Catégories
Uncategorized

Trop de café pourrait mener à des problèmes d’incontinence

Les hommes qui ont certains problèmes d’incontinence devraient surveiller leur consommation de café et de caféine, suggère une étude rapportée par The National Library of Medicine.

« C’est quelque chose à considérer. Les gens qui ont des problèmes urinaires, dont l’incontinence, devraient modifier leur consommation quotidienne de caféine. Je crois que cela s’inscrit dans une démarche clinique », lance la Dre Alayne Markland, auteure principale de l’étude.

Dre Markland, de l’Université de l’Alabama à Birmingham, rappelle toutefois qu’il n’y a pas de causalité prouvée entre la prise de caféine et des dommages subséquents à la vessie chez les hommes.

Toutefois, l’étude qui observait les dossiers de plusieurs hommes a permis de constater que ceux qui consommaient plus de café que les autres étaient clairement plus sujets à ce genre de problème urinaire.

L’étude suivait les comportements de 4000 hommes par voie de sondage et cherchait à établir l’impact de la caféine sur la santé de ces sujets. Après trois ans de recherches, il est évident pour Dre Markland que ses théories s’avèrent exactes.

On conseille donc vivement aux hommes qui souffrent d’incontinence de ralentir la caféine, ce qui pourrait s’avérer un excellent premier pas pour régler le problème.

Catégories
Uncategorized

Nouvel effort collectif majeur dans la lutte au Parkinson

Après la nouvelle concernant une percée dans la lutte à l’Alzheimer, en voici une autre qui dévoile un effort collectif impressionnant dans celle livrée au Parkinson.

C’est www.nih.gov qui confirme la chose, et pour cause, puisque l’association en est aussi l’instigatrice. Le projet est simple, mais brillant : concevoir un système collectif afin d’accélérer les recherches en matière de biomarqueurs.

Ces derniers permettent de prédire et de diagnostiquer de façon précoce la maladie de Parkinson, notamment.

En améliorant collectivement le processus de recherche et en combinant les efforts de chercheurs d’un peu partout qui auront maintenant accès, entre autres, à une gigantesque base de données, les spécialistes croient que les choses pourraient aller plus vite dans le cas du Parkinson, et que le système permettrait d’importantes percées en matière de biomarqueurs.

En diagnostiquant la maladie plus rapidement, on a de bien meilleures chances de la « contrôler » et, un jour, de la guérir. La découverte de biomarqueurs propres au Parkinson serait une percée majeure vers la mise au point d’un traitement.

« Notre but est d’accélérer le processus de recherche et de progrès en matière de biomarqueurs du Parkinson, en soutenant les chercheurs qui ont déjà de belles pistes et qui font preuve d’innovation dans le domaine. On veut les rassembler, les rapprocher, et rendre leur travail et leurs analyses plus faciles », lance le directeur du NINDS, Story Landis.

Catégories
Uncategorized

Une nouvelle technologie fait son apparition en santé

C’est une technologie du futur que nous proposent des chercheurs de la prestigieuse Université Harvard, alors que ceux-ci croient avoir trouvé l’alternative parfaite à l’endoscopie en matière de dépistage du cancer, notamment de la gorge.

Il s’agit d’une « caméra-pilule », décrit Santé Log, qui rapporte les résultats de l’équipe de Harvard. Cette pilule serait tout simplement avalée, pour ensuite transmettre des images « en direct » de l’œsophage des patients.

On pense ainsi pouvoir mieux déceler les traces de cancer, en qualité et en temps, tout en évitant l’actuel moyen de prévention et de dépistage : l’endoscopie.

Cette dernière requiert beaucoup de technique et de moyens, en plus d’être invasive et désagréable.

La caméra-pilule est un concept à la fine pointe de la technologie, qui utilise de plus un système de visualisation 3D offrant une visualisation précise et efficace.

L’examen pourrait se faire en moins de six minutes, ce qui rendrait tout le processus plus efficace et attrayant, tant pour les patients que pour les praticiens.

Les détails de cette percée ont été publiés dans la plus récente édition du magazine Nature Medicine.

 

Catégories
Uncategorized

Les petits fruits à la rescousse de votre santé cardiaque

Une toute nouvelle étude américaine vient saluer les vertus des petits fruits dans la prévention des maladies du cœur, rapporte Top Santé.

Ce sont des chercheurs de Harvard qui proposent ces conclusions, qui feront le bonheur des fanatiques de fraises, bleuets, framboises, mûres et autres petits fruits.

Comme Harvard ne fait jamais rien à moitié, les membres de l’équipe ont analysé les cas de près de 94 000 patientes âgées de 25 à 42 ans. Elles ont été suivies durant 18 ans et elles devaient répondre à plusieurs questions et sondages sur une base régulière.

Pour ces spécialistes de la prestigieuse université, il est évident que la consommation de fraises et de bleuets est hautement bénéfique pour la santé, plus particulièrement pour le cœur.

« Nous avons calculé que les femmes qui mangeaient des fraises et des bleuets au moins trois fois par semaine avaient 32 % moins de risques de souffrir de problèmes cardiaques que celles qui en mangeaient moins d’une fois par mois », lance le Dr Eric Rimm.

Les chercheurs notent également les effets à long terme de ces fruits. En effet, ils semblent que les gens qui en consomment dès leur jeune âge voient leur protection être efficace encore bien des années plus tard.

Cette étude devait d’abord statuer sur les effets des petits fruits sur la santé cardiaque des femmes, mais ils s’appliqueraient aussi aux hommes.

Catégories
Uncategorized

Le jeûne n’est pas la solution

Il n’aura pas fallu une étude très profonde et exhaustive pour constater les effets néfastes du jeûne dans une tentative de perte de poids.

En fait, selon ce que rapporte Santé Log, il n’aura fallu aux chercheurs que 30 sujets (des femmes) pour tirer leurs conclusions.

Et ces dernières ne sont pas en faveur du jeûne, le fait de ne pas manger, allant même jusqu’à mettre en garde la population des dangers possibles d’un tel comportement.

L’étude a été publiée dans le magazine Nutrition & Metabolism et souligne néanmoins qu’il est possible d’utiliser le jeûne temporaire comme outil dans une démarche de perte de poids massive, mais sous supervision d’un professionnel (médecin, nutritionniste, etc.).

On associe au fait de se priver totalement de nourriture durant 24 à 72 heures des symptômes et effets secondaires qui vont des troubles du sommeil à l’anxiété, l’angoisse et la somnolence en journée, jusqu’à la déshydratation et des troubles du caractère (stress, irritabilité).

On suggère donc, particulièrement aux jeunes et aux adolescents, d’éviter ce type de comportement extrême. On rappelle qu’il existe beaucoup de dangers inhérents au fait de prendre ou de perdre du poids rapidement.

Catégories
Uncategorized

Les relations sérieuses augmenteraient l’espérance de vie

Célibataires, vous voudrez peut-être réviser votre style de vie à la suite de la parution d’une nouvelle étude qui traite de longévité et de relations amoureuses et sociales.

En fait, l’étude américaine propose le constat suivant : entretenir une relation amoureuse sérieuse et à long terme permettrait de vivre plus longtemps.

Ce sont des chercheurs de l’Université de Caroline du Nord, rapporte Santé Log, qui proposent ce constat, après avoir analysé les dossiers de près de 5000 personnes nées dans les années 40.

Ces sujets ont répondu aux questions des chercheurs, et ces derniers ont aisément remarqué que les gens qui vivaient en couple jouissaient d’une longévité supérieure.

Ceci serait particulièrement vrai à partir de 40 ans, souligne l’équipe de spécialistes. Être seul passé la quarantaine pourrait augmenter les risques de mortalité par trois fois, croient-ils.

Après avoir analysé les variables et les autres paramètres qui pouvaient influencer la santé des sujets en question, ils concluent que le concubinage a un réel impact, et un impact majeur.

Ceci pourrait s’expliquer par les réactions émotionnelles ressenties en couple, en plus des styles de vie plus sains qui accompagneraient ce choix de vie.

Catégories
Uncategorized

L’aspartame blanchi par les autorités européennes

Des conclusions de l’Autorité européenne de sécurité des aliments, rapportées par Top Santé, risquent fort de créer de vifs débats en matière de santé et de nutrition.

Les spécialistes européens viennent de « blanchir » l’aspartame, cet édulcorant utilisé notamment dans les boissons gazeuses et la gomme à mâcher pour remplacer le sucre.

Ils concluent donc que l’aspartame n’est d’aucun danger pour la population et les consommateurs, ce qui s’avère un brusque virage d’opinion. L’aspartame est considéré depuis longtemps comme un puissant ennemi de la santé, ce qui pourrait s’avérer un mythe.

L’étude semble étoffée, et des tonnes de documents connus ont été épluchées et analysées afin d’en venir à ce constat final.

« … pas de problème de toxicité pour les consommateurs aux niveaux actuels d’exposition », affirme l’équipe de chercheurs.

Ces derniers expliquent qu’avec les niveaux d’aspartame contenu dans les différents produits offerts sur le marché en ce moment, il faudrait une consommation inouïe, et ce, tout au long de la vie d’une personne, pour arriver à des seuils de toxicité dangereux.

L’Agence met toutefois en garde les femmes enceintes contre ces produits, et suggère de les éviter pendant la grossesse.

Catégories
Uncategorized

Le nombre de cigarettes influence la sévérité de certains cancers

On apprend, par l’entremise de Santé Log, que la gravité du tabagisme influencerait le type et la sévérité de certains cancers.

Notamment celui de la vessie, intrinsèquement lié avec le tabagisme. Donc, ce que cela signifie, c’est que plus vous fumez de cigarettes, plus les risques de voir se développer un cancer de la vessie grave augmentent.

Les études démontrant que le nombre de cigarettes fumées quotidiennement change la donne font de plus en plus leur apparition, et il s’agit d’une nouvelle façon de présenter les choses.

Cette fois, c’est l’Université de Miami qui publie cette plus récente étude sur le sujet, affirmant que les fumeurs chroniques intensifs ont plus de chance de développer une version agressive du cancer de la vessie.

Si l’on parlait auparavant de « fumer ou ne pas fumer », on accepte maintenant de révéler que le nombre de cigarettes joue un rôle dans les pronostics. Ainsi, si vous ne pouvez cesser de fumer, ralentir le rythme et le nombre est déjà un bon début.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans la plus récente édition du journal de l’American Cancer Society.

Catégories
Uncategorized

Des distractions modernes placent les travailleurs à risque

Une étude provenant du Michigan traite d’un phénomène récent, mais tout à fait réel, celui des « distractions modernes » chez plusieurs types d’employés.

On parle ici bien sûr de certains gestes qui sont apparus de façon contemporaine avec la montée en flèche des appareils électroniques portables, mais aussi de ceux qui sont là depuis que le travail existe.

Donc, en plus des collègues qui viennent bavarder pendant que vous êtes occupé ou de la prise de courriels, l’apparition des messages texte et des médias sociaux ne viendrait qu’ajouter aux risques encourus par de telles distractions.

Selon l’étude américaine, rapportée par nlm.nih.gov, il peut s’agir de comportements aux conséquences minimes, voire banales, pour certains. Mais, pour d’autres, ce genre de distraction peut mener tout droit à la catastrophe.

Le chercheur Erik Altmann commente l’étude en soulignant le fait que les erreurs commises au travail sont statistiquement en hausse, ce qu’il considère comme inquiétant. Il nomme au passage quelques professions qui n’ont tout simplement pas le droit à l’erreur, comme les médecins urgentologues ou encore les mécaniciens spécialisés.

On suggère notamment aux employeurs de bien entourer leurs employés et de créer un environnement propice à la création et au travail, avec le moins de distractions possible.

Catégories
Uncategorized

Prévention de la grippe : pas de régime en hiver

Une étude affirme que la pire résolution du Nouvel An pourrait être celle d’entamer un régime, rapporte Top Santé, puisque ce comportement laisserait la porte grande ouverte à la prolifération de la grippe.

C’est ce que l’on comprend des conclusions dévoilées dans cette étude américaine, qui rappelle l’importance d’entretenir un bon système immunitaire. Surtout en hiver, alors que plusieurs maladies aisément transmissibles se propagent allègrement, comme la gastro-entérite et la grippe, entre autres.

La Dre Elizabeth Gardner, de l’Université du Michigan et auteure de l’étude, explique : « À la base, nous pensions que la restriction de calories pouvait rendre le système immunitaire plus résistant, mais nous nous sommes aperçus que c’était en fait le contraire. Plus de calories pendant la saison grippale permettent d’éloigner le virus ou au moins de présenter moins de symptômes et de récupérer plus rapidement ».

Il faut donc manger pleinement lors de ces mois d’hiver, en choisissant aussi de bons aliments. Manger plus et éviter les régimes? Voilà une recommandation unique en son genre, surtout pour une étude en nutrition. Profitons-en!