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Des muscles reconstruits grâce aux vessies de porc

Des chercheurs américains auraient mis au point une nouvelle méthode de reconstruction et de régénération de muscles humains endommagés grâce à des vessies de porc, rapporte Top Santé.

Le processus, bien que surprenant, s’avère relativement simple. Selon les chercheurs de l’Université de Pittsburgh derrière le projet, il est possible d’implanter des parties de ces vessies préalablement dépouillées de leurs cellules directement dans la structure musculaire visée, et ainsi d’obtenir un résultat satisfaisant.

« Quand un grand volume de muscles est perdu, généralement à cause d’un traumatisme, le corps ne peut pas répondre suffisamment pour les remplacer. Au lieu de cela, du tissu cicatriciel peut se former, ce qui altère de manière significative leur résistance et leur fonction. Cette nouvelle étude est la première à montrer un remplacement de nouveau tissu musculaire fonctionnel chez l’homme. Ce sont les patients qui ne peuvent plus marcher, ne peuvent pas sortir de la voiture, ne peuvent pas monter et descendre d’une chaise, ne peuvent pas prendre des mesures sans tomber. Maintenant, nous avons un moyen de les aider à aller mieux », explique l’auteur de l’étude, Stephen Badlyak.

Une véritable percée qui pourrait changer des vies, comme l’explique M. Baddlyak.

Les conclusions de ce dernier et de son équipe ont été publiées dans le magazine scientifique médical Science Translational Medicine.

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Le cerveau des femmes modifié après une grossesse

Il semble que l’expérience d’une grossesse ne change pas que la vie d’une femme, mais aussi la dynamique de son cerveau, rapporte Radio-Canada.

C’est une étude proposée par une équipe de chercheurs menée par la neuroscientifique Liisa Galea, basée à l’Université de la Colombie-Britannique (UBC), qui dévoile cette conclusion.

Le cerveau subirait certains changements et perdrait même de la masse au cours d’une certaine période, ce qui pourrait créer des avantages pour les mères, comparativement à celles qui n’ont jamais vécu de grossesse.

Selon Mme Galea, les recherches effectuées par son équipe sur des rongeurs tendent à démontrer que les spécimens qui donnent la vie développeraient une meilleure mémoire à long terme, en plus d’une plus grande capacité à effectuer plusieurs tâches en même temps.

Le fait le plus étonnant s’avère sans aucun doute celui qui propose une réduction de la taille du cerveau pouvant aller jusqu’à 8 % au cours d’une grossesse, mais celui-ci reprendrait sa taille « normale » au cours des mois suivants.

Toutefois, on mentionne et confirme que les femmes qui mettent un enfant au monde ont aussi certains risques accrus de problèmes de santé, qui peuvent se matérialiser de multiples façons et selon le cas de chacune.

Les conclusions de Mme Galea et de son équipe ont été proposées dans le cadre de l’arrivée de la fête des Mères, explique en terminant la société d’État.

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Le métapneumovirus bientôt maîtrisé

Radio-Canada rapporte les plus récents développements dans le dossier du métapneumovirus, qui aurait fait jusqu’ici au moins neuf victimes chez des personnes âgées résidant en centre d’hébergement et de soins de longue durée (CHSLD), notamment du côté de Drummondville.

Il s’agit d’une bonne nouvelle malgré les circonstances, puisque les autorités confirment la mise en place d’un groupe de scientifiques et de chercheurs dédiés à mettre au point un vaccin contre le virus. Le groupe serait d’ailleurs déjà sur la bonne voie, et il serait permis d’espérer un vaccin d’ici les cinq prochaines années.

« Notre groupe a été le premier à rapporter la présence de ce virus en Amérique, en 2001. On travaille déjà depuis plusieurs années sur la mise au point d’un vaccin. Il n’en existe pas à l’heure actuelle. On a des résultats intéressants chez l’animal et là, on vient d’avoir un bon coup de pouce avec une subvention de 12 millions de dollars avec des collègues de McGill et de Sherbrooke », explique Guy Boivin, microbiologiste-infectiologue au CHUQ.

Le métapneumovirus est de type aviaire et provoque chez les patients qui le contractent de sévères complications respiratoires, qui peuvent s’avérer fatales pour les personnes plus âgées.

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Une méta-étude confirme les bienfaits des amandes

Les amandes bénéficient d’un nouvel appui massif, rapporte MedicalNewsToday, alors qu’une nouvelle méta-étude sur le sujet vient d’être présentée devant les membres de l’American Society of Nutrition.

En analysant plusieurs études effectuées sur le compte des amandes et de leurs bienfaits, les spécialistes présents lors de la réunion annuelle de l’ASN ont confirmé plusieurs avantages à l’aliment, que ce soit dans le contrôle du poids, dans le contrôle de l’appétit et sur ses impacts généraux sur la santé.

« Présenter cette recherche à cette assemblée de scientifiques et de professionnels de la santé est primordial afin de transformer ces découvertes en applications pratiques et en recommandations », croit la Dre Karen Lapsley, l’une des dirigeantes de l’Almond Board of California.

Avec des statistiques qui démontrent que 97 % des Américains consomment au moins une collation par jour, et que 40 % en consomment de trois à quatre, conseiller les amandes comme changement alimentaire pourrait donc transformer plusieurs vies, selon plusieurs spécialistes.

D’autres conclusions plus étoffées à la suite de cette présentation sont à venir, mais cette méta-étude vient confirmer une fois de plus les bienfaits puissants des amandes au sein d’une alimentation saine.

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La consommation de fer peut augmenterait les risques de maladies cardiaques

Une étude vient renforcer le lien établi entre la consommation de viande rouge et la hausse des risques de maladies cardiaques, rapporte MedicalNewsToday.

Se concentrant sur la consommation de fer, l’étude en provenance de l’Université de l’Indiana trace un parallèle évident entre celle-ci et les risques de décès à la suite d’un problème coronarien ou cardiovasculaire.

On parle même d’un risque accru de 57 % chez les grands consommateurs de viande, rapporte cette même source, alors que l’on peine à établir un tel parallèle avec le fer retrouvé dans les sources végétales.

Il est également étonnant d’apprendre que le fer se stocke dans le corps de telle manière qu’il est presque impossible de l’éliminer. Donner du sang serait l’une des seules options possibles. La consommation de café pourrait cependant empêcher ou ralentir l’absorption du fer dans le sang.

L’étude confirme donc une nouvelle fois que la consommation de viande rouge doit être modérée, et qu’il est préférable de se tourner vers des options végétales dans les choix alimentaires

Cette nouvelle étude a été publiée dans le Journal of Nutrition.

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Le stress pourrait être une condition contagieuse

Une nouvelle étude allemande vient donner raison aux plus réceptifs aux énergies d’autrui, rapporte Top Santé, et constate que certaines émotions comme le stress seraient littéralement contagieuses.

Se concentrant sur le stress et l’anxiété, l’étude produite par les chercheurs du Max Planck Institute for Human Cognitive and Brain Sciences, à Leipzig en Allemagne, propose une expérience plus que concluante.

Simple mais efficace, l’expérience en question constituait à demander à 211 sujets volontaires d’observer attentivement une personne en situation de stress intense. Les chercheurs évaluaient alors les réactions des sujets, notamment en analysant leurs niveaux de cortisol (aussi appelé l’hormone du stress).

Résultat? Une personne sur quatre a vu son niveau de stress monter en flèche à la suite de l’observation, ce qui pourrait signifier également qu’une personne sur quatre possède une plus grande sensibilité aux émotions et énergies de son environnement.

Une étude des plus intéressantes, en somme, qui tend à démontrer l’importance de s’entourer de personnes et de situations positives au cours de sa vie.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le magazine Psychoneuroendocrinology.

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L’activité physique repousse aussi l’apparition des rides

Intégrer l’activité physique à son rythme de vie à d’innombrables avantages, on le sait, dont ceux de lutter contre la prise de poids et d’espérer une plus grande longévité.

Selon Top Santé, d’autres avantages marginaux et parfois non négligeables sont aussi associés à une vie sportive active. L’un de ceux-là serait le retardement de l’apparition des rides lors du vieillissement, selon une nouvelle étude rapportée par le site spécialisé.

Ce sont des chercheurs ontariens basés à l’Université McMaster qui ont constaté ce nouveau bénéfice, d’abord sur des souris, puis sur des humains.

Lors des essais, les rongeurs à qui l’on avait confisqué leur roue d’exercice ont démontré des signes prématurés de vieillissement, contrairement à ceux qui poursuivaient leur « programme » d’exercice à roulette.

On a donc voulu pousser la logique à l’homme, en analysant les effets du sport sur 29 sujets volontaires de 20 à 84 ans.

Les résultats seraient particulièrement probants sur les personnes à l’aube de la quarantaine, qui affichent des mines clairement plus jeunes grâce à une vie active.

« Je ne veux pas être excessif, mais les résultats sur la peau sont vraiment remarquables à voir », mentionne d’ailleurs le Dr Mark Tarnopolsky, qui dirige l’étude.

D’autres recherches seront effectuées sur des groupes de sujets plus nombreux, mais les spécialistes n’ont plus besoin d’être convaincus concernant les effets du sport sur la prévention des signes du vieillissement.

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Les projets créatifs augmentent la productivité au travail

Les personnes qui s’adonnent à des projets créatifs dans leurs loisirs seraient plus performantes au travail, peut-on conclure des analyses révélées dans une nouvelle étude en la matière.

The National Library of Medicine rapporte en effet la publication d’une étude sur les impacts de la création, effectuée par des chercheurs basés à l’Université de San Francisco.

On note une capacité accrue de résolution des problèmes et une plus grande capacité de performance chez ceux qui s’adonnent à des projets créatifs.

« Peu importe leur activité créative, les participants la décrivent habituellement comme une expérience profonde et luxuriante, qui procure beaucoup d’avantages pour eux. Ils mentionnent également que l’idée de l’auto-expression est une occasion d’en apprendre davantage sur eux-mêmes », résume le professeur Kevin Eschleman, de l’Université de San Francisco.

Les activités décrites vont de l’écriture à l’utilisation des jeux vidéo, rapporte-t-on, toutes des activités empreintes de créativité et de liberté se qualifiant comme bienfaitrices pour la productivité et les capacités cognitives.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans le Journal of Occupational and Organizational Psychology.

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Être perfectionniste pourrait nuire à votre santé

On considère souvent le perfectionnisme comme une grande qualité, les gens perfectionnistes (et les autres) n’hésitant pas à mentionner cet atout lors d’entrevues d’embauches et pour se décrire lors de diverses situations.

Or, selon de nouvelles recherches, les personnes perfectionnistes nuiraient à leur propre santé avec de tels comportements, rapporte Top Santé. Si la source mentionne notamment les femmes, on peut facilement conclure que l’avertissement s’adresse à tous.

« Nous vantons toujours le perfectionnisme comme une marque d’accomplissement professionnel, mais c’est au contraire un puissant facteur de maladies (…) qui devrait être davantage considéré par les médecins », explique la Dre Danielle Molnar, de l’Université Brock.

Dre Brock n’est pas la seule à nous mettre en garde contre les contrecoups d’une vie passée à atteindre la « perfection ». Des collègues comme le professeur Gordon Flett, de l’Université de York, abondent dans le même sens. M. Flett a notamment étudié le comportement perfectionniste sur la santé lors de recherches qui s’étendent sur une période de 20 ans, et constate que la quête de la perfection tourne souvent à l’obsession et mène au stress.

Les conclusions de la Dre Danielle Brock ont été publiées par le Daily Mail (UK).

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Une protéine naturelle pour traiter l’intolérance au gluten

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, semble atteindre de plus en plus de gens et est ouvertement discutée par plusieurs, dont certaines célébrités.

Il s’avère donc important de mieux comprendre et de trouver de nouvelles pistes de solution, croient les spécialistes appelés à commenter cette hausse observable des cas d’intolérance au gluten.

La solution pourrait bien venir d’un groupe composé de chercheurs de trois établissements différents, soit l’INSERM (France), l’Université McMaster (Canada) et l’École polytechnique fédérale de Zurich (Suisse).

Les chercheurs de cette équipe seraient en effet parvenus à livrer avec succès une bactérie probiotique dans l’estomac de souris, et ainsi paver la voie à de possibles traitements contre l’intolérance au gluten, rapporte NutritionNews.

Plus encore, les spécialistes qui dirigent ces recherches auraient également confirmé avec succès les bienfaits d’une protéine naturelle de l’organisme en traitement de la maladie coeliaque. Il s’agit de la protéine humaine Elafin, qui permettrait l’élaboration de certains traitements.

Une bonne nouvelle, puisqu’aucun traitement officiel et efficace contre la maladie coeliaque n’a encore été découvert et approuvé. La seule solution qui se présente aux patients qui en souffrent est de cesser complètement la consommation de tout aliment comprenant du gluten.

Les conclusions et observations des chercheurs de cette étude ont été publiées dans l’American Journal of Gastroenterology.