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Un régime fort en glucides lié à la progression du cancer du côlon?

Les preuves ne sont plus à faire concernant le lien direct entre le style de vie et la progression de certaines maladies. Les études s’empilent à ce sujet, et en voici une toute récente qui trace cette fois un lien entre un régime à forte teneur en glucides et la progression du cancer du côlon.

Il appert, selon www.nlm.nih.gov, que les patients qui souffrent déjà de ce type de cancer ont plus de chances de voir la maladie progresser ou réapparaître s’ils suivent une diète forte en glucides.

La même chose se vérifierait chez les gens qui consomment plus de pain, de pommes de terre et de pâtisseries, affirment les chercheurs.

Le Dr Jeffrey Meyerhardt, de l’Institut Dana-Farber contre le cancer, explique : « Étant donné que ce lien est maintenant défini et qu’on peut considérer que plusieurs patients atteints du cancer du côlon qui suivent un régime fort en glucides après le diagnostic le faisaient aussi avant, nous ne pouvons exclure la possibilité que ce type de régime alimentaire augmente le risque de cancer ».

Des révélations-chocs qui ne semblent laisser place qu’à très peu de débats.

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Des gras de poisson qui aident à perdre du poids!

Il y a de quoi être stupéfait lorsqu’on lit que des aliments gras sont non seulement suggérés et conseillés, mais qu’ils peuvent aussi aider à perdre du poids!

C’est pourtant vrai dans le cas de plusieurs poissons, même en croquettes, rapporte topsante.com.

Plusieurs d’entre vous auront sans doute deviné que si l’on parle de poisson, on parle presque inévitablement d’oméga-3. C’est cette composante qui, alliée aux autres éléments, permettrait la « lipolyse », mot qui désigne l’action de fonte de graisses par l’organisme. On parle donc carrément d’aliment qui aide à maigrir, ici.

Plusieurs « bons » poissons sont cités, notamment le saumon, le hareng, les sardines et le flétan.

Vu la teneur élevée de ces aliments en iode, en protéines et en oméga-3, certains spécialistes n’hésitent pas à les conseiller, peu importe leur mode de cuisson ou leur format.

Par contre, on indique aux gens qui font congeler leurs poissons qu’ils ne doivent pas attendre trop longtemps avant de les consommer. Les bénéfices des oméga-3 seraient grandement diminués, alors que ceux-ci seraient coupés de 50 % après six mois de congélation.

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Perdre du poids pourrait améliorer le sommeil

La qualité du sommeil pourrait être augmentée lorsqu’on perd du poids, rapporte www.nlm.nih.gov. C’est une nouvelle étude qui fait ce constat, traçant un lien direct entre la perte de quelques kilos et l’amélioration du sommeil.

De plus, l’étude révèle également que la qualité des nuits peut aussi varier en fonction de la façon dont vous avez perdu ce poids.

Kerry Stewart, professeure de médecine à la Johns Hopkins University School of Medicine, confirme : « Nous avons découvert qu’une amélioration significative de la qualité du sommeil peut être observée lorsque des gens en surpoids réussissent à en perdre. La clé semble résider dans le fait de diminuer les gras, spécialement autour de la taille ».

L’étude comptait 77 patients en surpoids ou obèses, souffrant de diabète de type 2 ou en phase de prédiabète. Les participants ont été divisés en deux groupes, dont l’un suivait un régime et un programme d’exercice physique. Les autres n’ont fait que suivre le régime. Tous les patients devaient répondre à des questions concernant leur rythme de sommeil et sa qualité.

Après six mois, 55 participants demeuraient, et les deux groupes avaient perdu 15 livres chacun, en moyenne. Les résultats sont clairs : le sommeil est augmenté lors de la perte de poids, avec ou sans exercice.

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Une diète riche en protéines pour favoriser la perte de poids

Les gens qui consomment beaucoup de protéines lors de leurs repas et collations pourraient bien réussir à perdre quelques livres de plus que les autres, selon www.nlm.nih.gov.

Ces résultats proviennent d’une analyse de plusieurs études qui tendent à démontrer que sur une période de 12 semaines, ceux qui ont haussé leur consommation de protéines auraient perdu 1,8 livre de plus que ceux qui en mangeaient moins.

Tous les autres facteurs alimentaires devaient être similaires entre les groupes de gens étudiés, afin d’en venir à ces conclusions.

Ainsi, les protéines pourraient aider ceux qui aimeraient perdre quelques livres, raconte le Dr Thomas Wycherley, de l’Université d’Australie du Sud.

Il explique : « Les pertes de poids du groupe super-protéiné étaient supérieures, mais de façon modeste. Même à faible échelle, ceci peut tout de même signifier une importance clinique pour la population en général ».

Aucun changement n’a toutefois été observé en ce qui a trait aux taux de cholestérol ou de pression sanguine chez un groupe ou l’autre, précise l’étude.

Dr Wicherley émet l’hypothèse que le corps dépenserait peut-être plus de calories en brûlant des protéines que d’autres éléments.

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Le fast-food reçoit un autre blâme

Les chaînes de restauration rapide n’ont vraiment pas bonne presse depuis le tournant des années 2000, et les gens qui ignorent les effets néfastes de cette nourriture n’ont sûrement pas ouvert un journal depuis 12 ans.

Qu’à cela ne tienne, les chercheurs et spécialistes du monde entier s’entendent pour dire qu’on ne fera jamais assez de prévention en terme de nutrition, et spécialement pour prévenir les gens des dangers de la malbouffe.

Cette fois, c’est une équipe de l’Université de Montréal qui attaque le fast-food, en mettant en garde contre les méfaits immédiats de la malbouffe sur les artères. Ils ont comparé ce type de régime à une diète méditerranéenne, afin de confirmer la présence de différents types de gras, rapporte www.nlm.nih.gov.

Les conclusions confirment effectivement que la malbouffe renferme des gras saturés, nocifs, alors que les plats dits méditerranéens contiennent plutôt des gras polyinsaturés bénéfiques.

L’étude suivait 28 hommes non-fumeurs qui adoptaient d’abord un régime alimentaire santé. Puis, on leur a offert un repas de fast-food une semaine plus tard.

Ce seul repas a entrainé des dommages aux fonctions endothéliales, qui jouent un rôle dans la dilatation des vaisseaux sanguins. Ce système influence la possibilité de développer ultérieurement des problèmes cardiaques.

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Les Canadiens s’alimentent mal

Les habitudes alimentaires des citoyens du Canada sont pointées du doigt dans un rapport, selon lapresse.ca.

Ce dernier, intitulé Les adultes canadiens comblent-ils leurs besoins en nutriments uniquement grâce à l’alimentation?, publié par Santé Canada, tenait à déterminer si les Canadiens mangent suffisamment bien pour combler tous les besoins de leur organisme.

Et il semble que non, puisque les résultats placent le régime alimentaire canadien moyen au box des accusés. Manque de calcium, de magnésium, de vitamines A et D, bref, la liste des déficiences alimentaires au pays est longue.

Et ce serait vrai pour plus de la moitié des jeunes Canadiens (19 ans et moins) ainsi que pour 39 % des adultes.

Ainsi, si l’on se voit dans l’incapacité de suivre un régime alimentaire équilibré, on suggère aux citoyens de se doter de suppléments, après avis médical. Des tests permettent de déterminer les carences de l’organisme, qui varient selon l’individu.

Santé Canada urge les citoyens de consommer plus de produits laitiers, de poissons, de légumes, de fruits, de volailles et de fruits de mer.

Le rapport décrit une situation fort décevante pour un pays à l’avant-plan au niveau économique mondial.

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Du sommeil de qualité pour contrer l’obésité

Santelog.com rapporte une étude de l’Académie de Nutrition et de Diététique, qui affirme pouvoir faire une corrélation entre le manque de sommeil et la prise de poids substantielle.

Ainsi, lorsque vient le temps de construire un plan de match pour perdre des kilos en trop, il faudrait inclure le sommeil dans sa stratégie. Il est facile (et normal) de se concentrer sur son régime alimentaire et sur les exercices physiques, mais si on n’en dort plus la nuit, les effets seront plus limités, toujours selon l’étude.

Plusieurs recherches ont déjà démontré certaines corrélations entre le manque de sommeil partiel (moins de six heures par nuit), et il semble qu’elles avaient raison.

De fait, les gens dorment de moins en moins et gagnent du poids, un facteur souvent oublié par les praticiens et nutritionnistes, souligne la professeure Sharon Nickol-Richardsons, de l’Université de Pennsylvanie.

Son équipe a étudié d’autres recherches publiées entre 1996 et 2011 afin de faire la corrélation entre la privation de sommeil et son effet sur l’organisme.

Les chercheurs concluent qu’en plus de nuire au métabolisme, le manque de sommeil augmente l’appétit, ou l’impression d’avoir faim, deux facteurs qui ne favorisent en rien la perte ou la régulation de poids.

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Les effets de ne pas déjeuner sur le cerveau

Lorsqu’une personne est aux prises avec des problèmes de poids, il est facile pour elle de décider de ne plus manger du tout, ce qui est une très mauvaise idée.

C’est particulièrement vrai en ce qui a trait au petit déjeuner, selon ce qu’affirme une étude rapportée par Santelog.com.

Sauter le déjeuner aurait un impact puissant sur le bon fonctionnement du cerveau, expliquent les chercheurs qui dirigent l’étude.

Cette dernière, effectuée à l’Imperial College London et présentée devant la Society for Neuroscience lors de l’événement Neuroscience 2012, suggère que de ne pas déjeuner peut mener à de sérieux dérèglements de l’organisme.

De plus, on serait plus enclins à craquer pour de mauvais aliments, les gras surtout, plus tard dans la journée.

L’étude a été effectuée sur 22 personnes, 17 hommes et 5 femmes d’environ 24 ans. On numérisait les réponses cérébrales lors de différentes situations, soit avec un petit déjeuner ou sans. L’exercice a été répété à plusieurs reprises.

Les chercheurs concluent qu’une personne qui ne déjeune pas va consommer en moyenne 20 % de calories de trop quotidiennement, en plus de choisir les mauvais aliments.

Il serait donc plus facile, pour les gens qui se soucient de leur poids, de surveiller leur silhouette en déjeunant simplement.

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Un bon régime et l’exercice pour hausser son « bon cholestérol »

Les bénéfices d’un changement de style de vie vont au-delà de la simple perte de poids, affirment des experts. C’est ce que rapporte www.nlm.nih.gov, dans une étude qui parle entre autres de patients souffrants de diabète et aux prises avec des problèmes de poids.

Les chercheurs ont constaté que les patients qui appliquaient un nouveau style de vie, c’est-à-dire en mangeant mieux et en faisant de l’exercice régulièrement, perdaient non seulement du poids, mais favorisaient la création d’une hormone que l’on croit responsable de la production de « bon cholestérol ».

L’étude, publiée par l’hôpital méthodiste de Houston, comprend des statistiques recueillies sur deux groupes de patients. L’un était pris en charge radicalement, avec des programmes intensifs d’exercices et d’alimentation, alors que l’autre groupe n’était suivi que psychologiquement.

Après un an, le groupe pris en charge complètement montrait des taux de sucre dans le sang corrects, et des niveaux de gras et de tissus adipeux beaucoup moins élevés. Les taux de mauvais cholestérol n’ont pas changé significativement, mais c’est le LDL (bon cholestérol), et le taux d’apiponectine (hormone) qui ont réjoui les spécialistes. On parle de 12 % d’amélioration, ce qui est significatif.

Au final, c’est tout le cœur qui se voit grand gagnant de cette progression, ce qui signifie une espérance de vie plus grande pour les patients qui décideraient d’opter pour un tel changement.

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La vérité sur les boissons énergétiques

Dire que les boissons énergétiques sont populaires de nos jours serait en dessous de la vérité. En fait, elles sont omniprésentes partout, reléguant le bon vieux café au rang de « vieille méthode » pour se ragaillardir.

Beaucoup de gens, encore plus vrai chez les jeunes, boivent régulièrement des boissons énergétiques comme Red Bull, Guru et autres sur le marché. Elles font maintenant partie du régime alimentaire de beaucoup de citoyens, et elles comprendraient leurs lots de dangers, si l’on en croit les propos entendus un peu partout.

Pour savoir à quoi s’en tenir, Conseilsnutrition.tv s’est penché sur la question et suggère d’abord, bien sûr, la modération. On parle d’une à deux consommations de ces boissons par jour, pour éviter tout problème.

Il est donc vrai que ces boissons sont puissantes, caloriques et peuvent entraîner des problèmes à long terme. Les jeunes sont également à risque de développer des problèmes de palpitations cardiaques, étant donné qu’ils sont moins habitués de boire du café, par exemple, au contraire des adultes.

Une boisson pour se réveiller une fois de temps en temps ne causerait aucun problème, mais l’ajouter à son régime alimentaire quotidien est une autre affaire. Encore une fois, on devrait privilégier l’eau, sans calorie et excellente pour l’organisme.