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La collation du matin nuit au régime

Les femmes qui suivent un régime pour perdre du poids en perdent moins si elles prennent une collation en milieu de matinée.
 
Une étude parue dans le Journal of the American Dietetic Association mentionne que si vous succombez à une collation en matinée, la perte de poids sera d’environ 7 %, comparativement à 11 % sans collation.
 
Selon les chercheurs du Fred Hutchinson Cancer Research Center, si la faim se fait sentir entre les repas, la collation n’est pas à proscrire, mais vous pouvez opter pour des yogourts allégés, des noix, des fruits, des barres de grains entiers, et pour boire, de l’eau simplement.
 
« Grignoter en milieu de matinée est le reflet d’un moment de détente ou d’une habitude alimentaire plutôt que d’un besoin de satisfaire sa faim. Alors que le grignotage juste avant l’un des repas principaux peut être préjudiciable à la perte de poids, attendre trop longtemps entre les repas peut également saboter les efforts d’un régime alimentaire », mentionne la Dre Anne McTierman.
 
« Beaucoup de femmes pensent qu’un programme de perte de poids demande forcément la sensation de faim. Notre étude suggère que le grignotage peut réellement aider à perdre du poids s’il n’est pas trop près d’un autre repas, en particulier si les collations sont des aliments sains qui peuvent aider à se sentir rassasié, sans un apport trop important de calories », ajoute-t-elle.
 
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Le poulet et les oeufs pour protéger le cerveau

Des chercheurs de l’Université de Boston ont découvert qu’un régime riche en choline serait très bénéfique pour le cerveau, offrant une protection contre le vieillissement et la démence.
 
La choline est un nutriment de la famille des vitamines B, et on en retrouve notamment dans le poulet, les œufs ou les poissons d’eau salée, de même que dans les légumineuses comme les haricots rouges.
 
Selon les tests effectués auprès de volontaires, ceux ayant un régime riche en choline avaient de meilleurs résultats à des tests de mémoire et étaient moins susceptibles de développer une forme de démence.
 
Mais attention, on ne parle pas ici de remède miracle contre la démence. Selon les experts, le message est plutôt qu’une alimentation saine et équilibrée peut aider à protéger le cerveau des effets du vieillissement.
 
Le Daily Mail rappelle également que le régime méditerranéen, surtout composé de poissons, de légumes et d’huile d’olive, avait également été reconnu pour ses effets protecteurs sur le cerveau.
 
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Les régimes et l’exercice ne suffisent pas toujours

Après avoir suivi 50 personnes mises au régime pendant 10 semaines, des chercheurs constatent qu’une fois le poids souhaité atteint, il y a un changement au niveau des hormones. C’est surtout le cas pour celle qui régule l’appétit, alors que l’augmentation de cette dernière conduit à une reprise du poids.
 
L’étude, menée en Australie et publiée dans le New England Journal of Meidicine, démontre bien pourquoi il est si difficile de perdre du poids.
 
« Notre étude fournit des indices permettant de comprendre pourquoi les personnes obèses qui perdent du poids ont souvent tendance à en reprendre. Cette rechute est souvent physiologique et n’est pas uniquement due au retour à d’anciennes habitudes », explique le coauteur Joseph Proietto.
 
« L’étude explique aussi que le problème de la faim suivant une perte de poids doit être traité. Cela pourrait être possible grâce à une prise de médicaments sur le long terme ou à une manipulation hormonale, mais nous devons effectuer des recherches sur ces possibilités », ajoute-t-il.
 
Il est donc crucial de cibler les bonnes habitudes dès l’enfance, mais le plus important consiste à tenir compte des dérèglements hormonaux lors d’une stratégie de perte de poids.
 
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Weight Watchers, meilleur que les suivis médicaux

Une nouvelle étude confirme des données dévoilées précédemment concernant les programmes commerciaux de perte de poids de style Weight Watchers.
 
Ce type de programme est plus efficace pour une perte de poids durable que les suivis médicaux, indique le British Medical Journal.
 
Les chercheurs croient que le meilleur investissement consisterait à encourager les gens à suivre les programmes commerciaux et assister aux rencontres de soutien.
 
740 obèses ou personnes en surpoids ont été recrutés pour l’étude. Ceux qui avaient suivi les programmes comme Weight Watchers avaient eu une perte de poids plus significative.
 
Après un an, seul le programme Weight Watchers marquait les chutes de poids les plus importantes,et le plus grand nombre de participants qui avaient continué d’assister aux rencontres.
 
Toutefois, d’autres spécialistes ajoutent que la meilleure façon de perdre du poids est de choisir la méthode qui nous convient et qui est la bonne pour nous, peu importe laquelle.
 
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Ne commencez pas votre régime un mardi

Une étude parue dans le Daily Mail avance que le mardi est la pire journée de la semaine pour entamer une diète.
 
Les raisons n’en sont pas clairement définies, mais selon les observations des chercheurs, les femmes qui commencent leur régime un mardi perdent plus souvent leur motivation au cours de la semaine et n’atteignent pas leur but. De plus, elles prendraient plus de poids qu’elles n’en perdraient.
 
Apparemment, celles qui amorcent leur régime le dimanche ou le lundi sont plus susceptibles de parvenir à leurs fins. En moyenne, les participantes à l’étude qui avaient entamé leur diète le dimanche ou le lundi avaient perdu 8 livres en trois semaines, et 88 % avaient réussi à maintenir leur nouveau poids par la suite.
 
Changer ses habitudes alimentaires est difficile, peu importe le jour de la semaine. Le vendredi serait le jour le plus critique, car plusieurs succombent après une semaine stressante de travail.
 
Les femmes suivent en moyenne trois régimes par année. Avec la conciliation travail-famille, elles ont réellement besoin d’une bonne préparation mentale et physique avant d’entreprendre un régime, afin qu’elles puissent réellement atteindre leurs objectifs.
 
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Les femmes actives sont ménopausées plus tôt

Une étude japonaise dévoilée dans la revue Menopause mentionne que les femmes qui font beaucoup d’exercices et qui suivent un régime bon pour le cœur sont généralement ménopausées plus tôt.
 
Après avoir suivi 3100 femmes pendant dix ans, les chercheurs ont constaté que celles qui faisaient de huit à dix heures d’exercices par semaine étaient 17 % plus susceptibles d’avoir leur ménopause plus tôt que leurs congénères sédentaires.
 
De plus, celles qui consommaient des graisses polyinsaturées, que l’on retrouve dans les poissons et les huiles végétales, étaient 15 % plus à risque de vivre la même chose.
 
Durant la ménopause, les ovaires des femmes cessent de produire des ovules, et l’exposition à l’œstrogène est nettement réduite. L’œstrogène a tendance à favoriser l’apparition du cancer du sein, donc une ménopause précoce est liée à un risque moindre de cancer du sein pour la femme.
 
Cependant, une ménopause à un jeune âge est également liée à un risque accru de maladies cardiaques et d’ostéoporose. Les spécialistes affirment tout de même que les avantages l’emportent sur les inconvénients.
 
Généralement, la ménopause débute entre 41 et 55 ans.

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Perte de poids, maladie épidémique

Après les Américains, ce sont les Européens qui prennent le taureau par les cornes pour cesser la progression inquiétante du taux d’obésité, surtout chez les enfants. Selon Doctissimo.fr, le gouvernement et la Haute Autorité de santé en France (HAS) concertent leurs efforts pour sensibiliser et conscientiser les gens à une rééducation complète de leurs habitudes alimentaires.

L’obésité est désormais considérée comme une maladie épidémique, et ce, mondialement. En un peu plus d’une décennie en France, on compte une augmentation de plus de 70 % des cas d’obésités. La HAS a publié pour la première fois un guide pratique, accessible à la population, contenant non seulement des indications pour la perte de poids, mais aussi les coordonnées de spécialistes et médecins pouvant prendre en charge les cas de surpoids et d’obésité.

Le Dr Cédric Grouchka, membre du Collège de la HAS, rappelle l’importance du dépistage d’un surpoids ou d’une obésité future, surtout chez l’enfant. L’adage « mieux vaut prévenir que guérir » prend, selon lui, toute son importance lorsqu’il s’agit de perte de poids.

En effet, on connaît désormais les effets néfastes de régimes répétitifs et inappropriés sur la santé, tout autant que la prise de divers médicaments ou produits naturels réputés pour être miraculeux. Il s’agit donc ici d’une prise en charge complète par les spécialistes et les médecins, afin d’appliquer un régime alimentaire permanent et non temporaire.

Le Dr Grouchka insiste : « Il faut mettre l’accent sur l’éducation thérapeutique du patient diagnostiqué, de manière à lui transmettre un savoir suffisant pour qu’il comprenne sa maladie et ce qu’on lui demande d’atteindre comme objectif ».

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Les régimes à répétition ne sont pas recommandés

C’est connu, de nombreux régimes alimentaires ne sont pas bons pour la santé et bien que l’on préconise un poids santé avec une saine alimentation et des exercices physiques, des chercheurs canadiens viennent de dévoiler une étude des plus surprenantes.

Il est possible d’être gros et en santé. Même que cela serait préférable aux continuels régimes qui résultent souvent en un échec.

Selon le journal Applied Physiology, Nutrition and Metabolism, les chercheurs ont étudié 6 000 Américains obèses pendant 16 ans. Selon l’équipe de l’Université York au Canada, il ne serait pas toujours judicieux de se mettre au régime.

« Il est possible qu’essayer – et échouer – de perdre du poids soit plus dommageable que de rester à un poids élevé en ayant un rythme de vie sain, incluant de l’activité physique et un régime alimentaire équilibré, riche en fruits et légumes », expliquent les chercheurs.

On a comparé le taux de mortalité des 6 000 obèses à celui de personnes minces. Les résultats on prouvé que ceux qui avaient des problèmes somme toute mineurs liés à leur poids, comme le diabète ou l’hypertension, n’avaient pas un taux plus élevé de décès.

« Les gens doivent se rendre compte que les personnes ayant un poids normal peuvent elles aussi souffrir de diabète, d’hypertension et d’autres problèmes cardiovasculaires », ajoute le Dr Jennifer Kuk.

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Les régimes peuvent rendre votre cerveau cannibal

Bien souvent les personnes au régime peuvent avoir des moments où elles ont tellement faim qu’elles se mangeraient un bras, mais apparemment leur cerveau ressent la même chose.
 
Selon une étude parue dans le Cell Metabolism, quand on est affamé, les cellules du cerveau commencent réellement à se manger entre elles. C’est ce qu’on appelle l’autophagie.
 
C’est ce qui expliquerait pourquoi il y a tant d’échecs avec les diètes, surtout celles qui sont drastiques. Se passer de nourriture pourrait rendre plus avide que jamais.
 
Le manque de nourriture déclenche l’autophagie dans les cellules qui contrôlent l’appétit, ce qui provoque une libération des graisses et augmente une substance chimique qui stimule l’appétit.
 
Donc, vous devenez de plus en plus affamé car les cellules qui se nourrissent en elles finissent par stimuler davantage votre appétit. Résultat, bien souvent les régimes seront abandonnés car ils sont trop contraignants.
 
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Les croustilles sans gras font grossir

Alors que croustilles sans gras seraient créées pour aider les consommateurs à perdre du poids, elles produiraient l’effet contraire, selon une étude dévoilée dans le Behaviral Neuroscience.
 
Les travaux effectués sur des rats montrent que les croustilles sans gras font prendre plus de poids, surtout si le régime alimentaire est déjà riche en matières grasses.
 
Une trentaine de rats ont été étudiés. Un groupe avait une alimentation riche en gras et les rongeurs recevaient des croustilles ordinaires ou faibles en gras. Un autre groupe avait les deux sortes de croustilles également, mais avec une alimentation faible en graisses.
 
Après 28 jours, on observe que les rats avec un régime riche en gras qui avaient mangé les croustilles légères avaient pris plus de poids et développé plus de tissus adipeux que ceux ayant eu les croustilles ordinaires.
 
Par contre, chez le groupe avec une alimentation faible en gras, on ne note aucun effet marqué, même si une plus grande prise de poids, légère cependant, a été noté chez les rats qui avaient consommé les croustilles faibles en gras.

Tout comme les édulcorants pour remplacer le sucre, on croit que les substituts de gras empêchent l’organisme de bien gérer la prise alimentaire et d’utiliser les calories efficacement, ce qui conduit inévitablement à une prise de poids.