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Un régime alimentaire sain pour éviter les problèmes cardiaques récurrents

Si vous êtes aux prises avec une maladie cardiovasculaire ou que vous entretenez de mauvaises habitudes alimentaires qui pourraient endommager votre cœur, n’allez pas croire qu’il est trop tard pour y changer quelque chose et améliorer votre régime.

Une nouvelle recherche vient confirmer qu’une diète saine permet d’éviter un second incident cardiaque ou encore le développement d’une maladie cardiovasculaire.

Ainsi, les spécialistes de l’American Heart Association à la tête de ces recherches veulent sensibiliser les gens qui ont déjà des problèmes connus au cœur afin qu’ils comprennent bien l’importance d’un régime alimentaire sain.

De plus, on souligne que trop de gens croient que comme ils sont sous médication pour le problème qu’ils vivent, ils n’ont plus besoin de surveiller ce qu’ils mangent. Rien n’est plus faux, selon l’étude publiée dans le journal Circulation et rapportée par newsroom.heart.org.

Dre Mahshid Dehghan, chercheuse au Population Health Research Institute et auteure de l’étude en question, explique : « Parfois, les gens croient que leur régime alimentaire n’a aucune incidence à cause de leur traitement qui fonctionne déjà très bien, pour la haute pression ou le cholestérol, notamment. C’est faux. Les modifications au régime alimentaire sont aussi vérifiables que les effets des différents traitements qu’ils reçoivent ».

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Un gène pourrait être lié à la dépendance à l’alcool et au binge drinking

Santelog.com nous apprend que des chercheurs croient pouvoir affirmer qu’ils ont trouvé un gène qui serait à l’origine de certains comportements en lien avec l’alcool, dont le binge drinking.

Le binge drinking est un phénomène récent qui s’avère terriblement dangereux. Il se décrit comme le comportement d’une personne qui boit énormément d’alcool par séquences, s’arrête, puis recommence.

Le concept avait été mis à l’avant-plan de l’actualité à la suite de la mort de la chanteuse Amy Winehouse, qui était familière avec ce comportement.

Des chercheurs du King’s College de Londres ont publié une étude dans les Actes de l’Académie américaine des Sciences (PNAS) pour signifier l’importance du gène RASGRF2 dans la susceptibilité d’une personne de développer un problème d’alcool grave.

Toutefois, on rappelle que même si une personne est génétiquement plus sujette à ce type de dépendance, le gène n’explique et n’excuse pas tout le processus qui mène au passage à cet acte d’autodestruction.

On confirme simplement que le binge drinking peut avoir un effet plus intense chez certaines personnes que d’autres, en vertu de leurs gènes. Cela place certains individus devant une prédisposition à l’alcoolisme plus importante que chez les autres.

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Vers une notion officielle de dépendance au téléphone cellulaire?

Le débat est lancé depuis longtemps, mais on tarde à reconnaître officiellement si oui ou non, l’utilisation massive du téléphone cellulaire et de ses applications constitue une dépendance.

Plusieurs sont d’accord avec la notion de dépendance à la technologie, phénomène relativement récent dans l’histoire. D’autres ne croient pas que le cellulaire, Internet et les autres applications du Web puissent constituer une dépendance au même titre que l’alcoolisme ou la toxicomanie.

Deux chercheurs se sont penchés sur la question. James Roberts est l’un d’eux et il croit qu’effectivement, on peut parler de dépendance à la technologie.

Le professeur de l’Université Baylor, à Waco au Texas, explique : « Bien sûr, les téléphones cellulaires ont leur mérite. Il y a manifestement une valeur d’utilité à ces appareils, mais nous parlons de quelque chose qui est portable, transportable et accessible 24 heures sur 24. Donc, comme tout le reste, si on dépasse les bornes, ça peut devenir un problème ».

Selon le spécialiste, ce serait notamment vérifiable chez les gens qui continuent d’utiliser leur appareil, soit pour envoyer des messages ou surfer sur le Web, alors qu’ils sont en public ou en pleine discussion dans le monde réel.

Parions que vous pouvez nommer quelques personnes de votre entourage qui ont développé ce genre d’habitude.

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L’eau du robinet jouerait-elle un rôle dans le développement des allergies?

Une étude rapportée par www.nlm.nih.gov propose un lien possible entre l’eau du robinet et le développement de certaines allergies alimentaires.

Si la nouvelle peut faire peur, on ne peut s’empêcher de constater qu’une telle cause à effet serait tout à fait logique, bien que les spécialistes se gardent d’employer une telle expression.

Plus concrètement, les chercheurs de l’American College of Allergy, Asthma and Immunology (ACAAI) ont étudié les composantes chimiques retrouvées dans l’eau « plate » du robinet, dont les dichlorophénols.

Ces derniers sont des composantes utilisées, entre autres, pour la création de pesticides. On pourrait retrouver ces pesticides dans le traitement de plusieurs fruits et légumes sur le marché.

L’étude suggère que « les hauts niveaux de pesticides à base de dichlorophénols peuvent possiblement affaiblir la tolérance à la nourriture chez certaines personnes ».

La Dre Elina Jerschow explique plus en détail le phénomène : « Ces composantes chimiques sont retrouvées fréquemment dans les pesticides utilisés par les fermiers, ainsi que dans les produits contre les insectes (moustiques, par exemple) et les produits contre les mauvaises herbes. Même chose pour l’eau du robinet ».

À la suite d’une étude plus approfondie qui impliquait plus de 2200 participants, les chercheurs ont constaté qu’un lien pouvait être établi entre l’eau du robinet et la montée en flèche des cas d’allergies alimentaires, notamment chez les enfants.

D’autres études sont attendues sur le sujet.

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Une nouvelle percée permet de mieux comprendre le développement du SIDA

Santelog.com rapporte que des chercheurs ont réussi à décrypter le processus de déclenchement et de développement du virus du SIDA. Il s’agit d’une percée majeure qui pourrait bien paver la voie à d’autres avancées majeures.

Ce sont des bio-informaticiens de l’Université Pompeu Fabra, à Barcelone en Espagne, qui ont réussi le tour de force en utilisant la science et la technologie à leur avantage pour « décoder » la manière dont une protéine s’y prend pour déclencher la maturation du virus dans l’organisme.

Les chercheurs ont bon espoir de voir cette découverte permettre de faire avancer considérablement la quête de traitement du VIH, selon ce qu’ils déclarent dans un article paru dans la plus récente édition des Actes de l’Académie américaine des Sciences.

Utilisant des principes de simulation moléculaire, les chercheurs ont reconstitué les étapes de la maturation des virions, des particules virales, qui passent subitement de l’inertie complète à un mode infectieux radical. Le virus peut ensuite se répliquer à sa guise.

La protéine qui déclenche toute l’opération se nomme « protéase du VIH », et elle agirait comme des ciseaux, découpant toute la chaîne des protéines qui forment le VIH, les rendant « libres » et individuelles. Celles-ci sont ensuite à même de devenir des bases pour de nouvelles particules virales.

Il s’agit d’une découverte étonnante, car jamais on n’avait aussi bien compris le fonctionnement et le développement du VIH, concèdent les experts.

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Trop de sport pourrait raccourcir l’espérance de vie

Une nouvelle étude qui vient en contredire plusieurs autres concernant les bienfaits du sport sur la santé risque fort de faire jaser au sein de la communauté sportive.

C’est que des chercheurs américains affirment que faire trop de sport pourrait bien être nocif pour la santé, et du même coup réduire l’espérance de vie des principaux intéressés.

C’est du moins ce que rapporte topsante.com, qui parle de « fatiguer son cœur » à force de trop courir, par exemple.

Bien entendu, les chercheurs à la tête de l’étude ne veulent pas décourager la pratique d’activités physiques, bien au contraire, ni donner des munitions aux fans de la procrastination.

Cependant, ils veulent simplement mettre en garde les « accros du sport » contre des risques possibles sur leur santé à long terme.

James O’Keefe et Carl Lavie, des cardiologues, expliquent : « Une routine d’activité physique modérée peut allonger votre vie de plusieurs années. À l’inverse, courir trop vite, trop loin et pendant de trop longues années, peut raccourcir votre existence ».

Concernant la course à pied, on suggère donc de se limiter à environ 30 minutes maximum quotidiennement, pour un effet bénéfique maximal sur la santé et l’espérance de vie.

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Manger et boire beaucoup de fruits, pas toujours un gage de perte de poids

On répète sans cesse que les fruits et légumes représentent la base d’une alimentation saine, et c’est un fait. Cependant, trop de gens croient que d’en manger constamment permet de se rassasier adéquatement, et d’ainsi prévenir le gain de poids.

Or, une nouvelle étude rapportée par www.nlm.nih.gov conclut qu’il pourrait s’agir d’un mythe. Des chercheurs ont tenté l’expérience, en proposant des fruits et légumes avant les repas à un groupe de patients tests (dont les bilans de santé variaient d’obèse à normal). D’autres ont reçu un jus de fruit, ce qui n’a pas semblé freiner les ardeurs gastronomiques des sujets, au contraire.

Des 34 participants à l’étude, presque tous ont quand même enregistré des gains de poids en ajoutant des fruits, ou des jus de fruits, à leur alimentation quotidienne.

Cela s’expliquerait par le fait que le simple fait d’ajouter des fruits et légumes ne signifie pas une perte de poids automatique, mais plutôt qu’il faut alors diminuer la consommation d’autres aliments.

De plus, l’absorption de liquides comme les jus de fruits ne stimule pas l’organisme de la même façon que le font les solides, ce qui vient brouiller les cartes.

On suggère donc de remplacer de « mauvais » aliments par des fruits, et non pas de les manger en plus! De plus, il semble que les jus de fruits sont à éviter, alors que les sujets de l’étude qui en ont reçu avant les repas ont mangé près de 200 calories par repas de plus que leurs congénères.

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Le régime alimentaire des Américains bien en deçà des normes prescrites

Les autorités et associations américaines pour la santé doivent certainement commencer à être découragées par le comportement de leurs concitoyens, alors qu’une nouvelle étude vient encore confirmer que les Américains ne respectent pas les normes alimentaires prescrites par leurs propres spécialistes.

Ainsi, www.nlm.nih.gov rapporte qu’une récente étude sur le sujet démontre un manque flagrant de conscientisation alimentaire chez l’Américain moyen.

Cependant, les conclusions donnent tout de même de bonnes notes aux gens plus âgés, aux femmes ainsi qu’aux enfants, quoique les résultats demeurent décevants. C’est donc particulièrement inquiétant dans le cas des hommes d’âge moyen, qui ne semblent pas se soucier outre mesure de ce qu’ils avalent.

L’étude analysait les comportements alimentaires de 8272 Américains et proposait un système de pointage. Pour chaque aliment suggéré par l’Association (comme les fruits, les légumes, les noix, le poisson, etc.), on accordait des points. Seules les personnes âgées ont obtenu la note de passage, et de peu (65 %).

Gary Bennett, chercheur à l’Université Duke de Durham, en Caroline du Nord, conclut en affirmant : « Je crois qu’il s’agit d’une étude importante, parce qu’elle démontre clairement ce que nous avons suspecté depuis longtemps : il existe des disparités profondes dans les régimes alimentaires des Américains. La diète américaine en soi doit s’améliorer ».

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Le chien pourrait contribuer à la création de nouveaux vaccins

C’est une nouvelle étonnante que nous apprend Santelog.com, alors que des chercheurs de l’Université de Géorgie, aux États-Unis, affirment que de nouveaux vaccins pourraient être créés à partir d’un virus de chien.

Les canidés pourraient donc consolider leur statut de « meilleur ami de l’homme » en venant à la rescousse de l’humain, qui n’arrive pas à créer des vaccins pour certaines maladies et certains virus, comme le H5N1 ou le VIH.

Un des virus du chien pourrait détenir des solutions, expliquent les chercheurs dans la plus récente édition de la revue PLoS ONE.

Le Dr Biao Be, professeur d’infectiologie en médecine vétérinaire à l’UGA, explique : « Nous pouvons utiliser ce virus comme vecteur de toutes sortes de pathogènes contre lesquels il est difficile de vacciner. Nous avons mis au point un vaccin contre la grippe H5N1 avec cette technique et nous travaillons également au développement de vaccins contre le VIH, la tuberculose et le paludisme ».

Le virus en question, le PIV5, serait inoffensif pour l’homme, car le système immunitaire de ce dernier serait en mesure de le reconnaître et de le détruire efficacement.

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Les cellules souches à la rescousse du coeur

Si le débat des cellules souches continue de faire rage, il faut avouer que les plus récentes découvertes dans le domaine sont fort prometteuses.

Difficile de repousser le concept du revers de la main lorsqu’on constate que le principe pourrait sauver des milliers de vies, et Santelog.com rapporte une nouvelle percée importante, qui touche cette fois la cardiologie.

Des chercheurs de l’Université de Toronto ont en effet annoncé qu’ils pourraient parvenir à « réparer » un cœur malade grâce aux cellules souches, en transformant des cellules plus vieilles et usées par de toutes nouvelles.

Publiées dans la plus récente édition du Journal of the American College of Cardiology, ces conclusions risquent de créer une onde de choc dans le domaine médical.

Les chercheurs soulignent également le fait que, contrairement à une transplantation cardiaque, ce procédé élimine toute possibilité de rejet de la part du patient.

Le professeur Milica Radisic explique : «Nous pourrons bientôt créer des tissus meilleurs pour réparer les lésions telles que celles causées par les anévrismes ou les crises cardiaques ».

Ce principe d’inversement des cellules est qualifié de véritable « fontaine de jouvence » par les auteurs de ces recherches.