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Voici la preuve que le Canadien a d’excellentes chances de repêcher Connor Bedard

Chaque fois qu’on publie quelque chose en lien avec le prochain repêchage et Connor Bedard, on a droit aux experts à la boule de cristal qui commentent des trucs dans le genre « d’arrêter avec ça, car le Canadien n’a aucune chance. » 

Aujourd’hui, j’ai décidé de prendre quelques minutes pour vous prouver le contraire. 

Au moment d’écrire ces lignes, Montréal a d’excellentes chances de mettre la main sur Connor Bedard ou Adam Fantilli au second rang. 

La troupe de Kent Hughes est au 5e rang avec 8,5 % de chance de remporter la loterie. 

Saviez-vous que depuis 2016, et je vais préciser de nouveau 2016 pour être certain de faire taire certains critiqueux qui vont peut-être penser que je retourne en 1950, pas moins de 6 clubs qui ont terminé au 5e rang ou plus ont finalement joué de chance à la loterie et repêché dans le top 2 ? Cette statistique représente donc 6 fois lors des 7 derniers repêchages

Lors du dernier, les Devils du New Jersey occupaient le 5e rang et ont finalement avancé jusqu’au 2e rang, sélectionnant Simon Nemec

La loterie 2020 était plus particulière en raison de la pandémie, mais après avoir occupé le 18e rang du classement général, les Rangers de New York ont finalement remporté la loterie pour mettre la main sur Alexis Lafrenière

En 2019, les Rangers avaient également été très chanceux puisqu’ils sont passés du 6e rang au 2e rang, un choix devenu Kaapo Kakko

Les Hurricanes de la Caroline occupaient le 11e rang du repêchage de 2018, mais grâce à la loterie, ils ont finalement sélectionné Andrei Svechnikov au 2e rang. 

En 2017, les Devils du New Jersey ont mis la main sur le tout premier choix, devenu Nico Hischier, alors qu’ils étaient initialement au 5e rang. 

Lors de la cuvée de 2016, c’était au tour des Jets de jouer de chance en repêchant Patrik Laine au second rang alors qu’ils se situaient au 6e rang avant la loterie. 

Je pense qu’on peut donc dire que oui, le Tricolore a des chances de sélectionner au premier ou au deuxième rang. 

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Nick Suzuki parle de son apprentissage dans le rôle de capitaine du Canadien

Maintenant que la campagne 2022-23 est officiellement terminée, les joueurs du Canadien de Montréal s’adressent aux médias à Brossard. 

Le défenseur Mike Matheson est heureux de porter l’uniforme du Tricolore et il affirme se sentir de plus en plus confiant dans son jeu. 

Il a fait une déclaration très intéressante concernant Team Canada et vous pourriez le voir en action dans les prochaines semaines. 

Jonathan Drouin veut demeurer avec la formation montréalaise et il apprécie jouer sous les ordres de Martin St. Louis

Cependant, il sait que son avenir avec le club est très incertain. 


Sean Monahan a grandement apprécié sa première année dans la belle province. 

Il a d’ailleurs fait une déclaration qui risque de faire plaisir à de nombreux fans du Canadien. 

Le capitaine Nick Suzuki a lui aussi été très intéressant dans ses commentaires. 

Il affirme que les blessures ont été une occasion pour d’autres joueurs de pouvoir lever leur jeu d’un cran, ce qui a été bon pour le groupe de joueurs. 

Questionné sur son rôle de capitaine, il avoue qu’il continue d’apprendre dans ce rôle afin de devenir meilleur.

Suzuki dit se sentir de plus en plus confortable lorsque vient le temps de s’adresser au reste du club dans le vestiaire. 

Toujours à ce sujet, il croit que plus il va vieillir, plus il sera confortable dans ses responsabilités. 

Le numéro 14 dit qu’il n’est pas le genre de personne qui parle constamment, mais qu’il va le faire lorsqu’il a un point à apporter. 

Nick Suzuki a également lancé des fleurs à son coach Martin St. Louis, mentionnant qu’il est incroyable et que son expérience dans la LNH est un atout important. 

On a bien hâte à l’an prochain ! 

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Vos enfants savent-ils comment répondre au téléphone?

Parenting Squad rappelle que l’échange téléphonique n’est pas nécessairement inné.

Apprivoiser le téléphone

Il n’y a pas d’âge pour apprendre les bonnes manières à son enfant, pourvu qu’il soit en mesure de comprendre la façon dont on lui transmet l’information.

Pratiquez-vous avec lui avec de faux téléphones afin qu’il sache comment répondre s’il prend un appel.

Ensuite, intégrez un membre de la famille pour faire des essais, jusqu’à ce qu’il soit à l’aise.

Les bonnes manières

Il ne s’agit pas seulement de dire « allo », mais de connaître de petites phrases clés telles que : « un instant s’il vous plaît », « bonne journée », ainsi que le vouvoiement des étrangers et l’utilisation des titres « monsieur » et « madame ».

Les informations à ne pas transmettre

Un enfant ne doit jamais mentionner que ses parents sont absents, mais plutôt « occupés », et ne doit fournir aucune information personnelle ni ses coordonnées.

Les petits extras

Votre enfant doit aussi savoir que lorsque quelqu’un est au téléphone, il ne faut pas le déranger. Lorsqu’il est plus à l’aise et qu’il sait écrire, initiez-le à la prise de messages.

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Questions embarrassantes des enfants, comment y répondre?

La curiosité des enfants est naturelle, et la meilleure solution pour éviter les silences embarrassants est de répondre honnêtement à leurs questions. Cependant, il faut tenir compte de leur âge et adapter ces réponses à leur compréhension, rapporte She Knows.

Les questions les plus fréquentes portent sur les différences d’autrui. Rappelez-vous, la règle ultime consiste à ne pas repousser l’enfant ni le gronder. Laissez votre honte de côté.

Exemples :

« C’est quoi le problème avec elle/lui? » en parlant de quelqu’un de handicapé ou un sans-abri. La meilleure réponse est sans doute d’expliquer que d’une part, il est impoli de pointer ou de fixer quiconque, puis qu’il arrive que certaines personnes soient nées ainsi ou aient traversé de dures épreuves, et que l’on doit se considérer comme très chanceux.

« Pourquoi il est noir/blanc/gros? » Faites un sourire d’excuses à la personne concernée, puis expliquez que les gens sont tous différents, de la couleur de cheveux ou yeux à la couleur de la peau et la forme de leur corps. C’est le moment parfait pour enseigner à votre enfant qu’il faut accepter les gens, et que c’est l’intérieur qui compte et non l’extérieur.

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Comment répondre avec tact à un avis parental non sollicité

« Bien que j’apprécie connaître votre point de vue, je ne l’ai pas demandé. Je peux vous assurer que je connais cet enfant mieux que quiconque et que je peux gérer moi-même la situation. »

Voilà une réplique bien placée de Michelle Maffei de SheKnows, une mère qui affirme qu’elle utilise cette phrase chaque fois qu’un proche ou, pire, un étranger se mêle de son rôle de parent. Elle relate d’ailleurs qu’en retour, l’expression de son interlocuteur n’a pas de prix.

Les conseils parentaux non sollicités sont souvent loin d’être bienvenus. Mais surtout, évitez de perdre la face, comme l’explique la Dre Fran Walfish, psychothérapeute familiale. « Dans tous les cas, mieux vaut se taire. Nous vivons dans une culture de jugement et d’opinion. Par contre, nous savons tous que ce ne sont pas de leurs oignons. Point à la ligne. »

Ainsi,  Dre Walfish explique que le sourire demeure la meilleure porte de sortie. Bien entendu, répliquer est beaucoup plus satisfaisant. Mais plutôt que de débattre de vos valeurs personnelles avec des gens qui vous irritent, contentez-vous de les remercier de se « préoccuper » du bien-être de vos enfants.

Difficile à faire, mais le silence est d’or, surtout si vous n’arrivez pas à vous détacher des émotions négatives que font naître ces intrusions dans votre vie personnelle.

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« Bien que j’apprécie connaître votre point de vue, je ne l’ai pas demandé. Je peux vous assurer que je connais cet enfant mieux que quiconque et que je peux gérer moi-même la situation. »

Voilà une réplique bien placée de Michelle Maffei de SheKnows, une mère qui affirme qu’elle utilise cette phrase chaque fois qu’un proche ou, pire, un étranger se mêle de son rôle de parent. Elle relate d’ailleurs qu’en retour, l’expression de son interlocuteur n’a pas de prix.

Les conseils parentaux non sollicités sont souvent loin d’être bienvenus. Mais surtout, évitez de perdre la face, comme l’explique la Dre Fran Walfish, psychothérapeute familiale. « Dans tous les cas, mieux vaut se taire. Nous vivons dans une culture de jugement et d’opinion. Par contre, nous savons tous que ce ne sont pas de leurs oignons. Point à la ligne. »

Ainsi,  Dre Walfish explique que le sourire demeure la meilleure porte de sortie. Bien entendu, répliquer est beaucoup plus satisfaisant. Mais plutôt que de débattre de vos valeurs personnelles avec des gens qui vous irritent, contentez-vous de les remercier de se « préoccuper » du bien-être de vos enfants.

Difficile à faire, mais le silence est d’or, surtout si vous n’arrivez pas à vous détacher des émotions négatives que font naître ces intrusions dans votre vie personnelle.