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L’hormone de l’amour en traitement de l’anorexie?

L’hormone de l’amour peut-elle venir en aide aux personnes aux prises avec des troubles alimentaires comme l’anorexie? C’est ce que suggère une nouvelle étude rapportée par The National Library of Medicine, alors que des chercheurs britanniques ont testé une hormone appelée l’ocytocine sur des patients souffrant d’anorexie.

L’étude s’est effectuée avec un groupe test de 64 sujets, dont 31 ont reçu de l’ocytocine ou un placébo. 33 personnes constituaient le groupe test de sujets « sains », c’est-à-dire sans trouble alimentaire.

Les résultats sont étonnants, alors qu’une série d’images proposée aux patients a démontré que ces derniers semblaient moins concentrés sur les aspects négatifs de la nourriture et moins anxieux qu’à l’habitude.

L’hormone associée au plaisir et au sentiment amoureux pourrait donc bel et bien aider les personnes anorexiques, croit Janet Treasure, auteure principale de l’étude.

« C’est une recherche préliminaire avec un petit nombre de participants, mais il est grandement excitant de voir le potentiel de ce traitement. On aura besoin d’essais plus larges avant d’entamer des changements dans la manière dont les patients sont traités », explique Mme Treasure.

Les résultats de l’étude britannique ont été publiés dans le journal Psychoneuroendocrinology.

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Le test sanguin de dépistage de la maladie d’Alzheimer semble fonctionner

Du nouveau dans le dossier de l’élaboration d’un test sanguin capable de détecter les premières traces de la maladie d’Alzheimer, rapporte The National Library of Medicine, alors que la méthode s’annonce prometteuse.

Une nouvelle étude en provenance de l’Université Georgetown vante les mérites de ce test sanguin, qui pourrait prédire jusqu’à 90 % le risque de développement de la maladie d’Alzheimer chez un individu.

Le Dr Howard Federoff, qui dirige l’étude, estime que les résultats du test sont aussi surprenants que prometteurs, et qu’ils démontrent qu’il est possible de prédire les risques d’Alzheimer grâce à l’analyse de plusieurs symptômes et facteurs.

Le but ultime est bien entendu d’être en mesure d’identifier le plus de patients à risque d’Alzheimer le plus tôt possible, afin de les traiter rapidement.

« Les biomarqueurs sanguins représentent une bonne et utile option… plus accessible, moins invasive, plus facile à utiliser et moins onéreuse. Plusieurs tests sont en développement, et plus d’investissements sont nécessaires de façon urgente », explique quant à elle Maria Carrillo, la vice-présidente des relations scientifiques et médicales de l’Association contre l’Alzheimer.

D’autres essais sont donc à effectuer sur ce nouveau test sanguin, mais les premiers résultats rendent la communauté scientifique plus qu’optimiste.

Les conclusions de l’étude de Georgetown ont été publiées dans le journal Nature Medicine.

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Ces personnes qui n’aiment pas la musique

Il n’existe que quelques petites choses de la vie qui semblent faire l’unanimité et qui plaisent à tout le monde, mais à toute bonne règle existe une exception.

C’est le cas de la musique, qui fait vibrer et agrémente la vie de plusieurs personnes, sauf celles qui souffrent « d’anhédonie musicale », selon ce que rapporte Santé Log.

Des chercheurs espagnols basés à l’Université de Barcelone se sont penchés sur le cas de ces personnes qui n’aiment pas la musique, afin de mieux comprendre cette imperméabilité aux mélodies et arrangements de toutes sortes.

À la suite des analyses, les chercheurs estiment que cette insensibilité et ce manque d’intérêt pour la musique s’expliquent par une absence de réaction de la zone du plaisir du cerveau. Ces personnes peuvent cependant tout aussi bien réagir à d’autres plaisirs, ce qui fascine et intrigue les chercheurs.

Cette étude confirme donc que le circuit de récompense du cerveau, ou zone du plaisir, ne réagit pas de façon identique d’un individu à l’autre. La recherche s’ajoute à de précédentes sur le processus de réaction du cerveau aux plaisirs, et celles-ci pourraient contribuer à des percées dans le traitement de certaines dépendances, croit l’équipe de l’Université de Barcelone.

Les résultats de l’étude espagnole sur l’anhédonie musicale ont été publiés dans le magazine Current Biology.

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Facebook favoriserait le développement de troubles alimentaires

Les jeunes femmes qui passent beaucoup de temps sur les médias sociaux, en particulier sur Facebook, seraient plus à risque de développer un trouble alimentaire et une mauvaise estime de soi.

C’est ce qui ressort d’une nouvelle étude sur le sujet, rapportée par The National Library of Medicine, et qui parle des impacts du plus populaire média social sur l’alimentation d’un grand nombre de jeunes femmes.

Les chercheurs de l’Université de Floride en tête de l’étude ont analysé les cas de 960 étudiantes universitaires. Les observations ont permis de constater que celles qui passaient le plus de temps sur Facebook affichaient des tendances plus marquées vers les troubles alimentaires, et s’inquiétaient davantage de leur alimentation et de leur image.

« Facebook combine sur une seule plate-forme l’influence des pairs à de forts messages de société qui se concentrent beaucoup sur l’apparence des femmes. Ces images sont ensuite conservées mentalement le reste de la journée. Alors que les chercheurs et cliniciens tentent de comprendre et de démontrer les facteurs de risque des troubles alimentaires, une plus grande attention doit être portée sur le rôle des médias sociaux dans la vie des jeunes adultes », explique l’auteur de l’étude Pamela Keel.

D’autres études précédentes avaient révélé des impacts similaires de la part des médias sociaux sur les jeunes femmes.

Les résultats de l’étude floridienne ont été publiés dans l’International Journal of Eating Disorders.

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Une étude estime que les carnivores sont plus en santé que les végétariens

Des chercheurs autrichiens risquent de soulever l’ire des végétariens et de donner des munitions aux mangeurs de viande avec la parution de cette nouvelle étude qui compare les deux habitudes alimentaires.

Selon les chercheurs de l’Université de Graz en Autriche, les carnivores auraient une longueur d’avance sur les végétariens en matière de santé, rapporte Top Santé

Ceux qui estimeront qu’il ne peut s’agir d’une étude exhaustive devront se raviser, puisque les chercheurs autrichiens auraient analysé 15 000 dossiers pour en arriver à de telles conclusions.

« Nous avons commencé notre étude avec 15 000 études de cas et avons divisé les témoins en groupes alimentaires. Nous avons sélectionné 343 végétariens et avons ensuite examiné leur âge, leur sexe et leur origine sociale et économique, qui comprenait le niveau d’éducation, le revenu et leur carrière. Nous avons ensuite comparé les végétariens avec des personnes aux caractéristiques similaires dans les trois autres groupes d’aliments », précise la coauteure de l’étude, Nathalie Burkert.

Au nombre des observations, on remarque qu’un grand nombre de végétariens déclarent ne pas se sentir en bonne santé, souffrir d’allergies et même ressentir des lacunes sur le plan social.

Nathalie Burkett souligne cependant qu’elle ignore si le choix du végétarisme est la cause de ces symptômes, ou si l’inverse serait vérifiable.

Elle croit cependant que l’étude démontre clairement encore une fois que le meilleur choix de diète demeure la méditerranéenne.

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Trop de protéines peuvent affecter la santé des cinquantenaires

Les gens qui traversent le cap de la quarantaine et de la cinquantaine devraient surveiller leurs apports en protéines dans leur alimentation, si l’on se fie aux conclusions proposées dans une nouvelle étude.

L’étude en question, rapportée par The National Library of Medicine, estime qu’une diète à forte teneur en protéines peut s’avérer dommageable pour la santé des personnes en « milieu de vie », soit entre 45 et 60 ans.

Passé cet âge, étrangement, il semble que les protéines redeviennent un allié de la santé, comme le confirmait d’ailleurs une récente étude sur le sujet.

« La recherche démontre qu’une diète faible en protéines en milieu de vie peut être utile pour prévenir du cancer et de la mortalité en général. Cependant, nous proposons également qu’à un âge plus avancé, il peut être important d’éviter une diète faible en protéines afin de maintenir un poids santé », explique la coauteure de l’étude, Eileen Crimmins, de l’Université de la Californie du Sud.

En clair, l’humain doit s’adapter selon son groupe d’âge en matière de santé, et cette nouvelle étude confirme que les besoins et dangers du corps humain évoluent avec les autres facteurs lors du vieillissement.

Les conclusions de l’étude californienne ont été publiées dans le magazine Cell Metabolism.

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L’Abitibi passe à la vitesse supérieure dans ses laboratoires

La région de l’Abitibi-Témiscamingue sert une leçon d’efficacité à ses homologues et au système de santé québécois en mettant de l’avant un plan d’action visant à améliorer l’efficacité de ses laboratoires d’analyse, rapporte Radio-Canada.

Ce plan d’action porte le nom de projet Optilab, qui indique bien les buts de celui-ci. On cherche ainsi du côté des spécialistes de l’Abitibi-Témiscamingue à maximiser la performance des laboratoires médicaux, mais aussi à réduire les frais d’exploitation.

« On espère réduire le nombre d’analyses à faire, on espère réduire le nombre d’appareils disparates par une certaine révision et mise à niveau du parc d’équipement et une meilleure efficience au niveau de la gestion des laboratoires. Vous avez cinq CSSS, si chacun fait ses protocoles, donc, vous avez cinq personnes qui écrivent des protocoles. Alors, il y a une certaine économie d’échelle à aller chercher là », résume bien la directrice générale du CSSS Les Eskers de l’Abitime, Mme Hélène Desjardins.

Quelques inquiétudes se sont fait entendre, notamment du côté du Dr Gaetan Barrette, mais Mme Desjardins et son collègue Yves Jalbert, médecin et directeur de la biovigilance et de la biologie médicale au ministère de la Santé et des Services sociaux, se font toutefois rassurants.

Les directeurs de chaque CSSS de l’Abitibi-Témiscamingue travaillent conjointement à l’élaboration du projet Optilab depuis 2012.

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La réforme alimentaire scolaire aux États-Unis porte ses fruits

Il semble que la campagne et la réforme en alimentation dans les écoles américaines aient commencé à porter leurs fruits, alors que l’on recense une hausse de la consommation des fruits et légumes chez les étudiants.

C’est à tout le moins les conclusions proposées par une étude en provenance de la Harvard School of Public Health, à Boston, qui suggère un premier succès pour la réforme qui avait pris naissance en 2012.

On se souviendra que Michele Obama y avait été d’un intense plaidoyer en faveur d’une amélioration de la nourriture proposée dans les écoles, mais surtout d’un accès bonifié aux fruits, légumes et aliments sains pour les jeunes moins favorisés.

Une réforme officielle de la part de l’US Department of Agriculture (USDA) avait alors été proposée à l’automne 2012, rappelle MedicalNewsToday.

Selon les recherches effectuées par l’équipe de Harvard, Juliana Cohen en tête, c’est pas moins de 32 millions d’étudiants qui mangent un repas à l’école chaque jour. Du lot, un grand nombre d’étudiants issus de familles moins fortunées vont chercher 50 % de leur apport calorique quotidien à l’intérieur des murs de leur école.

Cohen et son équipe se réjouissent donc maintenant de constater que la consommation de fruits et de légumes est en hausse de près de 23 % chez ces étudiants.

Un premier pas de franchi, donc, dans la lutte sans relâche que tentent de mener les autorités contre le fléau de l’obésité en Amérique du Nord.

Les conclusions de la recherche en provenance de Harvard ont été publiées dans l’American Journal of Preventive Medicine.

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Le froid canadien pourrait s’avérer bénéfique pour la santé

Le froid nordique du Canada et du Québec est souvent bien difficile à traverser et à supporter, mais pourrait bien au moins s’avérer bénéfique pour la santé, révèle une recherche.

C’est une étude en provenance de l’Université d’Ottawa qui propose cette théorie, voulant que le froid hivernal du Canada puisse avoir une incidence positive sur certains aspects de la santé, notamment en prévention du cancer.

La raison de cette possible réaction de l’organisme au froid serait due à la production d’une protéine du nom d’Adiponectine, capable de prévenir plus efficacement un individu contre le cancer.

Les chercheurs de la Faculté des Sciences de la santé de l’Université d’Ottawa, le professeur Pascal Imbeault en tête, conseillent donc vivement à la population de passer quotidiennement quelques minutes à l’extérieur.

L’hiver rigoureux que traversent les Québécois et Canadiens pourrait donc au moins apporter une bonne nouvelle, selon les chercheurs.

L’étude tombe cependant à un bien mauvais moment pour convaincre les gens de mettre le nez dehors, alors qu’une vague de froid intense est prévue au cours des prochains jours. 

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Le chocolat noir est aussi bénéfique pour la santé vasculaire

Une nouvelle étude vante les mérites du chocolat noir sur la santé, rapporte Santé Log, cette fois sur celle des vaisseaux sanguins et du système cardiovasculaire.

La recherche provient des Pays-Bas, plus précisément de l’Université de Wageningen, où des chercheurs ont pu observer l’effet d’une consommation de chocolat noir sur les vaisseaux sanguins.

Il appert que l’aliment fort prisé permet d’assouplir les artères et de réduire l’adhérence des globules blancs aux parois des vaisseaux. En clair, ces effets permettent une réduction des risques d’athérosclérose, selon les chercheurs néerlandais.

C’est après des essais menés sur 44 hommes que ces derniers ont pu confirmer l’étendue des bienfaits du chocolat noir sur la santé cardiovasculaire et celle des vaisseaux sanguins, estimant que le chocolat noir est un allié non négligeable.

Une bonne raison d’incorporer le chocolat noir, avec modération, dans son alimentation, ce qui n’est pas le pire des sacrifices, avouons-le.

Les conclusions de cette recherche ont été publiées dans le Faseb Journal.