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L’alimentation méditerranéenne aiderait à réduire l’obésité infantile

Ce sont les chercheurs de l’Université de Göteborg, en Suède, en collaboration avec d’autres spécialistes de l’Allemagne, l’Espagne, l’Italie, la Belgique, l’Estonie, Chypre et la Hongrie, qui ont constaté les bienfaits de ce type d’alimentation.

Le régime alimentaire méditerranéen pourrait réduire considérablement l’épidémie d’obésité pour les 188 pays qui, depuis 1980, sont incapables d’en stabiliser la croissance, informe Science World Report. Par conséquent, ce sont 2,1 milliards de personnes, soit environ 30 % de la population mondiale, qui sont en surpoids aujourd’hui.

Les chercheurs, menés par Dre Gianluca Tognon, ont demandé aux parents de lister 43 aliments que leurs enfants mangeaient. Une diète méditerranéenne est constituée principalement de légumes, fruits, noix, poissons et céréales, contrairement à d’autres qui sont basées sur les produits laitiers et la viande.

Les enfants qui suivaient ce type d’alimentation étaient 15 % moins à risque de développer un surpoids ou de l’obésité, en comparaison avec les enfants suivant des régimes alimentaires standards.

Tognon est convaincue que tous les pays qui n’adhèrent pas au type méditerranéen devraient revoir leur alimentation à titre préventif.

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Une étude importante pour réduire les décès à l’accouchement

L’étude, qui a été menée avec succès par Sohni Dean et Zulfigar Bhutta, de la Aga Khan University à Karachi, met en lumière des interventions à mettre en place et à déployer auprès des femmes enceintes de milieux défavorisés ou même de classe moyenne.

La partie n’est pas encore gagnée, mais les chercheurs ont fait un travail de moine pour déterminer les mesures à prendre pour réduire les décès liés à l’accouchement. Les résultats détaillés sont sur le site PLoS Medicine. Il s’agit de la plus importante étude sur les soins préventifs prénataux à ce jour.

La priorisation des éléments à considérer comme un danger potentiel de décès a fait l’objet d’un long débat pour en venir à un consensus. Désormais, il reste à éduquer les femmes sur les risques associés à une grossesse problématique. Pour ce faire, Dean et Bhutta ont recommandé d’intégrer ces nouvelles mesures de prise en charge à la formation de tous les travailleurs de la santé. Ce sont eux qui sont les mieux placés pour accompagner les futures mères.

Les recommandations visent la prévention, notamment en faisant la promotion de l’espacement des naissances, la diminution des grossesses chez les adolescentes et, bien évidemment, l’environnement sans fumée pour les futures mamans.

Joel Ray et ses collègues de l’hôpital St Michael à Toronto accueillent cette initiative avec enthousiasme. Ils reconnaissent le travail colossal qui a été fait pour déterminer avec justesse une méthode d’accompagnement préventive et espèrent que ces mesures seront rapidement mises en place.

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Un traitement expérimental pourrait réduire les dommages subis par le coeur

Un nouveau traitement fort prometteur est au stade expérimental à Montréal, une méthode qui pourrait réduire jusqu’à 20 % les dommages subis par le coeur à la suite d’un accident cardiovasculaire ou d’une angioplastie.

C’est dans notre cour que se produit cette avancée, puisque les travaux sont réalisés par une équipe de chercheurs de l’Université de Montréal, rapporte Santé Log.

Les chercheurs montréalais dévoilaient leurs conclusions dans un rapport présenté le 10 mars dernier, lors de la 62e édition de la réunion scientifique annuelle de l’American College of Cardiology (San Francisco).

« Ce médicament, l’inclacumab, pourrait bien devenir partie intégrante de l’arsenal thérapeutique de la cardiologie moderne si nous confirmons nos résultats dans les prochaines études », explique le Dr Jean-Claude Tardif, directeur au Centre de recherche de l’Institut de cardiologie de Montréal.

Il avance également que le traitement pourrait servir à une grande portion de patients, en prévention des maladies cardiaques et des ACV.

On attend donc avec impatience les prochaines conclusions du Dr Tardif et de son équipe.

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Cinq façons de réduire la douleur des bébés lors du vaccin

Selon Harvey Karp, il s’agirait simplement pour le parent d’envelopper le jeune enfant dans une couverture, de le tenir sur le côté, le plus près de son corps possible, et de le bercer doucement en produisant un son apaisant pour qu’il soit moins anxieux lors de la vaccination.

En fait, cette position plus confortable pour le petit imiterait les sensations qu’il ressentait dans le ventre de sa mère.

Les chercheurs du Children’s Hospital de Norfolk ont testé cette méthode sur quelque 230 enfants âgés de 2 à 4 ans divisés en quatre groupes.

Ceux dans le premier groupe ont dû boire de l’eau avant la vaccination, tandis que dans le deuxième, les enfants ont dû boire de l’eau sucrée qui apaiserait la douleur chez les enfants. Les deux groupes d’enfants étaient aussi distraits par leurs parents lors de l’injection.

Dans les deux autres groupes, les enfants recevaient aussi de l’eau avec et sans sucre, mais étaient réconfortés par leurs parents selon la méthode de Harvey Karp, les 5 S.

Les résultats ont prouvé l’efficacité de la technique du docteur Karp, puisque moins d’enfants ayant eu les 5 S et un simple verre d’eau ont pleuré, grimacé ou gémi durant l’intervention.

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Cinq façons de réduire la douleur des bébés lors du vaccin

Selon Harvey Karp, il s’agirait simplement pour le parent d’envelopper le jeune enfant dans une couverture, de le tenir sur le côté, le plus près de son corps possible, et de le bercer doucement en produisant un son apaisant pour qu’il soit moins anxieux lors de la vaccination.

En fait, cette position plus confortable pour le petit imiterait les sensations qu’il ressentait dans le ventre de sa mère.

Les chercheurs du Children’s Hospital de Norfolk ont testé cette méthode sur quelque 230 enfants âgés de 2 à 4 ans divisés en quatre groupes.

Ceux dans le premier groupe ont dû boire de l’eau avant la vaccination, tandis que dans le deuxième, les enfants ont dû boire de l’eau sucrée qui apaiserait la douleur chez les enfants. Les deux groupes d’enfants étaient aussi distraits par leurs parents lors de l’injection.

Dans les deux autres groupes, les enfants recevaient aussi de l’eau avec et sans sucre, mais étaient réconfortés par leurs parents selon la méthode de Harvey Karp, les 5 S.

Les résultats ont prouvé l’efficacité de la technique du docteur Karp, puisque moins d’enfants ayant eu les 5 S et un simple verre d’eau ont pleuré, grimacé ou gémi durant l’intervention.

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Manger moins de viande pour réduire les gaz à effet de serre

Une étude du Woods Hole Center, au Massachusetts, démontre que la consommation de viande devrait être coupée de 50 % par personne d’ici 2050.

Les experts estiment que la population mondiale augmentera de 2 milliards. Ainsi, la consommation et la production de viande monteront en flèche également.

Le fait de changer la façon dont les gens mangent peut avoir un effet considérable sur l’émission de gaz à effet de serre des ménages, selon le docteur, président et scientifique en chef du Woods Hole Center, Eric Davidson.

« S’il y a une demande grandissante en viande, ce qui est le cas, ça va finir par exiger une plus grande quantité de fertilisants contenant de l’azote et la production de plus de fumier, qui tous les deux engendreront des émissions involontaires de formes variées d’azote dans l’environnement, y compris les nitrates dans les nappes phréatiques et les eaux de surface ainsi que les gaz à effet de serre comme l’oxyde nitreux », dit le docteur Davidson.

En fait, l’oxyde nitreux reste dans l’atmosphère très longtemps, voire des centaines d’années, avant de se décomposer. Bien qu’il soit au troisième rang des gaz à effet serre, il s’agit du plus puissant.

Rappelons que les sources principales de ce type de gaz sont, justement, les engrais azotiques synthétiques et le fumier.

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Le lait de soya contre les bouffées de chaleur

C’est ce qu’une équipe de l’Université du Delaware a révélé après avoir analysé plus d’une quinzaine d’études sur le sujet.

Jusqu’à maintenant, aucune étude n’avait pu confirmer ou infirmer à elle seule l’efficacité du soya contre les bouffées de chaleur.

« Ce n’est qu’en combinant tous les résultats que nous avons trouvé l’effet global, qui est positif », a affirmé l’auteure de cette récente étude, Melissa Melby.

Sept onces de tofu auraient un effet similaire à celui du soya quant aux bouffées de chaleur. Cette quantité de tofu donne approximativement 50 grammes d’isoflavones, qui ont un effet bénéfique.

En outre, plus les femmes consomment cette quantité de soya longtemps, plus les bouffées de chaleur diminuent.

« Manger de la nourriture à base de soya ou prendre des suppléments dérivés du soya entier peut mieux fonctionner pour les femmes », a aussi ajouté Melissa Melby.

Rappelons que le soya a longtemps été utilisé afin d’atténuer les symptômes de la ménopause. On a d’ailleurs découvert ses propriétés contre la ménopause au Japon.

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Il est possible de réduire la douleur sans médicament

Le Psychological Science rapporte une nouvelle étude qui confirme qu’il est possible de réduire la douleur sans médicament.
 
Il a déjà été démontré que l’effet placebo était efficace. Cela consiste à remettre un médicament sans effet aux personnes en leur faisant croire qu’elles reçoivent un véritable remède. De plus, s’occuper l’esprit réduit aussi la douleur.
 
Les chercheurs voulaient donc savoir si les deux méthodes utilisaient les mêmes circuits cérébraux, car dans les deux cas, on a noté qu’une zone du cortex préfrontal était impliquée.
 
33 personnes ont participé à la recherche. Dans un premier temps, on a soumis leur peau à de la chaleur. Dans un deuxième temps, certaines personnes ont reçu une crème présentée comme un puissant analgésique, et d’autres ont eu une crème dite hydratante.
 
Certaines de ces personnes devaient également se soumettre à une tâche de mémorisation complexe. Ensuite, on a inversé les crèmes dans les groupes.
 
On constate qu’il y a réellement eu une diminution de la douleur avec l’effet placebo autant qu’avec une tâche intellectuelle, mais on confirme que les deux n’utilisent pas les mêmes circuits cérébraux, car ensemble, leurs effets s’additionnent et la douleur devient encore moins importante.
 
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Une nouvelle définition pour le diagnostic de l’autisme?

Selon des experts, la définition révisée du diagnostic pour l’autisme pourrait affecter de manière significative la proportion de personnes qui sont admissibles à un diagnostic de trouble du spectre autistique.

Des chercheurs ont constaté que sur un groupe d’enfants sans déficience intellectuelle qui avaient été évalués en 1994, la moitié environ pourrait ne pas bénéficier d’un diagnostic de l’autisme aujourd’hui, si la nouvelle définition proposée était en fonction.

Pour ce faire, il faudra poursuivre les études, établir et approuver davantage les nouveaux critères décrivant l’autisme.

En 2013, les modifications proposées à la définition du diagnostic pourraient être publiées dans la cinquième édition de l’American Psychiatric Association (APA) Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders (DSM-5).

Bien que les résultats soient encore préliminaires, les scientifiques tiennent à mentionner que leurs affirmations concernent uniquement les enfants qui ne sont pas atteints d’un handicap avancé ou grave.

Lors d’une réunion de l’Association islandaise des médecins, l’École de médecine de Yale a rendu publics les résultats des études de ses chercheurs. Leurs conclusions seront publiées dans l’édition imprimée d’avril du journal américain de l’Académie de pédopsychiatrie.