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Les formules de lait hypoallergénique pour bébé sont inefficaces

Les parents peuvent cesser de se préoccuper à propos des formules hypoallergéniques de lait pour bébés. En effet, une étude menée par des chercheurs de Melbourne fait la lumière sur l’absence des bienfaits reliés à ce type de lait.

Selon news.smh.com.au, plus de 600 bébés provenant de familles avec un historique de diverses allergies ont été suivis dans le cadre de la recherche. Certains étaient nourris avec du lait de vache, d’autre avec du lait de soya, et enfin, le groupe restant consommait différentes formules de lait hypoallergénique. Ces dernières, en principe, aident à prévenir les allergies telles que l’eczéma, l’asthme et les rhinites allergiques.

Des tests d’allergie ont été effectués sur chaque enfant suivi à 6, 12 et 24 mois. Par la suite, les enfants prenant part à l’étude ont été revus à l’âge de 6 ou 7 ans. Les résultats sont probants. Formule hypoallergénique ou non, les enfants présentaient les mêmes risques d’exposition aux allergies communes.

Adrian Low, qui a chapeauté la recherche à l’Institut pour enfants de Murdoch, peut désormais affirmer que la publicité et les croyances entourant l’utilisation des formules de lait spécifiques de la prévention des allergies sont erronées. Au contraire, il affirme qu’une fois de plus, c’est le lait maternel qui est le plus bénéfique pour les nourrissons et qui représente la meilleure garantie pour prévenir le développement ultérieur d’allergies.

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Les enfants adoptés sont plus à risque de problèmes comportementaux

Une récente recherche suggère que les enfants d’adoption, comparativement à ceux qui vivent avec leurs parents biologiques, sont plus enclins à développer des troubles comportementaux tels que l’hyperactivité, le manque de confiance en soi et des difficultés d’apprentissage scolaire.

Néanmoins, selon Science Daily, cette étude, publiée dans le Spanish Journal of Psychology, met l’accent sur ces différences d’adaptation dans une région spécifique de l’Europe. La recherche a été réalisée par des chercheurs du Département UAB de la Clinique de santé psychologique en Espagne et les résultats sont basés sur un échantillon de 52 enfants.
 
Les candidats d’adoption, âgés de 6 à 11 ans, provenaient de différents pays, notamment la Chine, le Népal, la Bulgarie, la Russie, l’Ukraine, la Colombie, le Guatemala, Haïti, le Pérou et l’Éthiopie. D’autre part, un groupe supplémentaire de 40 enfants mésadaptés étaient aussi comparés.
 
Bien que dans la majorité des cas, tant les enfants biologiques que ceux d’adoption réagissent de façon similaire aux contraintes d’adaptation sociale, les garçons adoptés semblent avoir plus de difficulté. Ces troubles sont d’autant plus fréquents lorsqu’un enfant est adopté après l’âge de 3 ans.
 
D’autre part, les résultats affirment que ceux qui développent des troubles comportementaux proviennent principalement de l’Europe de l’Est, soit de Bulgarie, de Russie et d’Ukraine dans le cas présent. Les facteurs évalués considéraient également le contexte familial et socio-économique de ces régions.
 
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Un programme informatique qui préviendrait la mort subite du nourrisson

Selon Medical News Today, ce nouveau système porte le nom de BabyBeat et a été développé par Tomer Apel et Anava Finesilver. Ces élèves font partie du département de génie électrique et d’informatique de l’Université Ben Gourion du Néguev, situé en Israël.
 
Le BabyBeat utilise une caméra vidéo simple et un ordinateur. Les images retransmises à l’écran sont converties en algorithmes recréant le battement de cœur du bébé.
 
De même, bien qu’elle soit invisible à l’œil nu, lors de la diminution ou de l’irrégularité du rythme cardiaque, la couleur de notre peau est modifiée. Le BabyBeat détecte ce changement et avertit le corps médical ou les parents.
 
Une petite merveille, si l’on considère que des milliers d’enfants meurent chaque année des suites de la mort subite du nourrisson.
 
Des études ont démontré qu’une grosse variation du rythme cardiaque précède toujours le décès. Ainsi, lors d’une irrégularité des battements de cœur, le système BabyBeat émettra une alarme sonore afin d’éveiller l’enfant et d’aviser les parents.
 
Si les tests à venir sont concluants, Appel et Finesilver effectueront les démarches de commercialisation et de mise en marché de leur innovation.
 
Le vice-président directeur de l’association américaine de l’Université Ben Gourion, Doron Krakow, se dit « empli de fierté de soutenir les efforts de ces deux étudiants ».
 
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Un traitement qui pourrait être prometteur pour les enfants atteints d’autisme

Bien que les recherches se poursuivent à l’Agence de recherche des soins de santé et de qualité aux États-Unis, il semblerait qu’un traitement médical soit prometteur pour les enfants atteints d’autisme.

La mise à jour de la recherche a été publiée dans le journal Pediatrics, apprend-on sur Health News. L’étude porte principalement sur les effets de deux médicaments, la rispéridone et l’aripiprazole, communément utilisés pour traiter le trouble du spectre autistique (TSA).
 
Les résultats sont concluants quant à la diminution de certains comportements, dont la détresse émotionnelle, l’agression, l’hyperactivité et l’automutilation. Néanmoins, les effets secondaires sont importants, consistant en une prise de poids rapide et de la somnolence. D’autre part, aucun des médicaments utilisés n’agit à la fois sur le comportement général et les aptitudes sociales, ce qui pose problème.
 
L’opinion des scientifiques est mitigée, puisque la recherche comporte trop de limitations. Chaque cas de TSA étant différent, il est impossible d’obtenir des résultats probants sur une base régulière ou d’affirmer que l’un des traitements est plus efficace qu’un autre. 

Ainsi, l’efficacité dépend du degré de gravité d’autisme, de la phase à laquelle l’enfant est pris en charge et de la combinaison du traitement médical au traitement comportemental.

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L’insécurité émotionnelle chez le nourrisson peut augmenter ses risques d’obésité dès son plus jeune âge

De nombreuses recherches sont effectuées en ce moment pour tenter de trouver les causes de l’obésité croissante chez les enfants. Ainsi, l’une d’elles, conduite par Sarah Anderson, professeure assistante en épidémiologie à l’Université d’État de l’Ohio, associe le stress relationnel entre la mère et l’enfant comme cause de l’obésité.

Cette nouvelle recherche a été remise en question par de multiples spécialistes qui réfutaient l’attribution de l’obésité au seul facteur d’insécurité émotionnelle. Pourtant, l’information colligée par Anderson et Robert Whitaker, professeur à l’Université Temple de Philadelphie, constitue une solide base de données.

Sur Reserch News, on indique que plus de 6 500 enfants américains âgés de 24 mois ont fait l’objet d’une observation attentive en 2001. Les chercheurs relevaient les indices de l’implication émotionnelle de l’enfant envers sa mère et vice versa, ainsi que la routine instaurée et les habitudes alimentaires.

Les enfants étaient par la suite réévalués à l’âge de 4 ans et demi. En additionnant l’ensemble des facteurs évalués, soit la cote d’insécurité octroyée et le facteur d’obésité, les résultats affichaient une augmentation de 30 % d’obésité chez les enfants ayant vécu un plus grand stress relationnel avec leur mère à l’âge de 24 mois.

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Nouvel espoir dans la fécondation in vitro

Des scientifiques australiens ont mis au point une nouvelle technique pour relever les embryons en meilleure santé, nous apprend MailOnline.

Cette étape précédant l’implantation augmente les chances de grossesse menée à terme. Ce nouveau procédé peut mesurer la santé des embryons, et ce, par le taux de glucose aux quatrième et cinquième jours de fécondation.

Ainsi, il est possible de connaître le taux d’absorption de glucose par le foetus, ce qui indique qu’il se développe normalement. Le glucose est lié à la division et à la reproduction cellulaires.

En ce moment, seulement 29 % des femmes de moins de 35 ans mènent une grossesse à terme après avoir été fécondées par la méthode in vitro. Ce pourcentage tend à baisser si une femme est plus âgée.

L’équipe de recherche de l’Université de Melbourne a suivi le cas de 50 femmes ayant eu recours à la fécondation in vitro. Parmi elles, 32 sont tombées enceintes et 28 bébés sont nés.

Les bébés vivants sont justement ceux qui présentaient, à l’état de fœtus, le plus haut taux de glucose.

Toutefois, cette étude pourrait mener à la controverse, car ce procédé permettrait également de prédire le sexe du bébé avant l’implantation. En effet, les embryons femelles absorberaient plus de glucose.

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Internet permet de garder l’esprit vif

Des scientifiques ont découvert que les personnes âgées qui utilisent des moteurs des recherches dans Internet peuvent ralentir ou même inverser leur démence et améliorer les fonctions de leur cerveau.

Selon le Daily Mail, les personnes n’ayant aucune expérience de l’Internet ont pu améliorer leurs fonctions cérébrales après seulement une semaine d’utilisation.

On a effectué l’étude sur 24 volontaires âgés de 55 à 78 ans. On les a suivis à l’aide de l’imagerie par résonnance magnétique (IRM) pendant qu’ils effectuaient des recherches et on a démontré qu’une expérience minimale, même sur une courte période, changeait le schéma de l’activité cérébrale et renfonçait les fonctions du cerveau.

Cela démontre également que même en vieillissant, le cerveau humain peut encore apprendre.

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Barack Obama autorise la recherche sur les cellules souches

Le président des États-Unis, Barack Obama, a tenu sa promesse électorale en levant la restriction du financement public pour la recherche sur les cellules souches embryonnaires.

Aujourd’hui (9 mars), il a signé un décret permettant d’élargir le financement de cette recherche. Il mentionne par contre que son gouvernement ne permettra jamais le clonage humain.

Il souhaite que la recherche sur les cellules souches embryonnaires se poursuive. Il a rendu hommage au défunt acteur Christopher Reeve lorsqu’il a annoncé sa décision de lever la restriction.

Reeve était un fervent défenseur de la recherche sur les cellules souches depuis 1995, année de l’accident de cheval qui l’avait laissé paralysé jusqu’à son décès en 2004.

Comme les cellules souches embryonnaires sont à l’origine de tous les tissus et organes humains, les chercheurs souhaitent arriver à créer artificiellement des tissus qui seront compatibles pour soigner des maladies comme le diabète, la paralysie, le Parkinson ou l’Alzheimer.

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Les bienfaits d’Internet sur le cerveau

Des chercheurs de l’Université de Californie à Los Angeles prétendent que faire régulièrement des recherches dans Internet stimulerait davantage les zones dans le cerveau assignées au processus de décision et de raisonnement complexe chez les personnes d’âge moyen et plus âgées.

Le Dr Gary Small et son équipe ont enregistré l’activité cérébrale, avec un scanneur, chez 24 participants, âgés de 55 à 76 ans, qui effectuaient des recherches dans la Toile ou faisaient simplement de la lecture.

« Notre découverte la plus frappante a été que les sujets faisant des recherches dans Internet ont paru mobiliser davantage de circuits neuronaux. La recherche dans le Web stimule des activités complexes du cerveau qui pourraient contribuer à faire travailler le cerveau et à améliorer son fonctionnement », a précisé le Dr Small.

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Les enfants sensibles au placebo

Selon Philippe Ryvlin, des Hospices civils de Lyon, les enfants réagiraient davantage au médicament placebo que les adultes.

L’équipe du professeur Ryvlin a analysé 30 essais cliniques portant sur l’efficacité de médicaments antiépileptiques. Il a conclu que le placebo réduisait de 50 % la fréquence des crises d’épilepsie chez 19 % des bambins et chez seulement 10 % des adultes.

« Nous soupçonnions déjà que l’effet placebo était plus fort chez les enfants, notamment dans le domaine de la migraine et de l’épilepsie, mais personne ne l’avait démontré jusque-là », a souligné l’auteur principal de cette recherche.

Cette découverte risque de modifier la procédure entourant les essais cliniques menés sur des enfants. La réelle efficacité du placebo doit être connue afin d’évaluer avec justesse l’efficacité réelle d’un médicament.