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Le ginseng et la dysfonction érectile

On prête depuis des lunes des propriétés thérapeutiques ainsi que des vertus sexuelles et aphrodisiaques au ginseng.

Si certaines théories s’avèrent exactes, d’autres ne seraient que des légendes et des mythes. L’une d’entre elles propose que le ginseng puisse venir en aide aux hommes souffrant de troubles érectiles. Mythe ou réalité?

Santé Log s’est penché sur la question, en rapportant une étude coréenne sur le sujet. Publiés dans le Journal of Impotence Research, les résultats décevront les fans du ginseng : celui-ci n’aurait presque aucun effet sur les problèmes de dysfonction érectile.

Les chercheurs coréens parlent de « presque », car ils notent un léger effet placebo chez certains sujets, en plus d’une certaine amélioration des fonctions sexuelles chez des hommes déjà en bonne santé.

On lierait plutôt ce phénomène aux vertus aphrodisiaques confirmées du ginseng, plutôt que de parler de résolution dans les cas de troubles érectiles.

On attend d’autres recherches sur le sujet, mais il semble que ceux qui comptaient sur cet ancien ingrédient pour régler leur problème devront se tourner vers d’autres solutions.

Le ginseng ne comporte essentiellement aucun effet secondaire et peut être utilisé sans risque par la population.

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Un traitement pour le coeur pourrait avoir une double utilité

www.nlm.nih.gov rapporte des conclusions tirées par des chercheurs qui croient qu’un médicament couramment employé pour contrôler la haute pression et le rythme cardiaque pourrait avoir une deuxième utilité.

En effet, les spécialistes pensent que le traitement appelé « bêta bloquant » serait également fort utile dans le suivi des patients qui se remettent d’un cancer du poumon.

On observerait une hausse des taux de survie de 22 % chez les patients en rémission qui utilisent ce traitement.

« Ces découvertes étaient les premières, à notre connaissance, démontrant une hausse des taux de survie avec l’utilisation des bêta bloquants parallèlement à la radiothérapie dans les cas de cancer du poumon. Ces résultats laissent présager qu’il y a peut-être un autre mécanisme inexploré qui pourrait aider les patients aux prises avec cette maladie très agressive », déclare le Dr Daniel Gomez, de l’Université du Texas.

Les résultats de ces recherches ont été publiés dans la plus récente édition des Annals of Oncology et laissent présager de nouvelles façons de faire en oncologie dans les cas de cancer du poumon.

Les chercheurs tiennent à spécifier que les statistiques concernant les rémissions et les taux de survie peuvent aussi varier en fonction de l’âge et de la condition physique des patients.

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Une découverte archéologique dévoile d’anciennes pratiques en médecine

C’est toute une découverte qu’ont faite des chercheurs alors qu’ils fouillaient les ruines d’un ancien navire, rapporte www.nlm.nih.gov.

Les archéologues présents lors de l’expédition ont en effet déniché ce qui serait une bouteille de médicaments qui daterait de près de 140 ans avant Jésus-Christ!

La bouteille, bien scellée, renfermait des pilules de couleur gris-vert dans lesquelles on a décelé des traces d’oxyde de carbone, de cire d’abeille, de résidus de pin et de graisses animales. On a également relevé la présence de résidus de légumes.

« La recherche souligne la continuité de l’Homme à vouloir traiter des problèmes et des symptômes à l’aide de traitements et de substances. Elle démontre également le soin que ces gens prenaient dans le choix des substances qui allaient composer ces mixtures, afin d’obtenir les effets thérapeutiques désirés et d’aider à l’application de la médecine », s’étonne la chimiste et archéologue Gianna Giachi, de Toscane, en Italie.

C’est d’ailleurs là que cette découverte a été effectuée, dans le cadre d’une fouille d’un ancien vaisseau qui avait sombré depuis des lunes.

Les chercheurs ont fait d’autres découvertes lors de cette fouille, mais aucune aussi importante que celle-ci. La trouvaille pourra sans doute permettre de mieux comprendre comment la médecine était appliquée dans ces temps anciens.

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Des taux de caféine dans les suppléments qui inquiètent

www.nlm.nih.gov rapporte qu’une étude récente met en garde la population contre les quantités de caféine qui sont parfois retrouvées dans les suppléments alimentaires populaires.

En plus d’être une information que peu de gens connaissent, il semble que les compagnies productrices de ces compléments « oublient » très souvent de mentionner les taux de caféine que leurs produits renferment ou omettent carrément de mentionner qu’ils en contiennent.

L’étude affirme pouvoir démontrer que plusieurs produits populaires sont bourrés de caféine, alors que l’étiquette n’en fait aucune mention. Le pire dans tout cela, c’est que plusieurs de ces suppléments se retrouvent dans plusieurs genres de boutiques spécialisées, et non pas uniquement en pharmacie et sous ordonnance.

Le public a donc le droit d’être informé, selon le Dr Pieter Cohen, qui explique : « Moins de la moitié de ces suppléments affichent des informations précises ou utiles concernant la caféine dans le produit. Par exemple, si vous souhaitez augmenter vos performances, plusieurs suppléments pourraient bien vous décevoir, voire n’avoir aucun effet, en plus de contenir beaucoup de caféine ».

On suggère donc à la population d’être très vigilante lorsqu’il est question de ces fameux suppléments alimentaires, qui gagnent de plus en plus en popularité.

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Le Canada veut changer les règles de dépistage du cancer du col de l’utérus

Un groupe de chercheurs et de spécialistes unis pour étudier les méthodes de prévention et de traitement du cancer du col de l’utérus ont rendu leurs conclusions, rapporte notamment Le Devoir.

Celles-ci semblent vouloir indiquer que des changements sont à prévoir au Canada en ce qui a trait à la prévention de cette maladie.

D’abord, on parle beaucoup des fameux tests PAP ces temps-ci, et l’étude suggère justement de faire passer ce test de dépistage aux trois ans (il est aujourd’hui suggéré annuellement).

Ces tests peuvent comporter leur lot de désagréments, semble-t-il, et il serait possible d’avoir un système de prévention tout aussi efficace en évitant les méthodes intrusives chaque année.

La prévention du cancer du col de l’utérus devrait commencer à 25 ans environ et être mieux ciblée. On veut donc rendre les choses plus efficaces pour les femmes qui doivent subir le test.

Pour terminer, notons que le risque de cancer du col de l’utérus est passé de 1,5 % à 0,66 %. Les taux de mortalité sont aussi en baisse, passant de 0,94 % à 0,22 % depuis la mise en place du fameux test PAP.

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Des chercheurs tracent un lien entre le gras saturé et le sperme faible

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui trace un lien entre des cas de sperme déficient et les gras saturés.

Ce sont des chercheurs danois qui sont en tête de ces recherches. Selon eux, le lien est clairement vérifiable. Pour prouver leur théorie, ils ont analysé les dossiers de plusieurs hommes, dont certains recevaient des aliments forts en gras saturés.

Résultat : les sujets ayant reçu plus de gras saturés que les autres dans leur alimentation ont vu leur nombre de spermatozoïdes descendre en flèche. Étonnant? Pas tant que ça, si l’on considère que plusieurs autres études du genre sur le sujet ont déjà été publiées, mais que la population semble tarder à les prendre au sérieux.

Par exemple, à l’inverse, des chercheurs brésiliens avaient déterminé que le fait de manger des grains entiers, de l’avoine et du blé pouvait contribuer grandement à une fertilité plus abondante.

Les chercheurs danois expliquent qu’ils ne peuvent encore parler de cause à effet directe, car le phénomène de la baisse des spermatozoïdes est aussi influencé par d’autres facteurs. Ces facteurs seraient par contre pour la plupart tous liés au style de vie.

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La maladie d’Alzheimer serait encouragée par l’obésité

Santelog.com et quelques autres sources rapportent que des chercheurs ont établi un lien entre l’Alzheimer et l’obésité.

Bien que l’on ne puisse exclusivement pointer du doigt le surpoids pour cette terrible maladie dégénérative, il semble néanmoins que celui-ci pourrait jouer un rôle important dans son déclenchement et son développement.

C’est ce qu’on comprend des conclusions de ces chercheurs, publiées dans le magazine Diabetes. On parle entre autres de la protéine Tau et des plaques amyloïdes au cerveau, deux facteurs associés à la maladie d’Alzheimer.

Or, l’obésité engrange ces protéines et favorise donc, directement ou indirectement, le développement de maladies comme l’Alzheimer et la démence. Même son de cloche en ce qui concerne le diabète de type 2, qui peut lui aussi mener à la maladie d’Alzheimer.

C’est notamment la présence de cette protéine Tau dans l’hippocampe qui poserait problème, comme l’explique le chargé de recherche David Blum, de l’INSERM.

« Une pathologie aggravée tant du point de vue de la mémoire que des modifications de la protéine Tau », lance le chercheur, pour qui ces liens ne font aucun doute possible.

De plus en plus de recherches démontrent les multiples conséquences d’un gain de poids trop important.

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Un nouveau supplément alimentaire pour prévenir l’infarctus

Ça semble trop beau pour être vrai, et pourtant, topsante.com rapporte une annonce faite par des chercheurs de Cambridge voulant qu’ils aient mis au point un nouveau supplément alimentaire qui pourrait bien prévenir plusieurs cas d’infarctus.

Ce complément alimentaire est à base de peau de tomate, plus précisément de lycopène, un élément que des spécialistes de partout tentent d’utiliser à bon escient depuis belle lurette.

Ce serait maintenant chose faite, selon ce que l’on comprend, puisque les chercheurs de la réputée université anglaise croient avoir réussi le mélange parfait.

Aussi incroyable que cela puisse paraître, le supplément, nommé Ateronon, contiendrait ce qui se veut l’équivalent en lycopène de 3 kilogrammes de tomates. Il faudrait donc consommer autant de tomates pour retirer les mêmes bénéfices.

Ces bénéfices sont importants, si l’on en croit l’équipe de chercheurs. Les tests effectués jusqu’à maintenant démontrent effectivement des résultats probants en matière de prévention des infarctus.

Malgré tout, les autorités anglaises en matière de santé rappellent l’importance d’une alimentation saine et équilibrée pour prévenir efficacement les AVC et infarctus.

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Un vaccin qui ralentit la progression du VIH bientôt sur le marché

On vous en parle depuis quelque temps, les recherches en matière de VIH et du SIDA vont bon train et connaissent quelques bonnes avancées récemment.

Voici une autre nouvelle, rapportée par topsante.com, qui ajoute à l’optimisme. Selon des médecins en Espagne, une nouvelle percée viendrait d’être faite et pourrait mener à un vaccin étonnant d’ici peu.

On pourrait en effet retrouver sur le marché de façon contemporaine un « traitement » qui peut ralentir la progression du virus jusqu’à un an, ce qui est un début.

Les tests ont été effectués sur près de 40 patients et ont démontré l’efficacité du vaccin. Ce dernier pourrait contrôler la duplication de la maladie de façon importante, selon ce qui a été publié dans le magazine Science Translational Medicine.

« Ce que nous avons fait, c’est donner des instructions au système immunitaire pour qu’il apprenne à détruire le virus, ce qu’il ne fait pas de manière […] naturelle », lance Felipe Garcia, du Clinic Hospital de Barcelone, en Espagne.

Il s’agit par ailleurs d’une alternative aux traitements rétroviraux connus, et non un ajout. Il s’agit aussi d’une excellente nouvelle, et on souhaite mettre à profit cette percée à court terme.

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Les blessures à la tête n’augmenteraient pas les risques de démence

Si les risques de démence en vieillissant ne sont pas augmentés par une blessure à la tête au cours de votre vie, il en va autrement des risques de nouvelles blessures, selon une nouvelle étude sur le sujet.

C’est www.nlm.nih.gov qui rapporte ces recherches, alors que plusieurs personnes s’inquiètent de leur avenir à la suite d’une blessure sérieuse à la tête.

C’est notamment le cas des sportifs, qui subissent souvent ce genre de chocs.

« Il y a beaucoup de peur chez les gens qui ont eu une blessure à la tête ou au cerveau, peur de développer d’horribles problèmes à long terme en vieillissant. Ce n’est pas vrai. Par contre, nous avons constaté un risque de nouvelle blessure similaire », explique l’auteure Kristen Dams-O’Connor, de l’école de médecine du Mount Sinai Medical Center à New York.

Voilà qui rassurera les principaux intéressés, surtout que l’étude est exhaustive, rassemblant des données depuis plus de 16 ans et analysant les cas de plus de 4000 adultes ayant déjà subi ce genre de blessures à la tête.

Les résultats ont été publiés récemment dans le Journal of Neurology, Neurosurgery & Psychiatry.