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Profitez du congé des fêtes avec vos enfants

SheKnows propose quelques incontournables pour s’amuser dans la neige avec les enfants, même lorsque c’est une corvée.

Transformez la neige en alliée

Pelleter peut s’avérer la pire des corvées ou un allié de taille pour faire de l’exercice (400 calories brûlées en 1 heure).  D’autre part, utilisez les enfants pour vous aider à dégager l’entrée, par exemple, en roulant des boules pour créer un bonhomme de neige.

N’hésitez pas à délaisser votre pelle quelques instants pour aider vos enfants à commencer leur fort ou terminer leur bonhomme. Transformez cet instant de travail en activité.

Retrouvez votre cœur d’enfant

Vous souvenez-vous du plaisir que vous aviez à glisser sur les buttes derrière l’école? Eh bien, retournez-y avec les enfants et profitez-en pour brûler quelques calories en remontant les traîneaux à répétition.

Courir dans la neige ou marcher dans la neige fraîchement tombée pour faire des chemins avec vos bottes, avec les enfants, est une excellente façon de faire du cardio. Joignez le chien à votre séance d’exercice et faites la course avec lui et les enfants.

Nettoyez une longue rangée dans la cour arrière et faites-en une patinoire. Par la suite, les enfants pourront s’élancer à plat ventre ou sur les genoux (avec un habit de neige) et atterrir dans la neige à l’autre bout.

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Temps des fêtes : Un gain moyen de quatre livres et trois mois pour le perdre

À l’approche de la fête de Noël, le Daily Mail (UK) rapporte une amusante étude sur l’alimentation lors du temps des fêtes, dressant un portrait des habitudes moyennes en termes de nutrition et de gain de poids lors de cette période festive.

Ainsi, grâce à cette étude-sondage réalisée pour le compte d’une compagnie de suppléments alimentaires, on apprend que 52 % des gens doublent leurs apports caloriques, et que 44 % des répondants « se laissent complètement aller lors du temps des fêtes ». Une hilarante affirmation qui se traduit par un gain de poids moyen de quatre livres.

De plus, ce poids pris en l’espace d’une seule semaine, toujours en moyenne, prendrait ensuite trois ou quatre mois pour disparaître!

On peut donc dire que ce poids ajouté lors du temps des fêtes pourrait vous suivre… jusqu’à Pâques.

Les mets traditionnels, les aliments frits, les grignotines et, bien sûr, l’alcool, sont tous à blâmer, mais avouons qu’il n’est pas mauvais de cesser de se donner mauvaise conscience et de prendre une pause d’obsession de la minceur une fois par année.

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Pour manger moins, il faut commencer par le fruit

Ajoutez une nouvelle maxime à votre dictionnaire de nutrition, car le Daily Mail (UK) rapporte une étude qui suggère aux gens qui souhaitent maigrir ou contrôler leurs pulsions alimentaires de se tourner vers un truc simple.

En clair, « pour manger moins, il faut commencer par le fruit », somme l’équipe de chercheurs américains basée à l’Université Cornell, qui dirige cette recherche alimentaire.

Amorcer un repas par un fruit frais ou un yogourt, par exemple, aurait un impact direct sur la quantité de nourriture avalée plus tard, ainsi que sur le choix des aliments.

L’étude utilise l’exemple d’un buffet ouvert et à volonté pour tester et expliquer cette théorie, qui semble vérifiable.

Lorsqu’ils ont placé des fruits et du yogourt en première ligne d’un buffet créé de toutes pièces, les sujets ont presque tous accepté l’offre (85 % ont mangé un fruit).

Puis, ce groupe ayant mangé l’aliment santé en guise d’entrée a systématiquement fait de meilleurs choix plus tard lors du repas, en plus de manger moins, que ceux qui n’avaient pas commencé par un fruit.

Il s’agirait donc d’un truc des plus efficaces pour contribuer à contrôler son poids et à manger mieux, ou à manger moins. 

Les résultats de cette étude ont été publiés dans la plus récente édition du magazine PLOS One.

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Médias sociaux : Les photos de nourriture ruinent votre appétit

Selon une nouvelle étude alimentaire qui analyse certains comportements sur les médias sociaux en lien avec la nourriture, les fameuses photographies de repas pourraient bien créer un phénomène inverse à celui que l’on croit.

Des chercheurs de la Brigham Young University (BYU) et de l’Université du Minnesota ont analysé le comportement de 232 participants volontaires dans le cadre d’une étude comportementale sur l’appétit et l’alimentation. Ils constatent que le simple fait de voir la nourriture des autres sur internet coupe l’appétit.

« En un sens, vous devenez fatigué de ce goût sans même avoir goûté le plat. C’est de l’ennui sensoriel. Vous êtes passé à autre chose. Vous ne voulez plus cette expérience désormais », explique Ryan Elder, professeur à la BYU et coauteur de l’étude.

La recherche, rapportée par MedicalNewsToday, a été publiée dans The Journal of Consumer Psychology et démontre pour la toute première fois l’impact des médias sociaux sur nos comportements et sur nos désirs.

Par exemple, les participants qui voient défiler des mets sucrés seront plus attirés par le salé, et vice versa. L’un des avantages de ce constat avancé par les chercheurs impliqués dans cette recherche est qu’il serait peut-être souhaitable pour quelqu’un qui veut éviter certains types de nourriture de regarder plusieurs photographies du plat interdit, et ainsi d’arrêter son choix sur autre chose.

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Les pâtes et la soupe, au secours des enfants difficiles

Todays parent suggère d’utiliser les pâtes à toutes les sauces pour intégrer des ingrédients santé aux repas des enfants qui font la moue trop souvent et à qui il est difficile de faire avaler trois repas par jour.

Les pâtes

– Variez les types de pâtes et les couleurs (tomates séchées, épinards, garnies de fromage ou de viande);

– Remplacez les pâtes par du vermicelle de riz ou des nouilles aux œufs;

– Mettez de la couleur avec les légumes, que vous ajouterez très croquants et peu goûteux (comme le zucchini), ou encore, incorporez la patate douce;

– Utilisez les pâtes en salades froides, avec une sauce maison ou une vinaigrette, en ajoutant du concombre, des tomates cerises en dés (jaunes et rouges) et tout autre légume que votre enfant aime en trempette;

– Ajoutez différents fromages en cubes non fondus;

– Variez les ingrédients! Ajoutez des canneberges séchées et des noix, du poulet ou du jambon en cubes;

Les mêmes trucs s’appliquent pour les soupes, lesquelles vous pouvez faire avec différents bouillons maison. Vous pouvez même ajouter de petites boulettes de porc haché cuites à l’avance, comme dans les soupes « noces italiennes ».

L’important demeure souvent le visuel. Il vous revient d’inclure le côté nutritif essentiel.

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Les intrépides mangent plus épicé!

Une étude venant tout juste d’être présentée à la rencontre annuelle de l‘Institute of Food Technologists démontre le lien entre la préférence des aliments épicés et les personnalités intrépides.

Pour le Dr Alan Hirsch de la Smell and Taste Treatment ans Research Foundation à Chicago, il n’y a rien de surprenant. « Depuis longtemps, une hypothèse suggère que les gens en manque d’adrénaline prendront des risques pour contrer leur carence et se sentir mieux. C’en est de même pour la nourriture épicée; elle vous fait un peu souffrir et augmente donc votre taux d’adrénaline », dit-il.

L’étude s’est concentrée sur 200 individus non-fumeurs de 18 à 45 ans. Il leur a été demandé de remplir un questionnaire en notant leurs intérêts face à diverses activités plus ou moins trépidantes, tel qu’expliqué par Nadia Bynes du département des Sciences nutritives de l’Université de Penn State.

« L’échelle pose des questions sur combien l’individu aime certaines sensations, comme écouter de la musique forte, regarder des films à suspense, parler en public, jouer et parier ou encore se tenir debout sur le bord de quelque chose de haut en regardant vers le bas. »

Les sujets ont ensuite consommé un produit épicé et ont aussi dû noter leur appréciation. Il a été clairement déterminé que ceux ayant un faible pour les activités fortes en adrénaline préféraient également les aliments épicés.

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Différencier la bonne de la mauvaise nourriture en conserve

Sur le site telegraph.co.uk, l’expert nutritionniste et auteur Ian Marber explique qu’en plus des aliments frais, certains produits en conserve peuvent collaborer à une saine alimentation.

Cela signifie que vous pouvez avoir un repas sain, faible en gras et riche en protéines et en fibres tout en mélangeant produits frais et en conserve.

En plus d’être souvent assez économique et rapide à préparer, vous obtiendrez plus facilement vos deux à cinq portions de fruits et légumes quotidiennes recommandées, même en saison hivernale.

Carottes, petits pois, maïs, macédoines, ratatouille cuite; il ne faut que bien lire les étiquettes pour vous assurer que vous obtiendrez les éléments nutritifs appropriés sans consommer ceux que vous ne voulez pas.

Marber conseille de n’acheter que ceux qui sont dans l’eau et non pas dans l’huile ou les marinades. Choisissez donc les aliments non salés, non sucrés et sans huile.

Certains produits afficheront du sucre dans la liste des ingrédients, mais selon le nutritionniste, la plupart ne présenteraient qu’un infime pourcentage, et il ne faudrait donc pas s’en inquiéter.

Sachant que les ingrédients sont inscrits sur les étiquettes par ordre de quantité présente dans le produit, si le sucre ou le sel est inscrit sur la première ligne, il serait préférable de choisir une autre sorte.

Donc, en incorporant des produits en conserve à vos aliments frais, vous jouirez d’un repas tout à fait équilibré.

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Manger selon nos humeurs, ou mieux comprendre les signaux du corps

Plusieurs écarts et sautes d’humeur, qu’elles soient positives ou négatives, pourraient bien indiquer les changements observés par le corps et ainsi signifier quel aliment serait le bienvenu dans votre organisme.

Même chose en ce qui concerne plusieurs petits « problèmes de santé », selon ce que rapporte le Daily Mail (UK), puisqu’une multitude de messages seraient envoyés par notre corps pour nous indiquer les manques à pallier.

Par exemple, une humeur maussade pourrait signifier qu’il est temps de vous offrir un apport en viande comme un steak, alors que des chevilles enflées pourraient plutôt signifier un besoin en potassium (comblé par la banane, notamment). Les maux d’estomac pourraient être réglés par un apport en vitamine A, alors que la perte du goût indiquerait un manque en fer. Les douleurs musculaires (en général) pourraient quant à elles signifier un besoin en vitamine D.

C’est le genre de constat auquel arrivent plusieurs spécialistes, qui y vont de ces recommandations. Mangez donc selon vos humeurs et écoutez attentivement votre corps, qui détient souvent la clé de vos maux, mais qui demeure souvent incompris!

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Les oiseaux de nuit seraient plus enclins à prendre du poids

The National Library of Medicine rapporte des conclusions obtenues par des chercheurs de l’Université de Pennsylvanie qui tendent à démontrer que les oiseaux de nuit sont plus enclins à prendre du poids.

Selon l’équipe de chercheurs, les personnes qui évoluent la nuit sont notamment plus attirées par la malbouffe, en plus de dévorer leurs plats favoris à des heures peu recommandées et recommandables.

On le sait, les nutritionnistes et autres experts déconseillent de manger des trucs lourds et caloriques durant la nuit et avant le coucher. On déduit donc assez facilement la cause à effet de la prise de poids pour les travailleurs nocturnes et amoureux de la nuit.

Les chercheurs évaluent à 550 calories supplémentaires le nombre absorbé par les travailleurs qui demeurent en fonction jusqu’à 4 h du matin.

« Les gens ont consommé un montant substantiellement plus élevé de calories durant les heures tardives où ils seraient normalement au lit. Ces calories étaient aussi plus élevées en gras que celles consommées à d’autres moments de la journée », explique Andrea Spaeth, de l’Université de Pennsylvanie, qui conduisait la série de tests sur un groupe de sujets volontaires.

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Perte de poids : Deux repas ou six, telle est la question

Plusieurs spécialistes avancent depuis un bon moment qu’il serait plus favorable de manger six petits repas au lieu de trois gros au cours d’une journée.

C’est même devenu une « norme » en termes de conseils nutritionnels, en grande majorité, mais voilà que le Daily Mail (UK) rapporte une nouvelle recherche qui ose défier le concept.

Cette dernière provient de l’Institute for Clinical and Experimental Medicine de Prague et est menée par Hana Kahleova.

La chercheuse a demandé à 54 sujets de suivre deux types de régime à tour de rôle, et ce, sur une période d’étude de 12 semaines (par type de régime).

Les deux diètes comprenaient bien sûr le même nombre de calories et d’éléments nutritionnels, et celle qui ne comprenait que deux repas par jour aurait mené à une perte de poids plus importante, par quelques points.

Cependant, tous ne sont pas convaincus, à commencer par Toby Smithson, porte-parole de l’U.S. Academy of Nutrition and Dietetics. Ce dernier croit qu’il s’agit d’une mesure irréaliste, parfois même impossible selon les individus.

Madelyn Fernstrom, spécialiste en nutrition chez NBC, croit que l’étude démontre qu’il est favorable de manger le moins souvent possible au cours d’une journée, tout en conservant les repas et calories nécessaires, car cela permet de manger moins.

Qui a raison?