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Les repas ne se savourent plus

La vie moderne est si prenante que les gens ne prennent plus le temps de s’asseoir pour manger et savourer leur repas.
 
Une étude britannique révèle que les gens passent en moyenne 7 minutes et 29 secondes pour le petit déjeuner, qui se résume souvent en une seule tranche de pain. Le midi, au déjeuner, on se contente d’un sandwich sur le coin du bureau, avalé en 12 minutes 49 secondes. Finalement, le dîner se conclut en 19 minutes, pour un total de 39 minutes que nous accordons quotidiennement à nos repas.
 
En plus, nous sommes souvent si distraits par d’autres occupations que nous mangeons notre repas au complet, sans nous apercevoir que nous n’avons plus faim.
 
L’étude révèle que 68 % des personnes aimeraient avoir plus de temps pour manger et que neuf personnes sur dix disent s’être senties plus appréciées lors des rares occasions de repas en famille.
 
La télévision occupe aussi du temps durant nos repas. 31 % des répondants l’écoutent au petit déjeuner, alors qu’ils sont 53 % à le faire au repas du soir.
 
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Les enfants qui déjeunent sont moins souvent obèses

De multiples documentations mettent l’accent sur l’importance du petit déjeuner, surtout chez les enfants. Dans l’édition de juillet de l’International Journal of Obesity, une recherche effectuée en Chine vient appuyer les faits en affirmant que la prise du déjeuner prévient l’obésité chez les enfants.

Plus de 68 000 élèves de Hong Kong ont participé à l’étude, durant laquelle les chercheurs ont établi le lien direct entre l’obésité et les jeunes qui ne prennent pas leur déjeuner.
 
Le surpoids chez les jeunes est devenu une préoccupation mondiale et il est important de modifier rapidement cette mauvaise habitude alimentaire, qui constitue un changement simple pour éviter les éventuels problèmes de rondeurs.
 
À titre de preuve, lors de la recherche, il a été prouvé que les enfants de 9 et 10 ans qui passaient par-dessus le déjeuner présentaient une prise de poids supplémentaire importante entre 11 et 12 ans, en comparaison avec leurs autres camarades de classe. Ces résultats sont significatifs tant chez les garçons que chez les filles.
 
Tant pour les adultes que pour les enfants de tous âges, le déjeuner, surtout lorsqu’il est constitué d’un bon apport en protéines, élimine la sensation de carence de l’organisme.
 
Autrement, l’organisme se met en alerte et de lui-même, il emmagasine plus de graisses en prévision d’un nouvel épisode de jeûne.
 
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Poisson au menu pour une diminution des risques de prématurité

Magicmaman rapporte les résultats d’une étude publiée dans la revue Obstetrics & Gynecology. La consommation de poisson pendant la grossesse diminue jusqu’à 40 % les risques d’accoucher avant terme.

Lorsque vient le temps de choisir un type de poisson chez l’épicier, les choix ne manquent pas. Du saumon à la morue, en passant par le doré ou le tilapia, peu importe la façon dont vous le cuisinez, le poisson est une excellente source d’oméga-3 et qui plus est, il est faible en gras.
 
Une récente recherche américaine s’ajoute aux diverses études menées pour diminuer les sources potentielles de prématurité. Les femmes ayant participé ont rempli un formulaire sur leurs habitudes alimentaires. L’objectif de l’étude consistait à déterminer la corrélation entre la consommation d’acides gras oméga-3 entre la 16e et la 22e semaine et les risques d’accoucher avant terme.
 
Les chercheurs ont obtenu des résultats probants, si l’on considère la diminution du risque de prématurité atteignant 40 % lors d’une consommation régulière de différents poissons, soit au moins 3 fois par semaine.
 
Cette habitude en est une à transmettre à bébé éventuellement, puisque cela contribue également à la diminution des risques d’asthme chez l’enfant.
 
À noter que la dépression est reliée entre autres au manque d’oméga-3 dans le cerveau. Ainsi, maman aura tout avantage à poursuivre elle aussi afin de diminuer les chances de dépression post-partum.
 
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Les repas en famille pour prévenir les troubles alimentaires

Les repas en famille ont un impact favorable chez les jeunes, notamment au niveau de leur santé.
 
Selon le Daily Mail, les repas réguliers en famille aident à prévenir les troubles alimentaires comme la boulimie et l’anorexie chez les adolescents.
 
Des repas en famille au moins trois fois par semaine sont bénéfiques pour vos jeunes. De plus, cela aide à réduire le tabagisme également.
 
Une étude mentionne que les troubles alimentaires sont réduits jusqu’à 35 % chez les jeunes qui mangent au moins cinq fois par semaine avec leurs parents. Ces adolescents ont aussi tendance à adopter de meilleures habitudes alimentaires.
 
Les repas en famille favorisent également un meilleur contact et une meilleure communication.

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La diversité de nos repas est primordiale

Selon l’Agence de sécurité sanitaire de l’alimentation (Anse), de nombreux aliments courants contiennent de faibles quantités de substances chimiques qui pourraient être toxiques si elles sont consommées en trop grande quantité. Voilà pourquoi on recommande fortement aux gens de diversifier leurs repas.
 
Les céréales et produits dérivés, par exemple, contiennent du cadmium, du plomb ou de l’aluminium. Le café aurait des traces de cuivre, d’arsenic inorganique et d’acrylamide. Le lait contiendrait du plomb et du zinc.
 
Cependant, les aliments qui pourraient s’avérer être les plus nocifs en raison de leur niveau plus élevé de substances chimiques sont les poissons gras qui contiennent de la dioxine et du PCB, de même que le thon qui renferme du méthylmercure. Leur consommation doit donc être modérée.

Toutefois, l’étude de l’Agence note qu’il est rassurant de constater que 85 % des substances analysées ne se retrouvaient pas à des niveaux dangereux pour la consommation humaine.

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Le pire moment de la journée!

Une intéressante étude ayant porté sur 2 000 mères du Royaume-Uni nous révèle les pires moments de la journée pour une mère de famille. Les résultats de cette recherche menée par Betterbathrooms ont été présentés dans le Telegraph.

L’heure la plus stressante est 17 h 55, ce qui correspond au moment de la préparation du repas du soir. Il semble que la conciliation travail-famille comprenne certaines plages horaires assez intenses pour les mamans.

De plus, la moitié des mères ont ajouté que leurs enfants refusent de manger, une fois le repas servi. Elles trouvent aussi difficile de varier les plats chaque jour.

La seconde position du moment le plus stressant est 7 h 15, qui est aussi l’heure, pour plusieurs familles, du bain des tout-petits. Vient ensuite le moment de dormir, soit 20 h 45. Plusieurs mères seront soulagées d’apprendre qu’elles ne sont pas les seules à avoir de la difficulté à endormir leurs rejetons.

Les mères ayant participé à ce sondage ont finalement avoué que s’occuper de leur famille est plus stressant et demandant que leur emploi.

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Concentrez-vous sur votre repas pour rester mince

Si vous souhaitez rester mince, concentrez-vous sur vos repas et ne vous laissez pas distraire par le reste. C’est la conclusion à laquelle parvient une recherche publiée par le DailyMail.
 
Se libérer des distractions extérieures aiderait à rester en forme. L’esprit doit être en harmonie avec le corps pour entendre les messages chimiques qui indiquent que l’on a assez mangé.
 
Durant la recherche, les personnes qui se concentraient sur leur nourriture ont perdu en moyenne près d’un demi-kilo.
 
Manger devant son ordinateur, en jouant ou en répondant à ses courriels, est donc plutôt nocif pour la ligne.

De plus, n’oubliez pas de manger lentement. Il faut 20 minutes au cerveau pour enregistrer le message que vous êtes bien rassasié. Si vous mangez en vitesse, vous risquez de consommer plus, car votre cerveau n’a pas le temps de bien assimiler que vous avez assez mangé.

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Un nouveau modèle de repas dans les 10 prochaines années

Une étude effectuée sur l’avenir de la nourriture au Canada révèle que dans les 10 prochaines années, on assistera à un déclin des plats réchauffés au four micro-ondes et à l’arrivée d’un nouveau modèle nutritionnel.

En fait, les jeunes nés après 1993 vont modifier le modèle des 3 repas par jour, car ils sont déjà plus enclins à sauter des repas. Les personnes de la génération X (nées entre 1967 et 1975) prendront de plus en plus des petits déjeuners simples, des entrées composées de viandes et des repas faciles à préparer.

Quant aux baby-boomers, ils se tourneront plus vers les plats à réchauffer au four micro-ondes.

Par contre, les données sont différentes aux États-Unis, où même les petits déjeuners pour le four micro-ondes gagnent en popularité, et l’on parle d’une progression de 13 % au cours des prochaines années.

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Des patates pour lui faire manger plus de légumes!

Une étude américaine a fait une découverte amusante quant à la consommation de légumes des enfants. Il semble que si le repas d’un enfant comprend des pommes de terre, il sera porté à manger plus de légumes, selon UPI.

C’est que selon cette recherche, les plats comprenant la pomme de terre ont tendance à inclure d’autres légumes dans une meilleure proportion que les autres plats. Aussi, un tel repas contient plus de potassium qu’une banane.
 
D’autre part, il semble que les enfants qui mangent régulièrement des pommes de terre ont un régime alimentaire plus varié en général et ils mangent plus de légumes également. Il n’y a toutefois pas de différence quant au surpoids et à l’obésité si un enfant mange ou non des pommes de terre.
 
Ces données proviennent d’un sondage effectué auprès de 11 500 enfants âgés de 5 à 18 ans.

Toutefois, ladite pomme de terre ne doit pas être frite. Elle peut être bouillie, cuite au four, pilée ou rôtie.

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Le café serait nocif après un repas riche en gras

Une nouvelle étude démontre que boire du café après avoir consommé un repas riche en gras saturés fait grimper le taux de glucose dans le sang des personnes en bonne santé, comme ce que l’on peut remarquer chez les personnes à risque de souffrir du diabète.
 
Selon le Journal of Nutrition, après avoir étudié les effets sur 11 hommes de 20 à 30 ans, on remarque que le taux de sucre grimpe en flèche.
 
« Nos résultats montrent que la caféine consommée après un repas riche en gras saturés crée une résistance à l’insuline chez les personnes en santé de façon similaire à ce que l’on voit chez les prédiabétiques. De plus, cette résistance peut durer de longues heures. La présence prolongée du glucose dans le sang n’est pas saine et cela peut influencer le fonctionnement des organes », explique l’auteure principale de la recherche, Marie-Soleil Beaudoin.
 
Toutefois, on n’observe aucun effet avec les cafés décaféinés, ce qui prouve que c’est la caféine qui pose problème, car elle entraîne une résistance à l’insuline.