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La dépression fait craindre la discrimination

Beaucoup de gens hésiteraient à demander de l’aide lorsqu’aux prises avec des symptômes indiquant une dépression nerveuse, craignant le jugement et la discrimination d’autrui, affirme une étude rapportée par www.nlm.nih.gov.

Les recherches démontrent que 79 % des gens qui souffrent de dépression pensent devoir faire face à une forme de jugement ou de discrimination durant le processus.

L’étude, publiée en Angleterre, utilisait des questionnaires afin d’amasser de l’information sur la discrimination que vivent les gens atteints de dépression, et ce, dans 35 pays différents. Le nombre total de gens sondés dépasse le millier.

Les réponses aux questionnaires révèlent des statistiques troublantes. En effet, 34 % des patients disent avoir été évités par des proches, 37 % affirment que la peur de se faire juger les a empêchés de créer des liens solides ou une relation intime avec une autre personne, et 25 % disent avoir évité de travailler, de peur de faire face à de la discrimination.

Par contre, plusieurs patients qui anticipaient le jugement des autres ne l’ont pas vraiment expérimenté, poursuit l’étude. Il s’agit donc d’une peur fondée, mais qui s’avère moins lourde en réalité.

71 % affirment vouloir ou avoir gardé le diagnostic pour eux-mêmes, ce que les spécialistes déconseillent vivement. Les gens qui croient vivre une dépression doivent s’exprimer et rechercher de l’aide rapidement.

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Le dilemme de la provenance des cellules souches

On le sait, les cellules souches transplantées chez des patients atteints du cancer et suivant un traitement de chimiothérapie offrent beaucoup d’espoir.

Ces patients voient leur moelle épinière être ravagée par les traitements, et les cellules souches peuvent venir contrer ce phénomène.

Une nouvelle étude s’attarde cependant sur une question importante, soit la provenance de ces cellules souches. Souvent, la technique utilisée est celle de la transplantation de moelle épinière, mais il est également possible d’arriver au même résultat par une transfusion sanguine (sang périphérique).

Quel est donc le meilleur moyen, se questionnent les chercheurs dans cette étude que propose www.nlm.nih.gov.

L’étude démontre que les cellules souches de sang périphérique pourraient réduire les risques d’échec de greffe, alors que la moelle épinière pourrait réduire les risques de développer une maladie chronique postgreffe.

Le débat risque de se poursuivre pour un bon moment.

Dans les dix dernières années, 75 % des transplantations de cellules souches provenant d’une personne non reliée par la famille ont été faites à partir de sang périphérique. Il semble que plusieurs études ont aussi démontré que la moelle épinière peut mener à des complications plus sérieuses, ce qui aurait influencé le choix des spécialistes.

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La polémique concernant les produits bios fait rage

De plus en plus de gens se tournent vers les produits alimentaires biologiques depuis quelques années. Le nombre de gens résistant à l’idée est tout aussi nombreux, et la polémique entourant le concept bio fait toujours rage.

Une super étude sur le sujet risque d’alimenter les débats, puisqu’elle conclut que les aliments biologiques ne seraient pas « meilleurs » que les autres sur le plan nutritionnel, selon Lanutrition.fr.

Voilà qui a de quoi surprendre et qui mettra sans le doute le feu aux poudres dans le camp des pro-bio, qui vantent constamment les mérites de ces produits.

Les chercheurs ont donc sélectionné 237 études sur le sujet et analysé les résultats. Ils concluent qu’aucun effet significatif ne distingue l’agriculture biologique de l’agriculture conventionnelle, excepté le fait que les produits ne contiennent pas ou peu de pesticides.

Aussi, les aliments biologiques contiendraient moins de bactéries résistantes aux antibiotiques. Des avantages, certes, mais qui ont moins de poids que ce nous aurions pu croire. De plus, les aliments « normaux » contenaient en majorité des résidus de pesticides sous les normales obligatoires en alimentation.

Le bio serait un choix idéal pour les femmes enceintes, les enfants et les personnes âgées aux prises avec des problèmes de santé chroniques.

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Les antioxydants encore en vedette dans la lutte contre le cancer

Les antioxydants se retrouvent encore cités dans une nouvelle étude, eux qui sont déjà abondamment mis en vedette dans la lutte contre le cancer, cette fois en lien avec le cancer de la prostate.

Ces recherches tendent à démontrer que les hommes qui consomment des fruits, des légumes et du thé (et les antioxydants qu’ils contiennent) sont moins à risque de développer la forme la plus agressive de cancer de la prostate.

Les taux de survie seraient donc augmentés dans le cas d’un diagnostic de cancer de la prostate, rapporte www.nlm.nih.gov. Cependant, de l’aveu même des chercheurs, ces résultats sont partiels et limités. Il faudra donc attendre avant de pouvoir conclure qu’un régime alimentaire à base de fruits, légumes et autres végétaux protège vraiment contre le cancer.

Par contre, à la suite de l’examen de 1900 patients atteints, ceux qui avaient une meilleure diète et consommaient des fruits et légumes (et/ou du thé) avant l’apparition de la maladie ont donc réduit de 25 % leurs chances de développer la forme la plus ravageuse du cancer de la prostate.

« Nous voyons bien que même si cela ne vous prévient pas du cancer, les antioxydants permettent de se protéger de sa version la plus agressive », conclut la professeure Susan Steck de l’University of South Carolina’s Arnold School of Public Health.

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Les antidépresseurs augmenteraient les risques de crise cardiaque

Une nouvelle recherche indique un facteur de risque de crise cardiaque un peu plus élevé chez les gens qui consomment des antidépresseurs que chez les autres, rapporte www.nlm.nih.gov.

L’étude cible les antidépresseurs bien connus, comme Prozac et Paxil, mais spécifie que si le risque augmente pour tous les usagers, un seul individu sur 10 000 subirait véritablement une crise cardiaque provoquée par la prise de ces médicaments.

Les statistiques démontrent que les risques sont au plus fort durant les premières semaines et premiers mois d’un traitement.

« Les médecins devraient être au fait de cette association de risque », affirme le Dr Daniel Hackam, professeur associé à la London Health Sciences Center of University Hospital, en Ontario.

Il ajoute : « Cependant, les gens qui ne font pas partie du groupe à haut risque ne devraient pas s’en faire outre mesure. Le risque ultime ne touche qu’un cas sur 10 000. Les risques diminuent grandement si vous êtes un utilisateur de longue date, sans effets précédents ».

Cette recherche analysait les données de 16 études sur le sujet, qui touchaient plus de 500 000 personnes au total.

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L’alcoolisme plus mortel que le tabagisme

De nouvelles recherches suggèrent que l’alcoolisme est plus ravageur que le tabagisme quant à l’espérance de vie, entre autres.

Ces résultats, rapportés par www.nlm.nih.gov, tendent à démontrer que la durée de vie serait raccourcie de plus d’années chez un alcoolique que chez un fumeur. On affirme aussi que cette statistique s’applique d’autant plus chez les femmes aux prises avec un problème d’alcool.

Voilà qui a de quoi surprendre, puisque la cigarette est devenue l’ennemi public numéro un en matière de santé au fil des dernières années.

Les chercheurs allemands à l’origine de ces recherches sont convaincus de ce qu’ils avancent : le taux de mortalité est 4,6 fois plus élevé chez les femmes alcooliques, et 1,9 fois plus chez les hommes, en comparaison avec le reste de la population dite « générale ».

Il s’agit d’une super-étude, puisque des données concernant plus de 4000 individus ont été compilées pour arriver à ces résultats.

Le directeur de l’Institute of Epidemiology and Social Medicine de l’University Medicine Greifswald urge les gens qui ont des problèmes d’alcool à consulter le plus rapidement possible afin d’obtenir de l’aide.

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Des poumons en santé seraient bénéfiques pour le cerveau

Outre les raisons et bénéfices connus de s’occuper de sa santé pulmonaire, il appert que des poumons sains seraient aussi bénéfiques pour le cerveau, selon une étude.

C’est ce que rapporte www.nlm.nih.gov, qui reprend des propos contenus dans une étude produite par des chercheurs suédois. Ceux-ci auraient réussi à tracer un lien entre la santé pulmonaire et la capacité du cerveau à résoudre des problèmes.

Si cela s’avère exact, on peut donc penser qu’il serait possible pour la population de prévenir les problèmes cognitifs et le « ralentissement » du cerveau dû à l’âge.

Les chercheurs suédois ont analysé les cas de 832 patients âgés de 50 à 85 ans, suivis depuis plusieurs années. Les résultats ont été publiés dans le journal Psychology Science.

Voici un extrait des commentaires exprimés par l’équipe, professeur Charles Emery en tête : « La conclusion logique de nos recherches et qu’il est assurément bénéfique pour les performances cognitives et cérébrales de maintenir une bonne santé pulmonaire ».

Il ajoute que, bien sûr, cesser de fumer et faire de l’exercice physique sont les deux premières clés.

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Des traitements individualisés pour le diabète

Les Associations américaine et européenne du diabète proposent de nouvelles idées dans les traitements que reçoivent les gens atteints de diabète, selon nlm.nih.gov.

En effet, les spécialistes pensent de plus en plus qu’il serait préférable que les patients participent au développement de la stratégie des traitements qui leur sont offerts.

Ainsi, les gens atteints de diabète (de type 2, par exemple) pourraient obtenir des soins individualisés, plus précis, qui répondraient mieux aux caractéristiques de chacun.

La nouvelle position des chercheurs est claire : les patients doivent participer. Les choix de traitement peuvent varier selon les besoins, les buts fixés (pour le contrôle du sucre dans le sang, entre autres) et les préférences des patients. Les avis des médecins peuvent également varier.

Voilà autant de facteurs qui peuvent influencer plusieurs décisions importantes dans la manière de traiter un cas de diabète. Les spécialistes croient que le patient est le mieux placé pour savoir quels genres d’exercices physiques il souhaite accomplir, ainsi que le type de régime alimentaire qui lui plaît le plus.

Les types de médication peuvent également varier selon la marque, un autre élément important que le patient devrait savoir afin d’être en mesure de choisir.

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Les mécanismes de la bêta-amyloïde, liée à la maladie d’Alzheimer

Le site nih.gov publie une étude qui confirme de nouveau le lien entre la protéine bêta-amyloïde et la maladie d’Alzheimer. Les recherches suggèrent cependant qu’un autre mécanisme est aussi un facteur de risque pour les gens plus âgés, combiné avec ce qu’on sait déjà à propos de la bêta-amyloïde.

Il s’agit du gène CR-1, relativement nouvellement connu par la communauté scientifique et associé directement à l’Alzheimer. Ainsi, l’étude démontrerait que les patients possédant la variante de ce gène ont également moins d’amyloïde au cerveau.

« Les hypothèses qui prévalent ont impliqué des facteurs qui augmentent le taux de bêta-amyloïde dans le cerveau, ce qui devient un élément intégral dans l’étude de la pathologie de la maladie », tente d’expliquer le directeur du National Institute on Aging, Richard J. Hodes.

En étudiant des patients âgés sans problème cognitif et en évaluant leur taux de bêta-amyloïde, combiné aux facteurs de risques génétiques, les chercheurs peuvent ainsi mieux comprendre les processus de cette maladie dévastatrice.

On comprend donc maintenant qu’il est possible que le gène CR-1 ne soit pas simplement alimenté par un taux élevé de bêta-amyloïde au cerveau, un indicateur d’Alzheimer, mais probablement par une série de facteurs.

D’autres études doivent s’effectuer pour tenter de comprendre quels mécanismes viendraient contribuer aux gènes à risques de l’Alzheimer.

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Une nouvelle recherche permettra de soulager les coliques des bébés

Une étude du Children’s Nutrition Center de l’University of Queensland pourra bientôt déterminer avec certitude que des modifications prudentes de la diète des mères qui allaitent pourraient réduire les symptômes des coliques.

« Une théorie populaire est que les coliques peuvent être déclenchées chez les bébés dont la mère allaite quand la nourriture consommée par la mère cause des symptômes d’allergie, d’intolérance ou d’inconfort intestinal », selon l’auteure de la recherche, Tracy Hard.

Les mères qui allaitent se font donc souvent avertir de ne pas consommer de légumes crucifères comme les brocolis, les choux-fleurs, ainsi que du chocolat et des oignons.

Les chercheurs du centre recherchent donc en ce moment de jeunes mères qui allaitent et qui ont des enfants ayant des coliques ou n’en ayant pas afin de mener à terme leurs recherches.

Rappelons que selon une étude américaine, les mamans migraineuses auraient tendance à avoir des bébés à coliques.

Dans l’ensemble, 29 % des bébés dont les mères avaient eu des migraines ont eu des coliques, contre 11 % de ceux dont les mères n’avaient pas souffert de maux de tête, rapporte le site Santelog.com.