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Facebook, manifestement un ennemi du couple

Santé Log rapporte une étude sociopsychologique qui confirme ce que l’on savait déjà : Facebook n’est pas le meilleur ami d’un couple en bonne santé.

Véritable secret de polichinelle, l’impact de Facebook au sein des relations amoureuses est parfois sournois et même dévastateur. C’est ce que confirme cette étude en provenance de l’Université d’Ohio State, qui parle d’un phénomène de « surveillance interpersonnel ».

Ainsi, outre les occasions de faire des rencontres et de tricher virtuellement grâce au réseau social, on se rend compte qu’un grand nombre de gens espionnent leur tendre moitié ou encore leurs ex!

Et alors que les soupçons grandissent, la tension aussi. Rien pour améliorer des relations modernes déjà éphémères et souvent superficielles ni la capacité de patience et la traversée des épreuves, en somme.

Plusieurs études sociologiques et psychologiques commencent à paraître en matière de réseaux sociaux, et on constate plusieurs problèmes liés au phénomène. Une récente recherche dévoilait des pointes de troubles de l’humeur et de dépression chez une majorité d’usagers de Facebook.

Bien sûr, plusieurs avantages sont liés au site de réseautage, mais sommes-nous en mesure d’avouer que nous vivions avant son apparition et que les choses n’allaient somme toute pas si mal? 

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19 juin : Twitter sensibilise au syndrome de la Tourette

Le syndrome de la Tourette, ou Gilles de la Tourette, attaque Twitter aujourd’hui, alors que plusieurs personnes se joignent à un effort virtuel de sensibilisation à la maladie, rapportent plusieurs sources.

C’est le cas de Top Santé, qui parle d’une « façon originale de faire connaître cette maladie ». Originale, oui, puisque des millions d’internautes utilisent le système de messagerie et de nouvelles.

Certains pourraient d’ailleurs être surpris aujourd’hui, alors que des gros mots ou des répétitions étonnantes pourraient apparaître sur leur fil Twitter, sans avertissement!

Se déroulant toute la journée et pour une période de 24 heures, le concept intitulé #surrenderyoursay (Surrender Your Say ou Abandonnez-vous à vos mots) propose aux habitants de la planète Twitter d’ajouter ce hashtag à une courte phrase associée au syndrome de la Tourette.

Les injures et propos incohérents choqueront sans doute quelques âmes sensibles, ce qui permettra de comprendre encore mieux ce que peuvent vivre les victimes de ce mal.

Cette campagne de sensibilisation en est une originale, et il ne faudrait pas s’étonner que d’autres organisations et causes tentent aussi ce genre d’expérience dans le futur!

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Le réseau informatique de la santé au Québec prend de l’ampleur

Quelques années après que le gouvernement du Québec ait annoncé son intention de relier tous ses organismes et hôpitaux virtuellement, et de permettre l’accès en ligne à des ressources et aux dossiers médicaux par les citoyens, voilà que le ministre Réjean Hébert annonce que le projet Dossier Santé Québec continue d’aller de l’avant.

C’est une excellente nouvelle, puisque les coûts déjà investis depuis le début de l’étude du projet ne seront donc pas perdus. De plus, il en va de l’efficacité du système de santé, déjà désuet, de se doter d’un tel système technologique.

Chaque hôpital a déjà son système informatique, mais n’est pas nécessairement relié à d’autres centres de santé, explique Radio-Canada, qui rapporte la nouvelle.

On s’attend donc à franchir une nouvelle étape du projet Dossier Santé Québec d’ici la fin de 2013, alors que chaque région devrait alors avoir amorcé le virage d’une façon ou d’une autre.

Le processus se poursuivra vraisemblablement jusqu’en 2015-2016, et il reste encore beaucoup de travail à faire.

On peut certainement se réjouir de l’initiative, alors que le système de santé du Québec a manifestement besoin d’une mise à jour 2.0.

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Photographier ses repas pourrait indiquer un trouble alimentaire

S’il y a une mode bien étrange en ce moment, c’est celle de prendre des repas en photo pour les partager sur les nombreux réseaux sociaux.

Qui n’a pas déjà vu passer des photographies d’assiettes remplies, de fast-food ou de sushis, se demandant quel était le but réel de cette manœuvre.

Pour Valerie Taylor, du Women’ s College Hospital de l’Université de Toronto, ce phénomène n’est pas toujours bénin. En fait, il est même probable qu’il cache un problème alimentaire chez plusieurs de ces personnes, rapporte La Dépêche, qui reprend les propos de la spécialiste.

« J’ai des patients pour qui la nourriture est devenue problématique, et il leur est difficile de sortir sans parler d’autre chose que de ce qu’ils mangent, quand ils mangent, le moment où ils vont de nouveau passer à table », explique Taylor.

Vous reconnaissez quelqu’un qui ressemble à ce profil? Ou peut-être faites-vous vous-même partie de cette catégorie…

Pour la spécialiste, qui s’exprimait lors du Sommet canadien sur l’obésité récemment, l’obsession de la nourriture est un trouble alimentaire en soi, et souvent un pas vers l’obésité.

« On prend des photos de ce qui est important pour nous, et pour certaines personnes, la nourriture devient centrale alors que tout le reste — le lieu, les personnes, etc. — fait uniquement partie du décor », termine Taylor, qui présente ici un problème fort intéressant.

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Facebook peut améliorer l’estime de soi

Une étude rapportée par The National Library of Medicine invalide plusieurs théories à connotations négatives concernant le site de réseau social Facebook.

L’étude en provenance de l’Université Cornell révèle plutôt que de flâner sur ce réseau en ligne permettrait de gonfler l’estime de soi, puisque le contexte social qu’il propose permet d’échanger et de se sentir aimé par ses pairs.

Pour étayer cette théorie, les chercheurs de Cornell ont analysé les comportements de 88 étudiants. Les conclusions? Comme les étudiants peuvent souligner les meilleurs aspects de leur personnalité et laisser au vestiaire les moins bons, ils se revalorisent aux yeux des autres, mais surtout aux leurs.

Ainsi, l’estime de soi se voit bonifiée, et cela pourrait expliquer en partie le sentiment de dépendance rattaché à Facebook. Les amateurs invétérés du réseau social rechercheraient le sentiment de joie retrouvé lorsqu’ils se connectent.

Publiées dans le Personality and Social Psychology Bulletin, ces conclusions confirment qu’il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain en ce qui concerne les nouvelles technologies et les courants sociaux.

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Twitter au service de la minceur

Une étude américaine surréaliste affirme que le réseau social Twitter peut contribuer à une perte de poids, annonce Santé Log.

Si cela peut paraître invraisemblable, il appert que les conclusions de l’étude sont très sérieuses. Pour les chercheurs, une personne qui est en processus de perte de poids et qui utilise Twitter de façon régulière pourrait voir cette activité contribuer à son processus d’amaigrissement.

En fait, les auteurs de l’étude parlent d’une perte de poids de 0,5 % par série de dix messages. Ces statistiques s’appliquent lorsqu’un programme de poids est enclenché, selon les spécialistes de l’Université de Caroline du Sud.

Pour arriver à ces résultats, les chercheurs ont étudié les cas de 96 hommes et femmes âgés de 18 à 60 ans durant six mois. Les sujets suivaient un régime et étaient invités à se doter d’un appareil mobile comme un téléphone intelligent (que l’on fournissait).

Après avoir évalué plusieurs comportements cybernétiques, les chercheurs ont découvert que Twitter se démarquait du lot par son impact sur le métabolisme.

De plus, le réseau social permet l’échange non seulement de trivialités, mais aussi d’importantes informations sur le poids et le corps, en plus d’offrir l’occasion d’envoyer et de recevoir des messages d’encouragement.

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La personnalité directement liée au succès social

Des études effectuées sur des humains ainsi que sur des babouins démontrent clairement que le succès social découle de la personnalité de chaque individu… ou singe, selon ce que rapporte Radio-Canada.

De plus, il semble que des effets de longévité et une meilleure santé peuvent être observés chez ceux qui entretiennent des amitiés ou un réseau social actif.

Robert Seyfarth et Dorothy Cheney, respectivement psychologue et biologiste, tirent les mêmes conclusions des études proposées. D’abord, certains singes se font des amis plus facilement, ce qui augmente leurs chances de se reproduire. C’est le même phénomène chez les humains.

Pour en arriver à des résultats clairs, les chercheurs ont étudié les liens génétiques et sociaux d’un groupe de babouins de la réserve Moremi Game, au Botswana.

Il ressort de cette étude que le succès reproductif n’est pas tant lié à la domination, au fait d’être chef de son groupe social, mais plutôt à celui de parvenir à conserver les liens créés avec les autres.

Et tout cela, en fin de compte, découle du type de personnalité de l’individu. On note des femelles babouins très solitaires, mais se reproduisant beaucoup, alors que d’autres sont constamment entourées de leurs pairs, sans toutefois avoir de progéniture.

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Les enfants de parents schizophrènes sont plus à risque

Le journal Archives of General Psychiatry dévoile qu’une équipe de neuroscientifiques, dirigée par le psychiatre Vaibhav Diwadkar de la Wayne State University, a découvert, grâce à la résonance magnétique, qu’il y avait des différences importantes dans le développement du cerveau entre les enfants de parents schizophrènes et ceux sans antécédents familiaux.

C’est en observant le comportement et le fonctionnement du cerveau de jeunes de 8 à 20 ans, à qui l’on montrait différents visages avec diverses émotions, que les chercheurs ont découvert un dysfonctionnement dans le réseau cérébral.

En effet, les enfants à risque de la maladie avaient un réseau de communication réduit et des réponses désordonnées quand ils regardaient des visages émotionnels, comparativement aux enfants sans antécédents familiaux.

« Le dysfonctionnement du réseau du cerveau associé à la transformation émotionnelle est un facteur prédictif potentiel de l’apparition de problèmes émotionnels qui peuvent survenir plus tard dans la vie et qui sont à leur tour associés à des maladies comme la schizophrénie », explique le Dr Diwadkar.

Grâce à cette étude qui s’est déroulée sur une période de trois ans, l’origine de la maladie pourrait être connue. Une étude longitudinale devra être faite pour savoir si les enfants à risque développent ou non la schizophrénie, car pour le moment, malgré des différences cérébrales criantes, tous les enfants étaient normaux.

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Les Québécois sont satisfaits du système de santé

Selon une recherche menée par l’Institut de la statistique du Québec (ISQ) auprès de 38 389 Québécois montre que ces derniers sont satisfaits du régime public de la santé. 60 % ont exprimé un taux de satisfaction supérieur, tandis que 33 % étaient assez satisfaits.

Cet enthousiasme varie selon le type d’établissement fréquenté par les usagers. Ce sont les CLSC qui remportent la palme avec 95 %  de satisfaction, 94 % dans les cliniques et 90 % pour les centres hospitaliers.

Il semble aussi que l’âge des participants soit un facteur dont il faut tenir compte. Plus les personnes sont âgées, plus elles apprécient le système de santé.

L’accès à un médecin de famille et l’état de santé général des répondants comptent également pour beaucoup.