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Anik Jean partage un moment précieux avec Michel Jean en marge de leur projet

Anik Jean, qui évolue en tant que réalisatrice, a de quoi se réjouir puisqu’elle travaille actuellement, comme nous le savons, sur un projet d’envergure avec le grand Michel Jean.

Michel, qui vient de prendre sa retraite en tant que journaliste pour se consacrer pleinement à sa carrière d’auteur, verra pour la première fois l’un de ses livres adaptés au grand écran.

Rappelons qu’il s’agit du roman QIMMIK, qui met en lumière une période marquante et troublante de l’histoire des Inuits, mais aussi du Canada, soit celle du massacre de chiens survenu dans le Grand Nord.

C’est d’ailleurs en marge de ce projet grandiose qu’Anik a souligné leur collaboration et sa gratitude envers lui.

«Avec mon ami ce matin Michel Jean – rencontre pour le long-métrage de son merveilleux livre QIMMIK. Que je suis chanceuse de travailler avec ce merveilleux écrivain», écrivait la réalisatrice, reconnaissante de cette magnifique opportunité.

Un projet que nous avons hâte de découvrir sur grand écran et qui promet de nous émouvoir profondément.

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Le pain allemand vise une reconnaissance par l’UNESCO

« C’est une part de l’identité allemande », explique le maître-boulanger Karl-Dietmar Plentz, en plongeant ses mains dans un bac de farine tout en évoquant le projet de faire reconnaître la diversité des pains d’Allemagne par l’UNESCO.

Vingt-six variétés de pains sont en train de cuire dans les fours de son entreprise familiale, créée il y a 136 ans à Schwante, village des environs de Berlin. Derrière lui, un employé, parmi la centaine qu’il occupe, pétrit avec adresse deux boules de pâte. Elles font partie d’un lot de « pain à la pomme de terre », une des spécialités que ce boulanger prépare à la manière de son grand-père.

Fiers d’un savoir-faire qui se décline en plusieurs centaines de variétés à travers le pays, les boulangers allemands souhaitent faire reconnaître leur art du pain comme « patrimoine immatériel » de l’Humanité, par l’agence des Nations unies responsable de la Culture. À l’instar du tango argentin, du tissage de tapis en Iran ou du repas gastronomique à la française.

Pour M. Plentz, 46 ans, qui représente la quatrième génération d’une famille de boulangers et a grandi derrière le Rideau de Fer, « il est important de défendre la diversité » culinaire.

Le défi n’est pas mince face aux changements des modes de vie qui détournent de plus en plus d’Allemands du pain artisanal. La concurrence des supermarchés ou des chaînes de distribution vendant des préparations industrielles moins chères et la lente disparition du rituel de l’« Abendbrot », dîner traditionnel associant pain et viandes froides, ont décimé la profession.

Quelque 500 boulangeries artisanales ont fermé l’an dernier en Allemagne, selon leur Fédération. Depuis le début des années 1990, leur nombre a été divisé par deux, à moins de 14 000 aujourd’hui. Et la profession, qui a mauvaise image, peine à recruter dans un pays en manque de jeunes.

Le président de la fédération des artisans boulangers, Peter Becker, juge que la « diversité » des pains est l’atout principal à faire valoir auprès de l’UNESCO. À ce stade, la fédération est en train de préparer le dossier de candidature. Il s’agit de faire reconnaître « la fierté dans nos produits », dont les recettes sont transmises de génération en génération et reflètent les identités régionales, selon lui.

« En France, il y a d’excellentes baguettes, en Italie des ciabatta exceptionnelles, mais à travers le monde je pense que seule l’Allemagne possède une telle variété, du pain complet au pain blanc », a-t-il expliqué à l’AFP.

Le mois dernier, la Fédération des boulangers a organisé sa première « journée du pain allemand » et désigné deux « ambassadeurs du pain » pour défendre sa cause.

Elle fait notamment connaître son « registre du pain », un appel à la population pour recenser la totalité des recettes connues en Allemagne, préalable à la candidature au patrimoine mondial. Quelque 3000 sortes ont déjà été répertoriées sur le site web www.brotregister.de, avec des variations de céréales, de formes, de taille, de levures, de cuisson, et d’ingrédients ajoutés comme des fruits, légumes, lait, œufs, etc.

L’histoire a parfois laissé des traces, comme à Hambourg où le « Franzbrötchen », littéralement « petit pain français », témoigne de la présence napoléonienne.

L’épouse de l’ambassadeur américain à Berlin Philip Murphy a expliqué avoir fait l’éloge du pain allemand auprès de la première dame Michelle Obama, à l’occasion de sa visite en juin. « Aucun autre pain ne le dépasse », a-t-elle déclaré à des journalistes.

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Des infirmières qui font du bien aux bébés prématurés

Décernée par l’American Nurses Credentialing Center aux États-Unis, cette reconnaissance d’excellence est très difficile à obtenir.

Seulement 7 % des hôpitaux américains peuvent se vanter d’en détenir une. Pour y arriver, ils se sont démarqués dans cinq domaines distincts qui concernent la pratique exemplaire et le leadership.

Un rapport publié dans le journal de l’American Medical Association révèle que les poupons pesant moins de 3,3 livres à la naissance qui séjournent dans ce type d’établissements s’en sortent mieux que les petits nés dans des hôpitaux sans la reconnaissance.

En effet, une analyse auprès de 72 000 bébés prématurés a permis de constater que ceux ayant séjourné dans un hôpital accrédité par l’Association avaient des taux beaucoup plus faibles d’infection hospitalière (16,7 % contre 18,3 %), moins de chances de souffrir d’une hémorragie (7,2 % contre 7,8 %) et un taux de mortalité plus faible après sept jours de vie (7 % contre 7,4 %), en comparaison avec ceux nés dans les autres centres.

Toutefois, 28 jours plus tard, aucune différence n’était remarquée en ce qui a trait au taux de mortalité. Les enfants de chaque type d’hôpitaux ne semblaient pas mieux survivre ou mourir davantage.

Selon les spécialistes, de meilleurs résultats chez les bébés nés dans les hôpitaux détenant une reconnaissance peuvent être dus à une meilleure qualité dans l’unité de soins intensifs néonatals et les soins obstétriques de ces endroits.

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Les zélés du sport

On lit sur Health News l’avis de Sandra Sims, de la Birmingham School of Education de l’University of Alabama, quant à l’approche qu’ont certains parents devant la pratique sportive de l’enfant.

Selon Madame Sims, un jeune athlète a besoin d’avoir du plaisir et de recevoir de la reconnaissance. Toutefois, en demander trop peut tout gâcher. Elle rappelle par ailleurs qu’un enfant, jusqu’à six ans, a besoin d’avoir des jeux non structurés. Des parents tendent à traiter plutôt leurs enfants comme de « minis adultes ».

En fait, la majorité des enfants ne devraient pas se spécialiser dans un sport avant l’âge de 15 ans. Après chaque saison dans une discipline, les parents devraient prendre le temps d’en demander l’évaluation à leur enfant, puis de décider si l’on poursuit dans cette voie ou non.

Permettre à son enfant d’essayer différents sports est très sain, affirme Madame Sims. Cela lui permet de vraiment choisir lequel il préfère, soit celui dans lequel il aura vraiment envie de se dépasser.

Finalement, elle rappelle que porter un uniforme ne signifie pas que notre enfant fait de l’activité physique 60 minutes par jour; cela dépend du sport.

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On lit sur Health News l’avis de Sandra Sims, de la Birmingham School of Education de l’University of Alabama, quant à l’approche qu’ont certains parents devant la pratique sportive de l’enfant.

Selon Madame Sims, un jeune athlète a besoin d’avoir du plaisir et de recevoir de la reconnaissance. Toutefois, en demander trop peut tout gâcher. Elle rappelle par ailleurs qu’un enfant, jusqu’à six ans, a besoin d’avoir des jeux non structurés. Des parents tendent à traiter plutôt leurs enfants comme de « minis adultes ».

En fait, la majorité des enfants ne devraient pas se spécialiser dans un sport avant l’âge de 15 ans. Après chaque saison dans une discipline, les parents devraient prendre le temps d’en demander l’évaluation à leur enfant, puis de décider si l’on poursuit dans cette voie ou non.

Permettre à son enfant d’essayer différents sports est très sain, affirme Madame Sims. Cela lui permet de vraiment choisir lequel il préfère, soit celui dans lequel il aura vraiment envie de se dépasser.

Finalement, elle rappelle que porter un uniforme ne signifie pas que notre enfant fait de l’activité physique 60 minutes par jour; cela dépend du sport.

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Les dyslexiques ont plus de mal à reconnaître les voix

Aux États-Unis, la dyslexie toucherait entre 8 et 15 % de la population. Ce trouble de langage cause de grandes difficultés de lecture et d’écriture.
 
Le cerveau n’arrive pas à distinguer et utiliser les sons que l’on emploie pour prononcer les mots et les lettres.
 
Selon une étude publiée dans le magazine Science, les chercheurs ont découvert que les personnes dyslexiques avaient également de la difficulté à reconnaître les voix.
 
Pour en arriver à ces résultats, on a regroupé des étudiants anglophones dont la moitié était dyslexique. Ils ont regardé des personnages animés qui parlaient soit en anglais ou en chinois. Ensuite, ils devaient associer les voix aux personnages.
 
Pour identifier les voix chinoises, il n’y a eu aucun problème chez les deux groupes.
Par contre, pour les voix anglophones, les dyslexiques ont obtenu de moins bons résultats que leurs camarades.
 
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Plus de reconnaissance pour maman

Même si l’on a célébré la fête des Mères le week-end dernier, on ne reconnaîtrait pas le rôle de nos mamans à leur juste valeur.

C’est le constat d’une enquête européenne menée par le Mouvement Mondial des Mères à laquelle ont participé 11 000 femmes vivant dans 16 pays différents.
 
Selon l’étude L’enquête des mères en Europe 2011, les femmes demandent à leur gouvernement respectif de meilleures politiques sociales visant leur famille et elles-mêmes. Les mères au foyer, par exemple, réclament une meilleure reconnaissance de ce qu’elles font.
 
On demande aussi, de l’autre côté de l’Atlantique, des mesures plus efficaces pour concilier la vie familiale et le travail. Les mères souhaitent donc des services de garde mieux adaptés, des horaires de travail plus flexibles ainsi qu’un plus long congé de maternité.

Rappelons au passage que le congé parental québécois, lequel s’étend sur une année et touche les deux parents, est un modèle rare dans le monde.