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Kelly Clarkson réagit aux propos de Clive Davis

Kelly Clarkson n’entend pas se laisser intimider ou salir par le célèbre producteur Clive Davis, rapporte notamment le magazine People.

C’est que Davis a publié une biographie étonnante récemment, un ouvrage qui en a surpris et choqué plus d’un.

Et certains passages concernaient la chanteuse Kelly Clarkson, qui ne se réjouit pas de la situation. Il faut dire que le producteur, qui en a profité pour avouer sa bisexualité, y va de propos durs envers la chanteuse et première gagnante d’American Idol.

Selon ce qu’il décrit dans son livre, The Soundtrack of My Life, Clarkson aurait été prise d’une crise hystérique de larmes après avoir appris que Since U Been Gone avait été choisie pour figurer sur son album Breakaway.

« Pas vrai du tout. », réplique la chanteuse, avant d’ajouter que : « Ses histoires et ses chansons sont toutes mélangées. Je ne pourrais pas être plus fière de cette chanson. »

Elle en profite aussi pour expliquer qu’elle n’a pas pleuré pour cette pièce, mais plutôt après avoir fait entendre Because Of You à Davis, qui l’aurait traitée « d’auteure de m****, qui devrait être reconnaissante de ce qui lui arrive. »

Davis a réfuté ces allégations. Qui dit vrai? Parions que la plupart des fans croiront la version de l’artiste, et non celle du producteur.

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Harry Styles n’a que de bonnes choses à dire sur Taylor Swift

On aurait pu croire qu’Harry Styles, de One Direction, allait profiter de la première occasion venue pour tirer à boulets rouges sur son ex-flamme Taylor Swift.

On sait que cette dernière n’y va pas de main morte depuis leur « rupture », multipliant les allusions à peine subtiles concernant la coqueluche britannique.

Et bien il en est autrement, puisque Styles n’a que de bonnes choses à dire sur Taylor Swift, rapporte Star Pulse.

Appelé à se confier sur sa relation avec la nouvelle superstar de la pop lors d’un passage en entrevue dans une station de radio, Styles n’a jamais voulu commenter l’épisode des Grammy.

On sait que Swift avait imité l’accent anglais lors de sa prestation aux Grammy, ce qui avait soulevé la stupéfaction.

« C’est une grande artiste, elle est toujours bonne sur scène. Elle sait ce qu’elle fait et elle le fait depuis longtemps. C’était juste une autre bonne performance de Taylor Swift. C’était bon », s’est contenté de dire le leader de One Direction.

On ne pourra pas accuser le jeune chanteur d’être mesquin, ou rancunier!

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Le thé serait aussi bénéfique pour le cerveau

Top Santé rapporte une étude en provenance de Singapour, effectuée en collaboration avec des chercheurs américains, qui donne une nouvelle raison de se mettre au thé.

Et spécialement si vous commencez à prendre de l’âge, puisque ces recherches démontrent l’impact significatif du thé sur le cerveau et la prévention du déclin cognitif.

Par déduction, on peut donc prétendre que le thé permet de contrer partiellement le développement de la maladie d’Alzheimer. Après tout, on rapporte que des 1500 hommes et femmes aux prises avec des problèmes cognitifs ou de la mémoire soumis à l’étude, plusieurs ont retrouvé des capacités cognitives étonnantes.

Du lot, ceux qui avaient bu plus de quatre tasses de thé par jour durant une période donnée ont vu leurs troubles de mémoire baisser de 75 %. Le chiffre tombe à près de 50 % pour ceux qui en consommaient trois par jour.

Publiée dans la plus récente édition d’Advances in Nutrition, l’étude confirme que tous les sujets ont démontré de meilleures réactions ou performances lors des tests cognitifs effectués.

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Comprendre l’impact du zinc sur la santé

De plus en plus de Nord-Américains consomment du zinc, que ce soit dans leur alimentation quotidienne ou par la prise de suppléments, apprend-on via le site de la National Library of Medicine.

Les spécialistes se penchent maintenant sur la question des impacts du zinc sur la santé, et une nouvelle étude qui vient de paraitre traite des effets potentiels du zinc sur les infections.

Plusieurs personnes en consomment d’ailleurs pour contrer les grippes et autres problèmes similaires, et l’étude menée par Daren Knoell de l’Université d’État d’Ohio semble approuver ce comportement. Pour l’équipe de Knoell, le zinc permet en effet d’améliorer le système immunitaire et, par conséquent, ses réponses.

« Nous croyons que nos découvertes vont aider à améliorer la compréhension des effets de ce métal plutôt banal sur notre système de défense, notamment face aux infections », déclare le chercheur.

Ce qui est d’autant plus frappant, c’est de constater que le zinc se retrouve entre autres dans la viande rouge et la volaille, pourtant décriées par plusieurs nutritionnistes.

D’autres études sur le sujet sont à prévoir, puisque le zinc semble prometteur à bien des égards.

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Les femmes et le stress

En effet, Santelog.com rapporte que des chercheurs ont réussi à démontrer clairement ce phénomène, et même à en déterminer les raisons. Lorsqu’on dit que les femmes sont plus « émotives », il s’agit là d’un stéréotype facile, mais expliquer les raisons de ce jugement s’avère plus complexe.

Les spécialistes croient qu’une partie de la réponse se trouve dans l’évolution. Les femmes auraient plus tendance à ressentir du stress lorsqu’on attaque ou met en péril l’intégrité physique ou psychologique de sa famille, surtout de ses enfants. L’instinct de mère, évoluant au fil des générations, devient un principal facteur de réaction chez la femme.

L’homme, lui, serait plus enclin à réagir au stress devant des situations qui menacent son propre bien-être. Une réaction beaucoup plus égoïste, mais bien réelle.

De plus, les chercheurs pointent du doigt l’ère numérique et d’informations rapides dans laquelle on vit. Être bombardé de nouvelles, souvent pessimistes et négatives, placerait la femme moderne dans un état de stress plus élevé que l’homme.

En contrepartie, la femme qui voit son taux de cortisol augmenter (réaction du corps en période de stress) voit aussi sa mémoire s’activer davantage et retenir plus d’informations que l’homme.

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Avoir une réponse sur le bout de la langue n’est pas un signe d’Alzheimer

Il arrive à tout le monde d’avoir une réponse, un mot ou un nom sur le bout de la langue, comme le dit l’expression, ou encore d’oublier ce que l’on vient de lire ou encore où nous avons posé un objet.
 
Fait rassurant, selon une étude parue dans l’Aging, Neuropsychology and Cognition, cela n’a rien d’inquiétant, car tout le monde oublie.
 
Cependant, si ces absences augmentent d’une façon considérable, c’est là qu’il serait judicieux d’en parler à son médecin. Sinon, rien d’alarmant.
 
105 adultes en bonne santé et instruits ont participé à la recherche. Ils devaient dresser la liste de leurs absences de mémoire dans les 24 dernières heures, en plus de se soumettre à divers tests.
 
Plus de la moitié des répondants ont noté avoir eu ce genre de distraction. En effet, ce n’est rien de moins qu’une distraction ou un manque de concentration qui peut faire en sorte que l’on oublie ce qu’on vient tout juste de faire.
 
Reconnaître ce fait permettrait de cibler des programmes d’entraînement de la mémoire pour la vie quotidienne, car les programmes actuels ne sont pas adaptés pour ces petites défaillances.
 
« À l’heure actuelle, plusieurs programmes se concentrent sur les différences constatées dans la mémoire et la pensée issues d’études de laboratoire », explique Cindy Lustig, professeure de psychologie et auteure principale de l’étude.
 
Ces absences de mémoire touchent 61 % des personnes de plus de 65 ans et ne sont pas un signe précurseur de la maladie d’Alzheimer et d’autres démences.
 
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Quand Internet remplace les parents

Ils ont été bercés par les outils informatiques. Aujourd’hui, ils sont à l’affût des dernières technologies, curieux et ont l’habitude d’avoir ce qu’ils veulent quand ils le désirent. Pas surprenant que de plus en plus d’enfants se tournent vers l’efficacité, la rapidité et « l’intelligence » d’Internet pour avoir des réponses à leurs questions.
 
Une étude anglaise réalisée par la Birmingham Science City auprès de 500 enfants âgés de 6 à 15 ans a permis de constater que 54 % de ces enfants priorisent quelques clics au clavier plutôt que l’échange parent-enfant pour avoir des réponses à leurs questions. Un quart d’entre eux comptent encore sur leurs parents pour leur venir en aide ou les éclairer, et un maigre 3 % se dirigera vers un enseignant.
 
Fait cocasse pour certains ou inquiétant pour d’autres : parmi les 500 participants, un quart n’avait aucune idée de ce que pouvait signifier le mot « encyclopédie ».
 
Pour Christiane Olivier, psychanalyste spécialisée dans les relations parents-enfants, Internet ne devrait pas être utilisé systématiquement pour tous les sujets, notamment celui de la sexualité.
 
La spécialiste se désole d’ailleurs que la sexualité soit encore tabou dans les familles en 2012. « Ce sujet devrait être discuté entre humains, car Internet peut influencer la vision de l’enfant par des images choquantes, voire violentes », dit-elle dans l’Express.
 
Pour limiter ces dangers, on rappelle aux parents leur rôle d’accompagnateurs d’enfants en leur mentionnant que malgré l’existence et l’utilité de logiciels de contrôle parental, ces derniers « ne sont efficaces qu’à 75 % ».
 
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Entraîner son cerveau à manger différemment

Selon le chercheur et psychologue Brad Appelnans, tout le monde, y compris ceux qui connaissent bien le domaine de la nutrition, luttent pour ne pas succomber au sucre, sel et graisses.
 
Selon des experts américains en perte de poids, il ne serait question que de volonté et d’entraîner son cerveau à manger différemment.
 
Leur étude dévoilée dans le Journal of the American Diatetic Association, expose trois processus qui seraient liés à une consommation excessive d’aliments et à l’obésité.
 
Il y a d’abord le plaisir de manger, ne pas savoir se modérer et ne pas prendre le temps de choisir les bons aliments.
 
Pour éviter que cela se produise, on recommande de ne pas avoir de tentation à la portée, de faire une liste de produits bons pour la santé et de s’y tenir à l’épicerie. S’il le faut, faites vos achats en ligne pour éviter les tentations sur place.
 
Aussi, apprenez à gérer votre stress et éviter les restaurants et buffets à volonté où l’on vous encourage à consommer davantage d’aliments.
 
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Le tempérament des enfants relié à la réponse hormonale au stress

Psychcentral.com mentionne que cette recherche, qualifiée « d’intrigante », associe le tempérament de l’enfant en bas âge à la réponse hormonale selon deux types psychologiques définis. Le tempérament du faucon et celui de la colombe.

Il s’agit de deux comportements opposés, développés par une réaction chimique en relation avec la surproduction (colombe) ou l’arrêt de production (faucon) de cortisol dans l’organisme à la suite de l’exposition à un grand stress.

Dans l’étude publiée en ligne dans le journal Development and Psychopathology, le psychologiste et meneur de la recherche, Patrick Davies, explique l’objectif. « Les différentes réactions engendrées sont tant comportementales que chimiques et peuvent provenir de l’évolution génétique de la réponse au stress léguée par nos ancêtres. Par contre, ces comportements ne sont pas nécessairement adaptés à l’environnement familial dans lequel vivent les enfants ».

Alors que le type « colombe » agit de façon prudente, vigilante et soumise lorsqu’il est confronté au stress, le type « faucon » est audacieux et démontre assurance et agressivité.

L’étude a été menée auprès de 201 jeunes enfants de 2 ans, provenant de familles démunies avec des profils socioéconomiques similaires. Les candidats étaient régulièrement exposés à différents niveaux d’agression entre leurs parents.

Les résultats, lorsque les jeunes ont été placés dans une simulation de même nature, ont clairement séparé le groupe en colombes et en faucons. Ainsi, les colombes étaient plus affectées par les menaces, alors que les faucons y réagissaient avec véhémence.

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La morale, une affaire d’âge

Notre réponse à des situations faisant appel à notre morale changerait au cours de la vie en raison de modifications dans nos circuits cérébraux.

C’est la conclusion à laquelle sont arrivés des chercheurs de l’Université de Chicago. Leurs résultats sont parus dans Cerebral Cortex.
 
L’expérience a porté sur 127 personnes âgées de 4 à 36 ans. Les outils d’évaluation consistaient en des imageries du cerveau et des mesures optiques ainsi que comportementales.
 
On a remarqué que les réactions à différentes situations correspondaient aux stades de développement du cerveau, c’est-à-dire au fur et à mesure qu’il pouvait faire des jugements de raison.
 
La réponse émotionnelle d’un enfant serait donc plus forte que celle d’un adulte, parce qu’elle précède le jugement.

Adulte comme enfant est donc capable de distinguer un dommage accidentel d’un autre qui serait intentionnel. Toutefois, un enfant aurait plus tendance à penser que quelqu’un devrait subir une punition dans l’un ou l’autre cas, si un objet est endommagé.