Des chercheurs israéliens ont testé les effets d’un régime peu calorique (1400 kcal/jour) sur un groupe de femmes considérées comme obèses et souffrant du syndrome métabolique sur une période de 12 semaines.
Un premier groupe consommait un plus grand apport en calories le matin, et l’autre groupe, le soir.
À noter que le syndrome métabolique décrit un ensemble de facteurs de risque pour plusieurs maladies graves telles que le diabète de type 2, les troubles cardiovasculaires et les AVC.
Les résultats de l’étude, publiés dans le magazine Obesity, ont indiqué que le groupe du matin avait perdu plus de poids et de tour de taille que le groupe de soir.
De plus, les triglycérides avaient affiché une baisse de 33,6 % chez les volontaires matinales, contre une hausse de 14,6 % pour les autres. La tolérance au glucose était aussi meilleure dans le premier groupe.
En conclusion, il est maintenant prouvé qu’il est préférable pour les gens obèses souffrant du syndrome métabolique de consommer une plus grande quantité de calories de leur régime amaigrissant au déjeuner et au diner plutôt qu’au souper.