Les relations amoureuses et sociales peuvent s’avérer déterminantes dans le développement des troubles dépressifs, rapporte Santé Log, alors qu’une étude sur le sujet vient de paraître dans la revue PLoS ONE.
On y avance que les relations d’amitié et amoureuses sont au cœur de plusieurs cas de dépressions nerveuses, et qu’une personne malheureuse en couple voit ses risques de développer de tels problèmes psychologiques augmenter grandement.
Si on analyse bien les chiffres démontrés, on parle même d’un risque accru pouvant aller jusqu’à 50 %!
On conseille donc le célibat, au lieu de faire perdurer une relation qui n’a manifestement pas d’avenir ou qui est constamment teintée d’émotions négatives et de conflits.
Cette étude en est une autre qui ouvre le débat sur les impacts de la vie sociale et générale sur la dépression, qui ne se forme pas toujours « par elle-même ». Bien qu’on parle de « maladie », plusieurs dépressions ne sont pas aléatoires et pourraient être prévenues par les patients si ceux-ci étaient attentifs aux aspects négatifs de leur vie.
On note également une différence de risque de dépression selon la classe sociale et le revenu, des conclusions qui font avancer la cause dans la bonne direction.