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La mammographie démontre certaines lacunes

Les campagnes de prévention du cancer du sein et de sensibilisation à l’importance de la mammographie chez les femmes abondent depuis quelques années, et le test de dépistage gagne en popularité.

Sans complètement discréditer l’affaire, une nouvelle étude américaine place cependant un bémol et estime que la mammographie démontre certaines lacunes, rapporte par Top Santé. Selon les chercheurs de Harvard qui dirigent cette nouvelle étude, les médecins surestiment le pouvoir de la mammographie, qui ne serait pas aussi précise qu’on voudrait le croire.

Les chercheurs croient plutôt que la mammographie permet de réduire les risques de mortalité due au cancer du sein d’environ 20 %, sans plus. La diminution du risque augmente toutefois à mesure que l’âge d’une femme progresse, dépassant les 30 % après 60 ans.

« Il y a eu récemment beaucoup de confusion autour du dépistage du cancer du sein, et nous avons souhaité mettre tout cela à plat, à l’attention des médecins. Au cours de nos recherches, nous nous sommes rendu compte que les bénéfices des mammographies sont plus petits qu’on le pensait, et que leurs dangers, comme des radiographies à répétition ou des biopsies pour des tumeurs qui s’avèrent non cancéreuses, sont vraiment sous-estimés », précise la Dre Nancy Keating.

L’étude conclut également que certaines femmes seront diagnostiquées et traitées pour une tumeur qui ne serait jamais devenue maligne ou mortelle, une donnée étonnante qui fait réfléchir.

Les conclusions de l’étude de Harvard ont été publiées dans le Journal of the American Medical Association.

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Être trop mince comporte aussi des risques pour la santé

Une nouvelle étude estime qu’une personne sous le poids santé recommandé court aussi plusieurs risques pour sa santé et pourrait même voir son espérance de vie diminuer, rapporte le ScienceWorldReport.

C’est un physicien du St. Michael’s Hospital de Toronto, le Dr Joel Ray, qui s’est penché sur la question et a analysé les données de 51 études précédentes qui étudiaient les impacts sur la santé d’un poids considéré trop faible.

Les risques de décès prématurés seraient aussi grands, sinon plus, chez les personnes trop minces que chez les personnes obèses, observe le Dr Ray. Ce dernier croit par ailleurs qu’il pourrait être utile de revoir nos façons de penser en termes de quantification et d’analyse du poids des patients.

« Nous avons l’obligation de nous assurer d’éviter de créer une épidémie d’adultes trop minces, et qui seraient en temps normal de poids correct. Nous sommes alors obligés d’utiliser le bon outil de mesure. Si notre objectif est plutôt la lutte à l’excès de gras, nous pourrions changer pour une mesure de la circonférence de la taille », explique le Dr Ray, en lien avec le l’IMC (Indice de Masse Corporelle), qu’il croit désuet et non représentatif.

L’étude complète a été publiée dans le Journal of Epidemiology and Public Health.

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Les médicaments contre l’anxiété pourraient réduire l’espérance de vie

Vivre moins anxieux, mais moins longtemps, voilà possiblement le résultat obtenu par ceux qui consomment certains des médicaments anti-anxiété bien connus retrouvés sur le marché.

C’est le constat et la supposition que fait le Dr Scott Weich de l’Université de Warwick, qui publie une étude sur le sujet, rapporte le NY Times.

La recherche du Dr Weich et de ses collègues s’appuie sur sept ans d’analyse des dossiers de près de 35 000 patients, qui ont tous consommé certains des médicaments contre l’anxiété les plus connus, comme le Valium, le Xanax, l’Ambien, le Sonata et le Lunesta, au cours de cette période.

Après avoir compilé les données et ajouté plusieurs facteurs, les chercheurs arrivent à la conclusion que les patients qui utilisent fréquemment ces médicaments ont deux fois plus de chances de mourir prématurément que les autres.

« Cette recherche s’ajoute aux preuves qui s’accumulent que ces drogues sont dangereuses. Je prescris ces médicaments, et ils sont difficiles à abandonner. Moins de temps vous passez sous ces traitements et mieux c’est », lance le Dr Weich.

L’étude de ce dernier a été publiée par le BMJ.

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Les médicaments contre l’anxiété pourraient réduire l’espérance de vie

Vivre moins anxieux, mais moins longtemps, voilà possiblement le résultat obtenu par ceux qui consomment certains des médicaments anti-anxiété bien connus retrouvés sur le marché.

C’est le constat et la supposition que fait le Dr Scott Weich de l’Université de Warwick, qui publie une étude sur le sujet, rapporte le NY Times.

La recherche du Dr Weich et de ses collègues s’appuie sur sept ans d’analyse des dossiers de près de 35 000 patients, qui ont tous consommé certains des médicaments contre l’anxiété les plus connus, comme le Valium, le Xanax, l’Ambien, le Sonata et le Lunesta, au cours de cette période.

Après avoir compilé les données et ajouté plusieurs facteurs, les chercheurs arrivent à la conclusion que les patients qui utilisent fréquemment ces médicaments ont deux fois plus de chances de mourir prématurément que les autres.

« Cette recherche s’ajoute aux preuves qui s’accumulent que ces drogues sont dangereuses. Je prescris ces médicaments, et ils sont difficiles à abandonner. Moins de temps vous passez sous ces traitements et mieux c’est », lance le Dr Weich.

L’étude de ce dernier a été publiée par le BMJ.

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La protéine 73 et la fertilité masculine

Des chercheurs américains et allemands expliquent le lien qui existe entre une protéine spécifique et la capacité de reproduction masculine dans une nouvelle étude fort intéressante, rapporte Top Santé.

Les chercheurs de l’Université Göttingen en Allemagne et de l’Université Stony Brook de New York ont découvert qu’une protéine appelée P73 est nécessaire au bon fonctionnement du système reproducteur masculin, après avoir mené une série de tests et d’analyses sur des souris.

« Lors de la reproduction, deux types de protéines interviennent. La famille des protéines 53 et celle des protéines 63 qui, chez les mammifères, détruit les œufs et le sperme qui présentent des défauts et dommages à l’ADN. Nous avons constaté que sans la protéine 73, les spermatozoïdes n’étaient pas viables », peut-on lire dans les conclusions de l’étude allemande et américaine.

Si ces révélations ne veulent possiblement pas dire grand-chose pour commun des mortels, il est intéressant d’apprendre que celles-ci pourraient mener à de nouvelles possibilités en matière de traitement de l’infertilité masculine.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le Journal of Cell Biology.

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Le champignon shiitake en prévention du VPH et du cancer?

Le champignon shiitake pourrait-il permettre de contribuer à la prévention et au traitement du VPH et du cancer cervical? C’est la conclusion qui semble ressortir d’une étude américaine rapportée par le Daily Mail (UK), voulant que l’aliment en question puisse carrément détruire le virus du papillome humain (VPH).

Un effet qui aurait également le grand avantage de prévenir du cancer cervical souvent associé au VPH, comme plusieurs cas et recherches l’ont démontré au cours des dernières années.

Hautement contagieux, le VPH fait des siennes chez les femmes depuis un bon moment maintenant, et l’annonce d’un possible traitement à l’aide d’extraits de champignon shiitake s’avère une bonne nouvelle, quasi miraculeuse.

Des essais sur des souris ont démontré l’impact du champignon sur la destruction du virus, sur une période de 90 jours.

« Les résultats de cette étude ont été vraiment encourageants », lance la Dre Judith Smith de l’Université du Texas.

D’autres recherches et essais sont attendus sur le sujet, mais les résultats préliminaires permettent de croire à un nouveau traitement possible du VPH.

Les conclusions de l’étude ont été présentées lors du 45e Annual Meeting on Women’s Cancer de la Society of Gynecological Oncology, du côté de Tampa en Floride.

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La vitamine D et la dépression : des études contradictoires

Les études qui s’attardent aux effets de la vitamine D sur la santé mentale et les symptômes de la dépression sont pour le moins contradictoires. Après une première vague d’études qui avaient démontré un lien entre la consommation de vitamine D et les risques de dépression, une seconde vague venait invalider l’énoncé.

Cette deuxième vague d’études laissait même entendre que la vitamine D pouvait en fait réduire les symptômes de dépression, de quoi rendre le tout franchement confus pour le consommateur et le patient moyen.

Pour ajouter à cela, Medical News Today rapporte la publication d’une toute nouvelle étude sur le sujet, qui semble trancher le débat. Selon cette recherche en provenance de l’Université Columbia (New York), la vitamine D ne réduit pas les symptômes de dépression et pourrait n’avoir aucun impact sur la santé mentale.

Le Dr Jonathan A. Schaffer, qui dirige les travaux à Columbia, estime que les essais précédents étaient presque tous « caractérisés par une limitation de la méthodologie ».

Le Dr Schaffer affirme également que malgré qu’il « soit tentant » de tracer un tel lien, de plus vastes études sur le sujet devront être conduites. Pour l’instant, rien ne permettrait d’affirmer un lien entre la vitamine D et la dépression.

Les conclusions du Dr Schaffer ont été publiées dans le journal Psychosomatic Medicine.

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L’odorat humain plus puissant qu’on le croit

Nous avons tendance à sous-estimer la puissance de notre odorat, semble-t-il, si l’on se fie aux informations rapportées par The National Library of Medicine.

Une nouvelle étude contredit de précédentes recherches qui ont estimé que l’odorat humain pouvait discerner jusqu’à 10 000 odeurs différentes, concluant plutôt que nos capacités olfactives pouvaient plutôt s’étendre jusqu’à un trillion de possibilités.

« Il a souvent été dit que les humains ne pouvaient distinguer que 10 000 différentes odeurs », confirme le coauteur de l’étude, M. Andreas Keller, de l’Université Rockefeller de New York.

Or, si l’étude de Keller est juste et que nous sommes en mesure de discerner un trillion de variantes, il faudra alors considérer que l’odorat est un sens plus puissant que notre ouïe ou encore notre vue.

Pourtant, l’humain semble résolu à considérer son odorat moindre et à sous-estimer ce sens, souvent en se comparant aux capacités de certains animaux, par exemple.

« On a tendance à ne pas faire confiance à notre odorat parce qu’on est mauvais pour identifier et nommer des odeurs. Mais nommer et identifier ne sont pas les raisons pour lesquelles notre système olfactif a évolué. Au lieu de cela, il évolue pour nous permettre de discriminer des odeurs très différentes, comme le moindre indice qu’un aliment est périmé. Notre étude montre que nous sommes excellents à cette tâche », résume Andreas Keller.

Les résultats de cette étude sur l’odorat humain sont présentés dans le magazine Science.

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Une bonne estime de soi permettrait de vieillir en meilleure santé

L’estime de soi est une facette importante du développement et du mieux-vivre humain. Elle permet d’améliorer non seulement la santé psychologique, mais aussi la santé physique.

Une nouvelle étude va plus loin dans le raisonnement et affirme qu’une bonne estime de soi peut également permettre d’espérer vivre mieux et en meilleure santé, et même plus longtemps, rapporte The National Library of Medicine.

L’étude effectuée par des chercheurs de l’Université Concordia, à Montréal, analyse les cas de 147 personnes âgées de plus de 60 ans, sur une période de quatre ans.

Chaque deux ans, les chercheurs évaluaient différents facteurs physiologiques auprès des sujets, ainsi que leur degré d’estime de soi. Les résultats semblent indiquer de façon claire qu’une bonne estime de soi permet de vieillir en meilleure santé et de prévenir plusieurs maladies dues au vieillissement.

Des niveaux plus élevés d’une hormone appelée cortisol pourraient expliquer partiellement le phénomène.

« Parce que l’estime de soi est associée avec le bien-être psychologique et la santé physique, une augmentation de celle-ci serait une méthode idéale pour prévenir les problèmes de santé plus tard au cours de la vie », conclut la coauteure de l’étude, Sarah Liu.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le journal Psychoneuroendocrinology.

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Les suppléments d’huile de poisson protègent-ils vraiment le coeur?

De sérieux doutes sont émis par de nouvelles recherches sur les bienfaits véritables des suppléments d’huile de poisson et d’oméga-3 sur la santé cardiaque, rapporte The National Library of Medicine.

Il s’agit de deux recherches effectuées par des chercheurs de l’Université Cambridge, qui se penchaient sur les données et résultats obtenus par plusieurs essais cliniques en la matière.

« En regardant les 17 essais cliniques aléatoires que nous avons combinés, la majorité des essais (surtout ceux à large échelle) démontrent peu ou pas d’effet significatif sur la réduction des risques de maladies cardiaques », explique le Dr Rajiv Chowdhury, auteur principal de ces recherches.

Les analyses confirment cependant les effets néfastes pour le cœur et la santé cardiovasculaire du gras saturé, mais rien n’indique que les gras ou huiles de poisson consommées en suppléments peuvent inverser le procédé ou procurer une protection au cœur.

Au total, aucun effet bénéfique n’aura été véritablement observable sur pas moins de 1100 personnes analysées.

Ces étonnants résultats s’ajoutent à plusieurs autres précédentes qui ne concluent pas aux bienfaits catégoriques de la prise de suppléments alimentaires.

Les résultats de ces analyses ont été publiés dans le journal Annals of Internal Medicine.