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Les goûts et les couleurs, ça se dispute parfois

La couleur et la nature des couverts influent sur la façon dont nous percevons la nourriture, rapporte une étude qui déconseille ainsi fortement l’usage du rouge pour stimuler l’appétit.

« La façon dont nous percevons la nourriture est une expérience multisensorielle qui implique non seulement le goût et la texture des aliments, mais aussi l’arôme et la vue », résument les auteurs de l’étude, publiée dans la revue scientifique Flavour.

« Avant même que la nourriture soit dans notre bouche, notre cerveau a déjà formé un jugement sur elle, ce qui affecte l’ensemble de notre expérience alimentaire », affirment les chercheurs de l’Université britannique d’Oxford.

La couleur rouge serait particulièrement dissuasive. « Le rouge pourrait être utilisé pour présenter de la nourriture aux gens qui doivent rationner leur alimentation, mais certainement pas pour ceux dont le poids est trop faible », affirme l’étude.

Les chercheurs ont procédé à une batterie de tests à l’aide de couverts de différentes couleurs, formes, matières et poids, pour évaluer leur impact gustatif sur des dizaines de volontaires.

Ils en arrivent à la conclusion que de la nourriture piquée sur un couteau a un goût plus salé que si elle est consommée avec une cuillère, une fourchette ou un cure-dents, et qu’elle semble « plus chère » si on la mange dans une cuillère en plastique légère.

Au début de l’année, une autre étude suggérait déjà que le chocolat chaud paraissait meilleur lorsqu’il était servi dans une tasse de couleur orange ou crème, plutôt que blanche ou rouge.

Les spécialistes assurent toutefois qu’il n’existe pas réellement de formule magique, et que tout dépend du type d’aliment consommé.

Par exemple, des boîtes jaunes permettent d’améliorer la saveur du citron dans les sodas, alors que des couleurs froides, comme le bleu, donnent l’impression d’une boisson plus désaltérante. Une boisson dans un contenant rose sera à l’inverse perçue comme étant plus sucrée.

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Les aliments à proscrire pendant la grossesse

Malheureusement, certains aliments ne causant habituellement aucun problème deviennent très risqués lorsqu’une femme attend un enfant. Afin de vous assurer la meilleure alimentation possible pendant ces 9 mois, le site Babble vous cite certains aliments que vous devriez tenir loin de votre assiette.

Les sushis. En effet, le poisson cru pourrait contenir la bactérie responsable de la listériose. Le fœtus pourrait s’en retrouver fort affecté. Même chose pour les fromages au lait cru et les viandes crues. En plus de la listériose, la toxoplasmose s’ajoute aux risques pour ces formages.

Une autre bactérie pouvant causer de sérieuses intoxications est la salmonellose. Celle-ci peut être retrouvée dans les œufs crus, donc, bien tristement, dans certains desserts. Il faudra toujours s’assurer que les desserts n’en contiennent pas quand viendra le moment de vous sucrer le bec.

La consommation d’alcool, de café ou d’autres stimulants de la sorte devrait être limitée pour ne pas dire évitée.

Aussi, un récent rapport de l’Agence française de sécurité des aliments émettait une inquiétude quant à la consommation d’édulcorant. Un lien aurait été fait entre sa consommation et les accouchements prématurés.

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Déjeuner pour éviter le diabète

Voilà les trouvailles faites par la Dre Elizabeth Thomas de l’Université du Colorado lors d’une petite étude publiée par HealthDayNews.

Bien que les résultats de seulement 9 femmes d’âge moyen de 29 ans aient été analysés, ils ont montré une incidence directe. Les tests consistaient simplement en l’analyse des taux de sucre et d’insuline après le dîner.

Le premier jour, chaque femme avait aussi consommé un déjeuner. À ce moment, les taux se seraient montrés normaux. Le lendemain cependant, n’ayant pas ingéré de déjeuner, elles présentaient toutes une résistance à l’insuline, ce qui nécessiterait normalement une injection pour assurer l’équilibre du sucre dans le sang.

La Dre Thomas explique que bien que l’étude soit petite, les résultats sont très intéressants, même si le long terme n’a pas été observé pour le moment. En effet, si ces symptômes devenaient chroniques, les risques de souffrir de diabète augmenteraient.

Pour bien comprendre, il faut savoir qu’après un repas, le taux de glucose s’élève dans notre sang. C’est alors que notre système se met à libérer plus d’insuline, afin de convertir ce sucre en énergie. Si un déjeuner n’est pas consommé, le système aura besoin d’encore plus d’insuline pour gérer le prochain repas.

Alors que ces résultats sont en effet intéressants, ils ne démontrent qu’un lien, et non pas une causalité. De plus amples recherches devront être conduites afin d’approfondir celle-ci.

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Trois petites promenades qui peuvent tout changer

Le simple fait de faire une bonne marche après les repas pourrait grandement améliorer votre santé et votre qualité de vie, selon The National Library of Medicine.

De plus, une petite promenade amicale permet de faire baisser les risques de diabète, notamment de type II, selon les chercheurs de la George Washington University School of Public Health and Health Services.

Loretta DiPietro, auteure principale de l’étude en question, estime même que trois petites promenades de 15 minutes par jour, donc une fois après chaque repas, permettent de plus grands bénéfices pour la santé qu’une seule grande marche de 45 minutes quotidiennement.

« Plus important, les marches d’après-repas sont significativement meilleures que les deux autres prescriptions d’activité physique proposées pour faire baisser les taux de sucre dans le sang », lance DiPietro.

Il faut avouer que la méthode possède également l’avantage d’être simple, non éreintante, et qu’elle s’intègre facilement dans les activités quotidiennes.

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Un restaurant propose de rattraper sa commande… à la volée!

Est-ce un oiseau ou un avion? C’est votre repas qui vole jusqu’à vous! Voici le premier système de plateaux volants au monde…

À Londres, la chaîne de restaurants japonais Yo! Sushi a développé un nouveau gadget : le iTray, un plateau qui sert les repas en volant jusqu’à la table du client et attend qu’il prenne son assiette avant de repartir.

Piloté à courte distance par les serveurs grâce à un iPad, l’iTray est un plateau léger en fibre de carbone qui peut se déplacer jusqu’à 40 km/h sur un rayon de 50 mètres, rapporte Sky News.

Ce gadget, à l’essai au restaurant phare de la chaîne dans le quartier de Soho à Londres, a pour objectif de faire la promotion du tout dernier plat du restaurant : le Yo! Burger, un sandwich à la japonaise qui remplace le pain du hamburger par un pain de riz japonais grillé garni au poulet, saumon, crevettes, poisson ou tofu. 

« Ça avait l’air de sortir tout droit d’un roman de science-fiction », raconte un client dans la vidéo de démonstration du « premier serveur volant ».

Yo! Sushi est connu pour son système de tapis roulant qui permet de se servir soi-même. S’il a du succès, le système iTray pourrait bien s’étendre aux quatre coins du Royaume-Uni d’ici 2014, selon Sky News.

Les restaurants asiatiques ont une sacrée avance en ce qui concerne le service automatique : beaucoup d’entre eux remplacent les serveurs par des robots, et les chefs cuisiniers ont des machines automatiques pour couper les nouilles.

Regardez la vidéo des serveurs volants de Yo! Sushi ici.

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Le poids idéal, selon Jean-Michel Cohen

Le Dr Jean-Michel Cohen s’avère être un personnage qui détonne un peu en comparaison des autres nutritionnistes et auteurs.

C’est que le sympathique spécialiste n’hésite pas à personnaliser le concept de « poids santé » et déconseille vivement aux personnes qui désirent perdre du poids de se fixer des objectifs trop éloignés de leurs caractéristiques physiques.

Cette fois, c’est le Telegraph (UK) qui le cite en rapportant certains propos de l’auteur, à commencer par ceux qui traitent de la génétique.

Cette génétique qui, très souvent, trace des inévitabilités pour chaque individu. Des caractéristiques qui risquent de rendre une personne fort malheureuse si cette dernière se fixe des objectifs basés sur la génétique de quelqu’un d’autre.

Spécialement si l’on se fie à une image renvoyée par les médias ou les magazines, croit Cohen, qui lance le conseil suivant : « Ne soyez pas trop durs envers vous-même ». Le poids idéal d’une personne serait celui observé à son plus mince, sans régime.

Il explique d’abord l’importance de cesser de trop culpabiliser, mais de compenser. Par exemple, si vous faites un écart de conduite alimentaire aujourd’hui, cessez de vous culpabiliser et soyez plutôt vigilant le lendemain.

Il suggère également que l’alcool, surtout le vin,  n’est pas un ennemi mortel lorsque consommé avec modération, et que plus vous achetez de légumes lors de votre marché, plus vous pourrez manger sans gêne.

Il termine en conseillant d’éviter le stress à table et d’apprécier chaque repas!

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Photographier ses repas pourrait indiquer un trouble alimentaire

S’il y a une mode bien étrange en ce moment, c’est celle de prendre des repas en photo pour les partager sur les nombreux réseaux sociaux.

Qui n’a pas déjà vu passer des photographies d’assiettes remplies, de fast-food ou de sushis, se demandant quel était le but réel de cette manœuvre.

Pour Valerie Taylor, du Women’ s College Hospital de l’Université de Toronto, ce phénomène n’est pas toujours bénin. En fait, il est même probable qu’il cache un problème alimentaire chez plusieurs de ces personnes, rapporte La Dépêche, qui reprend les propos de la spécialiste.

« J’ai des patients pour qui la nourriture est devenue problématique, et il leur est difficile de sortir sans parler d’autre chose que de ce qu’ils mangent, quand ils mangent, le moment où ils vont de nouveau passer à table », explique Taylor.

Vous reconnaissez quelqu’un qui ressemble à ce profil? Ou peut-être faites-vous vous-même partie de cette catégorie…

Pour la spécialiste, qui s’exprimait lors du Sommet canadien sur l’obésité récemment, l’obsession de la nourriture est un trouble alimentaire en soi, et souvent un pas vers l’obésité.

« On prend des photos de ce qui est important pour nous, et pour certaines personnes, la nourriture devient centrale alors que tout le reste — le lieu, les personnes, etc. — fait uniquement partie du décor », termine Taylor, qui présente ici un problème fort intéressant.

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Une étude écorche les supposés repas santé de la chaîne Subway

Des chercheurs américains basés en Californie se sont penchés sur certains repas offerts par des chaînes de restauration rapide, et leurs conclusions écorchent solidement certains repas publicités proposés par la chaîne Subway.

On avance même, rapporte le Daily Mail, que plusieurs repas Subway s’avèrent parfois moins « santé » que certains autres offerts chez McDonald’s!

Ce serait notamment vrai en termes de calories et de teneur en sel, Subway coiffant même McDonald’s au poteau dans cette dernière catégorie.

Ce qui dérange les chercheurs américains, c’est que Subway utilise la carte « santé » dans toutes ses promotions, laissant croire aux consommateurs qu’ils font un choix tout à fait éclairé en choisissant les sous-marins Subway.

Or, selon les résultats avancés par l’équipe de chercheurs, la moyenne calorique d’un sous-marin Subway est de 955, contre 1038 pour un repas de chez McDonald’s. Une faible différence, si on considère de plus que Subway propose une moyenne de 2149 milligrammes de sel dans ses repas, contre 1829 pour McDonald’s.

Bien que cette dernière chaîne s’avère somme toute « pire » dans plusieurs catégories, les chercheurs tiennent simplement à prévenir la population que l’entreprise Subway en est également une de restauration rapide et de malbouffe… comme les autres.

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Les restaurants de malbouffe ont manqué à leur promesse

On sait que les aliments que l’on retrouve dans les restaurants rapides de malbouffe sont très élevés en calories, sel et sucre. Ces facteurs contribuent non seulement à l’obésité, mais aussi aux problèmes cardiaques.

Les résultats d’une récente recherche menée par Mary Hearst, physicienne et professeure de santé publique associée à l’Université de St. Catherine au Minnesota, déçoivent grandement. Du moins, c’est ce que rapporte Medical News Today.

« Il s’agit de la première étude qui mesure l’amélioration de la qualité nutritive des aliments contenus dans les menus, et ce, pendant une période où le gouvernement encourageait ces restaurants à le faire », explique Hearst dans son rapport.

Ce sont les 8 chaînes les plus communes de malbouffe aux États-Unis qui ont été évaluées, dont la moitié d’entre elles sont implantées pour ainsi dire partout : McDonald’s, Burger King, Poulet frit Kentucky et Dairy Queen.

De tous les restaurants, seul Poulet frit Kentucky a fait un réel effort pour améliorer la qualité de la nourriture offerte dans ses menus. Sur l’échelle HEI (Healthy Eating Index), les autres ont obtenu au maximum une amélioration de 3 points, comparativement aux 9 points de PFK.

Margo G. Wootan, du Center for Science in the Public Interest à Washington, a appuyé ces résultats. Elle se dit « déçue des résultats », alors que ces mêmes compagnies se sont vantées d’avoir changé le mode de cuisson, l’apport en gras trans, puis diminué le sel dans leurs aliments.

Continuez donc à éviter la malbouffe, malgré la publicité qui contredit les résultats de cette recherche.

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Moins manger n’est pas gage de longévité

Il faut bien distinguer la différence entre le fait de manger peu et avoir un corps en santé, rapporte Top Santé, alors qu’une étude sur l’obésité rappelle que le fait de moins manger n’est pas un gage de longévité.

Si l’on inverse le raisonnement, donc, ce n’est pas le fait de manger beaucoup qui met votre santé (et votre vie) en danger, mais plutôt la prise de poids associée à ces comportements alimentaires qui crée un impact sur la durée de vie potentielle.

On revient ici sur la fameuse étude qui traçait un lien entre les nombreux centenaires recensés au Japon et leurs habitudes alimentaires, mais voilà que plusieurs autres recherches sur le sujet placent un bémol sur ce genre de raisonnement.

D’autres tests sur des rongeurs ont permis de constater que la quantité de nourriture ingérée ne changeait rien à leur espérance de vie.

Un constat qui fait dire au magazine La Recherche, qui publiait ces nouvelles conclusions : « Si on ne peut pas vivre plus longtemps en mangeant moins, on peut en revanche vivre plus longtemps en mangeant mieux ».

De sages paroles!