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Prescription pour grossesse – faire l’amour 3 fois par semaine

De nombreux couples croient que pour concevoir un enfant, il faut faire l’amour uniquement pendant l’ovulation. Or, la date peut varier, et vous pouvez manquer le jour fatidique, ce qui n’est pas mieux.

Le mieux, selon des médecins français interrogés par famili.fr, c’est d’avoir des rapports sexuels très réguliers, 3 fois par semaine. Au-delà, on risque de faire l’amour sans qu’il y ait le moindre spermatozoïde dans le sperme, et en deçà, on a simplement moins de chances.

C’est ce que recommandent la Dre Joëlle Bensimhon et la Dre Laurence Lévy-Dutel. Libre à vous de rapprocher ces rapports réguliers (3 jours de suite) ou d’espacer (un jour sur 2). Les résultats sont apparemment les mêmes.

Ceci étant dit, Dre Lévy-Dutel insiste pour éviter de devenir des « automates » et favoriser les relations sexuelles dans un but de rapprochement, de complicité, et non d’obligation.

Sachez aussi que même en étant réguliers, moins de 10 % des couples réussissent à concevoir à l’intérieur des 3 premiers mois. En moyenne, il faut plutôt compter 7 mois. D’autre part, privilégiez une rencontre avec votre médecin avant d’entreprendre votre « pratique régulière ».

Si toutes ces démarches ont été faites, ne consultez pas le médecin à nouveau avant un délai d’un an. Par contre, au-delà de 35 ans, après 6 mois d’essai, il serait bon de faire le point avec le docteur.

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Les riches ont plus de rapports sexuels

Une étude menée par la firme de consultant de jumelage Relationship Australiarévèle que les personnes avec un revenu élevé ont deux fois plus de rapports sexuels que la moyenne.
 
Les personnes qui gagnent plus de 80 000 $ par année ont deux fois plus de relations sexuelles que ceux qui gagnent moins de 60 000 $.
 
Toutefois, la recherche ne dit pas exactement le nombre de relations sexuelles qu’ils ont par semaine. On mentionne seulement que c’est deux fois plus chez les plus riches.
 
L’étude dévoile également que pour 2011, la fréquence des relations sexuelles a diminué de 3 % comparativement à 2008, et ce, surtout chez les personnes de plus de 70 ans.
 
On explique en partie le phénomène par le succès grandissant des réseaux sociaux, qui réduisent l’interaction en face à face, donc également la fréquence du sexe, indique MedicMagic.
 
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La circoncision diminue les risques de VIH et accentue le plaisir

Pour la première fois, une étude démontre que la circoncision pourrait être un moyen de prévention contre les infections au VIH.
 
D’après une recherche effectuée en Afrique du Sud par l’Agence française de recherches contre le sida, la circoncision réduirait les risques d’infection au VIH de 76 %.
 
Les travaux de recherches ont été effectués dans un bidonville d’Orange Farm, où le taux d’infection au VIH est très élevé. Avec une vaste campagne de promotion de la circoncision, 20 000 hommes ont opté pour cette chirurgie.
 
Dans ce bidonville, 40 % des hommes et 45 % des femmes sont infectés entre les âges de 35 à 39 ans.
 
Sur un échantillon de 1 000 hommes, dont la moitié étaient circoncis, qui avaient tous le même comportement sexuel, soit le nombre de partenaires et l’utilisation des préservatifs, les risques d’infection étaient effectivement de 76 % moins élevés chez le groupe circoncis.
 
De plus, une autre étude réalisée à plus petite échelle affirme que la circoncision augmente la satisfaction sexuelle chez les hommes.
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Preuves scientifiques quant aux liens de l’alimentation et du sexe du bébé

On peut lire dans le Daily Mail qu’une récente étude aurait jeté officiellement les bases pour qu’une grossesse résulte en un bébé de sexe féminin.

En effet, selon des chercheurs des Pays-Bas, un couple qui souhaiterait avoir une fille devrait suivre certains principes quant à la fréquence de ses relations sexuelles et l’alimentation de la future mère.

Ainsi, une femme devrait consommer beaucoup d’aliments contenant du calcium (yogourt, fromage, épinards, tofu, etc.) et du magnésium (noix de cajou, figues, céréales à grains entiers, etc.).

D’autres aliments devraient être évités, tels que ceux contenant beaucoup de sel et de potassium.

Les chercheurs de l’étude en question recommandent aussi aux couples souhaitant une fille d’avoir des relations sexuelles sur une base régulière, mais pas nécessairement avant ou après l’ovulation.

Pour tirer ces conclusions, ils ont suivi 172 femmes âgées de 23 à 42 ans. Toutes les participantes avaient déjà eu un garçon et souhaitaient avoir une fille.

On leur a demandé de suivre une diète et d’avoir des habitudes sexuelles comme il a été décrit plus haut. Or, plusieurs des participantes n’ont pas suivi toutes les règles à la lettre.

Malgré tout, parmi les 21 femmes qui avaient suivi le régime proposé de façon stricte, 16 ont accouché d’une petite fille.

Il semble que les deux méthodes combinées augmentent les chances de concevoir un bébé de sexe féminin.

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Les adolescents utilisent plus les préservatifs que les adultes

Selon une enquête nationale menée sur 5 865 Américains âgés de 14 à 94 ans, les adolescents utilisent plus les préservatifs lors de relations sexuelles que les adultes de plus de 40 ans.
 
Ce sont les chercheurs du Centre de promotion de la santé sexuelle de l’Université d’Indiana qui se sont penchés sur la question.
 
Chez les adolescents de 14 à 17 ans qui sont sexuellement actifs, 80 % des garçons et 69 % des filles utilisent les préservatifs.
 
Par contre, chez les adultes de 40 ans et plus, ce ne sont que 50 % des gens qui utilisent ce mode de protection lors de leurs rapports sexuels occasionnels
 
Cela permet de dire qu’une relation sexuelle avec pénétration sur quatre est protégée aux États-Unis, contre une sur trois chez les célibataires.
 
L’étude dévoile aussi que 85 % des hommes révèlent que leur partenaire a eu un orgasme lors de leur dernière relation sexuelle. Pourtant, ce ne sont que 66 % des femmes qui disent avoir effectivement connu ce plaisir.
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Les Américains sont plus ouverts, mais moins épanouis

Il semblerait qu’il y a dix ans, les Américains avaient une vie sexuelle plus satisfaisante, mais étaient par contre moins ouverts d’esprit.

Alors qu’en 1999, 41 % désapprouvaient les relations sexuelles hors mariage, ils ne sont maintenant que 22 % à les désapprouver.

Par contre, les Américains de 45 ans et plus ont des rapports moins fréquents et moins satisfaisants maintenant et ceci serait dû à la crise économique. Les soucis financiers ne semblent pas seulement avoir affecté les portefeuilles et les projets, mais aussi les activités sexuelles. C’est ce que révèle une étude menée auprès de 1 670 personnes par l’Association américaine des retraités.

Aujourd’hui, ils sont 28 % à avoir des relations sexuelles au moins une fois par semaine et 40 % en ont au moins une fois par mois, un recul de 10 points pour chacun comparativement à l’étude faite il y a dix ans. Avant, 51 % disaient être satisfaits de leurs rapports, mais ils sont 43 % à dire cela aujourd’hui.

L’étude dévoile également que les personnes qui ne sont pas mariées avec leur partenaire auraient une vie sexuelle plus active et satisfaisante que les couples mariés.

En vieillissant, les hommes continuent de penser plus souvent au sexe que les femmes et ces derniers sont deux fois plus susceptibles d’admettre avoir des relations sexuelles avec d’autres partenaires.

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Au moins deux relations sexuelles par semaine pour une bonne santé cardiaque

Avoir au moins deux relations sexuelles par semaine diminue les risques de maladies cardiaques pour les hommes.
 
Selon une récente recherche américaine, effectuée sur 1000 hommes de 40 à 70 ans, ceux ayant au moins deux relations sexuelles hebdomadairement diminuent leur risque de problèmes de cœur de 45 %, comparativement à ceux qui n’ont qu’une relation sexuelle ou moins par mois.
 
La fréquence agirait également sur la fonction érectile et la condition physique. Le sexe est en effet une activité physique qui permet de maintenir une bonne santé du muscle cardiaque.
 
L’étude s’est déroulée sur seize ans. Les hommes devaient répondre à un questionnaire, notamment sur la fréquence de leurs ébats. On a également tenu compte de leur poids, de leur pression artérielle et de leur taux de cholestérol.
 
En 2009, la Clinique Mayo aux États-Unis mentionnait que dans la quarantaine, les hommes qui avaient un dysfonctionnement érectile avaient plus de risques de développer une maladie cardiovasculaire. On le confirme une fois de plus, les problèmes érectiles jouent également un rôle dans la santé du cœur.