seraient plus bénéfiques que mauvais pour la santé

Une polémique fait rage concernant les fameux CT Scans, ces tests par imagerie utilisés dans bon nombre de départements de médecine pour prévenir et diagnostiquer plusieurs maladies graves.

Le problème, pour certains, se trouve dans les radiations qu’émettent les grosses machines utilisées pour les scans, qui pourraient provoquer certains types de problèmes de santé.

Entrer à l’hôpital en santé et y ressortir en moins bon état après un test du genre, voici ce que dénonce le groupe du « contre ».

Une nouvelle étude sur le sujet vient contredire les détracteurs du CT Scan, alors qu’elle démontre que, statistiquement, les effets sont plus positifs que négatifs sur la population en général.

Ainsi, plusieurs des cas de décès ou de maladies graves rapportées à la suite de ces tests seraient explicables par le fait que ces patients connaissaient déjà des ennuis de santé à leur arrivée à l’hôpital.

« Il faut réaliser que plusieurs de ces personnes sont arrivées avec de sérieux problèmes de santé préalables. La perception des gens face aux risques peut être biaisée s’ils ne voient pas le portrait global de la situation », pense la Dre Susanna Lee, une radiologue de la Harvard Medical School.

Pour d’autres, dont un radiologue, cette étude est mince et n’apporte pas de preuves concluantes.