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La superstition en traitement de l’anxiété

Superstitieux, mais moins anxieux? C’est un peu la logique qui se cache derrière les révélations rapportées par Top Santé, qui font état des bienfaits de la superstition en « traitement » des troubles anxieux.

Des chercheurs américains, de l’Université de Chicago, tracent un lien direct entre certaines actions superstitieuses et des niveaux de stress et d’anxiété plus bas, ce qui porte à croire que l’on pourrait utiliser cette méthode pour traiter certains troubles anxieux de façon partielle.

Bien que la superstition soit associée à la magie, au mystique, au karma et au cosmique, les psychologues sont loin de réfuter son utilité. Ils expliquent simplement que ces gestes, comme celui de toucher du bois ou de placer un porte-bonheur à un endroit clé, touchent une fibre importante de la psychologie humaine et permettent à l’individu qui pose le geste de se rassurer.

« Nous pouvons chercher à nous débarrasser des superstitions au nom de la modernité et du progrès, mais cela risque d’être difficile, car même si ces gestes nous semblent superficiels et irrationnels, ils sont parfois nécessaires. Les rituels superstitieux marchent vraiment. Ce n’est pas de la magie, c’est de la psychologie », peut-on lire dans les conclusions de l’étude publiée par le Journal of Experimental Psychology.

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L’huile de poisson pourrait contrer les effets de l’alcool sur le cerveau

MedicalNewsToday rapporte une nouvelle étude qui se veut encourageante et qui prétend démontrer que la consommation d’huile de poisson peut contrer les effets dévastateurs de l’alcool sur le cerveau.

Une grande quantité d’alcool consommée régulièrement peut mener à des torts cérébraux irréparables et même à de la démence, qui est directement associée à ce type de problème de consommation d’alcool.

Selon les chercheurs de l’European Society for Biomedical Research on Alcoholism en Pologne, les oméga-3 retrouvés dans l’huile de poisson pourraient bien venir en aide aux gens qui se retrouvent dans cette grave situation.

Publiée et déposée dans le cadre du 14e congrès de l’ESBRA, l’étude démontre un effet positif vérifiable sur des rats.

Un groupe test de rongeurs s’est vu imposer un régime à forte teneur en alcool, alors qu’un deuxième a subi le même sort, mais doublé d’une consommation à forte teneur en oméga-3.

Les résultats sont aussi éloquents qu’étonnants, puisqu’on constate 95 % moins de dommages au cerveau des rats du deuxième groupe!

Les chercheurs, malgré leur enthousiasme devant cette belle découverte, ont tôt fait de mettre en garde les gens qui seraient tentés de continuer d’abuser de l’alcool, mais en avalant simplement des gélules d’huile de poisson.

Cependant, cette étude pourrait mener à plusieurs percées médicales intéressantes dans le futur.

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Réduire les risques de dépression en vieillissant grâce au vin

Vieillir comme le bon vin pourrait bien être plus facile… grâce au vin!

En effet, selon les informations rapportées par Top Santé, le vin serait un allié de taille dans la prévention de la dépression chez les personnes qui commencent à prendre de l’âge, soit de 55 à 80 ans, en moyenne.

C’est justement cette tranche d’âge qu’ont analysé des chercheurs espagnols lors d’une étude qui trace un lien direct entre la consommation de vin et une réduction des risques de dépression chez les gens à l’âge de la retraite.

« Nous avons sélectionné 5500 personnes âgées de 55 à 80 ans et, pendant sept ans, nous avons suivi leur état de santé psychologique et mis en parallèle leur consommation de vin. Nous nous sommes rendu compte que le risque de dépression était diminué en moyenne de 32 % chez les personnes qui buvaient de deux à sept petits verres de vin par semaine », explique Miguel Martinez-Gonzalez, de l’Université de Navarre.

Donc, en moyenne, l’effet optimal pourrait se faire sentir avec un verre de vin bu quotidiennement, mais les excès risquent d’apporter plus de problèmes qu’ils n’en règlent!

Comme l’élément clé de cette réduction des risques de troubles dépressifs est le resvératrol, on suggère aussi de consommer des petits fruits comme la canneberge ou les mûres, par exemple.

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Le vaccin contre la grippe ferait baisser le risque d’ACV chez l’homme

Les hommes âgés entre 50 et 64 ans pourraient bénéficier grandement du vaccin contre la grippe, croient plusieurs experts.

C’est ce que rapporte le Daily Mail (UK), alors qu’une équipe de chercheurs basés à l’Université New South Wales publie une étude qui suggère une baisse significative des risques d’accident cardiovasculaire chez les hommes de plus de 50 ans.

C’est que la grippe encourage l’épaississement du sang et l’inflammation des artères, déjà étroites chez les gens aux prises avec des problèmes cardiaques ou à risque d’en développer.

Étrangement, l’étude ne conclut pas à une cause à effet directe, c’est-à-dire que la grippe en tant que telle n’influe pas sur les risques de crise cardiaque. Cependant, le vaccin contre l’influenza, lui, permet de réduire les risques d’un ACV de près de la moitié!

Les chercheurs croient donc que les organisations de la santé et les médecins devraient songer à proposer systématiquement le vaccin aux hommes de plus de 50 ans.

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La consommation de fruits liée à la baisse de risque d’anévrisme aortique

L’anévrisme abdominal de l’aorte est une condition qui s’avère somme toute assez rare, selon les spécialistes, mais malheureusement souvent mortelle.

Le problème se caractérise par un ballonnement de la partie inférieure de l’aorte, explique l’American Heart Association, qui rapporte également la nouvelle suivante.

Des chercheurs ont publié leurs conclusions dans le magazine Circulation, selon lesquelles une consommation quotidienne de fruits (au moins deux portions par jour) aurait un impact direct sur la réduction des risques d’anévrisme vasculaire de ce genre.

On parle même de 25 % moins de chances de subir ce terrible accident, selon l’étude publiée par des chercheurs suédois.

« Une forte consommation de fruits peu aider à prévenir plusieurs maladies vasculaires, et notre étude suggère qu’un risque réduit d’anévrisme abdominal de l’aorte serait parmi ces bénéfices », résume le Dr Otto Stackelberg, auteur en chef de l’étude.

Les légumes, tout aussi importants pour la bonne santé, ne semblent cependant pas avoir ce même genre d’impact sur la santé cardio-vasculaire.

quo;anévrisme abdominal de l’aorte est une condition qui s’avère somme toute assez rare, selon les spécialistes, mais malheureusement souvent mortelle.

Le problème se caractérise par un ballonnement de la partie inférieure de l’aorte, explique l’American Heart Association, qui rapporte également la nouvelle suivante.

Des chercheurs ont publié leurs conclusions dans le magazine Circulation, selon lesquelles une consommation quotidienne de fruits (au moins deux portions par jour) aurait un impact direct sur la réduction des risques d’anévrisme vasculaire de ce genre.

On parle même de 25 % moins de chances de subir ce terrible accident, selon l’étude publiée par des chercheurs suédois.

« Une forte consommation de fruits peu aider à prévenir plusieurs maladies vasculaires, et notre étude suggère qu’un risque réduit d’anévrisme abdominal de l’aorte serait parmi ces bénéfices », résume le Dr Otto Stackelberg, auteur en chef de l’étude.

Les légumes, tout aussi importants pour la bonne santé, ne semblent cependant pas avoir ce même genre d’impact sur la santé cardio-vasculaire.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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La prise d’aspirine permettrait la réduction de certaines tumeurs

Plusieurs spécialistes ont déjà suggéré les bienfaits d’une prise régulière d’aspirine dans la lutte contre le cancer, mais voilà qu’une nouvelle étude vient étayer la théorie.

Selon The National Library of Medicine, une étude suédoise vient en effet de confirmer l’impact de la prise d’aspirine sur la réduction de certaines tumeurs, notamment celles observables dans des cas de cancer du côlon et des poumons.

« Nous avons fait la preuve qu’elle [l’aspirine] est aussi efficace contre le cancer du poumon et qu’elle a des effets préventifs autant aux stades précoces qu’avancés », lance l’auteur en chef de l’étude, Yudi Pawitan.

L’équipe de Pawitan a en effet remarqué, après avoir analysé les dossiers de plus de 80 000 patients, une incidence entre la grosseur des tumeurs et la prise d’aspirine de façon régulière, mais à petites doses.

Les chercheurs se demandent également pourquoi l’aspirine semble efficace dans la lutte à ces deux formes de cancer, et non contre d’autres, comme le cancer du sein, par exemple.

De plus, ces conclusions demeurent au stade de la théorie, puisque de futures recherches doivent analyser d’autres aspects de la question avant de pouvoir officiellement conseiller aux gens de se tourner vers l’aspirine.

« Le mécanisme n’est pas entièrement compris », lance Pawitan en conclusion.

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Le régime méditerranéen aurait un véritable impact proactif sur la santé cardiaque

Selon des conclusions rapportées par Science Daily, le fameux régime méditerranéen serait bon pour la santé non seulement pour les raisons que l’on connaît, mais aussi parce qu’il agirait de façon proactive contre certaines maladies cardio-vasculaires.

Cela signifierait moins de risques d’ACV chez les personnes visées, voilà le constat proposé par cette nouvelle étude en provenance d’Espagne.

Après avoir analysé et suivi les dossiers de 7 000 hommes et femmes volontaires, les chercheurs de l’Université Tufts ont constaté que les sujets suivant un régime de type méditerranéen sont moins enclins à subir des accidents cardio-vasculaires, même lorsqu’ils sont génétiquement prédisposés à ce genre de problèmes.

« Se placer sous un régime méditerranéen réduit le nombre de crises cardiaques chez les gens possédants deux copies de la variante (prédisposition génétique). La nourriture qu’ils mangent semble éliminer toute hausse de susceptibilité à un ACV, les plaçant au même niveau que ceux qui n’ont pas de copies de la variante », explique le Dr José M. Ordovas, directeur des recherches.

L’alimentation méditerranéenne se compose principalement de noix, d’huiles végétales (d’olive, par exemple), de poisson, de vin, de salades et de fruits et légumes.

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Cela signifierait moins de risques d’ACV chez les personnes visées, voilà le constat proposé par cette nouvelle étude en provenance d’Espagne.

Après avoir analysé et suivi les dossiers de 7 000 hommes et femmes volontaires, les chercheurs de l’Université Tufts ont constaté que les sujets suivant un régime de type méditerranéen sont moins enclins à subir des accidents cardio-vasculaires, même lorsqu’ils sont génétiquement prédisposés à ce genre de problèmes.

« Se placer sous un régime méditerranéen réduit le nombre de crises cardiaques chez les gens possédants deux copies de la variante (prédisposition génétique). La nourriture qu’ils mangent semble éliminer toute hausse de susceptibilité à un ACV, les plaçant au même niveau que ceux qui n’ont pas de copies de la variante », explique le Dr José M. Ordovas, directeur des recherches.

L’alimentation méditerranéenne se compose principalement de noix, d’huiles végétales (d’olive, par exemple), de poisson, de vin, de salades et de fruits et légumes.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Des apports en poisson réduiraient les risques d’arthrite

Plusieurs bienfaits du poisson et des huiles de poisson ont maintes fois été démontrés, mais de récentes études ajoutent une nouvelle corde à leur arc.

Selon les renseignements rapportés par Medical News Today, des apports hebdomadaires en poisson (une portion de poisson gras par semaine, ou encore quatre de poisson maigre) permettraient de réduire de façon significative les risques de développer des problèmes d’arthrite.

C’est une étude publiée dans le magazine Annals of the Rheumatic Diseases qui soulève cette hypothèse, notamment en ce qui concerne l’arthrite rhumatoïde.

Réalisée par des chercheurs suédois basés à la Karolinska Institute, l’étude parle de risques réduits de l’ordre de 30 % à 50 % chez les personnes qui consomment régulièrement du poisson depuis une période d’environ 10 ans.

Ces conclusions se basent sur les observations effectuées auprès de 32 000 femmes de 2003 à 2010, des femmes qui avaient auparavant déjà participé à ce genre d’étude dans les années 1990. 

En ajoutant les habitudes alimentaires, notamment en matière de poisson, aux données précédemment obtenues, les chercheurs concluent à la véracité de la théorie. 

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Deux tasses de café pourraient réduire les risques de suicide de moitié

Le Daily Mail (UK) propose une étude initialement publiée par des chercheurs de Harvard, qui tend à démontrer que le café serait bel et bien un outil de taille dans la lutte à la dépression.

Plus encore, selon l’étude, de deux à quatre tasses de café par jour permettraient de réduire les risques de suicide de 50 %.

Cette quantité permettrait même une meilleure protection que le thé et le chocolat. Par contre, les chercheurs préviennent les consommateurs et les gens qui souffrent de dépression ou de trouble de l’humeur que de consommer du café ne constitue pas un remède ou une médication adéquate.

Il s’agit simplement d’un impact découlant de la consommation du café, un effet démontré clairement lorsque les chercheurs ont comparé les dossiers médicaux des amateurs de caféine à ceux qui n’en consomment que peu ou pas du tout.

Les données compilées recoupaient les dossiers de 200 000 hommes et femmes, ce qui s’avère suffisant pour parler d’une recherche exhaustive!

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Les statines pourraient réduire les risques de Parkinson

Les statines font l’objet de débats un peu partout dans le monde, et même au sein de la communauté scientifique. Malgré tout, elles sont reconnues comme un traitement efficace contre des taux de cholestérol trop élevés et sont prescrites abondamment afin de réduire les risques d’AVC.

Même si on ne connaît pas encore le fin mot de l’histoire, une nouvelle étude taïwanaise rapportée par The National Library of Medicine propose un nouvel avantage lié à l’utilisation des statines.

Selon les chercheurs de l’Université Nationale de Taiwan, les statines permettraient une réduction substantielle des risques de développer la maladie de Parkinson, une découverte étonnante et encourageante.

Les auteurs de l’étude croient que les statines solubles sont en mesure de traverser les barrières du cerveau et d’ainsi diminuer l’inflammation et les comportements qui influencent le développement du Parkinson.

« Nous sommes plus que surpris de démontrer cette relation. Notre analyse est observationnelle… et des essais cliniques plus poussés ciblant l’association entre l’utilisation des statines et la maladie de Parkinson sont encore nécessaires », explique en conclusion le Dr Jou-Wei Lin, auteur principal de l’étude.