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Le régime à base de champignons, nouvelle lubie hollywoodienne

Les amateurs de champignons apprécieront la nouvelle tendance régime qui sévit chez les stars : le M-Plan (M comme mushroom). Kelly Osbourne et Katy Perry en seraient folles. Le principe : remplacer l’un des repas, déjeuner ou dîner, par un plat principalement composé de champignons pendant 14 jours.

Le régime permettrait de cibler certaines zones à problèmes comme les hanches, les cuisses et les bras sans que cela entraîne une diminution de la taille de la poitrine.

Il va sans dire que les spécialistes demeurent sceptiques. « Il s’agit simplement d’un régime basses calories », explique la diététicienne new-yorkaise Tanya Zuckerbrot à ABC News.

Elle poursuit : « Vous perdrez du poids, certes, mais aucun aliment ne permet d’amincir une zone particulière du corps. Champignon ou steak, ce sont les lois de la thermodynamique qui prévalent. En consommant moins de calories, on perdra du poids, mais les seins ne seront pas épargnés ».

Toutefois, il ne s’agit pas là du pire des régimes. « Le champignon est un aliment fabuleux. 100 g de champignons ne représentent que 25 calories et 2 grammes de fibres. Sans compter que dans 100 g de champignons, on trouve plus de potassium que dans une banane ou un verre de jus d’orange », rappelle Zuckerbrot.

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L’alimentation au service de la procréation chez l’homme

Voici une étude qui s’adresse aux hommes, et plus particulièrement à ceux qui sont concernés par la question de la paternité.

Selon le Daily Mail (UK), bien manger n’aurait pas qu’une incidence sur la bonne santé, mais aussi sur la capacité à procréer chez l’homme.

En effet, selon cette plus récente étude californienne sur le sujet, les hommes qui mangent mieux que la moyenne ou qui décident de changer leur alimentation en prenant de l’âge ont plus de chances de conserver leur capacité à se reproduire.

On vante particulièrement les noix, les fruits et légumes, et les poissons, notamment, qui procurent de forts apports en vitamines C et E, ainsi qu’en zinc.

Les spécialistes, dirigés par le professeur Simon Fishel, croient que les hommes qui ont du mal à réaliser leur rêve de faire un enfant devraient d’abord se tourner vers leur alimentation.

« Ce que l’on mange peut avoir une incidence positive ou dommageable. Les composantes associées à l’œstrogène qui passent dans la chaîne alimentaire, par exemple par la viande, peuvent avoir un effet dommageable sur le développement du sperme », résume le professeur Fishel.

i une étude qui s’adresse aux hommes, et plus particulièrement à ceux qui sont concernés par la question de la paternité.

Selon le Daily Mail (UK), bien manger n’aurait pas qu’une incidence sur la bonne santé, mais aussi sur la capacité à procréer chez l’homme.

En effet, selon cette plus récente étude californienne sur le sujet, les hommes qui mangent mieux que la moyenne ou qui décident de changer leur alimentation en prenant de l’âge ont plus de chances de conserver leur capacité à se reproduire.

On vante particulièrement les noix, les fruits et légumes, et les poissons, notamment, qui procurent de forts apports en vitamines C et E, ainsi qu’en zinc.

Les spécialistes, dirigés par le professeur Simon Fishel, croient que les hommes qui ont du mal à réaliser leur rêve de faire un enfant devraient d’abord se tourner vers leur alimentation.

« Ce que l’on mange peut avoir une incidence positive ou dommageable. Les composantes associées à l’œstrogène qui passent dans la chaîne alimentaire, par exemple par la viande, peuvent avoir un effet dommageable sur le développement du sperme », résume le professeur Fishel.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Le régime méditerranéen aurait un véritable impact proactif sur la santé cardiaque

Selon des conclusions rapportées par Science Daily, le fameux régime méditerranéen serait bon pour la santé non seulement pour les raisons que l’on connaît, mais aussi parce qu’il agirait de façon proactive contre certaines maladies cardio-vasculaires.

Cela signifierait moins de risques d’ACV chez les personnes visées, voilà le constat proposé par cette nouvelle étude en provenance d’Espagne.

Après avoir analysé et suivi les dossiers de 7 000 hommes et femmes volontaires, les chercheurs de l’Université Tufts ont constaté que les sujets suivant un régime de type méditerranéen sont moins enclins à subir des accidents cardio-vasculaires, même lorsqu’ils sont génétiquement prédisposés à ce genre de problèmes.

« Se placer sous un régime méditerranéen réduit le nombre de crises cardiaques chez les gens possédants deux copies de la variante (prédisposition génétique). La nourriture qu’ils mangent semble éliminer toute hausse de susceptibilité à un ACV, les plaçant au même niveau que ceux qui n’ont pas de copies de la variante », explique le Dr José M. Ordovas, directeur des recherches.

L’alimentation méditerranéenne se compose principalement de noix, d’huiles végétales (d’olive, par exemple), de poisson, de vin, de salades et de fruits et légumes.

n des conclusions rapportées par Science Daily, le fameux régime méditerranéen serait bon pour la santé non seulement pour les raisons que l’on connaît, mais aussi parce qu’il agirait de façon proactive contre certaines maladies cardio-vasculaires.

Cela signifierait moins de risques d’ACV chez les personnes visées, voilà le constat proposé par cette nouvelle étude en provenance d’Espagne.

Après avoir analysé et suivi les dossiers de 7 000 hommes et femmes volontaires, les chercheurs de l’Université Tufts ont constaté que les sujets suivant un régime de type méditerranéen sont moins enclins à subir des accidents cardio-vasculaires, même lorsqu’ils sont génétiquement prédisposés à ce genre de problèmes.

« Se placer sous un régime méditerranéen réduit le nombre de crises cardiaques chez les gens possédants deux copies de la variante (prédisposition génétique). La nourriture qu’ils mangent semble éliminer toute hausse de susceptibilité à un ACV, les plaçant au même niveau que ceux qui n’ont pas de copies de la variante », explique le Dr José M. Ordovas, directeur des recherches.

L’alimentation méditerranéenne se compose principalement de noix, d’huiles végétales (d’olive, par exemple), de poisson, de vin, de salades et de fruits et légumes.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Les bienfaits d’un gros déjeuner

Des chercheurs confirment qu’il est bénéfique de manger de gros déjeuners. Seulement, on découvre maintenant qu’il y aurait encore plus de côtés positifs à le faire.

En effet, selon ce que rapporte la revue médicale Obesity, bien manger est essentiel, mais la période de la journée à laquelle vous mangez est aussi très importante.

Au cours de l’étude menée par la professeure Daniela Jakubowicz de l’Université de Tel-Aviv et ses collègues, il a été conclu qu’en mangeant la plus grande quantité de calories au déjeuner, l’hormone responsable de l’appétit était moins active le restant de la journée et réduisait notamment les envies de grignoter.

Au contraire, si le repas le plus calorique est consommé plus tard en journée, le taux de gras s’élèvera de façon significative et augmentera de beaucoup le taux d’insuline, de glucose et de triglycérides.

Jakubowicz commente aussi les résultats en rappelant que les collations du soir devant l’ordinateur ou la télévision collaborent au développement de l’obésité et donc de plusieurs autres problèmes de santé comme la haute pression, les troubles cardiovasculaires et les débalancements aigus de glucose, qui sont particulièrement dangereux chez les diabétiques.

En mangeant beaucoup au déjeuner, vous pourriez ainsi aider votre organisme à contrer toutes ces graves conséquences sur votre santé globale.

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Les enfants obèses consomment beaucoup plus de calories que prévu

Des chercheurs ont établi un nouveau calcul mathématique tenant compte des besoins énergétiques réels, selon des facteurs tels que le sexe, l’âge, la croissance et l’activité physique. Les résultats ont été publiés dans The Lancet Diabetes & Endocrinology.

En réalité, auparavant, le modèle suivi était le même pour le jeune enfant que l’adolescent en pleine croissance, peu importe le sexe. Or, les garçons, lors de la puberté, brûlent plus de calories que les filles, notamment à cause du développement musculaire. Ainsi, l’apport calorique représentant une prise de poids est désormais ajusté et plus important chez les garçons que chez les filles.

D’autre part, cette nouvelle équation prouve qu’il ne s’agit pas uniquement de faire de l’exercice pour faire perdre du poids à nos enfants. Ils doivent également revoir les calories ingérées pour s’assurer une perte de poids efficace, d’autant plus que l’on doit considérer les périodes de croissance rapide.

Ainsi, comme l’indique Hall, l’auteur de la recherche, « un enfant qui n’a pas encore perdu son “gras de bébé” avant la puberté sera à l’étape idéale pour entreprendre un nouveau régime alimentaire plus équilibré. Il sera ainsi à même de transformer ce poids en masse musculaire équilibrée ».

Le Dr David Katz, directeur du Yale Prevention Research Center, fait également l’éloge de ce nouveau modèle nutritionnel. Anciennement, l’échelle indiquait qu’un enfant de 5 ans ayant accumulé un surpoids de 22 livres à 10 ans avait consommé 40 calories de trop quotidiennement pour en arriver à ce résultat. La nouvelle formule constate qu’il s’agit plutôt de près de 400 calories par jour. Un résultat beaucoup plus représentatif.

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L’insécurité alimentaire liée aux troubles de comportement

Une longue étude menée par les chercheurs de l’INSERM a démontré un lien plutôt direct entre la précarité alimentaire et certains problèmes comme la dépression, la difficulté de concentration, l’anxiété et l’hyperactivité chez l’enfant.

À noter que l’INSERM qualifie la précarité alimentaire d’« accès restreint, inadéquat ou incertain à des aliments sains et nutritifs » causé par « des difficultés financières ».

Malheureusement, ce serait plus de 10 % des Occidentaux qui seraient dans cette situation, ce qui est plutôt alarmant.

Pour l’étude, ce sont les données de 2120 enfants québécois qui ont été analysées en deux étapes. D’abord entre 18 mois et 4 ans et demi, puis à l’âge de 4 à 8 ans. Les enfants ayant vécu cette insécurité comptaient pour 5,9 % du groupe.

Le constat est que ces jeunes étaient 3 fois plus enclins à souffrir des troubles mentionnés plus haut. Les enfants se retrouvent souvent à consommer trop de sucre et de matières grasses, en plus d’une ration insuffisante de fer, entre autres.

Dans le rapport publié par la revue scientifique Plos One, il est mentionné : « L’incapacité des parents à s’occuper de façon régulière et satisfaisante de l’alimentation de la famille pourrait fragiliser le lien parents-enfants dans la petite enfance, avec des effets sur le développement des enfants à long terme ».

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Perte de poids : le truc le plus efficace serait d’éviter la tentation

Il existe une panoplie de trucs et de produits sur le marché qui prétendent ou contribuent à une perte de poids, mais il n’en demeure pas moins que les principaux outils pour y parvenir sont déjà entre les mains des patients et des consommateurs.

On peut penser à la volonté, la discipline et la motivation, par exemple, tous des facteurs qui influenceront une perte ou une stabilisation du poids.

Selon des chercheurs de l’Université Cambridge, dont les propos sont rapportés par le Daily Mail (UK), le meilleur de ces outils demeure de résister à la tentation… en la supprimant.

Ainsi, explique la Dre Molly Crockett, couper l’accès aux tentations fonctionne à bien des égards, par exemple en bloquant l’accès au web lorsqu’on travaille pour éviter d’être déconcentré. Même chose, donc, pour les gens qui souhaitent perdre des kilos, et qui devraient par conséquent s’abstenir de toutes sources de tentations.

L’exemple simpliste mais efficace apporté par Crockett est le suivant : au lieu de tenter de résister à la boîte de biscuits, pourquoi ne pas simplement arrêter d’en acheter!

Les études et tests effectués pour étayer la théorie ont démontré qu’en effet, prévenir la tentation par des outils et des moyens concrets et directs permet d’atteindre ses buts plus facilement. Cependant, la volonté joue et jouera toujours un rôle primordial dans le succès de l’opération.

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Vivez plus longtemps avec des fruits et légumes

Une étude suédoise publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition fait le point sur l’importance de consommer l’apport quotidien recommandé de fruits et légumes, soit 5 portions.

Y manquer pourrait vous faire souffrir de carence et écouter votre vie, selon les chercheurs. Les résultats sont basés sur des données recueillies auprès de plus de 71 000 participants âgés de 45 à 83, et ce, sur une période de 13 ans.

L’équipe d’Alicja Wolk, qui a travaillé sur la recherche à l’Institut Karolinska à Stockholm, a constaté que les personnes qui ont déclaré ne pas manger de fruits ou de légumes au début de l’étude étaient 53 % plus susceptibles de mourir au cours de la période de suivi que celles qui consommaient leurs cinq portions quotidiennes.

Aussi, les femmes auraient tendance à en consommer plus que les hommes.

Wolk a aussi souligné que les gens mangeant moins de fruits et légumes étaient plus susceptibles de fumer et avaient tendance à être moins instruits. Leur diète était plutôt constituée de viande rouge, de produits laitiers riches en matières grasses, de bonbons et de collations.

L’étude ne peut cependant pas prouver que les fruits et légumes allongent la durée de vie.

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Le chia : un super grain

Loin d’être nouveau, le chia était déjà très populaire auprès de certaines grandes civilisations anciennes comme les Aztèques, qui avaient l’habitude de l’utiliser à des fins alimentaires et médicinales, en plus d’en donner en offrande à leurs dieux.

Avec ses propriétés antioxydantes et son apport en oméga-3, en fibres et en protéines, ce n’est pas surprenant que ce grain connaisse de plus en plus de popularité un peu partout.

Sur le site Telegraph.co.uk, Ian Marber, un expert nutritionniste, explique ce qui fait que vous devriez considérer d’ajouter cette plante herbacée à votre régime.

Originaire du sud du Mexique et du Guatemala, il est maintenant surtout cultivé en Australie. En plus de ceux déjà nommés, les autres avantages du chia sont qu’il offre aussi une bonne source de potassium, de magnésium et de calcium.

Étant si complète, la graine de chia, aussi proposée sous forme d’huile, est idéale pour les végétariens, alors qu’ils doivent fournir un petit effort supplémentaire pour s’assurer d’avoir tout ce dont ils ont besoin du côté nutritif.

À cause de son goût plutôt amer et terreux, le chia est habituellement utilisé en sauce, dans les smoothies, les soupes et dans de nombreuses recettes plutôt que tel quel.

Pour en apprendre plus, vous pouvez consulter le site de Ian Marber.

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Les habitudes alimentaires seraient influencées par les opinions sur l’obésité

Une nouvelle étude vient tracer un lien pour la toute première fois entre ce que les gens pensent de l’obésité et des raisons qui provoquent un gain de poids, et leur poids actuel.

En clair, selon The National Library of Medicine, les opinions et les idées préconçues sur l’obésité et le surpoids influenceraient les habitudes alimentaires de la plupart des consommateurs.

Des chercheurs ont mis sur pied un vaste sondage impliquant des répondants de partout dans le monde. Ils ont rapidement découvert qu’un fort pourcentage de ceux-ci associaient la prise de poids à une mauvaise alimentation ou à l’absence d’activité physique, mais rarement aux deux en même temps.

L’ADN et le bagage génétique semblent aussi des raisons complètement oubliées.

Ainsi, les répondants qui croient que le manque d’exercice physique est uniquement à blâmer pour le surpoids auraient tendance à manger plus, notamment de chocolat!

Par contre, ceux qui accusent la mauvaise alimentation afficheraient, quant à eux, une masse corporelle moins importante que les autres.

Ces derniers n’ont cependant pas plus raison que les autres répondants, le gain de poids s’expliquant très souvent par les deux facteurs combinés, et non pas un seul.

Les auteurs de l’étude croient qu’il s’agit de la preuve qu’une meilleure sensibilisation et information de la population est possible dans le dossier.