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Un traitement pour le coeur pourrait avoir une double utilité

www.nlm.nih.gov rapporte des conclusions tirées par des chercheurs qui croient qu’un médicament couramment employé pour contrôler la haute pression et le rythme cardiaque pourrait avoir une deuxième utilité.

En effet, les spécialistes pensent que le traitement appelé « bêta bloquant » serait également fort utile dans le suivi des patients qui se remettent d’un cancer du poumon.

On observerait une hausse des taux de survie de 22 % chez les patients en rémission qui utilisent ce traitement.

« Ces découvertes étaient les premières, à notre connaissance, démontrant une hausse des taux de survie avec l’utilisation des bêta bloquants parallèlement à la radiothérapie dans les cas de cancer du poumon. Ces résultats laissent présager qu’il y a peut-être un autre mécanisme inexploré qui pourrait aider les patients aux prises avec cette maladie très agressive », déclare le Dr Daniel Gomez, de l’Université du Texas.

Les résultats de ces recherches ont été publiés dans la plus récente édition des Annals of Oncology et laissent présager de nouvelles façons de faire en oncologie dans les cas de cancer du poumon.

Les chercheurs tiennent à spécifier que les statistiques concernant les rémissions et les taux de survie peuvent aussi varier en fonction de l’âge et de la condition physique des patients.

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Nouvelle percée majeure contre le cancer de la prostate

Santelog.com rapporte une nouvelle percée dans la lutte au cancer, plus particulièrement contre le cancer de la prostate.

C’est encore un traitement par l’utilisation d’un virus qui réussit sa mission, alors qu’on entend de plus en plus parler de ce type de façon de faire.

Récemment, on apprenait que certains patients atteints de cancer (notamment une fillette atteinte de leucémie) étaient en rémission à la suite de ce genre de traitement.

Cette fois, on parle de virus oncolytique, transmis par des cellules macrophages dans l’organisme afin de traquer les cellules cancéreuses et ainsi venir à bout de toute trace de tumeur restante.

Il s’agit d’un traitement parallèle à la chimiothérapie, permettant de maximiser ses effets et de combattre la maladie sur deux fronts.

Pour l’instant, ce traitement a été tenté sur des souris, et les chercheurs affirment avoir réussi à prouver l’efficacité de ce nouveau traitement par virus oncolytique.

Il reste donc à tenter les essais cliniques, mais il apparait de plus en plus clair que les spécialistes dans la lutte au cancer ont bon espoir de voir ces nouvelles méthodes porter des fruits et augmenter grandement les chances de survie à la suite d’un diagnostic de cancer.

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Cellules T : Un dérivé du VIH pour lutter contre la leucémie

On vous apprenait récemment certaines percées importantes en matière de lutte au cancer, notamment grâce aux cellules T.

Ces cellules sont celles qui peuvent être « reprogrammées » afin de traiter certains patients aux prises avec des maladies très graves.

On apprend maintenant que deux cas sont venus démontrer l’efficacité de cette nouvelle façon de faire, alors que deux jeunes patients auraient vu leur cancer s’affaiblir ou disparaitre grâce à cette technique très moderne.

Mais il y a plus…

En effet, selon ce qu’explique santelog.com, il semble que ce traitement soit possible grâce à un dérivé du virus du VIH, dans une forme sécurisée. Aussi incroyable et paradoxal que cela puisse paraître, les spécialistes utilisent ce « dérivé » du VIH afin de créer des cellules tueuses qui attaquent les tumeurs.

Ces résultats, incluant les rapports qui confirment le succès de ce type de traitement sur plusieurs patients, ont été dévoilés lors d’une réunion de l’American Society of Hematology qui se tenait au début du mois (décembre).

L’équipe de l’Université de la Pennsylvanie se dit très heureuse de ces résultats et est portée par un vent d’optimisme concernant cette nouvelle méthode de traitement contre le cancer.

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Le Botox prometteur pour contrer les douleurs au cou

Longtemps utilisé pour contrer les effets du vieillissement comme les rides, le controversé Botox pourrait se trouver une nouvelle utilité. C’est ce que proposent des chercheurs, dans une étude rapportée par www.nlm.nih.gov.

En effet, il semble que les personnes qui souffrent de douleurs chroniques au cou et aux épaules pourraient obtenir soulagement et espoir de la part du Botox.

Ce genre de douleur, aux dires du Dr Robert Suarte, qui dirige le Pain Center of Cushing Neuroscience Institute dans l’État de New York, en est un commun et persistant, qui peut causer de sérieux problèmes chez le patient.

De plus, ces symptômes sont souvent accompagnés de maux de tête, ce qui ajoute à l’inconfort ressenti par les victimes de douleurs chroniques.

Dans l’étude, 118 patients aux prises avec ces maux (depuis plus de deux mois minimum) ont reçu du Botox ou un placebo. Ceux qui ont reçu le « médicament » ont démontré des signes encourageants de rémission, ou à tout le moins des douleurs moins sévères que ceux qui ont reçu le placebo.

Les patients « botoxés » ont également vu le nombre de migraines diminuer, augmentant ainsi de beaucoup leur qualité de vie.

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Dépression : l’influence de la rémission de maman

On apprend dans The American Journal of Psychiatry que durant l’année suivant le traitement pour une dépression majeure de leur mère, les enfants voient eux-mêmes leurs symptômes d’un problème psychiatrique s’estomper.

Les risques sont en effet plus élevés, pour un enfant dont l’un des parents est gravement dépressif, de vivre un désordre psychiatrique. Cette amélioration conjointe est donc des plus encourageante.
 
Il s’agit là des résultats d’une étude menée par l’Institut national de santé mentale (États-Unis) ayant porté sur 80 mères.
 
On a ainsi remarqué que si une rémission rapide avait des effets sur la mère et son enfant, dans le cas d’une rémission plus tardive, les symptômes de l’enfant disparaissent aussi, mais il a encore de la difficulté à fonctionner, à la maison et à l’école.

Finalement, lorsque la mère est en dépression pendant plus de deux ans, et ce, sans réduction de ses symptômes, l’enfant a des risques accrus d’en avoir aussi, comme des problèmes de comportement, par exemple.