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Le pamplemousse et les médicaments : un danger réel

Ce qui semble au départ être une blague étrange devient vite inquiétant, alors que les sources qui confirment la dangerosité du pamplemousse, lorsque combiné à certains médicaments, se multiplient.

Au tour du Devoir de rapporter la nouvelle, parlant même de « cocktail explosif ».

Étrange tout de même de devoir considérer le pamplemousse comme un ennemi, mais le Dr David Bailey (Lawson Health Research Institute, Ontario) et ses collègues croient que le public n’est pas assez informé sur le sujet et qu’il doit l’être.

Ils ont d’ailleurs publié un article dans le Journal de l’Association médicale canadienne afin de sensibiliser tout le monde, y compris les spécialistes de la santé et les praticiens.

Le Dr Bailey explique que bon nombre de médicaments qui sont prescrits couramment et qui sont absolument nécessaires dans le traitement de maladies communes ou graves pourraient mettre les patients en danger lorsque combinés avec des agrumes, surtout le pamplemousse.

On parle de pas moins de 85 médicaments répertoriés qui réagiraient en présence de l’agrume. Du nombre, 43 pourraient avoir des conséquences aussi graves que le décès.

« Je ne crois pas que cette interaction soit connue aussi bien qu’elle le devrait, d’autant plus qu’il y a tellement de nouveaux médicaments qui apparaissent sur le marché et qui ont le potentiel d’engendrer des effets graves », conclut le Dr Bailey.

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Le sexe et la santé : nouvelle étude

Plusieurs études sont sorties sur le sujet de l’amour, de la sexualité et de la santé au fil des dernières années. Si certains résultats se voulaient contradictoires au départ, les conclusions voulant que le sexe soit bénéfique sur la santé deviennent de plus en plus partagées par la communauté scientifique.

De nouvelles recherches viendraient corroborer les théories selon lesquelles une sexualité active a des effets bénéfiques sur la santé.

e-sante.fr rapporte une étude sur le sujet, effectuée par des chercheurs de l’Université Duke, qui explique que l’acte sexuel est bénéfique pour réduire les maux de tête, pour la mémoire et pour la ligne.

De plus, une sexualité saine et active permettrait de faire baisser les risques de cancer de la prostate et du sein, en plus d’une production supplémentaire d’anticorps. Le sexe pour se protéger de la grippe? Il semble que oui, à tout le moins partiellement.

L’étude de Duke a été effectuée sur 270 sujets sur une période de 25 ans et a noté que plus les hommes avaient des rapports sexuels fréquents, plus ils vivaient vieux. Ce ne serait pas forcément le cas chez la femme, alors que la notion de « qualité sexuelle » vient faire varier la donne.

Pour conclure, les chercheurs rappellent qu’il a été démontré que le bonheur permet de vivre plus longtemps. Une vie sexuelle satisfaisante serait donc non seulement bénéfique sur le plan physique, mais aussi psychologique, ce qui contribuerait encore plus au prolongement de la vie… en pleine santé.

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Vieillir en bonne santé mentale grâce aux jeux, à la lecture et à l’écriture

www.nlm.nih.gov rapporte une étude publiée par des chercheurs qui affirment que les jeux et la lecture favorisent la bonne santé mentale en vieillissant.

L’écriture est aussi mentionnée dans la liste des activités qui permettraient au cerveau de conserver l’intégrité de sa structure et d’ainsi augmenter les chances de vieillir en bonne santé mentale.

Ainsi, selon les chercheurs du Rush University Medical Center and Illinois Institute of Technology, ces activités seraient beaucoup plus que de simples passe-temps pour les gens plus âgés.

Pour confirmer ces dires, ils ont étudié les effets de cette théorie sur les cerveaux de 152 personnes âgées en moyenne de 81 ans. On analysait les activités de la « matière blanche », qui transmet les informations reçues à travers le cerveau.

Ils ont facilement pu reconnaître les effets bénéfiques du jeu et de la lecture, notamment, sur la structure du cerveau.

Le chercheur Konstantinos Arfanakis conclut : « Lire le journal, écrire des lettres, aller dans une librairie, jouer à des jeux de société ou même aller au théâtre sont des activités qui contribuent à garder le cerveau en bonne santé ».

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L’hypersomnie, un problème bien réel

Si vous vous sentez constamment fatigué et dépourvu d’énergie à plusieurs moments de la journée, il est possible que vous souffriez d’hypersomnie.

Comme plusieurs autres désordres modernes, le sujet n’est pas pris au sérieux par de nombreuses personnes. Cela pourrait changer bientôt, alors que de nouvelles études sont dévoilées.

Santelog.com en rapporte une qui regroupe les conclusions des chercheurs de l’Emory University School of Medicine, initialement publiées dans la plus récente édition du magazine Science Translational Medicine.

On y apprend que le cerveau de certaines personnes serait doté d’une substance qui fonctionne comme un somnifère, favorisant le sommeil et la somnolence. Ceci expliquerait les symptômes ressentis par les gens souffrant d’hypersomnie.

Outre cette impression de fatigue constante, les patients rapportent ne pas être reposés au réveil, malgré une longue nuit de sommeil. Une impression de « brouillard » au réveil est aussi rapportée.

Le professeur David Seigle, neurologue, utilise une métaphore automobile pour expliquer le phénomène en affirmant que les gens qui souffrent d’hypersomnie ressentent le même effet que s’ils essayaient de « conduire une automobile avec les freins ».

On suggère aux gens qui se reconnaissent dans ces symptômes de consulter, car de nouvelles percées et des traitements sont à prévoir.

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Une avancée prometteuse concernant le virus de la grippe

Le virus de la grippe, l’influenza, n’est peut-être pas mortel dans la grande majorité des cas, mais il en importunera plus d’un encore cet hiver.

Pour contrer le phénomène, les recherches et études sur le sujet sont nombreuses. Une toute récente étude parle d’ailleurs d’une avancée majeure, selon ce qu’annonce Santelog.com.

C’est que des chercheurs du Scripps Research Institute (IRST) auraient réussi à cerner le processus de réplication de l’influenza. Ils concluent que lorsque le virus se multiplie, il perd également des forces. Il serait donc plus vulnérable chaque fois qu’il se duplique.

Le professeur Ian A. Wilson, de l’IRST, se dit fort excité d’avoir réussi à recréer avec son équipe ce qui serait le modèle le plus réaliste et précis du virus de la grippe jusqu’à maintenant.

Ces travaux permettent de mieux comprendre le fonctionnement de l’influenza ainsi que ses méthodes de duplication. En isolant les points faibles de la structure du virus, les chercheurs croient qu’il sera bientôt possible d’offrir de meilleurs traitements contre l’ennemi hivernal numéro un.

Les résultats de ces recherches ont été publiés récemment dans la revue spécialisée Science.

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Comment consommer efficacement fruits et légumes en hiver

L’hiver apporte son lot de problèmes (surtout au Québec), et les gens qui aiment manger santé savent que trouver de bons fruits et légumes durant cette saison en est un.

La variété et la qualité des fruits et légumes retrouvés en épicerie baissent dramatiquement lorsqu’arrive la saison froide, et il devient alors plus difficile de trouver ses vitamines.

Pour contrer le phénomène, e-sante.com propose d’éviter de stocker ses fruits et légumes au réfrigérateur, mais plutôt d’en acheter moins et plus souvent. La réfrigération contribue à faire perdre aux aliments leurs précieuses vitamines.

Aussi, on conseille de conserver fruits et légumes loin des sources de chaleur et de lumière. De plus, il serait néfaste de « faire tremper » ces aliments. On suggère plutôt de les rincer rapidement sous l’eau du robinet.

Évitez les petits morceaux et ne préparez pas vos assiettes trop longtemps d’avance. Également, les spécialistes en nutrition déconseillent de faire cuire les légumes dans un trop grand volume d’eau (lorsqu’on les fait bouillir, par exemple), ce processus diluant les vitamines.

On propose plutôt de les cuire à la vapeur et de ne pas les faire réchauffer une deuxième fois lorsqu’ils sont déjà propres à la consommation.

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La caféine ne jouerait pas de rôle dans le développement du diabète

Une vaste étude vient d’être publiée concernant le diabète de type 2 et les éléments qui peuvent contribuer à son développement.

Si l’étude permet de confirmer le lien entre les boissons sucrées et le diabète, il en est autrement pour ce qui est de la caféine, dont l’impact sur la santé demeure ambigu.

Et pourtant, l’étude est si exhaustive qu’elle aurait dû jeter de la lumière sur le débat. C’est pas moins de 100 000 hommes et femmes qui ont été suivis aux fins de ces recherches, et ce, sur une période de 22 ans.

On note une hausse de 23 % des risques de diabète de type 2 chez les gens qui consomment beaucoup de boissons sucrées (jus, cola, boisson énergie, etc.), mais les chiffres demeurent sensiblement les mêmes lorsqu’on ajoute la caféine dans l’analyse. En bref, le sucre joue un facteur, mais la caféine non.

C’est du moins ce que conclut le Dr Frank Hu, de l’Université Harvard, qui déclare : « Nous avons déterminé que la caféine ne fait aucune différence. Le café peut être bénéfique, et la caféine qu’il contient ne semble pas jouer un rôle positif ou négatif dans le développement potentiel du diabète ».

Une grande victoire pour les buveurs de café du monde entier!

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Bientôt de meilleurs traitements contre les commotions cérébrales?

www.nlm.nih.gov rapporte que des chercheurs ont fait une découverte qui pourrait bien améliorer la qualité des soins offerts aux patients souffrant de commotion cérébrale.

En effet, des spécialistes affirment qu’ils ont décelé des changements au niveau du cerveau, observables dans les cas de commotion cérébrale, et qui pourraient faire progresser la façon de faire dans des cas de complications postcommotion, notamment.

L’étude, qui compile ces résultats, a été publiée dans le journal Radiology et fait état de tests effectués sur 23 patients aux prises avec une commotion cérébrale (ou en complication postcommotion), et sur 18 patients en parfaite santé.

Il appert qu’une commotion cérébrale influencerait des zones-clés du cerveau, celles-là mêmes qui place l’organisme en état de repos. Lors d’une commotion, les mêmes zones seraient influencées, plaçant le corps dans ce que l’on appelle « l’état de base réseau » (default-mode network). Ce dernier définit l’état d’une personne en repos, ou lorsqu’elle « part dans la lune ».

On constate que les conséquences d’une commotion sont vérifiables dans ces mêmes zones cérébrales, altérant le système réseau mentionné ci-haut. On constaterait le même genre d’altération chez les gens souffrant de la maladie d’Alzheimer.

Les chercheurs croient qu’une amélioration des traitements est envisageable à la suite de cette découverte.

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Une diète riche en soya serait inutile contre les effets de la ménopause

Une vaste et récente étude suggère que contrairement à ce que l’on pensait il n’y a pas si longtemps, une diète riche en soya ne serait pas bénéfique pour contrer les effets de la ménopause.

On le sait, la ménopause arrive avec son lot de désagréments, notamment les fameuses bouffées de chaleur que les femmes ressentent à cette période de leur vie. On croyait que le soya pouvait avoir un rôle-clé dans l’affaiblissement de ces symptômes, mais voilà qu’une nouvelle étude vient contredire la théorie.

C’est www.nlm.nih.gov qui rapporte les conclusions des chercheurs, qui savent que plusieurs femmes préfèrent ne pas prendre les médicaments déjà offerts pour améliorer l’expérience de la ménopause. On tente donc de trouver de nouveaux moyens plus naturels, et le soya était porteur d’espoir.

« Nous souhaitions trouver des moyens pour aider les femmes à contrôler leur santé, et nous étions optimistes à l’égard des produits de soya. Nous pensions que ceux-ci constitueraient une bonne solution. Malheureusement, le soya ne semble pas prévenir des symptômes désagréables de la ménopause », explique Ellen Gold, professeure à l’Université de Californie.

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Après le H1N1, voici le H5N1

Vous vous souvenez sans doute de cette panique générale qui s’était emparée de plusieurs régions du monde lors de la pandémie de SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère) il y a quelques années.

Heureusement, les impacts du virus se sont avérés moins dévastateurs que ce que les autorités craignaient, mais de nouveaux rapports indiquent que nous ne sommes peut-être pas encore tout à fait à l’abri.

C’est le chercheur Ron Fouchier qui fait ce constat, annonçant même l’arrivée de nouveaux coronavirus à l’image du fameux SRAS. En effet, Santelog.com rapporte que le H5N1 est en développement depuis le début de l’année et qu’il s’avère différent de tout ce que l’homme a connu jusqu’à présent, malgré ses ressemblances avec le H1N1.

Cependant, Fouchier aurait réussi à trouver la source de cette nouvelle menace, un pas important dans l’application de systèmes de prévention ou pour la création d’un antidote efficace.

Il appert que cette nouvelle version nous viendrait de chauves-souris asiatiques, selon ce qu’il publiait dans la revue American Society for Microbiology, et ses composantes la différencieraient des autres coronavirus connus.

Le chercheur semble avoir bon espoir de pouvoir élaborer un vaccin pour contrer une nouvelle pandémie, mais appelle la population à la prudence.