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De plus en plus de jeunes sautent des repas

Il est troublant de constater que de plus en plus de jeunes prennent de très mauvaises habitudes. Selon le Daily Mail, nombreuses sont les jeunes filles d’à peine 10 ans qui commencent à sauter des repas et éliminer les aliments essentiels dans l’espoir d’avoir un corps parfait.
 
L’étude faite sur 83 000 jeunes démontre qu’ils sont énormément influencés par les célébrités et l’image corporelle dépeinte dans les médias.
 
Ainsi, le tiers des fillettes de 10 ans interrogées disaient avoir sauté le petit déjeuner, et 24 % avaient également sauté le dîner de la veille. Cette proportion augmente avec l’âge, car chez les 14-15 ans, ce sont les deux tiers qui ne prennent pas le petit déjeuner.
 
Malheureusement, 40 % des garçons et des filles évitent de consommer des protéines et le quart dit aussi consommer régulièrement des croustilles, des friandises et du chocolat.
 
De plus, ils ont tendance à adopter d’autres habitudes malsaines comme fumer et consommer de l’alcool. Les résultats de cette recherche montrent que des jeunes de 12 ans seulement consomment l’équivalent de 19 verres de vin par semaine. La plupart des jeunes boivent de l’alcool à la maison.
 
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Sauter un repas pour pouvoir boire : une pratique dangereuse

Il semblerait que des jeunes, surtout des filles, sautent des repas pour couper les calories afin de pouvoir boire de l’alcool en soirée.
 
L’étude américaine dévoilée par le Daily Mail est des plus inquiétante. 16 % des jeunes interrogés, en majorité des filles, disaient s’adonner à cette pratique. Cette mode est de plus en plus courante chez les étudiants universitaires qui souhaitent rester minces tout en faisant la fête.
 
Ainsi, ce phénomène appelé drunkorexia consiste à couper les calories de la journée en sautant un repas afin de pouvoir boire durant la soirée tout en ne consommant pas de calories supplémentaires.
 
Ceci prouve encore une fois à quel point la pression est grande auprès des jeunes filles au sujet de leur poids et de leur image corporelle. En fait, trois fois plus de filles sont touchées par la drunkorexia.
 
Cette pratique expose à l’alcoolisme, mais aussi à des troubles alimentaires et d’autres problèmes de santé physique et mentale.
 
Le cerveau se trouvant privé d’une alimentation adéquate, les jeunes auront notamment plus de problèmes de concentration dans leurs études. Cela pourrait même causer de graves troubles cognitifs à court et long terme.
 
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Les Québécois ne discutent plus autour d’un repas

Dans le cadre du projet Tout le monde à table, les chercheurs de l’Université de Montréal ont dévoilé un autre volet à leurs recherches.
 
En effet, après avoir appris que les familles québécoises avaient du mal à planifier leur repas et que 44 % des parents ne savent pas ce qu’ils mangeront à 17 h trois jours pas semaine, on apprend que les repas en famille n’ont malheureusement plus la cote.
Ces moments de la journée ne sont plus des instants d’échange autour du repas.
Une famille sur deux ne partage pas l’heure du repas du soir ensemble. Pire, bien souvent, la famille mange devant la télévision. Le tiers de ces personnes a répondu préférer regarder la télé plutôt que discuter en famille.
 
Il s’agit là de tristes résultats, car ce moment devrait servir à raconter la journée, et surtout, les repas en famille permettent de donner l’exemple aux enfants en matière d’éducation alimentaire.
 
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Les familles québécoises ne savent pas quoi manger

Une vaste enquête québécoise intitulée Tout le monde à table, menée par des nutritionnistes, mentionne que les familles québécoises n’ont pas tendance à planifier la préparation de leurs repas.
 
Cette étude visait les familles avec des enfants de moins de douze ans afin de connaître les habitudes alimentaires au quotidien.
 
On constate que 44 % des parents ignorent ce qu’ils mangeront au souper au moins trois fois par semaine. Cela peut engendrer un stress totalement inutile.
 
35 % des répondants ont dit qu’il est difficile de conserver de saines habitudes alimentaires par manque de temps, et 34 % des familles soupent en regardant la télévision.
 
À en croire les résultats de cette étude, les enfants ne demandent qu’à suivre les parents dans la cuisine. 56 % des enfants disent ne pas cuisiner ou cuisiner peu avec leurs parents. Pourtant, 8 enfants sur 10 aimeraient le faire plus souvent et s’intéressent vraiment à la cuisine.
 
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La famille influence notre ouverture sur les nouveautés alimentaires

Encore une fois, une recherche mentionne que les repas en famille sont d’une grande importance pour les enfants. Ils encouragent les petits à s’ouvrir et essayer de nouveaux aliments, mentionne le Science Daily.
 
Les chercheurs ont observé 75 familles pendant les repas pour déterminer les facteurs d’évolution du comportement alimentaire des enfants capricieux. Il semblerait qu’une intervention amicale entre la mère et l’enfant serait plus efficace que la pression pour faire accepter de nouveaux aliments aux jeunes.
 
Il s’agit de la première étape d’une étude à long terme. Chaque famille sera revisitée l’année prochaine pour continuer l’observation de l’évolution alimentaire des enfants.
Nous savions déjà que les repas en famille favorisent la saine harmonie et sont propices aux discussions. De plus, il a été démontré que les enfants imitent bien souvent les comportements alimentaires de leurs parents.
 
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Retour du repas en famille

Les aliments M & M invitent les Québécois à participer, le 15 septembre prochain, à la septième édition de la Soirée nationale du souper en famille Les aliments M & M.

Vous êtes invité à confirmer votre participation au www.soireenationaledusouperenfamille.ca. Pour chaque inscription, Les aliments M & M verseront 1 $ à la Fondation des maladies inflammatoires de l’intestin, jusqu’à concurrence de 100 000 $.

Depuis six ans, cet événement a permis de verser un total de 21,5 millions de dollars à la Fondation.

« Prendre un repas en famille peut avoir un effet positif et durable sur la communication entre parents et enfants », affirme Paul Lachance, président des aliments M&M. « La Soirée nationale du souper en famille encourage les familles débordées à se rapprocher en passant plus de temps ensemble et en discutant autour d’une bonne table, tout en appuyant une bonne cause ».

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Le vin lors des repas expose à un risque de maladies graves

Les couples qui partagent une bouteille de vin lors des repas s’exposent à un danger important.
 
Alors que l’on raconte que l’alcool peut avoir des effets bénéfiques sur la santé cardiovasculaire, le Daily Mail mentionne maintenant que ces bienfaits sont contrecarrés par d’autres risques de maladies comme le cancer et les accidents vasculaires cérébraux.
 
Vous pouvez donc devenir des buveurs à risque, même si n’avez pas une dépendance envers l’alcool.
 
Selon la recherche, les femmes sont également plus à risque que leur partenaire, car leur tolérance à l’alcool est moindre.
 
Les personnes qui boivent plus de deux fois la quantité hebdomadaire d’alcool recommandée augmentent de sept fois leur risque de maladies du foie, de cinq fois leur risque de cancer de la bouche et de trois fois les risques d’attaques. Les femmes voient leur risque de cancer du sein être multiplié par deux.
 
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Les repas familiaux harmonieux incitent à manger plus

Une étude parue dans le Journal of Nutrition Education and Behavior a étonné de nombreux chercheurs.
 
Les résultats de leur recherche démontrent que les jeunes mangent plus lors de repas en famille harmonieux entre tous les membres. Pourtant, on croyait que le stress engendré par les disputent incitait à consommer plus de nourriture, mais c’est plutôt l’effet inverse.
 
L’étude a suivi 1 500 enfants. Apparemment, lorsqu’il y a des conflits au repas, les jeunes sont portés à manger et quitter la table rapidement.
 
Pour 16,5 % des familles, les repas étaient déplaisants et pour 21 % des mères, le souper était le moment le plus stressant de la journée.
 
Le manque de temps est la grande problématique. Avec les deux parents qui travaillent, cela laisse peu de temps à la détente, donc les conflits sont plus nombreux.
 
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De l’aide pour réduire votre apport calorique

Ceux qui souhaitent perdre du poids pourraient bientôt compter sur un petit dispositif ressemblant à une montre qui calcule le nombre de bouchées et de calories ingérées. 

Ce sont des chercheurs du Clemson University en Caroline du Sud qui ont créé le Bite Counter,qui surveille les mouvements du poignet pour calculer le nombre de bouchées que vous avez prises. Un peu comme un podomètre pour calculer le nombre de pas que vous faites durant la journée.
 
Le Bite Counter doit être allumé avant le repas et éteint à la fin. Sa pile a une autonomie de 14 heures. Le nombre de calories est aussi calculé selon le nombre de bouchées prises. Apparemment, les résultats seraient exacts à 90 %.
 
Vous pouvez même configurer l’appareil pour émettre un petit signal d’alarme lorsque vous avez atteint le maximum de calories que vous devez prendre. Il est ensuite possible de télécharger toutes les données sur votre ordinateur.
 
Cet appareil ne fait pas l’unanimité pour l’instant, surtout en raison de son prix élevé, qui est fixé à 800 $.
 
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On mange mieux à la maison

Il a été démontré récemment que l’humain est génétiquement programmé pour préférer les aliments gras et caloriques, à l’origine pour des questions de survie.
 
Mais voilà, il pourrait être possible de déjouer la génétique. Une étude publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition dévoile que les repas pris à la maison sont généralement plus sains que ceux pris à l’extérieur.
 
Ceci notamment en raison du fait que ce sont généralement des émotions positives qui sont reliées aux repas pris à la maison. Cela pourrait être la clé d’une alimentation saine, car les choix auraient tendance à être meilleurs pour la santé.
 
Toutefois, cette étude comporte des lacunes, selon certains experts, car elle a été effectuée auprès de 160 femmes blanches anglophones et non obèses. L’échantillon n’est donc pas assez varié pour généraliser les résultats à la population en général.
 
L’étude offre tout de même un point de vue sur une stratégie possible, qui serait à étudier plus en profondeur.