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Apporter de l’aide aux parents d’un enfant malade

Sur ParentingSquad, une mère vous guide sur la façon d’offrir l’aide dont le parent d’un enfant malade a désespérément besoin.

Ne demeurez pas silencieux

Même si vous ne savez pas quoi dire, un appel, un message, une petite note suffiront. Cela vaut mieux que de ne rien dire.

Dis-moi quoi faire pour t’aider

Le parent qui vit avec un enfant malade est déjà dépassé, bouleversé par la nouvelle de la maladie et les nombreux changements qui doivent s’opérer. Il ne saurait pas quoi vous répondre. Apportez des repas préparés, des jeux pour l’enfant à l’hôpital, etc.

Écoutez

Lorsque le parent reçoit la mauvaise nouvelle, il vit de la colère et de l’incompréhension. Il a envie de crier et de pleurer. Ne dites jamais « je comprends », puisque ce n’est pas le cas. Ne donnez pas non plus vos conseils. Écoutez, simplement.

Rendez visite

Que ce soit à l’hôpital ou à la maison, n’hésitez pas à aller faire un tour. Votre sourire, votre réconfort, une accolade, une épaule et une bonne oreille sont des éléments qui aideront les parents et l’enfant.

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Cessez de grignoter!

Lorsqu’on grignote, ce n’est pas la faim qui parle, mais bien des facteurs comme la gourmandise, le stress et même un surplus de fatigue, rapporte Le Figaro.

Le principal problème du grignotage, c’est que l’on est souvent attiré par la facilité et le réconfort. Donc, on prend des biscuits, des sucreries, des croustilles, tout ce qui nous tombe sous la main plutôt que des fruits et légumes.

On déséquilibre aussi nos repas, ce qui crée un cercle vicieux entre ceux-ci. On mange moins aux repas, alors on grignote plus.

Les femmes seraient plus sujettes à cette mauvaise habitude, ainsi que les jeunes. Les femmes comblent réellement plus un besoin psychologique, alors que les hommes grignotent lorsqu’ils ont faim.

Évidemment, à long terme, vous prendrez du poids, c’est inévitable. Pour empêcher vos crises ou fringales entre les repas, prenez un petit-déjeuner consistant, notamment des céréales complètes.

Entre les repas, buvez beaucoup d’eau et préparez des céleris et carottes coupés. Tournez-vous vers cette collation si l’envie de grignoter vous prend.

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Bravez les critiques et allaitez même après 2 ans

She Knows rapporte que même si aux États-Unis, il est moins commun de voir une mère allaiter son enfant au-delà de 12 mois, dans de nombreuses cultures à travers le monde, donner le sein à un enfant même après 2 ans est un incontournable.

En public

Votre enfant peut demander le sein brièvement lorsqu’il est effrayé, angoissé, frustré ou stressé, à titre de réconfort. Il se peut que vous sentiez le regard d’autrui en public. Si vous souhaitez quand même offrir cet apaisement à votre enfant, pratiquez-vous de façon à ce que vous ayez l’air, simplement, de le serrer fort contre vous pour le calmer.

Sachez cependant que plus votre enfant vieillit, plus il se peut qu’à satiété ou lorsque le réconfort est suffisant, il se sauve en courant pour retourner à ses activités. Préparez-vous donc à des moments gênants où votre poitrine risque d’être exposée.

Établissez des limites

Lorsque votre enfant est assez grand pour patienter avant l’allaitement, établissez des limites claires. Un nouveau-né doit être nourri lorsqu’il a faim. Un enfant de 2 ans peut patienter.

Le soutien

N’hésitez pas à chercher des blogues ou autres forums formés par des mères qui pratiquent l’allaitement au-delà d’un an. Vous vous sentirez soutenue et comprise, surtout si même votre entourage ne comprend pas votre choix.

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Une fiche sur les injections de toxine botulique rassure les petits

Les enfants qui souffrent de pathologies telles que l’infirmité motrice cérébrale et certaines autres maladies rares ont souvent recours aux injections de toxine botulique pour apaiser leur douleur due à des contractions musculaires.

Cette substance, qui diminue la contraction des muscles en agissant au niveau de la jonction neuromusculaire, permet notamment d’améliorer les mouvements et de faciliter certaines activités quotidiennes et banales, comme l’habillage et la toilette, décrit le site Santé Log.

Injectées aux six mois environ, ces piqûres font particulièrement mal, car elles sont faites dans le muscle.

Afin que l’enfant n’ait pas peur et ne demeure pas traumatisé de la première fois où il reçoit une telle injection, l’Association Sparadrap, pour les enfants malades ou hospitalisés, a créé une affiche pratique et illustrée qui se veut informative et réconfortante pour les petits et leur entourage.

Le papier montre et décrit aux enfants en des termes qu’ils comprennent l’utilité du traitement, le déroulement et les bienfaits de celui-ci. Pour les familles et les cliniciens, des informations sont fournies pour les préparer à accompagner le jeune avant et après l’injection.

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Des aliments pour vaincre la solitude

Les pommes de terre en purée, une bonne soupe poulet et nouilles et le pouding au chocolat sont tous des aliments réconfortants qui peuvent lutter contre la solitude. Comment? Simplement parce qu’ils vous rappelleront de bons souvenirs.
 
Selon le journal Psychological Science, ces aliments dits réconfortants peuvent vous aider à traverser des moments plus difficiles, car ils contribuent à vous rappeler des souvenirs comme les repas de votre enfance ou les vacances en famille. Ceci peut donc améliorer votre humeur et vous faire oublier votre solitude.
 
Avec un groupe de volontaires qui se sentaient seuls, des chercheurs américains ont fait le test. En plus de répondre à un questionnaire sur leur niveau de solitude, ils devaient écrire quelques lignes en pensant à un proche, soit sur des aliments de réconfort ou des aliments nouveaux. Ceux qui étaient plus en sécurité dans leurs relations ont davantage échappé à la solitude en pensant à des souvenirs reliés à la bonne bouffe réconfortante.
 
À preuve que ce genre d’aliments est bon pour l’âme, combien d’entre nous préférons les bons petits plats préparés maison par notre mère d’après une recette de famille transmise de génération en génération?
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Le pouce ou la suce?

Le pouce ou la suce? La question demeure pour les nouveaux parents. Chacun a ses avantages et ses inconvénients.
 
Qu’on se le dise tout de suite, les deux déforment le palais et les dents, mais de façon différente. Peut-être vaut-il mieux céder à ce petit inconvénient et éviter les colères de bébé que de tenter d’interdire à votre enfant de se réconforter. Plus tard, un orthodontiste pourra toujours faire les corrections buccales nécessaires.
 
Le site Famili mentionne que la suce ou tétine offre un certain réconfort à votre bébé, mais souvent de courte durée. La majorité du temps, votre enfant prendra l’habitude de s’endormir avec sa suce, alors celle-ci risque de tomber une fois qu’il sera endormi. Dans ce cas, votre bébé a de bonnes chances de se réveiller. Contrairement à son pouce, qu’il aura le réflexe de porter à sa bouche lui-même, il vous réclamera pour remettre sa suce en place. De plus en plus, il sera accro à sa suce.
 
Le pouce est un réconfortant naturel. S’il se réveille, le bébé portera son pouce lui-même à sa bouche. Il aura aussi tendance à le délaisser pour jouer. Ainsi, si votre enfant choisit tout naturellement son pouce, laissez-le faire.
 
Que ce soit le pouce ou la suce, il faudra faire un sevrage progressif, en évitant tout drame toutefois. Proposez au bébé de courtes périodes sans téter, qui seront de plus en plus longues. Au fur et à mesure, il finira par ne plus en avoir besoin comme source de réconfort.