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Conrad Murray a des remords, mais se dit toujours innocent

Conrad Murray, médecin personnel de Michael Jackson au moment de la mort de ce dernier, n’a pas fini d’être blâmé pour le décès prématuré du roi de la pop.

Après avoir dû subir le jugement des fans et des proches de Jackson, Murray s’est ensuite vu condamné au criminel pour homicide involontaire.

Sauf que selon plusieurs observateurs, Michael Jackson éprouvait déjà plusieurs problèmes et avait emprunté une route qui ne laisse que peu de chances de survie à long terme.

Sans reprendre cette opinion, Conrad Murray se dit rempli de remords, mais affirme toujours son innocence sur le plan légal et moral, rapporte BANG.

« Vous savez, j’ai beaucoup de remords que Michael soit mort. Michael était un ami. Il m’a touché de tant de façons que je me sentais comme une figure paternelle pour lui, même si je n’étais pas assez vieux pour être son père. Je me sentais comme si je protégeais Michael tout le temps. C’est ce que j’ai fait », explique l’ancien docteur Conrad Murray, qui ne peut plus pratiquer la médecine.

Murray affirme avoir souffert énormément depuis le décès de Michael Jackson, il y a cinq ans déjà, et n’en veut pas à la star. On se rappellera qu’il a été statué par des experts que c’est Michael Jackson lui-même qui s’est administré la dose mortelle de Propofol, en 2009.

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Des notions de regrets bien différents chez les hommes que chez les femmes

Une équipe californienne a cherché à analyser les différentes réactions observables chez les hommes et les femmes en matière de comportement sexuel, rapporte Top Santé, et leurs premières conclusions se penchent davantage sur la notion de regrets.

Une notion amplement variable selon le sexe de la personne étudiée, constatent les chercheurs, alors que les hommes semblent regretter beaucoup plus de ne pas être passés à l’acte suite à une opportunité de relation sexuelle, et que les femmes regrettent plutôt d’avoir succombé à une situation similaire.

« Du point de vue de l’histoire de l’évolution, chaque occasion manquée de relations sexuelles avec une nouvelle partenaire est pour les hommes une chance perdue de se reproduire. Pour les femmes, la reproduction représente un investissement considérable, dont la grossesse, l’allaitement et l’éducation des enfants. Les conséquences d’un rapport sexuel occasionnel sont donc bien plus impliquantes pour les femmes que pour les hommes. »

« Cela entraîne naturellement une réaction émotionnelle beaucoup plus forte, chez la femme, au rapport sexuel. Ces réactions semblent toujours répondre, malgré les progrès sociaux, aux contraintes de reproduction du passé », peut-on lire en conclusion de l’étude proposée par les chercheurs de l’Université de Californie.

Plusieurs milliers sujets masculins et féminins ont pris part à cette étude, qui trace encore une fois une ligne marquée entre la psychologie féminine et masculine.

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Le poids de la culpabilité n’est pas qu’une métaphore

Ressentir le « poids de la culpabilité » relèverait davantage du littéral que de la métaphore, selon ce que rapporte Top Santé, alors que des chercheurs se sont penchés sur les impacts de l’émotion sur l’organisme.

Ainsi, l’équipe de chercheurs de l’Université de Waterloo, en collaboration avec Princeton, qui propose cette nouvelle étude arrive à la conclusion que la culpabilité entraîne une véritable sensation de lourdeur physique, ce qui rendrait plus difficile le quotidien des personnes rongées par les remords.

« Le souvenir des actes répréhensibles conduit les participants à rapporter un accroissement du poids corporel subjectif contrairement au souvenir des actes moraux. Cette corrélation avec le poids s’est faite uniquement pour le sentiment de culpabilité, et non pour d’autres émotions négatives comme la tristesse et le dégoût », explique Martin Day, de Princeton.

Pour en arriver à cette étonnante mais fascinante conclusion, les chercheurs ont effectué quelques tests sur un groupe de 153 sujets, qui ignoraient au moment de l’essai de quel type de test il s’agissait exactement. Ceux placés dans un contexte qui faisait ressurgir leur culpabilité ont ensuite étrangement éprouvé plus de difficulté à réaliser certaines tâches que les autres, confirmant du même coup l’effet de « poids » supplémentaire à porter.

Encore une fois, cette étude démontre l’impact des émotions et de nos gestes sur notre organisme et sur notre avenir, une conclusion qui pourrait permettre à certaines personnes d’y penser à deux fois avant de commettre des gestes regrettables.

Un des chercheurs impliqués dans l’étude déclare d’ailleurs : « L’anticipation de sentiments de culpabilité dans le futur peut aider des individus à éviter de participer à des actes immoraux qui violent leur morale personnelle ».