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Trucs et Bricolages

Mignons lapins en carton d’oeufs

Si vous aimez bricoler  à partir d’articles recyclés, voici une super idée pour préparer Pâques.

 De jolis lapins en cartons d’oeufs, qu’on peut remplir de petites surprises.

Les enfants vont adorer préparer la fête!

Matériel requis:

Des carton d’oeufs

De la peinture acrylique (couleurs aux choix)

Des yeux de bricolage (on peut aussi dessiner les yeux au crayon)

De petits pompons 

Du mousse de bricolage  blanche

Du ruban de masquage

De la colle chaude

Un marqueur noir

Des ciseaux

Pinterest

Marche à suivre:

1. Couper 2 compartiments à œufs et couper tout excédent pour créer un dessus plat.

2. Placer les cartons d’œufs parés les uns sur les autres, les dessus plats se touchant. 

3. Mettre un petit morceau de ruban adhésif  au dos des cartons.

4. Ouvrir la boîte à œufs et placer un autre morceau de ruban adhésif à l’intérieur.

5. Peindre les boîtes d’œufs d’une couleur printanière. 

6. Découper 2 oreilles de lapin dans la mousse.

6. Une fois la peinture sèche, ajouter les yeux, les oreilles et le pompon pour le nez avec de la colle.

7. Dessiner des moustaches et des cils au marqueur noir si désiré.

8. Remplir chaque lapin avec des bonbons.

Joyeuses Pâques!

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Art de vivre

Parentalité et environnement, pas toujours compatibles!

Quand je suis devenue maman, j’ai poursuivi sur ma lancée : couches lavables, lingettes lavables, achat d’articles usagés, etc. C’était facile. Facile parce qu’il s’agissait d’éléments sur lesquels j’avais le contrôle. Mais dans la vie, on ne contrôle que très peu de choses. Surtout quand il y a des enfants dans le portrait. Je continue à faire de mon mieux, bien sûr, mais j’ai dû lâcher prise et accepter que sur certains trucs je n’aie pas le contrôle. Parce qu’à certains égards, parentalité rime avec gaspillage.

Alors je serre les dents, et je gaspille. Surtout en ce qui concerne…

Les bricolages et les dessins

La quantité de bricolages et de dessins qui se retrouvent au recyclage depuis que j’ai des enfants est effarante. J’ai beau réutiliser tant que possible (papier brouillon, boîtes de carton, rouleaux de papier de toilette, cartons d’œufs) et conserver les retailles, je ne fournis pas, et c’est du papier neuf qu’on utilise le plus souvent. Les dessins — souvent diverses réinterprétations du même concept — s’empilent sur la table de la cuisine à une vitesse folle, me forçant à faire le tri au moins une fois par semaine. J’en affiche certains, j’en conserve d’autres, mais il est tout simplement impossible de tout garder. Et je ne vous parle même pas de ce que les garçons ramènent de l’école et du service de garde! Mais faudrait-il vraiment les empêcher de développer leur créativité? Bien sûr que non. Alors je recycle…

Les pansements

Je me souviens que, petite, je croyais que se cachaient dans les pansements des petits travailleurs qui venaient réparer mon bobo. Par conséquent, dès que je me faisais une petite égratignure, je me mettais un pansement pour qu’elle puisse guérir! Quel gaspillage! J’ai donc expliqué à Coco et à Bout d’Chou que les pansements sont généralement inutiles pour les blessures qui ne saignent pas. Et je dois dire que bien souvent ils se montrent raisonnables. Souvent, je donne des bisous magiques ou j’applique de la glace pour faire passer la grosse peine causée par le petit bobo. Mais il y a des fois où rien, absolument rien d’autre qu’un pansement ne saurait faire l’affaire. Ces fois-là, je me rends à l’évidence. Il faut savoir respecter la magie des pansements…

La nourriture

Je suis une adepte de la théorie qui veut qu’aux repas, les parents décident de la qualité, les enfants décident de la quantité. Autrement dit, je décide ce qui va dans l’assiette, et Coco et Bout d’Chou décident ce qu’ils en mangent. Ça permet d’exposer régulièrement les enfants à une variété d’aliments (et parfois après quelques mois, ils finissent par accepter certains légumes), mais ça fait aussi que les assiettes ne sont jamais vides à la fin du repas. Il reste systématiquement une pile de poivrons, d’épinards ou d’autres mal-aimés qui vont finir leur vie au compost. Et gaspiller de la nourriture, je déteste vraiment, mais vraiment ça. Mais je ne peux pas non plus cesser de proposer des oignons aux enfants…

Alors voilà. Je n’aime pas ça, mais je gaspille. Je me console en me disant que c’est temporaire. À 18 ans, les enfants ne devraient plus passer au travers d’autant de pansements, non?

Et vous, sur quelles batailles environnementales avez-vous lâché prise?

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Mode et accessoires

H&M va recycler les vêtements

La marque suédoise H&M a annoncé qu’elle allait mettre en place un système de collecte des vêtements usagés afin de pouvoir les recycler.

Le président, Karl-Johan Persson, a publié un communiqué de presse affirmant : « Nous voulons faire du bien à l’environnement, c’est pourquoi nous offrons maintenant à nos clients une solution pratique : pouvoir laisser leurs vêtements usés ou défectueux chez H&M ».

Le programme sera lancé en février prochain, dans chacun des 48 pays dans lesquels la chaîne de boutiques est présente. 1500 des 2700 boutiques auront ainsi leur programme de collecte, incluant tous les magasins aux États-Unis, au Royaume-Uni et au Japon.

Selon FashionMag, M. Persson a poursuivi : « Chaque année, des tonnes de textiles sont jetées avec les déchets ménagers et finissent dans les dépotoirs. Pas moins de 95 % de ces vêtements pourraient être réutilisés : portés de nouveau, réutilisés ou recyclés ».

Rappelons que la chaîne a subi des critiques des environnementalistes, notamment par rapport à sa gestion des déchets. Le programme ne coûtera pas très cher, parce que l’entreprise a semble-t-il des capacités de transport inutilisées entre les boutiques et les entrepôts.

H&M, une abréviation de Hennes & Mauritz, est la deuxième plus importante compagnie de vêtements au monde, juste derrière Zara, et devant Gap.

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Nouvelles quotidiennes

Des cabines de sauveteurs transformés en chambres d’hôtel

Le projet s’appelle Pixels et provient d’un concept autrichien qui consiste à recycler des locaux abandonnés (atelier, garage, bateau…) en chambres d’hôtel isolées arborant le style non conventionnel.

Les premiers Pixels sur les plages de Tel-Aviv, en Israël, devraient voir le jour prochainement, mentionne la lettre d’information de l’Office du tourisme israélien. Les clients qui y séjourneront pourront profiter de la mer, les deux pieds dans l’eau, tout en étant à l’abri dans un endroit confortable et spacieux.

La plage de Bograshov devrait être la première à accueillir ces mini-hôtels nouveau genre, selon ce que rapporte Relax News.

Le port de Jaffa et Neve Tzedek devraient être les prochains sur la liste pour transformer leurs cabines de sauveteurs en chambres d’hôtel.

Ce sont les designers Lilach Chitayat, Anat Safran et Alan Chitayat qui ont créé les futures unités au bord de la mer de Tel-Aviv.

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Les couches jetables, source d’énergie?

Passage obligé, bébé porte des couches pendant au moins deux ans. Si les couches réutilisables gagnent en popularité, celles qui sont jetables sont encore les plus utilisées. Elles représentent pourtant un problème pour l’environnement.

Pas moins de 6 000 couches jetables seront portées en moyenne par bébé durant ses deux premières années de vie. Selon Le Parisien, l’entreprise Suez Environnement aurait une solution au million de tonnes déchets que représentent les couches.

Elles seraient transformées en compost. Les plastiques qu’elles contiennent (entre 10 et 20 %) pourraient ensuite être employés pour en fabriquer d’autres. Quant à la matière fécale et la cellulose, elles seraient digérées par la boue du composteur et l’on arriverait ensuite à produire du biogaz.

Le résidu qui demeurerait servirait quant à lui à l’épandage des champs; il constituerait un excellent compost. Il y donc tout à espérer de cette idée, au lieu de simplement jeter chaque couche souillée par bébé.

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Bientôt des cannettes entièrement biodégradables?

Les compagnies Haoshi Studio et PLA Studio de Taïwan ont uni leurs forces pour créer une première cannette entièrement biodégradable afin de sensibiliser les gens au recyclage et aussi à la réduction des déchets.
 
Aux États-Unis, on estime que recycler une tonne de cannettes permettrait d’économiser 36 barils de pétrole. Un Américain moyen consomme en moyenne 2,5 cannettes par jour. En 2008, seulement 21,1 % d’entre elles étaient recyclées.
 
La TIN CAN est faite à partir d’acide polylactique, un polymère 100 % biodégradable qui est conçu à partir d’amidon de maïs. La cannette peut s’écraser comme celle en aluminium, mais la grande différence est que la partie supérieure de la TIN CAN est amovible, donc nous pouvons la réutiliser.
 
Bien qu’elle soit encore en attente de brevet, vous pouvez vous en procurer une sur le site de la compagnie Haoshi.