Catégories
Potins

Amanda Bynes s’est fait suspendre de ses cours le mois dernier

Amanda Bynes a été suspendue de l’école de mode à laquelle elle s’était inscrite.

Le Fashion Institute of Design and Merchandising a en effet interdit l’accès aux cours à l’actrice de 28 ans, qui vient tout juste d’être arrêtée en état d’ébriété au volant de son véhicule.

Selon les amis de Bynes, rapporte entertainmentwise.com, il y avait des « signes précurseurs » de sa rechute depuis un moment déjà.

TMZ rapporte que l’actrice était sous l’effet de drogues en classe et essayait de payer les autres étudiants pour qu’ils fassent ses devoirs. Elle entrait aussi dans de terribles colères contre certains élèves, et a été surprise à tricher pendant un examen.

Les parents d’Amanda Bynes, qui ont la responsabilité légale de leur fille, ne l’avaient pas vue depuis un moment et n’étaient même pas au courant qu’elle avait été arrêtée.

Bynes aurait même cessé de prendre sa médication pour la schizophrénie et la bipolarité.

Catégories
Potins

Lindsay Lohan éprouve quelques problèmes avec sa sobriété

L’été dernier, l’actrice de Mean Girls, Lindsay Lohan, a complété un 6e séjour en maison de désintoxication, notamment pour éviter près d’un an de prison (245 jours).

Une source a indiqué à RadarOnline : « Lindsay a dévié du droit chemin, mais tout le monde trébuche à un moment, tout le monde sort et boit ».

L’informateur convient que Lohan trouve cela « difficile ». Selon cet ami, la star controversée de 27 ans va mieux que jamais et travaille très fort pour se sentir bien dans sa peau. « Lindsay va au gym chaque jour. Elle essaie vraiment de rester sobre. Et elle le prend un jour à la fois. »

Les médias ont cependant remarqué l’absence de la jeune femme pendant la cérémonie de remise de diplôme de son frère Cody, 17 ans. Celui-ci était cependant entouré de sa mère Dina, de sa grand-mère et du reste de sa famille.

D’autre part, les médias ont dévoilé ce matin une courte histoire écrite par James Franco. Il raconte ce qu’il pense de ce qu’est devenue Lindsay Lohan au fil des années.

Catégories
Potins

Lindsay Lohan éprouve quelques problèmes avec sa sobriété

L’été dernier, l’actrice de Mean Girls, Lindsay Lohan, a complété un 6e séjour en maison de désintoxication, notamment pour éviter près d’un an de prison (245 jours).

Une source a indiqué à RadarOnline : « Lindsay a dévié du droit chemin, mais tout le monde trébuche à un moment, tout le monde sort et boit ».

L’informateur convient que Lohan trouve cela « difficile ». Selon cet ami, la star controversée de 27 ans va mieux que jamais et travaille très fort pour se sentir bien dans sa peau. « Lindsay va au gym chaque jour. Elle essaie vraiment de rester sobre. Et elle le prend un jour à la fois. »

Les médias ont cependant remarqué l’absence de la jeune femme pendant la cérémonie de remise de diplôme de son frère Cody, 17 ans. Celui-ci était cependant entouré de sa mère Dina, de sa grand-mère et du reste de sa famille.

D’autre part, les médias ont dévoilé ce matin une courte histoire écrite par James Franco. Il raconte ce qu’il pense de ce qu’est devenue Lindsay Lohan au fil des années.

Catégories
Potins

Lindsay Lohan se moque de sa rechute

L’actrice Lindsay Lohan était pourtant sur la bonne voie, d’autant plus qu’elle venait à peine d’affirmer à David Letterman qu’elle était sobre et n’avait rien à se reprocher.

Le 6 avril dernier, en compagnie d’un groupe d’amis, Lohan a décidé de regarder l’émission réalisée avec Oprah Winfrey. L’alcool coulait à flots au Gramercy Park Hotel où ils se trouvaient.

« Lindsay riait d’elle-même tout en buvant », a dévoilé un témoin au magazine Star. « Lorsqu’elle est entrée dans l’ascenseur, elle empestait l’alcool et pouvait à peine tenir debout. »

La star déchue de 27 ans n’a même pas daigné se cacher des regards indiscrets. « Elle marchait en zigzag, et tout le monde au lobby avait les yeux rivés sur elle. »

La même chose s’est reproduite lors du Festival de Coachella, le weekend dernier. Malgré ses 6 cures en désintox, Lindsay Lohan buvait encore, indique Radar Online.

Mais comme elle l’a avoué lors de son passage à Ellen DeGeneres, sa dernière entrée en centre de réadaptation constituait seulement une porte de sortie pour éviter la prison.

Catégories
Uncategorized

Conseils pour éviter de renouer avec la cigarette

Certaines autorités françaises en matière de santé proposent quelques informations et astuces concernant l’arrêt du tabac, et des trucs pour éviter de replonger dans ses vieillies habitudes.

La Haute autorité de santé (HAS) mentionne d’abord l’importance et l’impact positif d’un suivi effectué par un médecin lors du processus de l’abandon du tabac, rapporte Top Santé

« Le médecin généraliste est le professionnel clé pour concrétiser un désir d’arrêter de fumer, accompagner le fumeur et empêcher les rechutes. Des consultations dédiées doivent permettre de délivrer un soutien psychologique et un suivi médical, conditions d’une plus grande réussite », explique le Dr Cédric Grouchka, de l’HAS.

Puis, on parle bien entendu de l’impact des émotions sur le réflexe d’allumer une cigarette. Il est important d’être en mesure de contrôler ses réactions et émotions, et de ne pas se laisser envahir par le stress. Des situations plus calmes et un meilleur environnement de travail, par exemple, sont à rechercher.

Il serait également important de changer quelques habitudes, notamment celles qui vous placent en contact avec des fumeurs. L’alcool est aussi très mauvais conseiller lorsque vient le temps de cesser de fumer, car il attaque systématiquement votre volonté. Par contre, il s’agit du moment idéal pour se mettre au sport, particulièrement ceux qui demandent du cardio.

On suggère par ailleurs de dépenser l’argent économisé par l’arrêt du tabac sur quelque chose qui vous passionne ou qui vous fait envie, pour ainsi en ressentir véritablement les bénéfices sur la santé… de votre portefeuille et de votre qualité de vie.

En terminant, on rappelle que d’abaisser le nombre de cigarettes fumées par jour est un excellent départ et une voie vers l’arrêt complet, mais qu’il faut à tout prix éviter de prendre « quelques bouffées » une fois l’objectif atteint.

Catégories
Uncategorized

Trouble anxieux chez l’enfant, gage de rechutes s’il est mal traité

La recherche a été menée aux États-Unis, sous le titre CAMELS (Child/Adolescent Anxiety Multimodal Extended Long-term Study), auprès de 288 volontaires âgés de 11 à 26 ans.

Les participants ont tous été traités pour troubles anxieux, à la suite d’une évaluation d’un spécialiste de la santé. Les notions de présence de troubles anxieux, de sévérité de l’anxiété et du fonctionnement quotidien global de l’individu ont été analysées.

Les jeunes ont été suivis à l’aide d’une thérapie cognitivo-comportementale, de la médication, une combinaison des deux, ou encore à l’aide d’un placébo. 

Les jeunes ont été réévalués 6 ans après le début des traitements. Si près de la moitié (46,5 %) étaient en rémission, il n’en demeure pas moins que 48 % des participants avaient subi un autre épisode de trouble anxieux nécessitant un traitement, les filles étant deux fois plus à risque de rechute.

Ceux ayant été traités à l’aide de médication étaient également plus à risque de vivre à nouveau de l’anxiété si le traitement n’était pas suffisamment long.

« Ce n’est pas parce qu’un enfant réagit bien à un traitement précoce que notre travail est fini, et que nous pouvons baisser la garde », explique la psychologue Golda Ginsburg, dans des propos rapportés par Top Santé.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans la revue Jama Psychiatry.

Catégories
Uncategorized

Une nouvelle façon de faire dans le traitement de l’AVC

Il serait possible de voir apparaître une nouvelle façon de faire en matière de traitement d’AVC (accident vasculaire cérébral), selon Santé Magazine.

Cette dernière source rapporte en effet que plusieurs études, dont une récente effectuée en Chine, concluent qu’un nouveau type de traitement pourrait s’avérer plus efficace que les méthodes utilisées en ce moment.

Pourtant, ce « nouveau » traitement utilise des éléments déjà bien connus par les patients et les professionnels de la santé. Il s’agit d’un mélange entre la bonne vieille aspirine et un anticoagulant.

Les chiffres avancés font état d’une baisse des risques de rechute après un accident vasculaire cérébral d’environ 30 %, un chiffre considérable.

Aujourd’hui, la plupart des prescriptions post-AVC se contentent d’aspirine et de suggestions alimentaires, mais la combinaison proposée ici permettrait de meilleurs résultats.

D’autres études du même genre sont en cours, notamment une aux États-Unis, dans le but de confirmer la théorie.

Catégories
Uncategorized

Radiothérapie chez l’enfant – risques plus élevé de cancer thyroïdien

Les résultats de l’étude ont été présentés par l’Inserm. Ils démontrent que même si les enfants en bas âge qui subissent une radiothérapie sont plus enclins à développer le cancer de la thyroïde, le pronostic est identique.

Donc, en terme de mortalité ou de rechute, Santé Log rapporte qu’il n’y a pas de différence chez les patients adolescents qui, dans leur enfance, ont eu recours à la radiothérapie.

Par contre, les chercheurs, qui proviennent des Hospices Civils de Lyon, du Centre de Recherche en Cancérologie de Lyon et du CHU de Saint Étienne, démontrent que dans les cas d’exposition à la radiothérapie, le cancer de la thyroïde est plus agressif, et le risque de le développer est plus élevé.

Ainsi, chez le jeune enfant qui a eu un traitement contre le cancer, lors d’un diagnostic du cancer de la thyroïde plus tard, il y a plus de métastases et une plus grande présence dans les ganglions lymphatiques. D’autre part, il y a une proportion plus élevée de tumeurs invasives (stade 3).

La recherche a été menée auprès de 413 jeunes diagnostiqués du cancer de la glande thyroïde, âgés en moyenne de 17 ans, dont 24 avaient été traités en radiothérapie dans leur enfance.

Bien que les rechutes soient de l’ordre de 10 à 20 %, il n’y avait pas de différence selon l’exposition ou non à une radiothérapie.

Catégories
Uncategorized

Une façon de contrer les rechutes de la leucémie

Souvent, les personnes qui souffrent de leucémie connaissent malheureusement une rechute. En fait, c’est que la chimiothérapie ne parvient pas à enrayer les cellules souches cancéreuses.
 
Dans les cas de leucémie lymphoblastique aigüe, ou T-ALL, il existe une voie de signalisation nommée NOTCH1 qui, lors de la présence d’une mutation, initie la réplique du cancer.
 
Cependant, des chercheurs de l’Université de Californie à San Diego sont parvenus à supprimer les cellules souches cancéreuses initiatrices en inhibant l’action du NOTCH1.
 
Cette découverte est fort prometteuse, alors que 50 % des personnes avec ce type de leucémie présentent une mutation de la voie de signalisation en cause.
 
En freinant son action, on parvient à réduire considérablement les risques de rechutes, car on agit à la racine même de la résistance des cellules souches cancéreuses.
 
Catégories
Uncategorized

Grossesse : les antidépresseurs augmentent l’hypertension

Il est préférable pour la femme enceinte de ne pas arrêter sa médication, de consulter un médecin et d’évaluer avec soin les avantages et les risques de prendre des antidépresseurs durant la grossesse, car il n’y a pas de « risque zéro », a expliqué la Dre Anick Bérard, directrice de l’Unité de recherche sur la grossesse au CHU Ste-Justine et professeur de pharmacie à l’Université de Montréal, dans le British Journal of Clinical Pharmacology.
 
En effet, si la femme enceinte, par peur de développer une prééclampsie, stoppe la consommation d’inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), comme Prozac ou Zoloft, elle a de fortes chances de faire des rechutes dépressives ou une grave dépression post-partum.
 
Selon les données, 20 % des femmes enceintes sont touchées par la dépression. Parmi elles, de 4 à 14 % utilisent fréquemment des antidépresseurs qui, dans la dernière étude, ont démontré des risques accrus de développement de l’hypertension.
 
L’étude a comparé les informations de 1216 femmes enceintes avec hypertension gravidique, avec ou sans prééclampsie et sans antécédents d’hypertension avant la grossesse avec celles de 12 160 témoins appariés.
 
L’étude montre que l’incidence globale de l’hypertension chez les femmes qui prennent des ISRS augmente d’environ 2 à 3,2 % soit une hausse du risque relatif (RR) de 60 %.
 
La paroxétine, en particulier, a été associée à une augmentation de l’incidence de l’hypertension d’environ 3,6 % (RR 81 %).