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Les médecins utilisent les médias sociaux dans le cadre de leur travail

Une intéressante étude rapportée par www.nlm.nih.gov nous apprend qu’un médecin sur quatre utiliserait les médias sociaux alors qu’il est au travail.

Ce serait du moins le cas en Amérique du Nord, notamment aux États-Unis, alors que les médecins avouent sans honte utiliser ces systèmes. Et ce ne serait pas que pour se payer du bon temps, mais aussi pour discuter entre collègues et échanger de l’information, ce qui s’avère une bonne idée, selon plusieurs.

Ces résultats découlent d’un sondage effectué auprès de plusieurs membres de la communauté médicale, plus particulièrement en oncologie. On y apprend que 14 % des médecins et oncologues sondés partagent de l’information qu’ils ont obtenue quotidiennement sur les médias sociaux, afin d’en faire profiter leurs collègues.

61 % affirment utiliser ces nouveaux médias au moins une fois par semaine, et 46 % disent partager des informations aussi de façon hebdomadaire.

Au final, le consensus semble être que les médias sociaux sont une bonne chose pour les praticiens, qui se disent plus près de leurs patients et de leur réalité, en plus d’avoir effectivement obtenu ou partagé d’importantes informations médicales qui les aident dans leur travail.

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Le fructose est-il le véritable coupable du surpoids?

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui porte encore une fois un blâme au fructose, un sucre retrouvé dans les fruits, qui se voit réutilisé mécaniquement dans une panoplie de produits retrouvés sur le marché, sous la forme notamment du sirop de maïs.

Cette fois, on suggère que le fructose pourrait bien être la cause principale de la hausse des cas d’obésité et des statistiques désastreuses concernant le poids moyen des Nord-Américains.

C’est qu’en plus d’être un sucre et de ne pas posséder de véritables vertus pour la santé, le fructose ne couperait pas non plus la faim. Ainsi, malgré de larges quantités ingérées, les gens seraient tout de même enclins à manger rapidement de nouveau pour aller finalement chercher ce sentiment de satiété.

Ce sont des chercheurs de l’Université Yale qui arrivent à ces conclusions, après avoir analysé les réponses cérébrales de 20 sujets types, des hommes adultes en santé, à la suite de la consommation de produits renfermant de fortes doses de fructose.

Les hormones associées à la satiété ne sont pas produites en grande quantité lorsque les sujets consomment du fructose. Pour les spécialistes, cela signifie que le cerveau envoie le message que le corps a encore faim, malgré des tonnes de calories déjà consommées.

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Les aliments parfaits pour vos résolutions de 2013

Topsante.com rapporte une série d’aliments et habitudes qui se marieront parfaitement avec vos résolutions de la nouvelle année qui s’entame.

L’une d’entre elles pourrait bien être de commencer à boire du thé et des tisanes, hautement recommandés par les nutritionnistes et spécialistes en alimentation. Les qualités de ces boissons ne sont plus à démontrer, et elles s’avèrent notamment de précieuses alliées dans la prévention de plusieurs maladies chroniques, dont le cancer.

Les fruits et légumes sont bien sûr encore une fois à l’honneur, mais doit-on vraiment vous rappeler l’importance d’intégrer ces aliments à votre quotidien?

Passons plutôt à l’eau. Oui, l’eau pourrait bien être le meilleur ami de votre santé en 2013. Intégrez l’eau comme boisson le plus souvent possible, au lieu des jus de fruits concentrés, des boissons gazeuses et des autres produits retrouvés sur le marché.

On conseille aussi d’ajouter les fibres à votre régime alimentaire, en plus de couper les aliments vraiment trop gras et « inutiles » comme les charcuteries, les pâtisseries et les grignotines.

On termine en suggérant d’ajouter les noix à vos habitudes alimentaires, elles qui font d’excellentes collations ou grignotines, en plus de posséder d’innombrables vertus pour une bonne santé.

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Meilleures chances de survie en Colombie-Britannique

Les rois de la longévité au Canada en 2011-2012 sont les gens de la Colombie-Britannique, annonce Radio-Canada.

On rapporte une étude du Bureau de l’état civil de la Colombie-Britannique sur le sujet, qui parle d’une légère augmentation de l’espérance de vie moyenne dans la province de l’Ouest, passant de 81,7 ans à 82 ans tout juste.

L’étude propose plusieurs chiffres sur la vie et la mort des citoyens canadiens. On y apprend notamment, et tristement, que le cancer est toujours la cause numéro un de mortalité en Colombie-Britannique, tout comme dans toutes les autres provinces canadiennes.

On note cependant que les taux de mortalité concernant le VIH et le SIDA sont encore en baisse, avec 59 décès en 2011.

La population de la Colombie-Britannique a aussi augmenté, avec un gain de 31 776 citoyens, toujours selon l’étude.

Ces recherches sont effectuées chaque année afin de compiler le plus de statistiques possible sur la mort, les causes de mortalité, la vie ainsi que sa qualité, et les variations de population, afin de mieux réagir aux problèmes sociaux, notamment en santé.

L’espérance de vie ailleurs au Canada était de 80,8, en moyenne, en 2010.

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Meilleures chances de survie en Colombie-Britannique

Les rois de la longévité au Canada en 2011-2012 sont les gens de la Colombie-Britannique, annonce Radio-Canada.

On rapporte une étude du Bureau de l’état civil de la Colombie-Britannique sur le sujet, qui parle d’une légère augmentation de l’espérance de vie moyenne dans la province de l’Ouest, passant de 81,7 ans à 82 ans tout juste.

L’étude propose plusieurs chiffres sur la vie et la mort des citoyens canadiens. On y apprend notamment, et tristement, que le cancer est toujours la cause numéro un de mortalité en Colombie-Britannique, tout comme dans toutes les autres provinces canadiennes.

On note cependant que les taux de mortalité concernant le VIH et le SIDA sont encore en baisse, avec 59 décès en 2011.

La population de la Colombie-Britannique a aussi augmenté, avec un gain de 31 776 citoyens, toujours selon l’étude.

Ces recherches sont effectuées chaque année afin de compiler le plus de statistiques possible sur la mort, les causes de mortalité, la vie ainsi que sa qualité, et les variations de population, afin de mieux réagir aux problèmes sociaux, notamment en santé.

L’espérance de vie ailleurs au Canada était de 80,8, en moyenne, en 2010.

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Nouveau traitement contre la tuberculose moderne

La tuberculose est une maladie que plusieurs croyaient enrayée. Malheureusement, elle fait un retour remarqué en 2012, et les prévisions parlent de plus de dix millions de personnes touchées dans le monde pour 2013.

Si cela semble incroyable, la montée de cette nouvelle forme de tuberculose est bien réelle. Plusieurs chercheurs sont donc au travail afin de contrer cette nouvelle pandémie, et quelques-uns d’entre eux auraient réussi une percée intéressante.

C’est du moins ce que rapporte santelog.com, alors que la FDA américaine vient d’approuver un nouvel antibiotique pour le traitement de la maladie.

La FDA a fait passer ce dossier en priorité, vu les statistiques alarmantes et le fait que plusieurs souches semblent résistantes aux traitements initiaux offerts en première ligne.

Cet antibiotique porte le nom de Sirturo et doit être utilisé en compagnie d’autres médicaments. On semble optimiste du côté de la communauté scientifique, et c’est tant mieux, car des solutions doivent être trouvées rapidement.

La nouvelle souche connue de la tuberculeuse est résistante à tous les autres traitements.

D’autres tests sont prévus incessamment, et certains risques et effets secondaires inquiètent certains spécialistes. Un dossier à suivre.

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Bientôt une application pour allergiques

La technologie fait des miracles chaque jour dans le domaine de la santé, non seulement en milieu hospitalier où des vies sont sauvées, mais aussi quotidiennement dans des contextes un peu plus banals, mais tout aussi importants.

Voilà qu’une autre percée pourrait bien venir changer la vie des gens aux prises avec des problèmes d’allergies alimentaires fréquentes, puisque santelog.com rapporte qu’une nouvelle application de téléphone intelligent ferait bientôt son apparition sur le marché… afin de détecter les allergènes!

Donc, plus question de s’inquiéter avant de prendre une bouchée qui pourrait s’avérer fatidique, puisque l’application détecterait les dangers avant qu’ils soient dans votre bouche.

Science-fiction? Pas vraiment. Bien que cela semble impossible, on comprend que la personne qui veut utiliser ce système devra se procurer un dispositif spécial (appelé pour l’instant iTube) qui permettra d’évaluer si le repas devant vous est dangereux pour vos allergies ou non.

Il faudra également attendre 20 minutes avant que l’application termine le processus, expliquent les chercheurs californiens (UCLA) qui ont créé la technologie.

On s’attend à ce qu’une commercialisation du produit soit imminente, et qu’il connaisse un énorme succès

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Chialer serait bon pour votre santé

Voici une étude qui en fera rigoler plus d’un et qui donnera des munitions aux personnes qui aiment bien maugréer, ruminer, chialer, bref, exprimer leur mécontentement.

C’est que selon ce que rapporte topsante.com, exprimer ses émotions négatives et ses humeurs maussades serait excellent pour la santé.

Plus question de dire à ces personnes de cesser ce comportement, hélas! Plus encore qu’un simple truc santé, toujours selon l’étude allemande, ce comportement pourrait même être l’une des raisons qui expliquent la longévité accrue des Italiens et des Espagnols!

Ces peuples sont reconnus pour être plus extravertis, critiques, bref, avec le sang chaud. Le fait qu’ils émettent leurs opinions et émotions à voix haute serait excellent pour l’organisme, qui ne réprime pas de « mauvaise énergie ».

Cette étude vient corroborer plusieurs théories qui prétendent que le secret d’une longue vie en santé passe par la façon de gérer ses émotions, dont le stress.

Une autre étude rapportait même que les gens qui ne mentent pas ont une durée de vie plus grande! Alors, si vous êtes du genre à dire « oui » quand vous voulez dire « non », ou que vous réprimez vos émotions négatives, il serait sûrement temps de vous exprimer!

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Des tests au cerveau permettent d’identifier les risques de troubles bipolaires

Une nouvelle étude prétend qu’il est possible de détecter les personnes susceptibles de développer des troubles bipolaires à un très jeune âge.

C’est du moins ce que rapporte www.nlm.nih.gov, alors que des chercheurs australiens ont utilisé des tests à résonnance magnétique au cerveau sur de jeunes sujets pour en arriver à ces conclusions.

« Nous avons trouvé, chez les gens qui ont un historique de bipolarité dans leur famille, une réponse cérébrale moins grande lors d’expressions faciales données, comme celles de la peur, que chez ceux qui n’ont pas (ou moins) de risques de développer ces troubles. Il s’agit d’une percée extrêmement prometteuse », explique l’auteur en chef de l’étude, Philip Mitchell, de l’Université New South Wales.

Le chercheur australien poursuit en expliquant que la zone cérébrale en question en est une qui doit justement réguler plusieurs réponses émotionnelles.

Cette étude permettrait de faire avancer la qualité des soins et traitements concernant les troubles bipolaires, en plus d’assurer une meilleure prévention, alors que d’autres recherches sont prévues à la suite de ce succès.

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Des tests au cerveau permettent d’identifier les risques de troubles bipolaires

Une nouvelle étude prétend qu’il est possible de détecter les personnes susceptibles de développer des troubles bipolaires à un très jeune âge.

C’est du moins ce que rapporte www.nlm.nih.gov, alors que des chercheurs australiens ont utilisé des tests à résonnance magnétique au cerveau sur de jeunes sujets pour en arriver à ces conclusions.

« Nous avons trouvé, chez les gens qui ont un historique de bipolarité dans leur famille, une réponse cérébrale moins grande lors d’expressions faciales données, comme celles de la peur, que chez ceux qui n’ont pas (ou moins) de risques de développer ces troubles. Il s’agit d’une percée extrêmement prometteuse », explique l’auteur en chef de l’étude, Philip Mitchell, de l’Université New South Wales.

Le chercheur australien poursuit en expliquant que la zone cérébrale en question en est une qui doit justement réguler plusieurs réponses émotionnelles.

Cette étude permettrait de faire avancer la qualité des soins et traitements concernant les troubles bipolaires, en plus d’assurer une meilleure prévention, alors que d’autres recherches sont prévues à la suite de ce succès.