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Nouveau test de dépistage du VIH et du cancer de la prostate

Un prototype de test de dépistage vient de voir le jour et il semble fort prometteur, selon ce qu’affirme santelog.com.

De plus, il serait facile d’accès et peu onéreux, ce qui pourrait le rendre efficace non seulement pour aider les gens sur notre continent, mais aussi ceux qui vivent dans des pays moins bien développés.

Ainsi, le test de dépistage permet de déceler rapidement des stades précoces du VIH et du cancer de la prostate, et ce, à l’œil nu! Des indicateurs colorés apparaitraient sur la peau lorsque le procédé est effectué, permettant de prévenir rapidement les praticiens de la présence de ces maladies.

Il s’agit d’un système de nanoparticules d’or qui, au contact d’un bio-marqueur, permet de voir les résultats presque instantanément. Les chercheurs à l’origine de ce test avançaient, lors de la parution d’un article dans le magazine scientifique Nature Nanotechnology, que ce système est dix fois plus performant que les modes de dépistage actuels.

Voilà une excellente nouvelle pour les praticiens de partout, et spécialement pour ceux qui doivent travailler dans des zones plus pauvres, où le matériel et les ressources sont parfois limités.

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Les bienfaits de la pomme

Si vous êtes un fan de la pomme et que vous êtes du genre à faire le plein de ce fruit chaque automne, sachez que c’est une excellente habitude.

Pour ceux qui en auraient assez de croquer des pommes, ou encore ceux qui détestent les fruits, voici quelques raisons qui vous pousseront peut-être à vous réconcilier avec cet aliment.

D’abord, à l’aube de l’Halloween et du gavage de friandises en règle, sachez que la pomme est une arme redoutable dans la prévention de la carie. Il vous sera peut-être difficile de convaincre vos enfants, par contre.

Ensuite, selon plaisirsante.com, la pomme permettrait également de stimuler et de conserver la mémoire, grâce à la quercétine, un antioxydant qu’elle contient.

Aussi reconnue pour ses vertus anti-cancer, la pomme est l’ennemi de plusieurs maladies graves. Les problèmes cardio-vasculaires, entre autres, sont aussi minimisés statistiquement en consommant des pommes quotidiennement (le raisin possèderait également des qualités similaires).

« Une pomme par jour éloigne le médecin pour toujours ». Cette expression est tout à fait juste, les recherches indiquant que les chances de développer des problèmes vous menant chez le médecin sont réduites de 27 % si vous mangez des pommes de façon régulière

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Les médicaments sont un « bon premier pas » pour traiter l’alcoolisme

Deux médicaments qui sont souvent utilisés dans le traitement de l’alcoolisme seraient également appropriés à différentes étapes de la thérapie, affirme une étude publiée sur www.nlm.nih.gov.

Campral et ReVia sont deux traitements qui ne déclenchent pas de dépendance, et qui ne rendent pas le patient malade s’il les mélange avec de l’alcool. Voilà qui peut s’avérer pratique pour ceux qui souhaitent arrêter progressivement de consommer, mais sans avoir recours à une cure en centre de désintoxication.

64 tests cliniques d’évaluation ont permis aux chercheurs californiens, à l’origine de l’étude, de découvrir que le Campral permettait d’aider efficacement les patients déjà sobres à ne pas rechuter. Le ReVia, quant à lui, permet de baisser la consommation d’alcool chez les cas plus lourds, en enlevant une partie de « l’appel » de la bouteille.

Au total, c’est 11 000 dossiers de patients qui ont été suivis, et les conclusions sont claires aux yeux des spécialistes : ces médicaments fonctionnent.

Et tout cela a du sens pour les experts en dépendances, vu la façon dont ces médicaments agissent sur le cerveau. Tout cela est logique et bénéfique, selon le Dr. Raymond Anton, du Center for Drug & Alcohol Programs de l’Université de Caroline du Sud.

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Trop de produits laitiers pourrait endommager le sperme

Le régime alimentaire d’un homme peut sensiblement faire varier ses capacités reproductives, selon plusieurs études et experts.
 
Mais de façon plus précise, une nouvelle étude annoncée par le site nlm.nih.gov déclare que les produits laitiers et les glucides seraient spécialement mauvais pour le sperme, et donc pour la reproduction en général.
 
Donc, plus un homme absorbe de lait et ses dérivés, plus ses chances de procréer diminuent, conclut l’étude effectuée à San Diego, Californie.
 
Du côté des femmes, on note des phénomènes similaires, alors que deux études sur la fertilité (in vitro) ont démontré que de hausser sa consommation de protéines tout en baissant celle de glucides leur permettrait d’augmenter leurs chances mathématiques de féconder.
 
Même si les liens sont plus qu’évidents aux yeux des chercheurs, l’effet de causalité n’a pas encore été prouvé hors de tout doute.
 
Ces plus récentes recherches ont été présentées à la réunion annuelle de l’American Society for Reproductive Medicine, par J.B. Russell.
 
Les chercheurs affirment par ailleurs que le taux de spermatozoïdes global est en déclin partout sur la planète, un phénomène appelé à grandir au courant du prochain siècle.
 
Il s’agit là d’une déclaration controversée et inquiétante.
 
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Votre corps peut-il pressentir l’avenir?

De récentes recherches tendent à démontrer que le corps possède la capacité de ressentir des événements qui sont sur le point de se produire, avance www.nlm.nih.gov.

Il semble que le cerveau n’aurait rien à y voir, le corps possédant des facultés qui lui sont propres. Ce sont les conclusions des chercheurs de la Northwestern University, qui ont analysé 26 études publiées sur le sujet entre 1978 et 2010.

« S’il a déjà été démontré que le subconscient en sait souvent plus que le conscient, il reste à déterminer si les humains ont la capacité de prédire l’avenir sans aucun indice préalable. Notre analyse démontre que si vous êtes au diapason parfait avec votre corps, il vous est possible de pressentir certains changements ou événements à survenir prochainement », explique Julia Mossbridge, chercheuse associée au laboratoire de neuroscience et de perceptions cognitives de la Northwestern University.

Elle ajoute, à la blague, que ce système pourrait même vous permettre de prédire quand votre patron franchira la porte de votre bureau, et ainsi vous donner le temps de fermer le jeu vidéo que vous êtes en train d’essayer au lieu de travailler.

Plusieurs personnes sont capables de pressentir certains événements, mais la spécialiste se garde de crier à la clairvoyance. Elle préfère appeler le phénomène « activité anticipatoire », précisant que plusieurs études restent à faire pour tirer des conclusions claires sur ce trait du corps humain.

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Comprendre l’effet placebo

L’effet placebo, soit la faculté de guérir par un médicament ou un remède qui n’en est pas un réellement, est l’un des mystères médicaux qui fascinent le plus.

Comment une pilule qui n’en est pas une peut-elle soigner? Comment un patient peut-il se croire traité alors qu’il ne l’est pas?

Des chercheurs du Beth Israel Deaconess Medical Center(BIDMC) et de la Harvard Medical Schoolont tenté de répondre à ces questions, et bien d’autres, concernant le mystère entourant « l’effet placebo », rapporte www.nlm.nih.gov.

Utilisée constamment dans des cliniques et centres pharmacologiques à travers le monde, la méthode du placebo permet entre autres de vérifier les effets d’un médicament sur un groupe de personnes en les comparant avec un autre qui reçoit un placebo.

Pourquoi certaines personnes réagissent alors comme si elles recevaient un médicament véritable? La réponse pourrait se trouver dans le bagage génétique de chaque individu. Certains, par exemple, produiraient plus de dopamine, ce qui contribue à hausser la réponse de ceux-ci devant un placebo.

On appelle ces gens des « placebos-répondeurs », et ces derniers pourraient jouer un rôle majeur dans la conception future de certains essais cliniques. Les chercheurs pensent que l’on pourra bientôt prédire quelles personnes sont des « placebos répondeurs ».

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Un examen du côlon plus simple et aussi efficace pour les femmes

Les femmes de moins de 70 ans ont un risque plutôt faible de voir apparaître une grosseur anormale dans la partie supérieure du côlon, suggère une étude rapportée par www.nlm.nih.gov.

Ainsi, toujours selon les chercheurs de l’étude, plusieurs femmes pourraient opter pour des tests de dépistage du cancer du côlon plus simples, moins intrusifs et tout aussi efficaces.

Même si plusieurs autres types de tests sont offerts, et même si les spécialistes américains ne recommandent une colonoscopie que tous les dix ans pour les femmes âgées de 50 ans et plus (en plus d’autres tests sporadiques), il semble que le choix de prédilection dans le domaine demeure le plus invasif et onéreux.

Thomas Imperiale, un gastro-entérologue de l’Université de l’Indiana, met en garde contre ce choix. Selon lui, les gens croient trop aisément que de subir une colonoscopie est suffisant, et qu’aucun autre test n’est nécessaire.

Il explique : « Plusieurs personnes ne subissent aucun autre test de dépistage du côlon, car ils croient qu’une colonoscopie est suffisante et indispensable. Il existe d’autres avenues ».

Ainsi, il est suggéré d’en discuter avec son médecin, afin de trouver les meilleures solutions de dépistage pour vous.

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Le manque de calcium lié à des problèmes hormonaux chez la femme

Les femmes qui ont une carence en calcium dans leur alimentation sont plus à risque de développer une condition hormonale causée par une suractivité des glandes parathyroïdes. Ces problèmes peuvent affaiblir les os et ainsi mener à des fractures et autres problèmes divers.

C’est ce qu’affirme www.nlm.nih.gov, qui reprend les constats d’une étude menée par la Dre Julie Paik et ses collègues du Brigham and Women’s Hospital de Boston.

Aux fins de l’étude, les chercheurs ont suivi plus de 58 000 dossiers de patientes, âgées de 39 à 66 ans, qui n’avaient pas de problèmes connus liés aux glandes parathyroïdes.

Les participantes ont été divisées en cinq groupes distincts, basés sur leurs habitudes de consommation de calcium. Les données compilées sont celles observées chaque quatre ans, sur une période de 22 ans.

Les résultats sont clairs : après un certain âge, les femmes qui consomment régulièrement des sources de calcium voient diminuer de 44 % leurs chances de développer des problèmes liés aux glandes parathyroïdes.

Un indicatif clair de l’importance du calcium. Les chercheurs concluent que la prise de suppléments de calcium fait le travail, et que 500 milligrammes quotidiennement font chuter les risques jusqu’à 59 % de moins.

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La consommation de viande et l’asthme

La viande vient de subir un blâme de la part de spécialistes, pour sa collaboration possible dans le développement de l’asthme et de maladies similaires, comme le rhume des foins, affirme une étude rapportée par Lanutrition.fr.

L’étude australienne rappelle que l’asthme est une maladie respiratoire, et que pour ce type de problème, les facteurs alimentaires ne sont que très peu connus. En fait, on pointe souvent du doigt le mode de vie, la pollution et, bien sûr, les gènes.

Ce sont toutes des raisons réelles, mais qu’en est-il du régime alimentaire? Ce que nous mangeons peut-il influencer notre système respiratoire? Les chercheurs pensent que oui, à commencer par la viande.

Après avoir suivi 156 053 adultes âgés de 45 ans et plus ayant connu des problèmes d’asthme et/ou de rhume des foins, et en les questionnant sur leurs habitudes alimentaires, les spécialistes n’hésitent pas à faire le lien.

Donc, le facteur de risque pour ceux qui mangent beaucoup de viande augmenterait de près de 20 %, en comparaison avec les gens qui en mangent moins ou pas du tout.

En contrepartie, on suggère aux patients asthmatiques de manger plus de légumes, jusqu’à deux ou trois portions de plus que ce que suggèrent les guides alimentaires.

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La dépression fait craindre la discrimination

Beaucoup de gens hésiteraient à demander de l’aide lorsqu’aux prises avec des symptômes indiquant une dépression nerveuse, craignant le jugement et la discrimination d’autrui, affirme une étude rapportée par www.nlm.nih.gov.

Les recherches démontrent que 79 % des gens qui souffrent de dépression pensent devoir faire face à une forme de jugement ou de discrimination durant le processus.

L’étude, publiée en Angleterre, utilisait des questionnaires afin d’amasser de l’information sur la discrimination que vivent les gens atteints de dépression, et ce, dans 35 pays différents. Le nombre total de gens sondés dépasse le millier.

Les réponses aux questionnaires révèlent des statistiques troublantes. En effet, 34 % des patients disent avoir été évités par des proches, 37 % affirment que la peur de se faire juger les a empêchés de créer des liens solides ou une relation intime avec une autre personne, et 25 % disent avoir évité de travailler, de peur de faire face à de la discrimination.

Par contre, plusieurs patients qui anticipaient le jugement des autres ne l’ont pas vraiment expérimenté, poursuit l’étude. Il s’agit donc d’une peur fondée, mais qui s’avère moins lourde en réalité.

71 % affirment vouloir ou avoir gardé le diagnostic pour eux-mêmes, ce que les spécialistes déconseillent vivement. Les gens qui croient vivre une dépression doivent s’exprimer et rechercher de l’aide rapidement.