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Diner plus tôt : un truc pour la perte de poids?

Une étude en provenance de l’Espagne, rapportée par The National Library of Medicine, affirme que les gens qui dinent plus tôt que les autres démontrent de meilleures aptitudes à perdre du poids.

Ainsi, il serait bénéfique de manger dans la première portion de l’heure du diner plutôt que dans la deuxième, ou même en après-midi.

Bien que l’étude ne puisse prouver ou démontrer avec certitude que le fait de manger plus tôt fait perdre du poids de façon directe, les chercheurs croient cependant mordicus au fait que les heures de prise de repas sont des facteurs importants dans la façon pour le corps de réagir aux aliments.

« Nous devrions sérieusement commencer à considérer l’heure de nos repas. Pas seulement ce que l’on mange, mais aussi quand on le mange », lance Frank Scheer, chercheur à Harvard et coauteur d’une étude sur le sujet.

C’est après avoir analysé les réponses de 420 volontaires pour une étude nutritionnelle, sur une période de 20 semaines, que des chercheurs ont constaté qu’à repas égal et activité égale, les gens qui mangeaient plus tôt perdaient étonnamment plus de poids que les autres…

On devra probablement s’attarder davantage à cette facette en matière de nutrition dans le futur, croient plusieurs spécialistes.

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Des poumons de fumeurs approuvés pour transplantation

Une étude incroyable affirme que certains fumeurs chroniques seraient tout de même éligibles comme donneurs, rapporte The National Library of Medicine.

On parle bien sûr ici des poumons, des organes que l’on aurait cru impossible de prélever sur des donneurs fumeurs. Encore moins sur des fumeurs chroniques depuis 20 ans (un paquet par jour), mais il semble que la réalité soit toute autre.

En fait, selon les chercheurs américains en tête de l’étude, plusieurs personnes en attente de greffe pulmonaire pourraient bénéficier de poumons de fumeurs, puisque ceux-ci ne seraient pas toujours nécessairement très endommagés, apprend-on.

Un fumeur peut très bien présenter des activités pulmonaires et respiratoires tout à fait normales, croit le Dr Sharven Taghavi, de l’hôpital universitaire Temple de Philadelphie.

Il explique : « Nos découvertes démontrent que les critères actuels concernant les transplantations pulmonaires pourraient être revus afin d’inclure les gens avec un passé de fumeur. Cela pourrait faire baisser les listes d’attente, ainsi que les taux de mortalité ».

« Par exemple, un chirurgien pourrait décider d’accepter des poumons sains d’un fumeur en bonne santé. D’autres poumons moins “bons” pourraient aussi permettre de sauver la vie de personnes en seuil critique, près de la mort. »

Voilà qui a de quoi surprendre, mais qui s’avère une excellente nouvelle.

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Création de la première carte de l’intelligence émotionnelle humaine

Il s’agit d’une première : des chercheurs ont finalisé ce qui s’avère être une carte détaillée de l’intelligence émotionnelle chez l’humain, annonce The National Library of Medicine.

C’est en fait une carte des régions du cerveau qui abrite et provoque les réactions liées à cette intelligence, l’intelligence émotionnelle, et les chercheurs se sont basés sur des analyses effectuées sur des vétérans de la guerre pour y parvenir.

Ainsi, 152 vétérans aux prises avec différents types de blessures à la tête et au cerveau ont été soumis à des tests afin de déterminer les différences entre certains types d’intelligence.

Les spécialistes en tête de l’étude ont constaté que l’intelligence « classique » et l’intelligence émotionnelle sont souvent intrinsèquement liées, et qu’elles se « croisent » parfois lors de leurs réactions.

L’auteur principal de l’étude, Aron Barbey, explique : « Historiquement, nous croyions que l’intelligence générale était distincte de l’intelligence émotionnelle. Nous savons maintenant que des régions spécifiques du cerveau servent aux deux types d’intelligence, et que certaines blessures peuvent affecter certains aspects spécifiques de l’une ou l’autre, ou des deux ».

« Ce groupe de patients était remarquable, car il nous a permis de déterminer le degré de dommages nécessaires pour brimer le travail de ces réactions (intelligence émotionnelle et générale). »

Le Dr Barbey croit que ces découvertes permettront de meilleurs traitements dans le domaine neurologique.

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L’acide folique n’augmenterait pas les risques de cancer

L’acide folique est blanchi des accusations qui pesaient contre lui, selon lesquelles il encouragerait le développement de plusieurs types de cancer.

Ainsi, on apprend par l’entremise de la National Library of Medicine que des chercheurs viennent de déposer les résultats de leurs analyses sur le sujet. Selon eux, l’acide folique a été pointé du doigt injustement jusqu’à présent.

Surtout contenu dans les aliments renfermant de la vitamine B ainsi que dans la farine (depuis 1998), on le retrouve aussi dans les légumes verts comme les épinards, les asperges et la laitue, notamment.

Plusieurs experts s’accordaient pour dire que cet acide possédait certains travers qui contrecarraient ses effets bénéfiques sur la santé, ce que démentent ces dernières recherches.

Pour prouver leurs théories, des chercheurs canadiens (Nouveau-Brunswick) se sont alliés à d’autres experts internationaux et ont tout simplement administré des doses quotidiennes d’acide folique à un groupe test, alors que le second groupe ne recevait qu’un placebo.

En ajoutant ces résultats à ceux obtenus dans plus de 13 autres essais cliniques, les experts néo-brunswickois et leurs collègues tranchent : pas de hausse de cancer due à l’acide folique.

L’étude s’est effectuée sur plus de cinq ans et a vu passer près de 50 000 volontaires.

« La conclusion est qu’il n’y a aucun danger à court terme (5 ans) », termine le Dr John Baron, appelé à commenter ces recherches.

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Les éclairs et la migraine

Une étude qui nous provient du Missouri, rapportée par The National Library of Medicine, propose l’existence d’un lien entre la migraine et la tombée d’éclairs dans le voisinage.

Il n’est pas nouveau de voir des liens être créés entre les aléas météorologiques et la migraine, mais il s’agit d’une première en ce qui concerne la foudre. Les éclairs sont ciblés précisément ici, et les chercheurs se disent stupéfaits des résultats observés.

Ainsi, on allègue que les gens susceptibles d’avoir des maux de tête le seraient davantage lorsque des éclairs frappent dans un rayon de 25 miles (plus de 30 kilomètres).

« Nous sommes très surpris et très heureux de ces résultats. Il s’agit de la première étude qui réussit à établir un lien entre la foudre et la migraine », explique le Dr Vincent Martin, auteur principal de l’étude en provenance du collège de médecine de l’Université d’Ohio.

Bien que les éclairs ne soient pas des causes, ils seraient plutôt des déclencheurs importants. D’autres déclencheurs connus : le stress, le manque de sommeil et l’humidité.

Au final, les chercheurs croient que d’autres études sur le sujet seront nécessaires pour établir avec certitude cette causalité.

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Une étude relance le débat sur la marijuana thérapeutique

Des chercheurs israéliens viennent de jeter de l’huile sur le feu du débat concernant l’usage de la marijuana chez des patients souffrant de divers troubles, dont des maladies chroniques, annonce Santé Log.

On le sait, l’usage thérapeutique de cette drogue douce n’est pas vu d’un bon œil par tous les spécialistes et commentateurs, mais elle connait néanmoins des hausses impressionnantes de popularité, en pratique.

En effet, plusieurs praticiens n’hésitent plus à prescrire du cannabis à certains de leurs patients, et ce serait une bonne chose si l’on en croit les conclusions de l’étude proposée par l’Université de Tel-Aviv.

Les chercheurs en tête de l’étude ont noté une panoplie d’effets bénéfiques dans le traitement ou l’apaisement de plusieurs troubles et maladies chroniques ou autres, parlant même parfois de « résultats remarquables ».

Ce serait particulièrement vrai dans plusieurs cas de patients aux prises avec de la douleur, des troubles du sommeil, des problèmes d’appétit ou encore des problèmes musculaires (comme des spasmes ou des douleurs dorsales).

On note par ailleurs une baisse conséquente des autres traitements chez ces mêmes patients. Cela signifie que pour plusieurs, un traitement parallèle au cannabis permet de réduire les prescriptions de certaines drogues beaucoup plus fortes.

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Le yoga au secours de la santé mentale

Il appert que le yoga n’a pas que des vertus sur la santé physique, mais aussi sur la santé mentale. La discipline pourrait, apprend-on sur Santé Log, avoir des effets bénéfiques sur plusieurs aspects en santé mentale, notamment dans le traitement de la dépression et de la schizophrénie.

C’est du moins ce que croient les chercheurs de l’Université Duke, le Dr P. Murali Doraiswamy en tête, qui dévoilent les résultats d’une étude probante sur le sujet.

Ainsi, on apprend que la pratique du yoga peut non seulement aider les gens aux prises avec des troubles dépressifs légers, mais aussi ceux qui sont confrontés à des problèmes de stress, de sommeil, d’hyperactivité, de schizophrénie et de troubles de l’attention.

Bien que l’on prenne le soin de préciser que ceci implique surtout les troubles de dépression légère, et que tous ces maux ne peuvent malheureusement pas être réglés uniquement grâce au yoga, on confirme l’efficacité de ce « traitement »

Pour en arriver à une telle conclusion, les chercheurs ont analysé les données de 124 autres études sur le sujet, qui abondent presque toutes dans le même sens.

On peut retrouver ces conclusions dans la plus récente édition de Frontiers in affective Disorders and Psychosomatic Reseach.

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Mauvaise économie et nutrition ne font pas bon ménage

Il appert que nos habitudes alimentaires pourraient varier en fonction de la santé économique du pays où l’on se trouve, lance Top Santé.

Selon des spécialistes basés à Miami, en Floride, une économie nationale laborieuse et une période de crise seraient des facteurs qui mèneraient les citoyens à se tourner vers une alimentation moins saine et plus grasse.

Est-il possible de manger ses émotions de façon collective? C’est un peu ce que propose l’étude américaine. Pour étayer cette théorie, les chercheurs de la Miami School of Business ont étudié les comportements de plusieurs sujets, divisés en deux groupes.

Le premier groupe a été placé devant une version de chocolats (une marque bien connue) auxquels on prêtait un apport calorique plus élevé. Le deuxième groupe a quant à lui été placé devant les mêmes chocolats, mais en version allégée, affirmait-on. Bien sûr, tous les chocolats étaient en fait les mêmes.

On a ensuite soumis les deux groupes à une série d’images, certaines alarmistes et inquiétantes, et d’autres plus neutres, moins négatives.

Résultats : 70 % plus de bonbons caloriques ont été dévorés lorsque les sujets étaient placés devant les images agressives et négatives.

On expliquerait ce comportement, outre par le stress, par le besoin inconscient de « se faire des réserves » en période de crise.

Les conclusions de cette étude légère sont parues dans le magazine Psychological Science.

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L’ultime truc minceur

On en parle souvent, et on rapportait des théories sur le sujet récemment d’ailleurs, mais voilà que des chercheurs se sont penchés officiellement sur la question et confirment que l’ultime truc minceur est bel et bien réel.

On ne parle pas ici de quoi manger, mais plutôt de comment le manger!

En effet, Santé Log rapporte que ce fameux adage qui dit que de prendre le temps de manger et de prendre de petites bouchées est excellent pour la santé et votre tour de taille serait tout à fait exact.

Pour confirmer le tout, les chercheurs originaires des Pays-Bas ont analysé les réactions de 53 participants qui se sont portés volontaires pour l’étude. On leur a fait avaler des aliments, notamment de la soupe, à différentes vitesses et avec des portions (bouchées) différentes.

On analysait aussi les comportements des sujets lorsque ceux-ci étaient distraits ou très concentrés.

Ainsi, les conclusions sont claires : les participants qui étaient concentrés à prendre de petites bouchées et à bien mastiquer ont consommé 30 % moins de calories (apport alimentaire) que les autres.

Il serait donc possible de réduire grandement cet apport, et d’ainsi mieux contrôler son poids, par ce comportement excessivement simple.

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La calvitie et le cancer de la prostate associés

Une nouvelle étude australienne tente de démontrer qu’il existe un lien entre la calvitie dite « précoce » et les risques de cancer de la prostate chez l’homme, rapporte Santé Log.

On veut sensibiliser la population masculine à ces risques, mais on précise toutefois qu’il n’y a pas lieu de s’alarmer.

Selon les conclusions de l’étude, présentées et publiées dans la plus récente édition du magazine Cancer Epidemiology Biomarkers and Prevention, il existerait une corrélation entre la calvitie chez les jeunes hommes et les chances de voir ceux-ci développer un cancer de la prostate.

Lorsque l’on parle de « précoce », on parle d’avant la quarantaine, puisqu’il est commun de voir les hommes perdre du volume capillaire passé cet âge. Ainsi, on suggère à ces hommes plus jeunes de songer à commencer les tests de dépistage pour le cancer de la prostate plus tôt que prévu, bien que l’on conseille à tous les hommes de le faire en général.

Aussi, on stipule qu’il ne faut pas croire que la calvitie est un gage de cancer, et que plusieurs types de cancer de la prostate ne sont pas très agressifs et « facilement » traitables.