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Un rapport rappelle l’importance des fibres pour l’organisme

Les fibres sont assurément les alliées des consommateurs, rapporte Santé Log, alors qu’un rapport sur le sujet est publié par Tate & Lyle, une firme alimentaire.

Attention, cette compagnie œuvre notamment dans le domaine de la distribution de produits alimentaires et de fibres, mais le rapport semble s’appuyer sur des études réelles et concrètes.

De toute façon, il n’existe pas réellement de controverse ou de polémique entourant les fibres, et les bienfaits de celles-ci sont unanimement reconnus par les spécialistes en nutrition de partout dans le monde.

Donc, on rapporte qu’outre les apports nutritifs essentiels offerts par les fibres, comme le calcium, celles-ci permettent également une meilleure satiété. Cela signifie que votre faim sera mieux rassasiée en consommant des fibres, ce qui évite de sombrer dans les repas surchargés et les collations constantes.

De plus, les fibres permettent une meilleure digestion, un processus essentiel au bon fonctionnement de tout l’organisme.

On déplore le manque de fibres dans le régime alimentaire moyen des Nord-Américains, et on ne saurait trop conseiller aux gens de découvrir les vertus associées aux fibres, conclut le rapport.

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La diète méditerranéenne serait bénéfique lors de la ménopause

Les femmes en pleine ménopause, ou en voie de traverser ce passage de leur vie, auraient avantage à jeter un coup d’œil du côté de la diète méditerranéenne, rapporte The National Library of Medicine.

Spécialement celles qui souffrent de ces fameuses bouffées de chaleur de façon très intense, suggère l’étude australienne qui se penchait sur la question.

On y apprend que la diète méditerranéenne ainsi que les fruits permettent de réduire ces symptômes nuisibles à la qualité de vie.

La réduction de ces bouffées de chaleur et de certains autres effets de la ménopause serait vérifiable jusqu’à 20 %, concluent les chercheurs australiens.

C’est en suivant les cas de 6000 patientes, sur une période de neuf ans, que ces spécialistes ont pu constater l’impact d’une diète méditerranéenne sur l’organisme de ces femmes, alors que celles qui continuaient de consommer des aliments à haute teneur en sucre démontraient 23 % plus de chances d’être victimes de symptômes comme les bouffées de chaleur.

D’autres études sur le sujet sont à venir, et même si on ne peut tracer de lien direct avec cette recherche, les chercheurs sont convaincus de l’impact positif de la diète méditerranéenne sur la santé des femmes ménopausées.

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Le régime alimentaire « de l’Ouest » blâmé par des Britanniques

Des chercheurs britanniques viennent de publier une étude qui n’est pas tendre à l’endroit des Nord-Américains, rapporte The National Library of Medicine.

En fait, ces spécialistes y vont de salves à l’endroit de ce qu’ils baptisent « la diète de l’Ouest », qu’ils considèrent comme un excellent moyen de se retrouver six pieds sous terre avant son temps.

On considère comme faisant partie de ce régime alimentaire les viandes transformées (ou séparées mécaniquement), les aliments sucrés, les aliments frits (frites, poulet, etc.), les grains raffinés et les produits laitiers.

Les chercheurs, qui publient ces conclusions dans The American Journal of Medicine, ont étudié les cas de plus de 5000 personnes (deux fois plus d’hommes que de femmes) sur une période de 24 ans.

Analysant les différents types de régime alimentaire de chacun des sujets de l’étude, les chercheurs ont constaté aisément que les pourcentages de longévité étaient beaucoup moins impressionnants chez ceux qui se nourrissent « à l’américaine ».

De plus, on rappelle que ceux qui « survivront » à ce type de diète ont également beaucoup moins de chance de vieillir en santé et de pouvoir profiter de leurs vieux jours.

Ils croient qu’une véritable révolution alimentaire s’impose. Difficile de les contredire…

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Régime sans gluten : un nouveau site web fait son apparition

Top Santé rapporte le lancement d’un tout nouveau site web qui s’inscrit dans cette nouvelle mode de régime alimentaire dépourvu de gluten.

Avant d’aller plus loin, il est important de mentionner que si certaines personnes prennent la décision d’enlever tous les aliments qui contiennent du gluten de leur régime, d’autres n’ont tout simplement pas le choix à cause d’allergies ou de problèmes de santé divers.

Sauf que pour une quantité appréciable d’autres personnes, on fait le choix de couper le gluten, encouragé notamment par des porte-paroles comme Gwyneth Paltrow, qui fait réagir avec son livre et ses conseils sur le sujet.

Tous ces adeptes, volontaires ou non, pourront donc maintenant consulter ce nouveau site qui répertorie les endroits et les trucs pour éviter le gluten partout dans le monde.

Il est donc possible de prévoir quels restaurants visiter lors d’un voyage et de trouver les endroits qui sont amicaux avec les anti-gluten.

Pour en savoir plus et découvrir le site web, visitez le www.glutenfreeroads.com.

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Comment contrer la faim et les mauvaises habitudes alimentaires au travail

The National Library of Medicine rapporte des suggestions offertes par l’ American Council on Exercise afin de vous aider à maintenir vos bonnes habitudes alimentaires, même au travail.

Souvent, le stress et le manque de temps vont mener à des écarts de conduite nutritionnels, et on craque trop souvent pour la nourriture proposée dans les machines distributrices ou encore pour ce deuxième beignet juste avant le dîner…

Pour éviter tout cela, on conseille donc de créer un plan précis pour vos repas consommés sur votre lieu de travail et d’éviter d’en déroger. De plus, surveillez les menus de votre cafétéria pour savoir quelles sont les journées à éviter.

On conseille vivement de préparer vos repas, surtout les collations, et de ne pas vous retrouver avec des décisions alimentaires de dernière minute.

De plus, on rappelle qu’il est important de manger à sa faim et de ne pas se priver, afin de ne pas tomber dans les collations inutiles par la suite. En mangeant des repas sains composés notamment de légumes, on peut manger à satiété sans remords.

Pour terminer, on rappelle l’importance d’un déjeuner complet et équilibré, afin de démarrer la journée en lion… et non en lion affamé!

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La viande rouge mauvaise pour le coeur

Depuis longtemps, le gouvernement recommande une consommation quotidienne maximale de 2,5 onces de viande rouge. Il en est ainsi depuis qu’il a été découvert qu’un trop grand apport est lié au cancer des intestins et à des troubles cardiovasculaires.

Le Dr Stanley Hazen, qui était à la tête d’une récente recherche, a découvert qu’un haut taux de carnitine dans le sang causait certaines maladies cardiaques, mais seulement chez les gens présentant un haut taux d’oxyde de triméthylamine (TMAO).

Comme on peut le lire dans le magazine Nature Medecine, Hazen dit : « Une alimentation riche en carnitine transforme la composition de nos microbes intestinaux, qui deviennent des microbes aimant la carnitine, ce qui rend les mangeurs de viande encore plus sensibles à la formation de TMAO et à son effet obstruant pour les artères ».

Sachant que la carnitine est une molécule souvent vendue en tant que complément alimentaire et présente de façon naturelle dans la viande rouge et les produits laitiers principalement, éviter une trop grande consommation de ces produits pourrait vous sauver la vie.

Le spécialiste suggère que ça pourrait expliquer pourquoi les végétariens et végétaliens présentent généralement un meilleur bilan de santé cardiovasculaire que les mangeurs de viande.

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L’effet « Biggest Loser » fonctionne vraiment

Une étude en provenance des États-Unis pose la question suivante : « Devrait-on créer des incitatifs aux personnes qui doivent perdre du poids? », afin de lutter plus efficacement contre l’obésité.

C’est que d’après les observations effectuées par les chercheurs du Michigan en tête de cette étude, les chiffres démontrent que des incitatifs à la perte de poids sont efficaces, tout autant que l’effet de compétition.

Un effet que l’on pourrait qualifier « d’effet Biggest Loser », en lien avec la populaire émission de téléréalité qui met en vedette des gens aux prises avec des problèmes de poids extrêmes et qui doivent compétitionner entre eux.

Les chercheurs américains ont donc créé un système de récompense financière pour un groupe donné, en le sous-divisant pour tester les effets à court et à long terme. Un autre groupe devait également tenter de perdre du poids, mais sans incitatif financier.

Résultat? Le groupe qui devait s’affronter en plus d’avoir la chance de gagner de l’argent a perdu jusqu’à près de dix livres de plus que les autres!

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Les maladies mentales n’empêchent pas la perte de poids

En comparant les résultats d’une recherche sur la perte de poids chez les gens atteints de troubles mentaux graves avec ceux de la population générale, on ne retrouve pas vraiment de différence.

Dans le ScienceDaily, on découvre la toute dernière étude de la renommée Johns Hopkins University School of Medicine, qui a été conduite auprès de gens souffrants de schizophrénie, de bipolarité et de dépression grave.

Elle révèle que, par le biais d’un programme qui comprend des conseils nutritionnels simples et des classes d’exercices régulières, les gens souffrants de graves troubles mentaux arrivent à adopter des comportements sains en matière de santé. Ils arrivent ainsi à atteindre leurs objectifs de perte de poids de façon significative.

Il s’agit là d’une excellente nouvelle, alors que le taux de mortalité des gens atteints est de 2 à 3 fois plus grand, souvent en raison de conditions reliées à l’obésité.

Gail L. Daumit, professeure en médecine interne générale de l’université, déclare : « Cette population est souvent stigmatisée. Les résultats de cette étude devraient permettre aux gens de changer leurs perceptions concernant les gens atteints de maladies mentales. Il est maintenant clair que cette population est capable de faire de bons choix en matière de santé et d’atteindre ses objectifs de perte de poids ».

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Est-ce nécessaire de détoxifier son corps?

Les gourous de la santé prônent ces détoxifications auprès des gens voulant donner du « pep » à leur organisme.

Selon Jean-Louis Brazier, pharmacologue et professeur à l’Université de Montréal, c’est totalement faux et ce ne serait qu’une simple ruse pour se remplir les poches.

La Presse nous informe que contrairement à la croyance populaire, le foie et les reins n’ont pas besoin d’être nettoyés.

« Ces organes sont faits pour éliminer les molécules étrangères et celles produites par notre métabolisme. Des enzymes les transforment et les éliminent dans l’eau (l’urine et la bile) de façon continue et dynamique. La sueur, de son côté, permet d’éliminer une quantité infime de substances nuisibles », explique M. Brazier.

Sur la même note, la chaîne BBC a invité 10 femmes adeptes de soirées arrosées à faire le plein d’alcool et de malbouffe dans le cadre d’une émission sur les mythes alimentaires.

Pendant la semaine suivante, la moitié des femmes a suivi une cure de détoxification, et l’autre, un régime alimentaire normal, avec vin et café en quantité modérée. Chacune d’elles a été testée sur son urine, son sang et sa salive à plusieurs reprises. Aucune différence n’est apparue dans les résultats!

« Les cures n’aident pas à améliorer la santé des organes, pas plus qu’elles ne favorisent l’éclaircissement du sang ou l’équilibre du pH, ni qu’elles stimulent le système immunitaire », confirment les experts.

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Une mauvaise alimentation mène aussi à la mauvaise humeur

Le fait de ne pas veiller à son alimentation ne mènerait pas qu’à des problèmes de santé physique chez la femme, selon Santé Log.

D’après une étude en provenance de la Pennsylvanie, les problèmes de comportement en alimentation sont aussi gages de troubles psychologiques, notamment en ce qui a trait à l’humeur.

Présentées lors du dernier congrès annuel de l’American Psychosomatic Society, ces conclusions font état de la relation des femmes avec la nourriture, et des résultats sur leurs émotions qui en découlent.

« Nous nous sommes intéressés à l’étude de femmes dans leur vie de tous les jours pour suivre leur humeur et leurs habitudes alimentaires, et obtenir ainsi une image plus précise de la relation entre les émotions et l’alimentation », expliquent les chercheurs de Penn State.

Les résultats démontrent cependant qu’une femme de bonne humeur ne devrait pas nécessairement voir celle-ci se dégrader, mais que celle qui s’avère déjà colérique ou dépressive a de grandes chances d’empirer son cas.

Les chercheurs précisent également que ces variations d’humeur sont relatives au degré d’intensité du trouble alimentaire, les pires troubles étant ceux comme l’anorexie et la boulimie.