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Vivez plus longtemps avec des fruits et légumes

Une étude suédoise publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition fait le point sur l’importance de consommer l’apport quotidien recommandé de fruits et légumes, soit 5 portions.

Y manquer pourrait vous faire souffrir de carence et écouter votre vie, selon les chercheurs. Les résultats sont basés sur des données recueillies auprès de plus de 71 000 participants âgés de 45 à 83, et ce, sur une période de 13 ans.

L’équipe d’Alicja Wolk, qui a travaillé sur la recherche à l’Institut Karolinska à Stockholm, a constaté que les personnes qui ont déclaré ne pas manger de fruits ou de légumes au début de l’étude étaient 53 % plus susceptibles de mourir au cours de la période de suivi que celles qui consommaient leurs cinq portions quotidiennes.

Aussi, les femmes auraient tendance à en consommer plus que les hommes.

Wolk a aussi souligné que les gens mangeant moins de fruits et légumes étaient plus susceptibles de fumer et avaient tendance à être moins instruits. Leur diète était plutôt constituée de viande rouge, de produits laitiers riches en matières grasses, de bonbons et de collations.

L’étude ne peut cependant pas prouver que les fruits et légumes allongent la durée de vie.

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L’OMS propose de nouvelles recommandations dans la lutte au SIDA

L’Organisation mondiale de la santé contre-attaque en matière de lutte au SIDA et propose une nouvelle série de recommandations, rapporte Top Santé.

On croit d’abord qu’il serait possible de faire un meilleur travail en termes de traitement précoce de la maladie, notamment grâce aux nouveaux traitements proposés.

« Des éléments récents indiquent que ce genre de traitement administré plus précocement aide les personnes porteuses du VIH à vivre plus longtemps et en meilleure santé, et réduit substantiellement le risque de transmettre ce virus à d’autres personnes », explique l’OMS dans un communiqué.

C’est justement ce deuxième aspect que l’Organisation veut améliorer, soit les statistiques concernant la transmission du virus. Grâce notamment à la prise d’une seule pilule qui comprend trois médicaments antirétroviraux, ce qui facilite la distribution dans le monde, on croit être en mesure de faire baisser le nombre de transmissions annuellement.

Une fois cet objectif atteint, on désire enrayer le virus une fois pour toutes, un but réalisable, toujours selon l’OMS.

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150 minutes d’activité physique par semaine : comment les diviser?

La plupart des organisations de la santé et des spécialistes vous confirmeront que le temps idéal qui devrait être accordé à l’exercice physique de façon hebdomadaire oscille autour de 150 minutes.

Malgré la bonne volonté et la conscientisation, le temps peut se faire rare pour plusieurs personnes en cette ère moderne et il peut devenir extrêmement difficile, voire impossible pour certains, de trouver une plage de temps de façon quotidienne.

Alors, peut-on transposer, par exemple, cinq séances quotidiennes de trente minutes par une seule longue séance de 150 minutes durant le week-end?

C’est la question qu’ont abordée des chercheurs canadiens, qui reprennent les conclusions publiées initialement dans le magazine Applied Physiology, Nutrition and Metabolism, ensuite rapportées par Santé Log.

Après moult analyses et études de dossiers précédents, les chercheurs basés à Kingston (Ontario) concluent que bien qu’il soit bénéfique de bouger tous les jours, il est bel et bien possible de retirer tout autant de bénéfices en effectuant ce fameux 150 minutes d’activité physique d’un seul coup!

Une excellente nouvelle, qui permettrait donc à chacun de choisir le moment qui lui convient le mieux dans la semaine pour une séance d’activité physique.

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Vacances et voyages : comment maximiser sa sécurité et sa santé

Quelques recommandations ont été publiées par l’InVS (France), rapporte Top Santé, qui s’adressent aux voyageurs et vacanciers qui prévoient bouger lors de la période estivale.

On tient à rappeler certains facteurs de risque pour la santé, en plus des méthodes de prévention et de protection qui s’y rattachent.

Pour débuter, on aborde le thème de la chaleur et de la déshydratation, qui peuvent causer de sérieux problèmes de santé et même la mort prématurée. On propose d’éviter le soleil entre midi et 16 h lors des pointes de chaleur et de boire beaucoup, beaucoup d’eau. Il est suggéré d’éviter les endroits surpeuplés et confinés comme les autobus, les marchés extérieurs, les salles bondées et non ventilées, etc. 

Les lunettes solaires sont de mise, tout comme la crème solaire, qui n’est vraisemblablement jamais trop puissante!

Pour les voyageurs à l’étranger, il faut se souvenir de l’importance de se protéger de certaines maladies, d’abord par les vaccins, mais aussi en prévenant les piqûres d’insectes. Prévoyez toujours des solutions anti-insectes et même de l’insecticide.

Évitez aussi les contacts physiques avec des étrangers (surtout s’ils toussent) et lavez-vous les mains plusieurs fois par jour.

En étant vigilant, rien ne pourra vous empêcher de passer les plus belles vacances de l’histoire, et ce, peu importe le coin du monde où vous vous trouvez!

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Les thérapies alternatives sont-elles vraiment efficaces?

Dans une époque moderne qui rappelle celle du nouvel âge, notamment par la conscientisation de l’alimentation et de l’environnement, différentes thérapies ou méthodes de traitements alternatives gagnent en popularité.

Parfois décriées par les spécialistes de la santé, mais conseillées par d’autres, Santé Log rapporte une étude sur le sujet qui vient un peu clarifier le débat.

Ainsi, l’Académie nationale de médecine publie un rapport qui dévoile certains détails concernant l’acupuncture, l’ostéopathie et le tai-chi, notamment.

Avant de pousser son raisonnement plus loin, l’Académie rappelle que même si certaines thérapies alternatives s’avèrent bienfaitrices, il est important de les associer à un diagnostic de praticien et les utiliser en complément des méthodes plus traditionnelles de la science et de la médecine.

Cela dit, l’association conseille aux hôpitaux, à la surprise générale, de songer sérieusement à se doter de services parallèles du genre au sein même de leurs établissements.

Elle rappelle également que même si plusieurs témoignages de patients allèguent qu’ils ont utilisé ces méthodes alternatives avec succès, les études sur le sujet demeurent mitigées.

On ne déconseille donc pas de se tourner vers l’acupuncture ou l’ostéopathie, au contraire, mais on suggère de fonder des espoirs réalistes et de ne pas se détourner complètement de la médecine moderne.

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Des experts déconseillent les suppléments de calcium aux femmes plus âgées

The National Library of Medicine rapporte qu’un groupe de spécialistes américains vient de publier une déclaration qui déconseille aux femmes plus âgées, spécialement celles en parfaite santé, de consommer systématiquement des suppléments de calcium.

Il s’agit d’un comportement populaire encouragé, puisqu’on accorde aux compléments alimentaires de calcium (ainsi qu’à la vitamine D, aussi retrouvée dans le lait) des effets protecteurs sur les os. On pourrait ainsi prévenir les fractures lorsqu’on prend de l’âge, croient plusieurs.

Rien n’est plus faux, martèlent maintenant les autorités américaines en la matière, qui y vont d’une dernière recommandation dans le cadre de ces études.

Pour les personnes en santé, un apport supplémentaire minime ou moyen en calcium n’aurait aucun effet, et les vertus d’un apport supplémentaire fort restent à démontrer.

Pour l’équipe de chercheurs, qui publie ces résultats dans l’édition du 26 février des Annals of Internal Medicine, aucune preuve concluante ne permet de prescrire ou d’encourager la prise de calcium en supplément chez les femmes de plus de 50 ans et en bonne santé.

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Un meilleur contrôle du diabète

Une nouvelle étude, publiée et rapportée par les National Institutes of Health et The National Library of Medicine, dévoile des chiffres encourageants en matière de diabète.

Selon l’étude, des progrès notables ont été faits dans le contrôle de la maladie, de plus en plus gens qui en souffrent décidant de suivre les recommandations de leur médecin.

Le nombre de patients qui suivent les recommandations après avoir reçu un diagnostic de diabète depuis le début des années 90 serait passé de 2 à 19 %, ce dont se réjouissent les chercheurs en tête de l’étude.

Et pour cause, car si le diabète peut être contrôlé sous diverses conditions, il peut aussi s’avérer fatal pour certaines personnes.

Les gens qui ne suivent pas les recommandations offertes par leur médecin s’exposent à des risques d’attaque, de maladies cardiaques, de maladies du rein, à l’amputation et même à la perte de la vision.

Étonnant alors de voir qu’encore beaucoup de patients n’en font qu’à leur tête, ce qui inquiètent les praticiens qui observent les ravages du diabète sur une base quotidienne.

Une bonne note donc, mais il reste manifestement encore beaucoup de travail de sensibilisation à faire.

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Les avantages de l’ail dans l’alimentation

Les multiples avantages de l’ail font en sorte qu’il devrait être intégré dans notre alimentation quotidienne, selon les spécialistes en nutrition, une affirmation que vient corroborer conseilsnutrition.tv.

Utilisé depuis la nuit des temps, l’ail a perdu un peu de sa popularité à l’ère moderne, mais pas ses propriétés. Ainsi, on accorde à l’ail des vertus antiseptiques (contre les infections) et antibactériennes, mais il agirait également sur le taux de cholestérol dans le sang.

De plus, on avance que le condiment permettrait de normaliser la tension artérielle. Il n’est donc pas surprenant que les experts conseillent d’en manger une gousse par jour.

L’ingrédient actif de l’ail se nomme l’allicine, qui agit de différentes façons dans le corps humain.

Si vous êtes découragé à l’idée de manger de l’ail en raison de ses effets secondaires sur l’haleine, on suggère d’accompagner l’ingestion d’ail de branches de persil ou de menthe fraîche. L’effet serait ainsi neutralisé.

L’avantage principal de l’ail est qu’il peut être inséré dans une foule de plats différents.

Manifestement, les études et les spécialistes sont unanimes sur le sujet : l’ail est un allié de taille en matière de santé.

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Césarienne : les recommandations sont publiées à nouveau

En résumé, ce qui importe est de faire un choix éclairé, et cela concerne tant le médecin que la future mère. Cette dernière doit être mise au courant des diverses conséquences de la césarienne. Ainsi, l’analyse des bénéfices et des risques pour la mère et le fœtus doit être bien connue et établie.

Selon les données, une femme sur cinq choisit la césarienne programmée, ce qui représente 7,4 % des naissances.

Devant cette popularité croissante, la Haute Autorité de Santé (HAS) a cru bon de publier un nouveau rapport de recommandations pour les femmes enceintes et les professionnels de la santé, afin de redéfinir les indications d’une césarienne programmée au terme de la grossesse.

Dans ce cas-ci, lorsqu’il n’y a pas de situation d’urgence, une césarienne programmée devrait avoir lieu lorsqu’il y a un utérus cicatriciel, une grossesse gémellaire, une présentation par le siège, une macrosomie, une transmission mère-enfant d’infection maternelle ou certaines indications plus rares.

Selon le rapport, chaque situation est unique et doit être bien analysée. Si la demande de césarienne vient de la mère, le document conclut qu’il est nécessaire de trouver la raison motivant l’opération. Il est important pour le médecin de discuter avec sa patiente pour voir s’il y a possibilité que celle-ci est plutôt effrayée par l’accouchement.

En conclusion, le choix du mode d’accouchement doit se faire sur la base d’une décision partagée entre la femme enceinte et l’équipe médicale, rapporte SantéLog.

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Les États-Unis révisent la nécessité des soins prénataux

Les soins prénataux (combinaison de tests de diagnostic et de dépistage) sont l’une des raisons les plus courantes qui poussent les femmes américaines à faire une visite chez le médecin. Elles représentent environ 22 millions de visites par an.

US Preventive Services Task Force (USPSTF) a fait une enquête et un sondage au sujet des soins médicaux que recevaient les futures mères entre 2001 et 2006.

L’organisation a estimé les taux de la culture d’urine, du dépistage de l’anémie, du test oral de tolérance au glucose (HGPO) et de l’analyse d’urine pendant les soins prénataux.

En moyenne, bien que le taux ait diminué au cours de l’enquête, la moitié des femmes ont fait une culture d’urine. Pour l’USPSTF, il y a encore trop de femmes qui ne font pas une culture d’urine au début de la grossesse. Ce test est le plus important des quatre examens et devrait être privilégié, selon l’organisation.

En revanche, l’analyse de l’urine pour permettre de voir les infections des voies urinaires des femmes est quant à elle trop souvent faite pour rien.

Il est prouvé que les femmes ont reçu au moins un test de dépistage de l’anémie en moyenne par grossesse, ce qui est également fortement recommandé. Quoique tout de même régulier, le test HGPO a été, lui, un peu moins fréquent.

Les experts ont également conclu qu’il semblerait que les minorités visibles et les femmes plus âgées ont accès plus facilement aux quatre tests de dépistage que les jeunes femmes et celles de race blanche.