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Les cellules souches au secours de la viande?

MedicalNewsToday rapporte une nouvelle en matière de science et d’alimentation qui risque de choquer les puristes et d’en rendre plusieurs stupéfaits.

On rapporte en effet que des scientifiques des Pays-Bas suggèrent un avenir des plus prometteurs aux cellules souches en matière de culture de la viande, ce qui permettrait d’assurer une qualité et une irréprochabilité de la viande, chose que l’on ne peut véritablement assurer de nos jours, semble-t-il.

« Nous croyons que la culture de viande fait partie de l’avenir. D’autres avenues du futur permettent de remplacer partiellement la viande par des produits végétariens, permettant de garder moins d’animaux dans de meilleures circonstances », lance sans broncher et non sans raison Cor van der Weele, de l’Université des Pays-Bas.

Le chercheur souligne également une demande grandissante de viande par les populations dans le monde, une demande impossible à remplir au cours des prochaines décennies, à tout le moins sans perdre grandement de la qualité.

Tout de même ironique que de penser que les cellules souches, si décriées par les environnementalistes, pourraient en fin de compte venir régler un autre problème décrié par ces derniers, soit la production massive de viande.

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Des chiens capables de détecter un cancer de la prostate

Alors que la quête des meilleurs tests possible de dépistage du cancer se poursuit, une équipe de chercheurs italiens annonce qu’elle est parvenue à entraîner deux chiens dépisteurs capables de détecter la maladie.

Il s’agit de deux femelles nommées Zoé et Liu, rapporte Top Santé, qui seraient maintenant capables de détecter la présence du cancer de la prostate en reniflant simplement des échantillons d’urine prélevés des patients.

Il s’agit d’une toute nouvelle utilisation, aussi brillante qu’intrigante, de l’odorat développé des canidés, qui a déjà fait ses preuves dans un grand nombre d’autres situations.

C’est l’équipe du Dr Luigi Taverna, de l’hôpital Humanitas Research de Milan, qui a annoncé cette découverte pour le moins étonnante.

Plus étonnant encore, les résultats de ces deux chiens pisteurs frôlent la perfection. Sur une base de 902 échantillons, dont 362 étaient positifs, les chiens Zoé et Liu auraient reniflé la présence de la maladie avec une précision de 100 % et 99 %, respectivement.

« Ce type de diagnostic est reproductible, peu coûteux et non invasif », se réjouit le Dr Taverna, qui devra maintenant convaincre le reste du monde de la pertinence et de l’efficacité de son idée.

Cette recherche, par ailleurs présentée au Congrès annuel de l’Association américaine d’urologie d’Orlando, abonde dans le même sens que certaines précédentes, qui indiquaient de telles possibilités pour les canidés, notamment en matière de dépistage du cancer du poumon.

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La marche bénéfique en traitement de l’hypertension

À défaut de pratiquer un sport intense ou de s’entraîner en salle, les personnes moins motivées ou dans l’incapacité de fournir un tel effort peuvent se tourner vers une solution alternative qui n’est pas à sous-estimer : la marche.

Vantée depuis longtemps par bon nombre de spécialistes, la marche propose plusieurs bienfaits pour la santé lorsque pratiquée au moins 30 minutes, trois fois par semaine.

Le dernier avantage de la marche en date serait ses propriétés bienfaitrices contre les problèmes d’hypertension, rapporte Top Santé.

C’est une nouvelle étude sur le sujet en provenance de l’Université George Washington qui confirme les bienfaits de la marche dans le traitement de l’hypertension, après que les chercheurs en tête de l’étude aient analysé les dossiers de plus de 2000 patients.

2153 hommes de 70 ans et plus, en fait, ont été observés à la suite d’un diagnostic d’hypertension, et après avoir intégré la marche à leur style de vie. Les résultats plus que probants après neuf ans de recherche ont permis aux chercheurs américains d’évaluer la réduction des risques de mort prématurée à environ 40 % chez les plus actifs.

L’arrêt du tabagisme, la consommation de poisson, la relaxation et l’élimination du sel et du sucre sont des actions qui peuvent aussi permettre une plus grande longévité chez les personnes qui font de l’hypertension.

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L’ambition pourrait bien rallonger votre vie

Êtes-vous du type ambitieux? Il serait peut-être temps de s’y mettre, puisqu’une nouvelle étude vante les mérites de l’ambition sur la durée de vie moyenne.

L’étude en question, rapportée par Top Santé, estime que la qualité permettrait d’espérer une plus grande longévité, et que les personnes qui n’ont pas vraiment de but dans la vie sont possiblement désavantagées.

Créée par des chercheurs canadiens et américains, la recherche analysait 7000 adultes âgés de 20 à 75 ans. Ces derniers devaient répondre à des questions de profilage et se soumettre à des tests physiques. Ne restait plus qu’à attendre quatorze ans pour vérifier la théorie…

Près de quinze ans plus tard, donc, les chercheurs ont pu confirmer que les sujets se projetant dans l’avenir et aux buts et rêves bien arrêtés avaient vraisemblablement une durée de vie plus longue, ou pouvait à tout le moins l’espérer.

« C’est vraiment bénéfique de laisser ses objectifs diriger sa vie de tous les jours », tranche le Dr Patrick Hill de l’Université Carleton.

Les observations des chercheurs en tête de l’étude ont été publiées dans le magazine Psychological Science.

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Une nouvelle étude confirme le lien entre le stress et le risque cardiaque

On sait depuis un bon moment que les personnes stressées et anxieuses courent plus de risques cardiovasculaires à long terme, mais ce lien demeure toutefois souvent théorique et sans de réels fondements.

Une nouvelle étude vient confirmer une fois de plus ce lien entre le stress et les problèmes cardiaques à long terme, et tente d’en expliquer les causes, rapporte The National Library of Medicine.

La recherche proposée par des chercheurs américains se base sur des analyses physiques de 150 sujets adultes, à qui l’on soumettait des images ou circonstances stressantes afin d’observer les réactions physiologiques inhérentes à cette émotion.

Les participants à l’étude ont démontré une série de réactions et de symptômes liés au développement et au risque de problème cardiovasculaire.

« Ces découvertes abondent dans le même sens que la croyance populaire qui veut que les émotions soient connectées au cœur humain », lance l’auteur de l’étude, Peter Gianaros.

D’autres études ont confirmé que le stress, la colère, l’anxiété et la dépression étaient des émotions capables d’augmenter le risque de maladie cardiaque.

Les résultats de cette plus récente recherche ont été publiés dans le journal Biological Psychiatry.

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Nouvelle recherche sur l’hypocondrie en Nouvelle-Écosse

L’hypocondrie est un mal bien connu de façon théorique, faisant même les frais de quelques blagues, mais la réalité peut s’avérer beaucoup plus sombre qu’on pourrait le croire pour ceux qui en souffrent.

Des spécialistes de la Nouvelle-Écosse se sont penchés sur le phénomène et proposent une nouvelle recherche sur l’hypocondrie, rapporte Radio-Canada.

Selon la chercheuse Chantal Gautreau, qui mène la recherche, l’hypocondrie mène rapidement à un sentiment de panique face à des problèmes pourtant bénins, et aurait même un impact sur les coûts de santé.

L’équipe de Mme Gautreau, basée à l’Université Dalhousie, estime que les deux problèmes précédemment proposés peuvent être réglés avec l’aide de psychologues et de spécialistes en santé mentale, plutôt que par des médecins praticiens.

Simon Sherry, justement psychologue, croit en effet que sa profession détient plusieurs clés, et rappelle qu’il est important de ne pas s’en faire pour de petites douleurs ou pour certains problèmes communs observables chez des pairs.

Plus facile à dire qu’à faire, sans doute, pour les personnes hypocondriaques.

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L’odorat et la santé

Le sens olfactif peut-il jouer un rôle ou être lié au développement de problèmes de santé? C’est l‘énigme que tente de résoudre un groupe de chercheurs qui publie une nouvelle étude sur le sujet, rapporte Top Santé.

Les chercheurs de l’INSERM ont créé une carte olfactive qui décrit les récepteurs se retrouvant dans les narines de l’humain, et tentent d’en apprendre davantage sur ce sens plus méconnu et ses impacts sur l’organisme.

« Nous savions que pour une odeur donnée, plusieurs individus évoquent des notes odorantes différentes, plus ou moins fruitées, agréables… Nous suspections donc qu’une molécule odorante pouvait se lier à plusieurs récepteurs olfactifs avec l’un d’entre eux majoritaire », explique d’abord le coauteur de l’étude, Olivier Taboureau.

L’équipe de l’INSERM pousse son raisonnement plus loin et souhaite confirmer un possible lien entre la modification de ce sens et certaines maladies, comme l’Alzheimer, possiblement.

« Ce travail, assez fondamental à ce stade, permet de mieux comprendre le fonctionnement du système olfactif et permettra, sans doute, dans un second temps de décrypter les mécanismes associant certaines maladies et l’odorat », résume M. Taboureau.

Bien que ces travaux ne proposent que des explications sommaires, il s’agit de belles avancées en la matière. Plusieurs spécialistes estiment que l’odorat cache des particularités et des capacités qui peuvent influencer la santé d’un individu.

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Création d’une application pour venir en aide aux personnes bipolaires

Une nouvelle application pourrait être bientôt lancée afin de venir en aide aux personnes atteintes de troubles bipolaires, rapporte The National Library of Medicine, un problème qui touche des millions de gens dans le monde.

L’application pour téléphone intelligent serait en phase de test et semble prometteuse. L’idée est de permettre aux personnes bipolaires de recevoir un avertissement en cas de changement d’humeur soudain, grâce à un système de reconnaissance vocale proposée par l’application.

En analysant la voix du propriétaire de l’appareil et de l’application, cette dernière envoie un message de prévention en cas de changement d’humeur. On souhaite ainsi, du côté de l’équipe de recherche du Michigan derrière le projet, permettre une longueur d’avance aux patients bipolaires sur le trouble, et réagir en conséquence.

Les chercheurs américains espèrent également pouvoir contribuer à la prévention de plusieurs suicides, un objectif plus que louable.

« Ces résultats de l’étude pilote nous donnent une preuve préliminaire qu’il est possible de détecter les états de l’humeur au cours des appels réguliers, sans violer la confidentialité de ces appels », explique le coauteur de l’étude proposée, Zahi Karam.

Si le projet s’avère un succès, d’autres applications pour divers troubles comme la schizophrénie sont alors envisageables, croient aussi les chercheurs de l’Université du Michigan.

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La collation : véritable ennemi du maintien du poids

Une nouvelle étude abonde dans le même sens que certaines théories précédemment avancées par certains spécialistes voulant que la collation s’avère le véritable ennemi du maintien du poids, rapporte le Daily Mail (UK).

On entend par là qu’il vaut mieux manger trois « gros » repas par jour que de tenter d’en manger des petits, ponctués de collations à travers la journée.

L’étude rapportée provient des Pays-Bas et ajoute donc à l’idéologie qui soutient qu’il est plus facile de maintenir son poids, voire de maigrir, en mangeant à sa faim et à des heures régulières, mais seulement à trois reprises.

L’équipe de la Dre Mireille Serlie, basée à Amsterdam, affirme être la toute première à véritablement vérifier les impacts de ce style de vie. Les chercheurs concluent sans aucun doute que le fait de bonifier ses repas en bannissant les collations permettent de ne pas, ou peu, prendre de poids, en plus de protéger le foie.

« Notre étude propose la première preuve que de manger plus souvent, au contraire de manger trois gros repas, contribue à engraisser le foie, indépendamment du tour de taille », explique Dre Serlie.

En Amérique du Nord, on estime que les jeunes consomment le quart de leur apport calorique quotidien en collations.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le journal Hepatology.

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Une étonnante banque de cerveaux

Radio-Canada, par l’entremise de Michel C. Auger, rapporte et dévoile les détails de la création d’une banque de cerveaux, un projet étonnant qui pourrait faire grandement avancer les progrès de la science et la compréhension du cerveau humain.

Située au Québec, plus précisément à l’Institut Douglas de Verdun, la banque de cerveaux dont il est question comprendrait plus de 3000 cerveaux offerts à la science. Les spécialistes croient que ce genre de projet permettra de mieux comprendre certaines maladies mentales, et d’en apprendre davantage sur le suicide, notamment.

« C’est impressionnant, franchement », lance l’invitée de Michel C. Auger à l’émission15-18, Tamara Altéresco.

Cette dernière a pu visiter les lieux et rencontrer la coordonnatrice de la banque de cerveaux montréalaise, Mme Danielle Cécyre, qui explique que de sérieuses recherches sur le suicide et les troubles dépressifs sont possibles grâce à cette initiative et aux gens qui décident de léguer leur cerveau « à la science ».

Mme Cécyre rappelle du même coup qu’un formulaire doit être dûment rempli afin de céder son cerveau aux chercheurs à la suite de son décès, et que la section au dos de la carte d’assurance-maladie ne couvre pas ce don.

D’autres banques de cerveaux existent ailleurs dans le monde, mais le phénomène demeure assez rare.