Ces créatures intrigantes du monde sous-marin exotique sont les nouvelles résidentes de l’Aquarium de Québec. De la méduse électrisante à l’hippocampe, en passant par les raies et les requins-marteaux, tous ont trouvé leur place dans le cadre du projet de réfection et d’agrandissement de l’Aquarium de Québec.
« On a voulu choisir des variétés qui étaient originales et spectaculaires pour se différencier de l’offre nord-américaine », a expliqué Raymond Desjardins, PDG de la SEPAQ au quotidien Le Soleil.
C’est grâce à des investissements de 8 millions de dollars, majoritairement financés par le gouvernement provincial et la Société des établissements de plein air du Québec (SEPAQ) (6,5 millions), que le nouveau pavillon exotique a pu voir le jour.
Au coût de 3,3 millions, les infrastructures déjà existantes ont pu être rénovées et dévoilées au public sous un nouveau jour cette semaine.
D’ici 2020, la direction de la SEPAQ compte réaliser la troisième phase du projet. Différentes idées bourgeonnent dans la tête de la direction, qui dit prendre en considération les diverses propositions.
Celle du directeur général de l’Aquarium du Québec, Christophe Zamuner, qui propose la création d’un pavillon des prédateurs marins, au coût de 40 millions $, ne passe pas inaperçue.
L’Aquarium de Québec, qui a connu une hausse d’achalandage incroyable depuis 2006, soit un bond de 94 %, augmentera son coût d’entrée à 16,50 $ cette année.