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Les épinards et les oeufs favoriseraient des réflexes plus rapides

Certains aliments peuvent-ils augmenter votre vitesse de réaction et vos réflexes?

Si l’on se fie aux informations rapportées par Science Daily, il semble que oui, à condition que ces aliments contiennent de la tyrosine. Cette dernière est un acide aminé compris dans la composition des protéines, notamment.

Les épinards et les œufs sont d’excellents exemples d’aliments renfermant de la tyrosine, semble-t-il, puisqu’ils sont cités en exemple dans cette étude en provenance des universités Leiden et d’Amsterdam.

Les chercheurs ont testé les bienfaits des aliments renfermant de la tyrosine sur un groupe de sujets, et ont rapidement décelé une amélioration des réflexes et du temps de réaction de ceux-ci dans certaines situations données.

Notamment, on avance que les personnes ayant consommé des œufs ou des épinards avant de prendre le volant auraient moins de chances de faire un accident, ou à tout le moins de réagir plus rapidement que les autres en situation d’accident potentiel.

Les résultats étonnants de cette étude ont été publiés dans le journal Neuropsychologia.

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Quand le stress ramène aux bonnes habitudes

Santé Log rapporte une nouvelle étude sur le stress qui dévoile des informations pertinentes concernant la gestion du stress et des habitudes qui en découlent.

On apprend que le fait d’être stressé ne mène pas toujours à de vilaines habitudes, mais parfois aussi à de bonnes. Encore faut-il en avoir déjà eu, explique notamment Wendy Bois, qui dirige l’étude en compagnie de David Neal.

Selon ces chercheurs, qui ont analysé les cas de plusieurs sujets au cours de cette étude, l’humain aurait tendance à se cacher derrière les habitudes du passé en situation accrue de stress.

Ainsi, quelqu’un qui a un passé de mauvaise alimentation pourrait se remettre à manger de façon malsaine, mais un ancien sportif pourrait tout aussi bien se remettre à la course…

Les chercheurs croient donc, en conclusion, que la meilleure arme en gestion de stress ne serait pas tant de tenter de contrôler cette émotion, mais plutôt de voir à ce que les habitudes adoptées soient bonnes pour la santé.

Lorsque vous êtes trop fatigué pour expérimenter de nouvelles méthodes, la prochaine situation stressante vous donnerait donc l’envie de reprendre d’anciennes habitudes. D’en adopter de nouvelles pourrait donc être bénéfique pour l’avenir!

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Les Québécois n’ont pas le réflexe oméga-3

Les Québécois sont réprimandés dans une nouvelle étude qui dévoile que ceux-ci ne mangent pas assez d’oméga-3, malgré toutes les campagnes vantant et rappelant leurs bienfaits sur la santé et l’organisme en général.

C’est dans le cadre du mois de la santé du cœur, en février, que différents spécialistes tiennent à faire ce rappel. Du lot, l’équipe d’Adrien Gagnon, le célèbre producteur de produits naturels, croit qu’il est important de rappeler aux Québécois que les oméga-3 peuvent améliorer grandement leur santé, et peut-être même leur sauver la vie…

Le constat québécois concernant les risques de maladies ou de problèmes cardiaques fait peur. En effet, on apprend que près de 9 Québécois sur 10 affichent des facteurs de risque cardiaque comme le tabagisme, l’inactivité physique, le surpoids, la haute tension ou encore des taux de mauvais cholestérol trop élevés.

Le résultat est qu’un décès sur trois (Canada) est causé par un problème cardiaque. On recommande donc de commencer l’activité physique et de mieux contrôler ce que l’on mange, mais aussi de veiller à consommer suffisamment de poisson (qui renferme ces fameux oméga-3).

Il est aussi possible de consommer des oméga-3 en suppléments, retrouvés un peu partout en magasin et en pharmacie.

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Mauvaise économie et nutrition ne font pas bon ménage

Il appert que nos habitudes alimentaires pourraient varier en fonction de la santé économique du pays où l’on se trouve, lance Top Santé.

Selon des spécialistes basés à Miami, en Floride, une économie nationale laborieuse et une période de crise seraient des facteurs qui mèneraient les citoyens à se tourner vers une alimentation moins saine et plus grasse.

Est-il possible de manger ses émotions de façon collective? C’est un peu ce que propose l’étude américaine. Pour étayer cette théorie, les chercheurs de la Miami School of Business ont étudié les comportements de plusieurs sujets, divisés en deux groupes.

Le premier groupe a été placé devant une version de chocolats (une marque bien connue) auxquels on prêtait un apport calorique plus élevé. Le deuxième groupe a quant à lui été placé devant les mêmes chocolats, mais en version allégée, affirmait-on. Bien sûr, tous les chocolats étaient en fait les mêmes.

On a ensuite soumis les deux groupes à une série d’images, certaines alarmistes et inquiétantes, et d’autres plus neutres, moins négatives.

Résultats : 70 % plus de bonbons caloriques ont été dévorés lorsque les sujets étaient placés devant les images agressives et négatives.

On expliquerait ce comportement, outre par le stress, par le besoin inconscient de « se faire des réserves » en période de crise.

Les conclusions de cette étude légère sont parues dans le magazine Psychological Science.