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Annonce importante concernant certains régimes de retraite

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Alors que plusieurs cas d’entreprises en faillite ont bouleversé les plans de plusieurs ex-travailleurs et retraités au cours des dernières années, un projet de loi visant à mieux protéger les régimes de retraite à prestations déterminées lors de faillites d’entreprises a été adopté en instance finale au Sénat, rapporte La Presse.

Le projet de loi C-228 fera en sorte que désormais, ce seront les employés qui auront la priorité absolue parmi les créanciers lors d’une situation de faillite d’une entreprise.

Cette modification de la législation fédérale sur la faillite et l’insolvabilité des entreprises fait donc passer les engagements de retraite avant les créanciers garantis et non garantis lors d’un processus d’insolvabilité, et ainsi, cela pourrait prévenir d’importantes pertes pour les participants à ces régimes de retraite, voire même leur permettre de conserver la majeure partie de leurs prestations de retraite.

Il faut savoir qu’avant l’adoption de ce projet de loi, on estimait que les ex-travailleurs et retraités d’entreprises en faillite se retrouvaient avec des prestations de retraite amputées de 20 à 25 % de leur montant prédéterminé.

À titre d’exemple, les faillites du détaillant Sears Canada et de l’entreprise Nortel Networks sont malheureusement devenues des cas d’école. Rappelons que des centaines de travailleurs avaient vu leurs montants de rentes subir d’importantes diminutions.

C’est la députée conservatrice Marilyn Gladu qui a présenté le projet de loi C-228 en 2022 et celui-ci avait reçu l’assentiment unanime de tous les partis à la Chambre des communes.

Le projet de loi C-228 a finalement été adopté sans amendement mardi soir par le Sénat à Ottawa.

Nicolas Lapierre, coordonnateur régional du syndicat des Métallos pour l’est du Québec, a salué le projet de loi lors d’un entretien avec La Presse Canadienne: «Ce projet de loi là vient augmenter de façon très importante nos chances d’avoir de l’argent, puisqu’on n’est plus les derniers à se servir [en cas de faillite]. On va être dans les premiers créanciers, donc c’est une belle victoire pour le mouvement syndical, mais c’est aussi une victoire pour tous les travailleurs canadiens, syndiqués ou non, qui ont un régime [de retraite] à prestations déterminées. »

Enfin, du côté de la FTQ, la présidente Magali Picard s’est réjouie de l’adoption du projet de loi C-228: «Cette loi corrige une grande injustice. Trop longtemps, lors de faillites d’entreprises, les gestionnaires se sont sauvés avec les poches pleines de primes de toutes sortes et les créanciers ont pigé dans la caisse de retraite, alors que les travailleurs et travailleuses, eux, devaient subir une diminution importante de leurs prestations. Les tribunaux devront maintenant donner priorité au renflouement des caisses de retraite déficitaires. »

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Les régimes rapides augmenteraient le risque d’infections

Certains régimes rapides tels que le 5:2 sont efficaces pour la perte de poids, mais le sont moins en matière de maladies. Ces régimes affaiblissent le système et rendent les gens plus enclins à attraper des infections.

Pendant un an, des chercheurs de l’Université de Bath, en Angleterre, ont testé des régimes puissants sur des mouches drosophiles et se sont aperçus que les régimes faisaient grimper les risques d’infection de 20 %. Cependant,  l’espérance de vie était allongée de 14 % chez les drosophiles en cas de maladie fongique (liée à un champignon).

« Les gènes activés chez ces insectes en cas de maladie fongique seraient similaires aux gènes activés chez les personnes qui suivent un régime », explique-t-on sur Top Santé.

Dans le Daily Mail, le Dr Nick Priest, conférencier en biologie et en biochimie à l’Université de Bath, démontre légèrement sa confusion face à la situation paradoxale. « Perdre du poids et vivre plus longtemps et s’exposer à des infections ou ne pas suivre de régime… » est la question que se pose le scientifique qui se dit que « certains régimes ont des avantages, mais nous ne devons pas oublier leurs effets secondaires ».

L’étude publiée dans la revue scientifique Evolution décrit le régime 5:2 comme étant un moyen à la mode de passer deux jours à se « détoxiquer » et 5 jours à manger de façon équilibrée par semaine.

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Les meilleurs régimes de 2013

En première position, on retrouve le régime DASH. Originalement mis sur pied pour combattre la haute pression sanguine, il est sécuritaire et complet sur le plan nutritionnel, et peut prévenir le diabète et les problèmes cardiaques. Pour ce faire, ce régime propose une diète riche en potassium, en calcium, en protéines et en fibres, en plus de réduire la consommation de sel, de viande rouge et d’aliments très caloriques.

Le second meilleur régime de l’année est la diète TLC, qui vise à diminuer le taux de cholestérol de 8 à 10 % en six semaines chez ceux qui le suivent. En consommant le moins possible de gras saturés et en augmentant la quantité de fibres ingérées quotidiennement, vous réduirez vos risques de subir une crise cardiaque.

Puis, le site propose les régimes Weight Watchers et méditerranéen, à égalité en troisième position. Sans danger pour la santé, ces régimes contribuent à la perte de poids. Ces diètes suggèrent surtout une alimentation équilibrée – une alimentation faible en viande rouge, en sucre et en gras saturés – ainsi qu’un mode de vie actif.

Finalement, si vous avez déjà entendu parler des régimes Flexitarien et Jenny Craig, ou souhaitez vous y mettre, sachez qu’ils font également partie de ce palmarès des meilleurs régimes de 2013.

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Les échecs avec des régimes alimentaires ne doivent pas vous décourager

Les personnes qui ont vécu des échecs de perte de poids durable, par le passé, ne doivent pas se laisser décourager.

Au contraire, elles peuvent aussi bien que toute autre personne parvenir à perdre du poids de façon définitive. Cependant, il est essentiel de respecter le processus de base qui consiste à manger sainement, faire de l’exercice physique régulièrement et se faire accompagner par un professionnel dans le processus de perte de poids.

Une étude a été menée auprès de 439 femmes ménopausées, âgées de 50 à 75 ans, avec un surpoids ou étant obèses. Elles avaient toutes expérimenté des régimes yo-yo par le passé et ont été recrutées à cet effet. Elles ont été séparées en divers groupes au hasard, soit pour les soumettre à un régime hypocalorique, un programme d’exercice physique, ou les eux combinés, ou encore aucun des trois.

Après un an, les femmes qui avaient eu des effets yo-yo, soit une perte de poids suivie d’une reprise du poids perdu et même plus, n’ont pas été désavantagées dans le processus, comparativement aux autres qui n’avaient pas eu d’antécédents d’effet yo-yo.

Ainsi, les femmes ne doivent pas se laisser décourager par des échecs passés et doivent tenter de perdre ce poids en trop définitivement. L’étude prouve qu’il est possible de le faire durablement, seulement il n’existe pas de recette miracle, mentionne la revue Metabolism.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Régimes : Méfiez-vous des belles promesses

En cette période estivale où le culte du corps est à son maximum en raison des journées à la plage ou à la piscine, l’Agence de sécurité sanitaire en France rappelle de se méfier des belles promesses.
 
Perdre du poids a des conséquences sur la santé. Ainsi, pour que cela soit sans danger et efficace, la prise en charge médicale et des conseils professionnels sont grandement recommandés. L’approche doit être individualisée et prévue à long terme.
 
Attentions aux produits amaigrissants qui représentent souvent un danger pour la santé ou sont sans effet. Les médicaments comme la sibutramine et le rimonabant sont à proscrire, car ils sont trop nocifs.
 
En cas de nécessité médicale, certaines approches peuvent être envisagées lorsque le changement d’alimentation et les exercices physiques ne suffisent pas.
 
Ainsi, sous supervision médicale, on pourrait opter pour des médicaments comme orlistat ou Xenical, mais leur efficacité est plutôt modeste.
 
Une chirurgie bariatrique pourrait aussi être recommandée dans les cas lourds d’obésité, mais à condition également de changer son mode de vie, donc avoir une meilleure alimentation et faire des activités physiques.
 
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Les femmes enceintes suivraient trop de régimes

Publiés dans le Daily Telegraph, les résultats mentionnent même que certaines d’entre elles sautent le petit-déjeuner. « Elles pensent qu’elles éliminent des calories, mais c’est faux. Elles finissent par manger n’importe quoi plus tard », explique la nutritionniste Kathleen Alleaume.

En fait, l’objectif de ces femmes est de minimiser le poids qu’elles auront pris pendant la grossesse.

Cette tendance inquiète plus d’un expert. En Australie, une étude a révélé que 9 femmes sur 10 manquaient de nutriments essentiels au bon développement de leur bébé à naître.

Toutefois, il n’y a pas que de couper dans l’alimentation qui permet de réduire le poids. Certaines femmes enceintes prennent d’assaut les salles de gym. Cela dit, il n’y a rien de mal à rester active durant la grossesse, mais cela peut parfois être dangereux.

Si la future mère n’est pas habituée à autant d’exercices, elle doit y aller doucement et attendre après sa grossesse avant de se mettre à la pratique d’un sport extrême.

Rappelons qu’une recherche a démontré qu’une femme en plein régime qui tombait enceinte était plus susceptible de mettre au monde un enfant obèse ou diabétique.

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Les régimes restrictifs de nouveau pointés du doigt

Encore une fois, les régimes restrictifs sont pointés du doigt par la nouvelle étude NutriNet-Santé.
 
Seulement 51 % des personnes qui ont suivi les régimes restrictifs de type Ducan affirment qu’ils ont été efficaces à long terme, contre 76 % qui sont du même avis après avoir suivi les recommandations de nutritionnistes.
 
220 000 volontaires ont participé à cette recherche, dont 18 188 disaient avoir suivi au moins un régime dans leur vie. Chez les femmes seulement, 28 % disaient avoir tenté de maigrir avec un régime à au moins cinq reprises dans leur vie.
 
Le plus efficace est d’avoir une alimentation saine et équilibrée, mais aussi sensée. Les régimes restrictifs sont souvent mal tolérés et frustrants, en plus de ne pas être efficaces à long terme, car le poids perdu est souvent retrouvé par la suite.
 
« Ces résultats vont dans le sens d’un message clair sur la moindre efficacité à long terme des régimes restrictifs commerciaux, notamment lorsqu’ils sont répétés, par rapport aux régimes s’appuyant sur les recommandations nutritionnelles. De plus, ils apparaissent plus compliqués, plus frustrants et plus difficiles à mettre en oeuvre que les régimes basés sur les recommandations nutritionnelles globales », disent les auteurs.
 
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Oubliez les régimes et baissez le chauffage!

Si vous souhaitez perdre du poids, il n’y a pas que les régimes alimentaires qui peuvent vous aider. Pour perdre quelques kilos, il suffirait de baisser le chauffage.
 
Vous avez bien lu. Des scientifiques de l’University College London ont clairement établi un lien entre la température et le poids corporel. Selon eux, le taux d’obésité est à la hausse notamment en raison du fait que tout dans notre environnement nous garde à des températures plus que confortables.
 
À la maison, le chauffage fonctionne à plein régime en hiver, même chose dans la voiture ou au bureau. Ce phénomène empêche notre corps de brûler des calories pour se réchauffer.
 
Le journal Obesity Reviews affirme que si le corps est déjà chaud, il n’a pas besoin de transformer la graisse brune (tissus adipeux) en énergie pour produire de la chaleur.
Ainsi, pour vous aider à perdre quelques kilos, baissez vos thermostats, cela réduira également votre facture d’électricité.
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Seuls les régimes peuvent faire perdre du poids

Le problème croissant de l’obésité ne serait pas dû au mode de vie sédentaire, mais davantage au fait que les gens mangent plus qu’avant. C’est donc une question d’alimentation, affirment les chercheurs dans l’International Journal of Obesity.
 
Contrairement à la croyance populaire, l’exercice n’est pas le meilleur moyen pour perdre quelques kilos. Les experts ajoutent que leurs recherches démontrent que nous ne sommes pas moins actifs qu’il y a vingt ans.
 
Selon le professeur John Speakman de l’Université Aberdeen et des collègues néerlandais qui ont analysé la dépense énergétique de la population au cours des deux dernières décennies, nous ne sommes pas moins actifs, mais nous mangeons plus.
 
Les enfants qui marchent moins pour se rendre à l’école et le nombre croissant d’émissions de télévision ne sont pas nécessairement synonymes de prise de poids.
 
Par exemple, un enfant qui est conduit pour aller à l’école aura plus de temps pour courir dans la cour de l’établissement. Quant à la télévision, elle a seulement remplacé d’autres activités sédentaires comme la lecture et l’écoute de la radio. Dans les années 50, personne ne faisait de vélo au milieu de son salon et maintenant, les gens enfourchent leur bicyclette stationnaire.
 
Même si ce n’est pas le meilleur moyen de perdre du poids, l’activité physique est primordiale dans un mode de vie sain et doit être pratiquée régulièrement pour conserver une bonne santé générale.
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Les régimes hypocaloriques augmentent le stress

Avec la période estivale qui approche, plusieurs seraient tentés de suivre un régime pour maigrir, mais sachez qu’avec les régimes hypocaloriques, il est plus difficile de perdre du poids et de le maintenir.
 
La majorité des personnes qui suivent ce genre de régime reprennent le poids perdu ensuite. En fait, aux États-Unis, sur les 47 % d’adultes qui se sont mis au régime, 64 % ont repris plus de poids qu’ils en avaient perdu.
 
Cela cause bien souvent l’effet yoyo nocif à la santé. Les chercheurs mentionnent que les restrictions caloriques augmentent la sécrétion de cortisol, l’hormone du stress, et favorisent donc une accumulation de la graisse abdominale.
 
Doctissimo rapporte que 121 femmes ont suivi différents régimes pendant trois semaines durant lesquelles leur niveau de stress était mesuré. On a noté un haut niveau de celui-ci chez les femmes qui comptaient leurs calories et chez celles qui devaient se contenter de 1 200 calories par jour.
 
On rappelle que pour que la perte de poids soit réussie, il faut supprimer l’idée de privation, de faim et d’inconfort. Les médecins préconisent une alimentation équilibrée et variée, des activités physiques régulières, de la discipline et beaucoup de motivation.