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Le poisson, bénéfique pour les diabétiques

Une recherche menée auprès de 22 000 adultes, dont 517 aux prises avec le diabète, conclut que le poisson, au menu deux fois par semaine, peut réduire l’incidence de maladies aux reins chez ces derniers.

Les chercheurs ont aussi observé que ceux qui consommaient du poisson une fois par semaine avaient des traces d’albumine (une protéine) dans leur urine dans 18 % des cas, tandis que les diabétiques qui mangeaient du poisson deux fois par semaine avaient cette même protéine dans seulement 4 % des cas.

« La présence de protéines dans l’urine est l’un des premiers signes d’une maladie aux reins. Changer son alimentation est relativement simple et peut diminuer le risque », a indiqué la Dre Amanda Adler, du Centre hospitalier Addenbrooke à Cambridge.

Tous les détails se retrouvent dans l’édition de novembre de l’American Journal of Kidney Diseases.

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Messieurs, attention au thé glacé

Une équipe d’urologues américains de l’Université Loyola de Chicago croit que les hommes devraient éviter de boire du thé glacé, qui favoriserait la formation de calculs rénaux. 

Un calcul rénal est le résultat de la cristallisation de certaines substances chimiques dans l’urine. En adhérant les uns aux autres, ces cristaux peuvent former une pierre (calcul) d’une grosseur allant d’un grain de sable à une balle de golf.

L’acide oxalique, qui se trouve en forte concentration dans le thé glacé, est l’une des responsables de la formation des calculs rénaux. Selon les médecins, le thé glacé serait la pire boisson pour les personnes souffrant de problèmes rénaux, qu’il soit acheté ou fait maison. 

Un Canadien sur dix aura un calcul rénal au cours de sa vie. Les calculs rénaux surviennent quatre fois plus souvent chez les hommes que chez les femmes. La probabilité de souffrir de calculs rénaux augmente brusquement après 40 ans et lorsqu’il fait chaud.

Les médecins conseillent pour se désaltérer de boire des boissons à base d’eau et de jus de citron, comme la limonade par exemple. Le jus de citron ralentissant la formation des calculs.

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L’effet secondaire de la chirurgie bariatrique

Une étude, dont les résultats sont publiés dans le Journal of the American College of Surgeons, nous apprend que les patients ayant subi une chirurgie bariatrique sont plus à risque de développer des calculs rénaux trois mois après l’opération.

Pour l’auteur principal de l’étude, le Dr Manoj Monga de l’Université du Minnesota, cet effet indésirable de la chirurgie bariatrique est un moindre mal : « Bien que nos résultats démontrent un risque accru de néphrolithe, la chirurgie bariatrique permet de diminuer l’incidence de maladies cardiovasculaires et du diabète qui sont associés à l’obésité morbide. »

Pendant trois mois, le Dr Monga et ses collègues ont effectué des analyses d’urine sur 24 patients souffrant d’obésité morbide et qui avaient subi une chirurgie. Ils ont noté une hausse d’oxalate de calcium dans les échantillons d’urine, ce qui représente un facteur de risque dans le développement des calculs rénaux.

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La prise de poids, responsable de l’insuffisance rénale ?

Une étude, qui sera publiée dans l’édition de septembre du Journal of the American Society of Nephrology, nous apprend que les hommes dont le poids fluctue voient le risque de souffrir d’insuffisance rénale chronique augmenter.

On savait déjà que l’obésité était un facteur de risque pour cette maladie, mais l’auteur principal de cette recherche, le Dr Seungho Ryu, va même jusqu’à suggérer que la prise de poids soit ajoutée à la liste des facteurs prédisposant à l’insuffisance rénale, tout comme l’hypertension artérielle et le diabète.

« Nos résultats démontrent que la prise de poids chez les hommes qui ont un poids santé augmente l’incidence d’insuffisance rénale chronique », a précisé le Dr Ruy, qui prétend que des campagnes de sensibilisation pourraient aider à diminuer le risque de souffrir de cette maladie.

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Les résultats de l’étude ADVANCE sont publiés

Lors de l’assemblée annuelle de l’American Diabetes Association, des chercheurs ont dévoilé quelques résultats concernant la plus vaste recherche jamais réalisée sur le diabète de type 2, l’étude ADVANCE (Action in Diabetes and Vascular Disease).

On y apprend que le traitement intensif de la maladie peut réduire de 21 % le risque de souffrir d’insuffisance rénale, la principale conséquence observée chez les diabétiques, et ainsi éviter des traitements d’hémodialyse.

En baissant le taux de glycémie près de la normale, soit 6,5 mmol/L ou moins, les dommages aux reins chez les participants ont moins été observés, de même qu’une réduction de l’incidence de crises cardiaques et autres complications normalement observées chez les diabétiques.

Mis à part la greffe de rein, la dialyse constitue le seul traitement à l’insuffisance rénale et nécessite plusieurs heures par semaine de traitement.

11 000 diabétiques ont participé à cette étude qui se déroulait dans 20 pays.

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Homologation de l’Advagraf

L’agence de santé fédérale a donné le feu vert au fabricant Astellas Pharma Canada, qui pourra vendre l’Advagraf, un médicament prévenant le rejet d’organes chez les patients ayant subi une greffe de rein.

« Ce traitement antirejet à dose monoquotidienne représentera un avantage considérable. Il contribuera à simplifier le schéma posologique que doivent suivre les patients greffés », a souligné la Dre Sita Gourishankar, néphrologue affiliée au département de néphrologie de l’Université de l’Alberta.

La directrice du développement de nouveaux produits chez le fabricant, Mme Barbara Reynolds, y voit un avantage dans la prise quotidienne de ce médicament : « Étant donné qu’il est administré une fois par jour, Advagraf contribuera à rationaliser le nombre de médicaments que doivent prendre les patients. Ce progrès important permettra de renforcer l’adhésion au traitement immunosuppresseur à long terme. »

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Les effets d’une horloge biologique perturbée

Une recherche publiée dans le Journal of American Physiology fait état des conséquences d’une horloge biologique déboussolée par des horaires de travail changeants, le décalage horaire ou l’insomnie.

Le professeur Martin Ralph, de l’Université de Toronto, et son équipe ont réussi à démontrer que chez les hamsters, le coeur et les reins sont les premiers organes touchés par ces changements de rythme dans l’horloge biologique. Pour ce faire, les scientifiques ont empêché les rongeurs de dormir selon un horaire régulier.

Le fonctionnement normal des deux organes s’est rétabli une fois que le rythme de sommeil des cobayes est redevenu régulier.

« Pour la première fois, on a pu observer que le dérèglement de l’horloge interne du corps cause des lésions aux organes et diminue leur efficacité », a noté le Dr Ralph.